samedi 31 août 2013

Temple de la honte du Sénat

Temple de la honte du Sénat

Pourquoi payons-nous 90 millions $ par année pour un Sénat composé de non-élus n'ayant aucun compte à rendre ?

Pendant que les Canadiennes et les Canadiens travaillent d’arrache-pied pour joindre les deux bouts, les sénateurs à Ottawa travaillent moins et coûtent cher aux contribuables. Le Sénat ne siège que 90 jours par année et coûte environ 90 millions $ aux contribuables.

Les sénateurs non élus n’ayant aucun compte à rendre, représentent uniquement le parti qui les nomme, pas leur région ou ni même le peuple canadien. On ne leur demande que de travailler trois jours par semaine lorsqu’ils daignent se présenter au travail.

Le Manitoba et le Québec se sont débarrassés de leur sénat il y a plusieurs années. Les gens de la Nouvelle-Zélande ont fait la même chose avec leur Chambre haute. C’est le temps pour le Canada de suivre ces exemples.

Un jour, Stephen Harper a dit que le sénat était « une relique du 19e siècle ». Malgré cela, il a fait 58 nominations partisanes au Sénat depuis qu’il est premier ministre.

Le temps est venu d’abolir le Sénat.

Signez la pétition

Ajoutez votre voix en signant la pétition ci-dessous.

 Nous, résidents du Canada soussignés reconnaissons :

Qu’il n’y a pas de place pour un Séant composé de non-élus n’ayant aucun compte à rendre dans notre démocratie;

Que le montant de 90 millions $ qu’il en coûte pour faire fonctionner cette institution archaïque pourrait être mieux dépensé ailleurs;

Que les sénateurs nommés, particulièrement ceux qui abusent de leurs privilèges, ne représentent pas les intérêts et les valeurs des Canadiens.

Ainsi, nous demandons au gouvernement du Canada d’abolir une fois pour toute la Chambre haute composée de non-élus n’ayant aucun compte à rendre.

POUR SIGNER LA PÉTITION ICI

vendredi 30 août 2013

{ Piano de rue }

Vous avez déjà entendu parlé des pianos de rue ?

   

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{ Piano de rue }

Par Sergio de Rosemont

Voilà cela fait plusieurs fois qu’on entend parler des pianos de rue.

Et bien voilà ce 21 août alors que j’avais affaire au Centre St-Pierre en sortant en sortant du métro Beaudry il en avait un juste à côté.

J’en ai pris une photo, effectivement disons que j’aime bien l’idée, ca rend l’ambiance beaucoup plus agréable

jeudi 29 août 2013

Violation des droits humains par la Pacific Rubiales Energy – Le gouvernement canadien doit agir



Violation des droits humains par la Pacific Rubiales Energy – Le gouvernement canadien doit agir

28 août 2013

Le 18 août dernier, la pétrolière canadienne Pacific Rubiales Energy a été jugée coupable de graves violations à plusieurs droits humains par un tribunal populaire colombien. Des représentant-e-s d’organisations sociales canadiennes et québécoises étaient présent-e-s lors du dépôt des preuves en Colombie et demandent au gouvernement canadien de prendre ses responsabilités à cet égard.

Le Canada au premier rang

La tenue de ce tribunal visait à juger le comportement de certaines multinationales étrangères présentes en Colombie. Leila Celis professeure en sociologie à l’UQAM et membre du Projet Accompagnement Solidarité Colombie (PASC) déclare : « Quand on sait que Pacific Rubiales Energy est la plus importante pétrolière étrangère en Colombie et que la majorité des crimes et violations aux droits humains imputables au conflit armé colombien se concentrent dans les régions d’investissements miniers et pétroliers, on ne peut que se questionner sur le rôle des entreprises canadiennes ».

L’accord de libre-échange entre le Canada et la Colombie (l’ALECC) est entré en vigueur en 2011. « Des sources officielles colombiennes stipulent que 87 % des réfugié-e-s internes proviennent des régions d’exploitation pétrolière et minière, alors que 78 % des crimes commis contre les syndicalistes et 89 % des violations aux droits des peuples autochtones y sont aussi perpétrés. Tout cela malgré le fait que le gouvernement canadien et les entreprises canadiennes affirmaient que l’ALECC contribuerait à faire diminuer les violations des droits humains », rappelle Constance Vaudrin du Comité pour les droits humains en Amérique latine (CDHAL) et du Groupe d’orientation politique sur les Amériques du Conseil canadien de la coopération internationale. « Sur place, ce n’est pas ce que nous avons vu et entendu ».

