vendredi 31 juillet 2015

Six personnes poignardées pendant la Gay Pride de Jérusalem


On pourrait croire qu'en Israël qu'on ignore se que c'est que le respect de la différence.

Oui bien des questions à se poser sur Israël !



Six personnes poignardées pendant la Gay Pride de Jérusalem 

jeudi 30 juillet 2015

Six participants à un défilé de la Gay pride à Jérusalem ont été blessés ce jeudi 30 juillet à coups de couteau par un juif ultra-orthodoxe, selon la police et les services de santé israéliens.
La police a indiqué que l'agresseur a été arrêté avant de pouvoir attaquer d'autres participants du défilé dans le centre de Jérusalem. Deux des victimes sont dans un état grave, a précisé le Magen David Adom, l'équivalent israélien de la Croix-Rouge. Un porte-parole de la police a souligné qu'un "très important dispositif de sécurité" avait été déployé autour de la marche pour tenter d'éviter toute agression.
Après l'attaque, la marche s'est poursuivie dans des rues pavoisées avec le drapeau arc-en-ciel, vers le jardin de la cloche dans le centre de Jérusalem, où devait se dérouler une fête dans la soirée. "Comme il s'agit d'un endroit fermé, notre mission de protection sera plus facile à assurer dans ce jardin", a ajouté un porte-parole de la police.
Un contre-manifestant qui se trouvait sur place pour dénoncer cette marche a pour sa part condamné à la radio publique cette attaque, tout en soulignant qu'une "telle manifestation ne pouvait pas avoir lieu à Jérusalem, il ne s'agit pas d'une marche de la fierté mais une marche de l'abomination".
La communauté gay israélienne avait déjà été endeuillée en 2009 lorsqu'un homme avait ouvert le feu dans un centre d'aide aux jeunes homosexuels à Tel-Aviv. Deux personnes avaient été tuées et une quinzaine d'autres blessées. Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a dénoncé l'attaque. "Il s'agit d'un événement très grave. Son auteur sera jugé. L'Etat d'Israël respecte la liberté privée de chacun qui est un des principes fondamentaux en vigueur dans notre pays. Nous devons nous assurer que tout homme et toute femme puisse vivre en toute sécurité de la façon qu'ils ont choisie", a souligné Benjamin Netanyahu dans un communiqué.
En butte à l’hostilité d'une grande partie de la communauté ultra-orthodoxe, les organisateurs de la marche avaient choisi en accord avec la police un tracé leur évitant de passer dans les quartiers religieux de la ville.
L'auteur de cette attaque homophobe avait commis une agression similaire et dans les mêmes circonstances en 2005 blessant trois personnes, a indiqué la police.



Israël : Teva, champion de la pollution des rivières


Encore une fois je partage la copie complète de l'article par solidarité:
















Israël : Teva, champion de la pollution des rivières 

30 juillet 2015

L’usine du fabricant de médicaments génériques Teva de Kfar Sava pollue gravement les eaux du Yarkon (en arabe, Nahal al Auja) , la rivière qui borde Tel-Aviv avant de se jeter dans la Méditerranée, selon un rapport dévoilé par le quotidien Haaretz.

L’analyse d’échantillons provenant aussi bien de la rivière que de l’usine de traitement des eaux située en amont a ainsi révélé des concentrations extrêmement élevées de plusieurs molécules, allant de l’antidiabétique metformine à l’antiépileptique carbamazépine, en passant par un antidépresseur dont le nom n’est pas indiqué.

Les concentrations relevées sont ainsi jusqu’à 200 fois plus élevées que les seuils admis par les autorités sanitaires. Les produits en provenance de l’usine semblent résistants aux installations de traitement des eaux usées.

Sans parler des conséquences d’une telle pollution pour la santé humaine, les auteurs estiment qu’il y a déjà un risque avéré pour la faune et la flore locales, en particulier pour la reproduction des poissons.

TEVA, qui vient de racheter la division médicaments génériques du groupe Allergan, pourra ainsi proposer des médicaments contre les allergies qu’il a provoquées !

Pas à nous en tout cas ! TEVA ON N’EN VEUT PAS : ON NE SE SOIGNE PAS AVEC LES MEDICAMENTS D’UN ETAT QUI EMPÊCHE LES PALESTINIENS DE SE SOIGNER ET LES BOMBARDE RÉGULIÈREMENT AU PHOSPHORE !


SANS COMPTER QU’ISRAEL INTERDIT AUX PALESTINIENS DE DÉVELOPPER LEURS PROPRES MÉDICAMENTS ET CONSIDÈRE LA PALESTINE OCCUPÉE COMME UN MARCHÉ CAPTIF.


CAPJPO-EuroPalestine


jeudi 30 juillet 2015

NON A LA TORTURE DES ENFANTS PALESTINIENS !


Ces enfants ont besoin de notre soutien:



NON A LA TORTURE DES ENFANTS PALESTINIENS ! 

NON A LA TORTURE DES ENFANTS PALESTINIENS !

Chaque jour l'armée d'occupation israélienne enlève des enfants palestiniens à leur domicile, le plus souvent en pleine nuit, pour les embarquer menottés et les yeux bandés vers des centres d'interrogatoire, où ils subissent des tortures physiques et psychologiques : ligotés dans des positions inconfortables sans pouvoir dormir, parfois frappés, menacés de sévices sexuels et de représailles sur leurs familles. Il leur est en général demandé d'avouer qu'ils ont lancé des pierres contre des chars ou des bulldozers en train de démolir leurs maisons, de dénoncer d'autres enfants, de devenir des "informateurs", et de signer des documents en hébreu, langue qu'ils ne comprennent pas.

Chaque jour l'armée d'occupation israélienne enlève des enfants palestiniens à leur domicile, le plus souvent en pleine nuit, pour les embarquer menottés et les yeux bandés vers des centres d'interrogatoire, où ils subissent des tortures physiques et psychologiques : ligotés dans des positions inconfortables sans pouvoir dormir, parfois frappés, menacés de sévices sexuels et de représailles sur leurs familles. Il leur est en général demandé d'avouer qu'ils ont lancé des pierres contre des chars ou des bulldozers en train de démolir leurs maisons, de dénoncer d'autres enfants, de devenir des "informateurs", et de signer des documents en hébreu, langue qu'ils ne comprennent pas.

POUR SIGNER CETTE PÉTITION :
stoptortureenfantspalestiniens.wesign.it/fr

Guerre de Gaza: Amnesty accuse Israël de "crimes de guerre"


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Guerre de Gaza: Amnesty accuse Israël de "crimes de guerre" 