Autochtones déplacés, eau potable contaminée et hommes armés en quantité

Un des cas les plus visibles de violation des droits de la part de Pacific Rubiales est celui du peuple autochtone Sikuani. « Sans consultation préalable, laquelle est pourtant prévue dans la législation colombienne, les Sikuani ont été déplacés de leurs territoires ancestraux. De plus, un barrage de contrôle est installé sur la route publique menant au champ pétrolifère de Pacific Rubiales, mais également près de différents villages et réserves autochtones » mentionne Amir Khadir, député de Québec Solidaire. L’armée et les forces de police colombiennes surveillent ce barrage. Embauchant environ 14 000 travailleurs, Pacific Rubiales a recours à 6000 hommes armés (police, armée et forces de sécurité privée) pour protéger ses installations. « On ne peut qu’imaginer l’importante militarisation de cette région peu peuplée! », s’exclame le député.

Conditions de travail déplorables et assassinat d’un syndicaliste

Un accord de coopération dans le domaine du travail entre le Canada et la Colombie, entré en vigueur en même temps que l’ALECC, stipule que les deux États doivent incorporer et protéger les principes et les droits reconnus par l’Organisation internationale du travail (OIT), tels que la liberté d’association et le droit de négociation collective. « Or, les travailleurs ne peuvent s’affilier au syndicat de leur choix et continuer à travailler pour la pétrolière. Ces pratiques vont clairement à l’encontre du droit du travail et syndical », dit Guy Martin, de la Confédération des syndicats nationaux (CSN). « Non seulement les travailleurs affiliés au syndicat pétrolier national font face à des menaces et à de l’intimidation, mais l’un d’entre eux a aussi payé de sa vie », continue-t-il en faisant référence au meurtre de Milton Parra, militant syndicaliste, en décembre 2012. « Trois jours après la tenue de l’audience sur Pacific Rubiales Energy, un autre leader syndical et sa famille ont reçu des menaces de mort. C’est très inquiétant », a-t-il aussi souligné.

Responsabilité de l’État canadien

Aucun cadre réglementaire n’existe pour contrôler les activités des entreprises canadiennes à l’étranger. Celles-ci sont tenues de respecter les lois nationales, mais rien n’est mis en place pour s’assurer qu’elles le fassent réellement ou qu’elles respectent les conventions internationales. Alain Deneault, auteur de Paradis sous terre et de Noir Canada – ouvrage retiré des librairies à la suite de pressions judiciaires de la part de de la minière canadienne Barrick Gold – insiste pour qu’« une législation contraignante soit votée afin d’exiger des entreprises enregistrées ici qu’elles respectent les engagements internationaux du Canada en matière de droits humains. L’État doit enquêter sur les nombreux cas d’abus et, le cas échéant, imposer des sanctions aux sociétés concernées », conclut-il.

La délégation canadienne était constituée de représentantes et représentants de neuf organisations : le parti Québec Solidaire, la Confédération des syndicats nationaux (CSN), le Syndicat canadien des communications, de l’énergie et du papier (SCEP), l’Alliance de la fonction publique du Canada (AFPC), Groupe d’orientation politique sur les Amériques du Conseil canadien de la coopération internationale (GOPA-CCCI), le Syndicat des travailleurs et travailleuses des postes (STTP), le Comité pour les droits humains en Amérique latine (CDHAL), CASA – Toronto (Colombia Action Solidarity Alliance) et le Projet Accompagnement Solidarité Colombie (PASC).

INFORMATION PRISE ICI

Déversement de milliers de litres contaminés aux BPC « Le gouvernement avait le devoir d’informer les citoyennes et citoyens », Andrés Fontecilla


Déversement de milliers de litres contaminés aux BPC « Le gouvernement avait le devoir d’informer les citoyennes et citoyens », Andrés Fontecilla

28 août 2013

Québec solidaire a appris avec effroi le déversement de milliers de litres contaminés de biphényles polychlorés (BPC) à Pointe-Claire. Cet incident rappelle l’incendie terrible d’un entrepôt du même produit à la fin des années 80, lequel avait eu des conséquences désastreuses en matière d’environnement et de santé publique. Les Solidaires demandent au ministre de l’environnement de s’expliquer sur la non-divulgation d’informations aussi essentielles à la population locale et exigent des travaux de décontamination et de sécurisation du site sans délai.

« Comment une telle information a pu être cachée aussi longuement aux citoyennes et citoyens de Pointe-Claire? Rien ne justifie un tel manque de transparence alors que l’on savait depuis plusieurs mois ce qui se déroulait. On parle de substances cancérigènes qui se sont retrouvées dans le Saint-Laurent. J’apprenais avec stupeur ce matin que les municipalités ont effectué des prises d’eau en amont en ne sachant pas qu’il y avait eu une telle contamination. C’est irresponsable », s’indigne Andrés Fontecilla, président et porte-parole de Québec solidaire.

Pour Québec solidaire, avec la multiplication des projets controversés et après un traumatisme comme celui de Lac Mégantic, le rôle du MDDEFP est plus que jamais d’informer la population. Les Solidaires exigent cette attitude pour Anticosti, pour la pollution atmosphérique causée par le port de Québec ou encore pour les projets de pipelines.

« Il faut que le gouvernement réfléchisse à un renforcement des ressources publiques au niveau environnemental, les enjeux sont trop importants pour être traités aussi tardivement. Les intentions du ministre Blanchet pour régler la situation vont dans le bon sens mais comme souvent, c’est trop peu trop tard. À ce stade, la priorité doit aller aux travaux de décontamination et de sécurisation du site », conclut le président de Québec solidaire.

INFORMATION PRISE ICI

mercredi 28 août 2013

Pétition : Financement du transport en commun



Pétition :

Financement du transport en commun

Texte de la pétition

CONSIDÉRANT QUE le gouvernement du Québec souhaite adopter une politique de mobilité durable qui lie la planification de l’urbanisation, des transports des personnes et des marchandises;

CONSIDÉRANT QUE le gouvernement du Québec s'est engagé à réduire de 25 %  les émissions de gaz à effet de serre d'ici 2020, par rapport à 1990;

CONSIDÉRANT QUE les transports représentent la plus importante source d'émissions (43 %);

CONSIDÉRANT QUE la Capitale, la Métropole et toutes les grandes villes se sont dotées d’objectifs ambitieux d’augmentation de la part modale du transport en commun, ainsi que d’une diminution de l’usage de l’automobile;

CONSIDÉRANT la fonction sociale importante du transport en commun qui permet de réduire les dépenses des ménages en transport;

CONSIDÉRANT le lien direct entre l’utilisation du transport collectif et la pratique du transport actif, les saines habitudes de vies ainsi que la réduction de la pollution atmosphérique et des maladies chroniques;

CONSIDÉRANT QUE le réseau routier, déjà congestionné, doit faire l’objet de nombreux travaux de réfection majeurs qui nécessite d’offrir une alternative au transport routier et d’assurer la mobilité des biens et des personnes;

Nous, soussignés, demandons au gouvernement du Québec de majorer de 1 milliard de dollars par année, pour les dix prochaines années, les sommes investies dans les infrastructures de transport collectif et actif et d’assurer aux villes et sociétés de transport le financement récurrent nécessaire pour développer cette mobilité.

Date limite pour signer : 17 septembre 2013

POUR SIGNER LA PÉTITION

"Ensemble dans l'action" oui on avance !

Les 2 photos de notre visite sont en dessous de l'article.


"Ensemble dans l'action" oui on avance !

Par Sergio de Rosemont de l'équipe d"Ensemble dans l'action".
Oui chez "Ensemble dans l'action" on va de l'avant !

Ce lundi 26 août 2013 l'équipe d"Ensemble dans l'action" est aller rendre visite à un autre fournisseur, question de voir à remplir nos tablette de nos étagères.