mercredi 29 juillet 2015

Amnesty International a accusé mercredi Israël d'avoir commis "des crimes de guerres" en tuant "au moins 135 civils" en représailles à la capture d'un de ses soldats lors de la guerre de l'été 2014 dans la bande de Gaza.
"De nouvelles preuves montrent que les forces israéliennes ont perpétré des crimes de guerre en représailles à la capture d'un soldat (...) Le caractère systématique et apparemment délibéré des attaques aériennes et terrestres sur Rafah qui ont tué au moins 135 civils pourraient également constituer un crime contre l'humanité", accuse l'ONG dans un rapport publié avec l'équipe de recherche londonienne Forensic Architecture.
Israël "a mené une séries d'attaques disproportionnées et sans discrimination" sur la région de Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, et "n'a pas mené d'enquête indépendante sur ces agissements", poursuit l'ONG.
Le rapport "Black Friday: carnage à Rafah" se fonde sur "des centaines de photos et de vidéos, des images satellite et les témoignages de personnes ayant assisté aux événements", qui retracent le cours des attaques qui ont débuté le 1er août à Rafah.
Ce jour-là, le lieutenant Hadar Goldin disparaissait. Le lendemain, Israël le déclarait officiellement mort. Aujourd'hui, il serait en négociations avec le Hamas, au pouvoir à Gaza, pour le retour de son corps en échange de la libération de prisonniers palestiniens.
Le 1er août, Amnesty affirme qu'Israël a lancé sa "procédure Hannibal", une mesure controversée qui consisterait à mener des raids pouvant mettre en danger la vie du soldat pour empêcher sa capture vivant. Une procédure que l'armée ne reconnaît pas employer, mais que médias et observateurs lui attribuent régulièrement.
Selon Amnesty, "la mise en oeuvre de la directive Hannibal a entraîné le lancement d'attaques illégales contre des civils".
Le rapport cite des témoins évoquant "des scènes de panique et de chaos sous un déluge de feu des avions F-16, des drones, des hélicoptères et de l'artillerie, tuant des civils à pied ou à bord de véhicules évacuant des blessés".
Les autorités israéliennes ont dénoncé "un faux récit des événements", accusant Amnesty "d'obsession compulsive dès qu'il s'agit d'Israël".
"On dirait qu'Amnesty a oublié qu'un conflit était en cours (...) et que des organisations terroristes palestiniennes menaient des attaques intensives contre l'armée israélienne depuis des zones civiles", affirme un communiqué du ministère des Affaires étrangères envoyé à l'AFP.
"Contrairement à ce qu'Amnesty affirme, l'armée mène toutes ses opérations conformément au droit international", poursuit le texte, renvoyant au rapport des autorités israéliennes concluant à la "légalité" de la guerre, la troisième sur Gaza en six ans.
Lors de précédents rapports, Amnesty --interdite d'entrée à Gaza par Israël-- avait accusé Israël et les groupes armés palestiniens d'avoir commis des "crimes de guerre" durant les 50 jours de ce conflit qui a fait plus de 2.250 morts côté palestinien, en grande majorité des civils, et 73 côté israélien, quasiment tous des soldats.



mercredi 29 juillet 2015

Six mois de prison pour une Palestinienne de 60 ans : lisez pourquoi !


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Six mois de prison pour une Palestinienne de 60 ans : lisez pourquoi !

28 juillet 2015

Ibtisam Hamarsheh, âgée de 60 ans, vient d’être condamnée par un tribunal militaire israélien à 6 mois de prison et à une amende de 10 000 shekels (2500 euros), parce qu’elle est suspectée d’avoir tenté de faire passer un téléphone portable à son fils illégalement détenu par Israël.

Ibtisam Hamarsheh a été incarcérée dimanche dans une geôle israélienne, en toute illégalité (4ème Convention de Genève), par décision d’un tribunal militaire israélien, de la ville de Tibérias occupée.

Originaire de la ville de Yabud à Jénine, elle a d’abord été assignée à résidence au domicile de sa sœur dans la ville d’Umm al-Fahm depuis le 25 mai dernier, après une libération sous caution.

Mais malgré son âge et ses problèmes de santé, les juges militaires l’ont fait emprisonner.

Parallèlement, la police d’occupation israélienne a enlevé jeudi, à l’aube, trois jeunes hommes de la famille al-Ghazzawi à leurs domiciles aux environs d’al-Thawri à Jérusalem-Es, et ils ot été emprisonnés sous l’accusation de jets de pierres sur des israéliens.

Le même jour, un enfant de 8 ans, Abdullah Imad, avait été kidnappé à l’extérieur de sa maison dans le quartier de Silwan (Jérusalem Est) et interrogé pendant plusieurs heures par la police, sans en avertir ses parents, avant d’être relâché.

Quant aux jugements rendus par ces juges militaires et privant des Palestiniens et des Palestinienne de Jérusalem Est de se rendre à al Mosquée Al-Aqsa pour y prier, ils se multiplient. C’est une punition punition pour toute implication dans la défense de la place sainte islamique contre les tentatives de profanations des colons juifs.

Anwar Abu Hadwan, vient par exemple d’être interdit d’y entrer durant quatre mois.

(Traduit par Fadoua pour CAPJPO-EuroPalestine)

Source : falastinews.com/2015/07/25/israeli-court-jails-palestinian-elderly-woman-for-six-months/

BOYCOTT ISRAEL !

REJOIGNEZ LA CAMPAGNE ! CONTACT : info@europalestine.com

CAPJPO-EuroPalestine


Israël : Grenades assourdissantes jetées sur des enfants de 11 ans !