Bonne nouvelle : nous avons enfin nos étagères et nous en sommes dans l'étape de finalisation de notre projet de l"Épicerie solidaire de Rosemont" qui est prévue ouvrir pour le 3 octobre au 6180 19ème avenue au coin de la rue Bellechasse.

Oui la date du 3 octobre arrive à grand pas et nous y avons hâte tout comme certains futurs usagés.

En terminant en tant que membre de l'équipe d"Ensemble dans l'action" j'aimerais m'adresser aux résidents de-Rosemont:

Si vous désirez apporter votre participation à ce projet d"Épicerie solidaire de Rosemont" ou recevoir de l’information, n'hésitez pas à nous contacter ou à me contacter car après tout n'oubliez pas que ce n'est pas notre épicerie mais bien la vôtre.

VOICI LES 2 PHOTOS DE NOTRE VISITE:


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Voilà nous arrivons


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Entrons !



Voici un article complémentaire question de vous permettre de mieux connaître « Ensemble dans l'action » :
 

Mes articles précédents sur « Ensemble dans l'action » :

Article du jeudi 9 août 2012

Article du 12 septembre 2012

Article du 22 septembre 2012

Article du 30 septembre 2012

Article du 28 octobre 2012

Article du 18 Décembre 2012

Article du 08 février 2013

Article du 19 mars 2013

Article du 20 mars 2013

Article du 17 juillet 2013

Article du 31 juillet 2013

mardi 27 août 2013

Impôts : Mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose !

Francis Lagacé nous parle des impôts.


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Impôts : Mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose !

26 août 2013

Alors que les impôts n'ont pas cessé de baisser depuis les vingt dernières années, on étourdit les contribuables à force de leur dire qu'ils en paient trop. Et voilà le Chevalier Couillard, ci-devant chef de l'opposition officielle, qui vient à la rescousse de la population en proposant de les réduire encore.

Ce qu'il ne vous dit pas, c'est pourquoi certains ont l'impression justifiée qu'il leur reste moins d'argent à la fin de l'année : parce que les salaires n'augmentent pas et parce que les impôts ont été remplacés par des taxes à la consommation et par des tarifs plus élevés.

Non, les taxes ne sont pas égales ni justes, car elles pèsent plus lourd sur les personnes dont le revenu est plus modeste. Ces dernières ont moins d'argent disponible pour faire des achats quand elles ont payé les premières nécessités. Les tarifs comme la taxe santé coûtent beaucoup plus cher aux personnes qui ont un revenu de 25 000 $ qu'à celles en disposant de 70 000 $.

« Rééquilibrer les impôts » comme le propose le généreux prétendant à la gouvernance de notre oublieuse province, ça doit passer par une augmentation du nombre de paliers d'impôts afin que le fardeau soit réparti selon la capacité de payer. Ça doit aussi passer par une part un peu plus équitable des entreprises, dont les impôts ont diminué de moitié dans les vingt dernières années.

Mais le mensonge est électoralement beaucoup plus payant. Gageons que notre nouveau champion fera tout un tabac médiatique avec ses propositions séduisantes, mais fausses et dangereuses.

LAGACÉ Francis





lundi 26 août 2013

Mise en service d'un bus électrique qui se recharge en 15 secondes !

Si c'est bon pour Genève pourquoi ca pourrait pas être bon pour Montréal ou Québec ou toutes autres municipalité importante du Québec ?



Mise en service d'un bus électrique qui se recharge en 15 secondes !

Le premier bus électrique de grande capacité roulant sans lignes de contact et se rechargeant à certains arrêts en seulement 15 secondes a été exposé à l'occasion de la 60ème conférence internationale de l'Union Internationale des Transport Publics, à Genève.

Baptisé TOSA, acronyme composé de la première lettre du nom des partenaires ayant participé au projet : TPG (Transports Publics Genevois), OPI (Office de promotion des industries et des technologies), SIG (Services Industriels de Genève) et ABB, ce projet de bus articulé électrique ressemble à un trolleybus classique, à l'exception de son toit. En lieu et place des classiques perches et caténaires, ce bus est doté d'un bras rétractable commandé par laser qui se connecte à un rail intégré à la station de bus. La procédure de connexion est extrêmement rapide et se déroule en moins d'une seconde. Lorsqu'on sait que le temps passé à un arrêt est de seulement 15 secondes, il est essentiel de ne pas perdre de temps pour la connexion.

Ainsi, quand le bus approche de l'arrêt, le rail supérieur fixe de la station est détecté et le contact du toit du bus commence à s'aligner latéralement avec celui-ci. Ensuite, le bras de chargement s'élève du bus et fait contact. Un contrôle de sécurité veille à ce qu'une connexion adéquate soit établie avec le bus à l'arrêt avant que la tension ne soit appliquée.

ICI POUR VOIR LA VIDÉO COMPLÉMENTAIRE:
http://www.youtube.com/watch?v=c-Fg94A2Vko

LA SUITE ICI

Rentrée parlementaire : Québec solidaire misera sur l’énergie pour se démarquer

Malgré une visibilité moins forte que prévue à l’Assemblée nationale, Québec solidaire grimpe dans les intentions de vote. Françoise David veut récupérer les déçus du PQ. Entrevue.



Rentrée parlementaire : Québec solidaire misera sur l’énergie pour se démarquer

21 août. 2013 par Alec Castonguay

Un an après sa victoire électorale dans la circonscription de Gouin, Françoise David peut, avec le recul, affirmer que son arrivée à l’Assemblée nationale a peut-être sauvé Québec Solidaire. Une défaite aurait eu l’effet d’une douche froide sur les militants. « La population, y compris les progressistes, a besoin de sentir qu’une idée, un groupe et un parti avancent. Si on reste seul trop longtemps, comme ç’a été le cas pour Amir Khadir, un certain découragement peut s’installer », dit-elle.

Une possibilité qui semble bien lointaine à l’approche de la rentrée parlementaire : le parti obtient 11 % dans les intentions de vote, soit deux fois plus que la récolte lors du scrutin du 4 septembre 2012. Le financement va également bien. La première moitié de 2013 a permis d’amasser 118 000 dollars, soit plus que la CAQ.

Au point où Françoise David vise maintenant le sommet. « On doit montrer qu’on a une équipe crédible, capable de gouverner. Je n’aurais pas dit ça il y a quelques années, mais maintenant, on a tout ce qu’il faut pour accéder aux plus hautes fonctions. On veut apparaître comme une véritable alternative au gouvernement », dit-elle.

Pour y arriver, Québec solidaire misera notamment sur le dossier énergétique cet automne, alors que commenceront les consultations publiques du gouvernement afin d’élaborer une nouvelle politique énergétique. « Ça va être un débat majeur », prédit-elle. 

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dimanche 25 août 2013

Pétition : Restriction des importations et de la revente de produits alcoolisés russe par la SAQ




Pétition :

Restriction des importations et de la revente de produits alcoolisés russe par la SAQ

Texte de la pétition

CONSIDÉRANT QUE la Société des alcools du Québec (“SAQ”) est une compagnie à fonds social qui jouit des droits et privilèges d’un mandataire de l’État;

CONSIDÉRANT QU’en vertu de l’article 37 de la Loi sur la SAQ, le gouvernement à une large discrétion pour faire des règlements pour déterminer, entre autres, les conditions d’importation et de revente des boissons alcooliques par la SAQ;

CONSIDÉRANT QUE les lois anti-LGBT, récemment adoptées par le gouvernement russe, violent le droit d’une personne à l’égalité sans distinction à son orientation sexuelle, contrairement aux valeurs fondamentales des Québécois prescrits notamment à l’article 10 de la Charte des droits et libertés de la personne;

CONSIDÉRANT QUE ces lois anti-LGBT pourraient avoir pour effet de multiplier le nombre de crimes haineux à l’égard des personnes de cette communauté;

CONSIDÉRANT QUE le boycottage des produits en provenance d’un État qui violent les droits fondamentaux d’une personne constitue un moyen modéré pour un autre État de dénoncer ces violations, sur un plan humanitaire;

En foi de quoi nous, soussignés, demandons au gouvernement du Québec qu’il agisse dans les plus brefs délais afin d’adopter un règlement afin de restreindre l’importation et la revente de produits alcoolisés russe par la SAQ.