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Israël : Grenades assourdissantes jetées sur des enfants de 11 ans ! 

27 juillet 2015

L’ONG Human Rights Watch vient d’en apporter la preuve : l’armée d’occupation lance des grenades sur de jeunes enfants palestiniens, les étrangle, les passe à tabac, et les contraint à des aveux forcés de jets de pierres.

Un nouveau rapport de Human Rights Watch (HRW), qui accuse l’armée israélienne de "soumettre les enfants prisonniers palestiniens à des étranglements*, des passages à tabacs, des fouilles aux corps et des aveux forcés", tombe au lendemain d’une nouvelle loi approuvée par le Parlement israélien, autorisant des peines allant de 10 à 20 ans pour jets de pierres par des Palestiniens sur leurs terres.

"Les accusations de jets de pierres sont utilisées quotidiennement par les forces israéliennes comme prétexte pour arrêter, torturer, emprisonner et même tuer des Palestiniens en toute impunité", écrit Human Rights Watch.
### "En utilisant le prétexte de jets de pierres, les forces israéliennes « ont étranglé des enfants, leur ont jeté des grenades assourdissantes, les ont battu lors de gardes à vue, menacés et interrogés sans la présence de parents ou avocats, et ont caché aux parents le sort subi par leurs enfants", peut-on lire dans ce rapport.


HRW rapporte notamment les cas de quatre garçons originaires de Jérusalem-Est, âgés de 11, 12 et 15 ans, de même que celui d’une fillette de 14 ans et d’un garçon de 15 ans originaires d’autres zones de Cisjordanie occupée.

Ainsi, il est désormais avéré que la "police des frontières israélienne" (Elles sont où ces frontières ? Ndlr) a jeté une grenade assourdissante sur un enfant de 11 ans, Rashid S. adans le quartier de Silwan à Jérusalem-Est, en novembre dernier. Puis , ils l’ont étranglé, lui ont déchiré son t-shirt et sa veste et l’ont arrêté, l’accusant d’avoir jeté des pierres.

« J’ai couru en direction de la mosquée mais ils ont jeté une bombe assourdissante qui m’a fait tomber au bas des escaliers et ils m’ont attrapé par le t-shirt. Ils m’ont pris par le cou et m’ont poussé face contre terre », a témoigné Rachid.

Tout en le traînant pour l’interroger avec un sac noir sur la tête, les soldats israéliens le frappèrent au tibia, le menacèrent de coups encore plus violents, et le laissèrent torse nu dans le froid, durant une heure.

Une pratique désormais éprouvée par Israël, qui avait enfermé des enfants prisonniers palestiniens dehors dans des cages en fer, pendant une tempête hivernale sévère en 2013.


Nombreux parmi ces enfants ont été forcés de signer des confessions en hébreu, une langue qu’ils ne parlent pas. Dans certains cas, les enfants ont été isolés de leurs parents pendant des mois, souligne le rapport de cette ONG.

Aucun endroit n’est sûr pour ces enfants, pas même les cours d’écoles.

Ahmad Abu Sbitan, 11 ans, a été étranglé par la police israélienne des frontières au moment où il se faisait arrêter en face de son école à Jérusalem-Est. Un homme de 22 ans, Muhammad, qui tenta de désamorcer la situation, a également été détenu, a subi par la suite, une fouille au corps et a été frappé par les israéliens en face d’Ahmad.

Alors qu’il attendait le bus après l’école dans la vieille ville de Jérusalem, un garçon de 12 ans nommé Mohmmed Khatib a été violemment arrêté. Un officier israélien « a attrapé l’arrière de ma veste et m’a soulevé, j’étouffais », raconte Mohammed à HRW.


Lorsqu’ils interrogèrent Mohammed, ils ont interdit à son père, un vidéo-journaliste du nom de Rami, de le voir. Après huit heures d’épouvante durant lesquelles ils menacèrent, humilièrent, et frappèrent l’enfant, la police le laissa partir mais pas avant d’avoir justifié leur brutalité en déclarant au père qu’ils cherchaient un lanceur de pierres suspect qui portait un t-shirt bleu de la même couleur que l’uniforme d’écolier de Mohammed.