Date limite pour signer : 22 novembre 2013

POUR SIGNER LA PÉTITION

samedi 24 août 2013

Lois anti-gais: Une pétition demande à la SAQ de serrer la vis aux produits russes



Lois anti-gais: Une pétition demande à la SAQ de serrer la vis aux produits russes

22 août 2013

Une pétition parrainée par Françoise David, députée de Gouin pour Québec solidaire, demande au gouvernement du Québec d’adopter un règlement pour « restreindre l’importation et la revente de produits alcoolisés russe par la Société des alcools du Québec » afin de dénoncer la législation russe anti-homosexualité.

« Signer cette pétition est un geste concret, une action de plus pour protéger les droits et la sécurité des minorités sexuelles. J’invite les Québécois et Québécoises à signer en grand nombre », lance Mme David.

La pétition argue que les lois « récemment adoptées par le gouvernement russe violent le droit d’une personne à l’égalité sans distinction à son orientation sexuelle contrairement aux valeurs fondamentales des Québécois prescrits notamment à l’article 10 de la Charte des droits et libertés de la personne. »

La Société des alcools du Québec est une compagnie qui jouit des droits et privilèges d’un mandataire de l’État. Les pétitionnaires estiment donc qu’en vertu de l’article 37 de la Loi sur la SAQ, le gouvernement a la possibilité de déterminer, entre autres, les conditions d’importation et de revente des boissons alcooliques par la SAQ et peut agir pour restreindre les produits russes.

La pétition est une initiative de M. Bastien Poulin, ancien vice-président de la Chambre de commerce gaie du Québec, et est en ligne sur le site de l’Assemblée nationale jusqu’au 22 novembre.

Rappelons que Québec solidaire s’est joint à une importante campagne lancée par Égale Canada et le Réseau juridique canadien VIH/sida pour contrer l’homophobie en Russie et aux Jeux olympiques et paralympiques d’hiver de Sotchi 2014.

INFORMATION PRISE ICI

Une assemblée pour travailler sur le document "Montréal ville solidaire".

Les 8 photos sont à la suite de l'article


Une assemblée pour travailler sur le document "Montréal ville solidaire".

Par Sergio de Rosemont.


Effectivement ce mercredi 21 août 19 h à la salle Ronald Asselin # 204 au Centre St-Pierre rue Panet dans le comté St-Jacques-Ste-Marie, c'était l'assemblée organisé par Sébastien Rivard et Chantale Michaud du Comité sur les enjeux municipaux de Qs Montréal afin de finaliser le document "Montréal ville solidaire".

C'est un document que Québec solidaire veut présenter aux candidats des différents partis se présentant aux élections municipales de novembre 2013 à Montréal.

 Ce document sera aussi mis à la disposition du public par internet.

"Montréal ville solidaire" renfermera l'ensemble des attentes des militants solidaires de Montréal pour cette élection.

Rappelons que Québec solidaire n'appuiera aucun parti politique sur la scne municipale montréalaise en 2013.

Par contre, les membre du comité enjeux municipaux de QS Montréal recommande aux militants de Montréal pour l'élection de novembre de ne pas voter pour un parti mais plutôt pour des candidats qui auront su démontrer qu'ils sont progressifs.

Nous n'avons pas pu faire la finalisation de "Montréal ville solidaire", une assemblée spéciale se tiendra sous peu pour le terminer.

Voici un article complémentaire du 21 mars 2013:


VOICI LES 8 PHOTOS DE CETTE ASSEMBLÉE :


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Effectivement c'est à la salle Ronald Asselin # 204 qu'on s'était donné rendez-vous.


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Voilà les militants commencent à arriver.


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On se prépare pour travailler sur le document "Montréal ville solidaire".


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On se prépare pour travailler sur le document "Montréal ville solidaire".


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Sébastien Rivard présidait l'assemblée assisté par Jonathan Durand-Folco, Chantale Michaud et Claudelle Cyr.


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Votre hôte Sergio de Rosemont avec Claudelle Cyr la Responsable femmes à Qs-Montréal.


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Votre hôte Sergio de Rosemont avec Sébastien Rivard de Qs-Montréal.


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Le document "Montréal ville solidaire".



Voici les liens d'articles que j'avais fait sur des manifestations ou activités aux quelles j'avais participé ou visité.

Article du 02 mai 2013

Article du 08 mai 2013

Article du 20 mai 2013

Article du 24 mai 2013

Article du 01 juin 2013

Article du 9 juin 2013

Article du 14 juin 2013

Article du 18 juin 2013

Article du 22 juin 2013

Article du 26 juin 2013

Article du 14 juillet 2013

Article du 16 juillet 2013

Article du 17 juillet 2013

Article du 31 juillet 2013

Article du 07 Août 2013

Article du 08 août 2013

Article du 16 août 2013

vendredi 23 août 2013

Quand les chrétiens mariaient les homos...

Voici un article pour donner des
émotions aux puritains religieux :



Quand les chrétiens mariaient les homos...

Créé le 05-08-2013 à 14h55

Par Arnaud Gonzague

Contre le mariage gay, l'Eglise ? Cela n'a pas toujours été le cas, selon plusieurs historiens : nombreux sont les cas d'unions masculines au Moyen Age.

On connaît l’antienne : le mariage, a fortiori le mariage chrétien, c’est l’union d’un homme et d’une femme. Sauf que l’Eglise du Moyen Age a, semble-t-il, célébré des mariages homos. On le sait grâce à l’historien américain John Richard Boswell*, qui a découvert que les chrétiens grecs des Xe et XIe siècles bénissaient des "unions du même sexe" tout à fait officielles.

La dénomination fait bondir l’Eglise orthodoxe d'aujourd'hui, qui jure qu’il ne s’agissait que de chastes "fraternisations". C’est possible.

LA SUITE ICI

Prenez le temps d'aller lire la suite.

Des prédicateurs islamistes radicaux attendus à Montréal

Les jeunes Québécoises et Québécois sont les premiers à rejeter ce discours haineux, rétrograde et dégradant envers les femmes, qu’il soit tenu par des fondamentalistes musulmans, chrétiens ou de tout autre acabit.

J’invite les jeunes musulmans de Montréal à ignorer simplement cette invitation et laisser ces dogmatiques seuls dans leur obscurantisme d’un autre âge. Les jeunes musulmans de Montréal sont attachés au Québec et à ses valeurs comme celle de l’égalité homme femme. Ils en ont ras le bol d’être associés à la vision rétrograde de leur religion que projette ce genre d’activité qui est le fait d’une très petite minorité d’extrémistes comme il s’en trouve malheureusement chez les musulmans, comme chez les autres religions.

Amir Khadir, député de Mercier



Des prédicateurs islamistes radicaux attendus à Montréal

Publié le 21 août 2013 à 00h00
Fabrice De Pierrebourg
La Presse


On verra bientôt débarquer à Montréal des prédicateurs islamistes européens qui bannissent la mixité, qui considèrent qu'une femme doit raser les murs dans la rue, que c'est un péché de lui serrer la main, que de refuser de porter le voile est «pire» que d'avoir le cancer ou encore que la télévision est un «poison» à cause des lectrices de nouvelles «dénudées».

Cette manifestation baptisée «Entre ciel et terre» est organisée par le «Collectif 1ndépendance», qui rassemble des «jeunes musulmans montréalais», lit-on sur leur site internet.

Quatre conférenciers-vedettes francophones, dont un «diplômé en charia», sont attendus au Palais des congrès au début du mois de septembre.

Comme l'a constaté La Presse, certains de ces invités, qui exercent en France, tiennent des propos plutôt musclés et misogynes dans leurs prêches lorsqu'ils abordent la question des rapports hommes-femmes et de la place de la femme dans la société contemporaine. Tous ces discours sont accessibles sur l'internet.

LA SUITE ICI

jeudi 22 août 2013

“Krokodil”, la nouvelle drogue dévastatrice

Je met cette information question de vous
aviser sur les dangers d'une nouvelle drogue
qui pourrait s'en venir ici en Amérique



“Krokodil”, la nouvelle drogue dévastatrice

Javier Nunez Prestamo Publié le mardi 18 octobre 2011 à 06h53

Ce fléau touche de nombreux pays européens. Il arrive au seuil de la Belgique

BRUXELLES Une nouvelle drogue destructrice déferle sur une partie de l’Europe. Son nom, la Krokodil, fait référence aux effets ravageurs, tels des morsures de crocodile, qu’elle provoque sur et sous la peau.