Terroriser les adolescents

Les forces israéliennes ont terrorisé ces enfants à un tel degré que certains d’entre eux sont allés jusqu’à envisager le suicide. Tel a été le cas de Fares Shyukhi âgé de 15 ans.

Fares a été fouillé au corps, giflé, frappé, menacé et emprisonné par les forces israéliennes en mars dernier pour avoir soi-disant jeté des pierres et un cocktail Molotov sur une colonie avoisinant Jérusalem-Est. Relâché le mois suivant et placé indéfiniment en résidence surveillée, la police israélienne des frontières continua de le menacer.

Il a été à nouveau emprisonné en octobre 2014 après avoir manqué de se présenter à une audience et relâché puis placé en résidence surveillée, dans une forme moins restrictive, en janvier de cette année, et ce, uniquement après être devenu suicidaire. Sa résidence surveillée a été levée en mars cette année mais la police israélienne l’a détenu deux fois depuis, utilisant une fois à la violence.

Lorsque Malak Al-Khatib, 14 ans, a été arrêtée en décembre près du village de Beitin en Cisjordanie, les soldats israéliens l’ont roué de coups, lui ont piétiné la nuque et l’ont frappée avec un bâton jusqu’à la rendre inconsciente. Sans informer ses parents, ils la transportèrent vers le commissariat pour un interrogatoire durant lequel ils hurlèrent sur elle et la menacèrent de porter atteinte à elle et sa famille si elle n’avouait pas avoir jeté des pierres, ce qu’elle signa en hébreu, une langue qu’elle ne comprend pas.

En violation de la quatrième convention de Genève, Israël détient Malak à l’intérieur d’Israël. En conséquence, sa famille n’a pas été autorisée de la voir ou de lui parler durant la totalité des 64 jours qu’elle a passé en détention israélienne parce que les Palestiniens de Cisjordanie sont interdits d’entrée en Israël. Un garçon palestinien de 15 ans a, de la même manière, été privé de visites familiales ou d’appels téléphoniques durant les 110 jours qu’il a passés en détention.

Un comportement cruel

Le rapport de HRW n’est que le plus récent à détailler les tendances cruelles des arrestations, tortures et emprisonnements d’enfants palestiniens, s’ajoutant aux montagnes de preuves qui se sont entassées ces dernières années.


Un rapport de l’UNICEF publié en 2013 a établi que des traitements cruels avaient été subis par plus de 7000 enfants palestiniens, et qu’ils étaient « répandus, systématiques et institutionnalisés », avec des enfants « réveillés agressivement au milieu de la nuit par plusieurs soldats armés, emmenés de force dans des centres d’interrogatoire, ligotés, les yeux bandés, privés de sommeil, et dans un état de peur extrême. »

Un rapport dévastateur publié par le Defense Children International (DCI) a prouvé que « 2014 n’a accordé aucun répit aux enfants palestiniens, qu’ils vivent dans des zones résidentielles, dans la bande de Gaza, ou simplement sur le chemin de l’école. » Les arrestations, tortures et assassinats n’ont pas uniquement continué mais ont l’air d’avoir augmenté en férocité.


Soldats se prenant en photo avec une fillette qu’ils ont arrêtée

Le mois dernier, quelques membres du Congrès américain ont envoyés une lettre au Secrétaire d’Etat John Kerry exigeant que pression soit faite sur Israël pour qu’il mette un terme à son "traitement systématique cruel, inhumain et dégradant » des enfants palestiniens. La lettre a été signée par 18 membres de la Chambre des Représentants, une rare rupture du silence mafieux imposé par le lobby israélien au Congrès américain.

HRW souligne que le soutien militaire américain inconditionnel envers Israël le rend complice de ces abus, violant à la fois le Pacte International relatif aux droits civils et politiques ainsi que la Convention relative aux droits de l’enfant. « Étant le plus grand fournisseur militaire d’Israël, les États-Unis devraient frapper fort pour faire cesser ces pratiques ", déclare la directrice de HRW Moyen Orient, Sarah Leah Whitson.

Malheureusement, la roue tourne beaucoup trop lentement pour les enfants palestiniens qui sont perpétuellement placés dans la ligne de mire de la machine de guerre d’Israël.
Comme Leah Whitson le souligne, « Israël a été averti pendant des années que ses forces de sécurité violent les droits des enfants palestiniens dans les territoires occupés, mais le problème persiste. » Aussi longtemps qu’Israël pourra compter sur le soutien des pays les plus puissants du monde, il continuera de violer sans complexes les droits fondamentaux des enfants palestiniens dans l’impunité la plus totale.


Technique d’étranglement arrière consistant à empêcher le renouvellement d’oxygène dans le sang en comprimant la trachée.

(Traduit par Fadoua pour CAPJPO-EuroPalestine)

Source : electronicintifada.net/blogs/rania-khalek/israel-threw-stun-grenade-11-year-old-human-rights-watch

VOUS AUSSI

* SIGNEZ LA PÉTITION CONTRE LA TORTURE DES ENFANTS PALESTINIENS : stoptortureenfantspalestiniens.wesign.it/

ET ENVOYEZ CETTE CARTE POSTALE À FRANÇOIS HOLLANDE, POUR QU’IL CESSE DE DÉROULER LE TAPIS ROUGE À DES TORTIONNAIRES D’ENFANTS


"Il y a pire qu’une âme asservie, c’est une âme habituée." Charles Péguy.

CAPJPO-EuroPalestine



mardi 28 juillet 2015

La Police de Montréal réprime une manifestation en solidarité avec le camp Unist’ot’en et les victimes récentes de brutalité policière en kidnappant des manifestants


Je partage cet article au complet par solidarité :



Le 24 juillet dernier, le SPVM a réprimé une fois de plus une manifestation pacifique et s’est attaqué à la liberté de presse. Le webdiffuseur Rick Cognyl Fournier était aux premières loges et partage ici ses observations.

La Police de Montréal réprime une manifestation en solidarité avec le camp Unist’ot’en et les victimes récentes de brutalité policière en kidnappant des manifestants 

Posté le 27 juillet, 2015 par Cognyl Fournier

Le 24 juillet, le Service de Police de la Ville de Montréal (SPVM) a réprimé une manifestation pacifique en solidarité avec le  Camp Unist’ot’en et les victimes récentes de brutalité policière www.99media.org/la-police-de-montreal-reprime-une-manifestation-en-solidarite-avec-le-camp-unistoten, en kidnappant des manifestants.

La situation au camp Unist’ot’en dans la soit-disant Colombie-Britannique (C. -B.) évolue vers une situation de haute tension.

La GRC a menacé des bénévoles du camp Unist’ot’en, alors que Chevron multiplie ses tentatives de commencer à construire le Pacific Trails Pipeline sur les territoires non cédés du peuple Wet’suwet’en.

Les Wet’suwet’en ont clairement affirmé leur opposition à ce que ce projet destructeur se construise sur leur territoire, mais les compagnies de pipelines et la GRC leur font la sourde oeille.

L’ASSASSINAT PAR LA GRC D’UN MANIFESTANT CONTRE LE SITE C PORTANT LE MASQUE DE GUY FAWKES

Une fois de plus les agents du SPVM ont agit en brutes, agissant de façon qui est moins qu’humaine; plutôt des animaux agissant comme des chiens enragés envoyés pour attaquer leurs proies. Ceux menottés de force étaient surtout des femmes, effectuant un geste pacifique de désobéissance civile en refusant d’utiliser le trottoir tel qu’ordonné par le SPVM afin d’exprimer leur mécontentement, un droit qui est commun à tous les Canadiens, tel qu’indiqué dans la Charte Québecoise et la Charte Canadienne des droits de la personne.



La police de Montréal continue à commettre une infraction criminelle, selon l’article 180 du Code Criminel du Canada en « obstruant le public durant l’exercice ou jouissance de tout droit commun à tous les Canadiens ».