Cette drogue est apparue en 2002 dans l’est de la Russie et la Sibérie. Elle s’est répandue de plus en plus auprès des jeunes russes, surtout ceux issus de classes défavorisées, qui trouvent en cette drogue le moyen d’échapper à leur quotidien.

Seulement, la Krokodil a des effets dix fois supérieurs à ceux de l’héroïne à un coût trois fois moindre. Elle détruit et pourrit littéralement l’épiderme. Elle arrive même à trouer les os. À n’en pas douter lorsqu’on analyse ses composants : iode, héroïne, essence, dissolvant à peinture, phosphore rouge (partie rouge des allumettes) et codéine (contenu dans le somnifère).

La Krokodil a un aspect pâteux, obtenu après combustion, et provoque des dégâts incurables. Le membre où est administrée la drogue se gangrène et doit souvent être amputé. Pire, les spécialistes ne donnent qu’une espérance de vie de un à trois ans pour tous les consommateurs, qui meurent soit d’un empoisonnement du sang, d’une méningite, d’une pneumonie ou de pourrissement.

LA SUITE ICI

mercredi 21 août 2013

Charte des valeurs québécoises - « Le Parti Québécois prend le débat par le mauvais bout » - F. David

« Au début le Parti Québécois nous promettait un débat sur la laïcité, puis c'est devenu l'identité québécoise. Si ce que nous apprenons aujourd'hui est exact, ça va se muter en débat sur l'exclusion pour motif religieux de milliers de personnes - et surtout des femmes - des emplois de la fonction publique et parapublique, qui est le principal employeur au Québec. Tout ça sent l'improvisation. Peut-on vraiment intégrer en excluant? » demande Mme David qui souhaite un débat serein."



Charte des valeurs québécoises - « Le Parti Québécois prend le débat par le mauvais bout » - F. David

20 août 2013

Québec solidaire juge que le Parti Québécois prendrait le débat sur la laïcité de l'État québécois par le mauvais bout en mettant le port de signes religieux par les individus au cœur de sa Charte des valeurs québécoise plutôt que de se concentrer sur la laïcité des institutions.

« On s'attaque à des symboles et aux individus, majoritairement des femmes, mais au fond on ne règle rien. Pendant ce temps l'État continuera à subventionner les écoles religieuses à hauteur de 60%. Où est la neutralité de l'État là-dedans? En quoi d'interdire le port d'un foulard à une fonctionnaire qui travaille dans un cubicule ou le port de la kippa à un médecin dans un hôpital peut bien assurer la préservation de l'identité québécoise? » questionne Françoise David, députée de Gouin pour Québec solidaire, en réaction au grandes lignes du projet de Charte des valeurs révélées par le Journal de Montréal.

Exclure pour intégrer?

Québec solidaire propose en priorité d'inclure le principe de la laïcité dans la Charte des droits. En outre, il réclame l'abolition des subventions aux écoles privées confessionnelles. Les institutions publiques ne devraient pas afficher de symboles religieux sauf lorsqu'il s'agit d'objets patrimoniaux ni ne tenir de manifestations religieuses lors des activités institutionnelles, comme lors d'un conseil de Ville.

Québec solidaire appuie également le principe que les relations avec l'État doivent se faire à visage découvert. Aucun signe religieux ostentatoire ne devrait être permis par les personnes qui exercent l'autorité de l'État. Cela inclut  par exemple, les juges, policiers- ères, gardiens-nes de prison, procureurs-es de la Couronne. De plus, les Solidaires croient qu'il faut refuser le port de signes religieux s'ils entravent l'exercice d'une fonction ou menacent la sécurité. Par exemple, on ne peut porter un turban sous un casque de construction.

« Au début le Parti Québécois nous promettait un débat sur la laïcité, puis c'est devenu l'identité québécoise. Si ce que nous apprenons aujourd'hui est exact, ça va se muter en débat sur l'exclusion pour motif religieux de milliers de personnes - et surtout des femmes - des emplois de la fonction publique et parapublique, qui est le principal employeur au Québec. Tout ça sent l'improvisation. Peut-on vraiment intégrer en excluant?  » demande Mme David qui souhaite un débat serein.

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