Le SPVM oublie souvent que conduire n’est pas un droit commun à tous les Canadiens, c’est un droit réglementé basé sur des permis. Donc est-ce que des manifestants peuvent légalement obstruer la circulation? En bref, oui; c’est un droit protégé dans une société démocratique. Par contre, la démocracie a quittée l’île de Montréal il y a des années.

Le SPVM a obstrué la circulation pendant plus de 15 minutes en bloquant la rue afin d’accomplir un acte d’oppression politique. Les manifestants auraient simplement retardé la circulation de quelques secondes, afin de pouvoir s’exprimer. Des cônes orange et des zones de travaux de construction non terminées sur l’île obstruent définitivement plus la circulation qu’une manifestation.

Le SPVM viole les droits de la personne


L’armée israélienne pourra s’entrainer librement en Grèce


Je partage la copie complète de l'article par solidarité avec le peuple palestinien:



La Grèce vient de signer des accords de coopération avec Israel, notamment dans le domaine militaire. On voit qu’au delà des grands discours, les intérêts des peuples, dans leur pays comme ailleurs, ne sont pas la préoccupation principale des dirigeants grecs...


L’armée israélienne pourra s’entrainer librement en Grèce 

24 juillet 2015

Ci-dessous l’article de Jacques Marie Bourget, publié ce vendredi par Mondeafrique.com :

"Alexis Tsipras que l’on présente comme le damné de la terre, en tout cas de celle d’Europe, n’a pas que des ennemis. Pendant que son premier ministre ferraillait avec Angela Merkel, Panos Kammenos, le patron de la Défense, signait un accord de coopérations avec Israël.

Kammenos, ministre des armées, est au sein de gouvernement le représentant de la minorité d’appoint qui a permis à Tsipras de gouverner le pays. Kammenos est le dirigeant d’ANEL, le petit parti souverainiste des « Grecs indépendants ». Le ministre de la Défense grecque vient de se rendre en Israël où il a signé un document SOFA (Status of Forces Agreement) avec son équivalent Moshé Yaalon.

Selon ce « traité », les forces israéliennes pourront s’entrainer en Grèce et vice versa. Cet accord a vraiment un caractère exceptionnel puisque seuls les Etats-Unis ont signé un tel échange avec Israël. Yaalon a salué chaleureusement la collaboration entre la Grèce et son pays : « Nous apprécions grandement la coopération sécuritaire qui se traduit par l’entraînement de nos soldats et officiers sur le territoire grec. Nos États partagent des intérêts communs, car ils doivent faire face aux conséquences de l’accord signé la semaine dernière entre les grandes puissances et l’Iran. ».

Absolument pas pris de court Panos Kammenos a répliqué avec le même enthousiasme : « Le peuple grec est très proche du peuple d’Israël. Concernant notre coopération militaire, nos relations sont excellentes, nous continuerons à les entretenir et poursuivrons les entraînements communs. Le terrorisme et le djihad ne frappent pas que le Proche Orient, mais également les Balkans et l’Europe. C’est la guerre. Nous étions également très proches d’Israël pour tout ce qui est relatif au programme de missiles de l’Iran. Nous nous trouvons à la portée de ces missiles. Si un missile iranien se dirige vers la mer Méditerranée, cela peut signifier la fin de tous les pays de la région. »

Source : mondafrique.com/lire/international/2015/07/24/larmee-israelienne-pourra-sentrainer-librement-en-grece



Bon "entraînement" !

CAPJPO-EuroPalestine


lundi 27 juillet 2015

La religion économique


Francis Lagacé nous parle de cette nouvelle religion, l'économique.



La religion économique 

27 juillet 2015

Déjà en 1991, même un grand bourgeois comme Jacques Parizeau, à l'occasion d'un congrès régional du Parti québécois, nous mettait en garde contre la religion de l'économie. C'est dire à quel point on n'a pas besoin d'être anarchiste pour trouver que la dictature économique fonctionne avec des dogmes.

La religion économique fait en sorte que nous acceptions comme vérité révélée des affirmations qui ne reposent sur rien d'autre que la croyance ou l'habitude, par exemple qu'il faut que le PIB croisse sans cesse, que les cours de la bourse sont un indicateur de la santé d'une nation, que le privé fait mieux que le public, que la dette publique est comme la dette des ménages...

La religion économique fait que l'on écarte comme hérétique toute personne qui conteste le diktat de la rentabilité financière.

La religion économique fait en sorte que l'on nie des faits pourtant reconnus par la majorité des scientifiques, comme le réchauffement global et les changements climatiques qu'il entraîne.

La religion économique fait en sorte que l'on encense des gens qui prétendent créer de la richesse. Pourtant, il n'existe pas une telle chose que la création de la richesse. Les richesses existent dans la nature, et on se les approprie pour les transformer et s'en servir. Mais, personne ne crée de richesse.

Les « explorateurs » des temps passés, qu'on aurait tout aussi bien pu appelé des exploiteurs, avaient quand même l'humilité de ne pas prétendre être les créateurs des richesses qu'ils captaient dans les pays qu'ils allaient coloniser.

Sondage après sondage, les populations humaines confirment que leurs plus grandes richesses sont la santé et le temps dont elles peuvent disposer ainsi que la famille avec qui elles peuvent passer ce temps.

La sagesse autochtone nous dit : « Quand ils auront coupé le dernier arbre, pollué le dernier ruisseau, pêché le dernier poisson, alors ils s’apercevront que l’argent ne se mange pas. »

Il y a des gens qui s'enrichissent, ils ne créent pas de richesse. Si on vous disait qu'il faut rendre grâce aux gens qui s'enrichissent, ça serait pas mal moins sexy que de féliciter ceux qui créent de la richesse, n'est-ce pas ? Mais, ce serait plus exact.

La religion économique fait croire aux travailleuses et aux travailleurs que ce sont leurs employeurs qui les font vivre alors que ce sont elles et eux qui font vivre les employeurs.

La religion économique nous fait accepter des concepts fumeux comme la « saine gestion ». C'est sûr que c'est bon, ça le dit, c'est une gestion saine. Comme dans les années 50, on ne pouvait pas contester le bon Dieu, c'est sûr, il est bon, alors on ne peut être contre lui. On peut pourtant décider nous-mêmes de ce qui est sain et de ce qui est bon.

La religion économique ordonne de consommer toujours plus de nouveaux gadgets pour stimuler l'économie.

La religion économique condamne les personnes qui ne sont pas « productives » comme si elles étaient des parasites. Les artistes fauchés, les retraités, les handicapés, les assistés sociaux ont pourtant beaucoup plus à nous apprendre que les champions investisseurs.

La religion économique fait passer la production et le profit avant la santé, le temps et les gens.

LAGACÉ, Francis





Oui effectivement Montréal est sûrement drôle.


Ma pensée, ma réflexion.


AGRANDIR

Voici l'affiche qui m'a porté vers cette réflexion.

Oui effectivement Montréal est sûrement drôle. 

Par Sergio de Rosemont

Oui effectivement Montréal est sûrement la ville la plus drôle qui soit !

Drôle dans le bon sens ?

Une ville où on avait élu comme maire un dénommé Pierre Bourque qui gérait la ville comme s'il s'agissait que d'un gigantesque jardin botanique et qui des fois semblait déconnecté de la réalité.

Il est vrai qu'il était un ancien administrateur du Jardin Botanique et il faut dire que son surnom de "Géranium 1er" lui allait bien à l'occasion tellement qu'il pouvait paraître empoté.

Et il aimait bien aussi fleurter avec la droite.

Après ca on aurait pu espérer que les montréalais aient compris le message.

Et non, on a élu un ancien ministre du gouvernement libéral de Robert Bourassa en la personne de Gérald Tremblay qui aimait bien jouer dans des magouilles tout en nous répondant:

{ Ah,....j'l'savais pas ! }

Un maire qui fut forcé de démissionner à cause de scandales.

Encore là on aurait pu espérer que les électeurs montréalais comprennent la leçon.

Et non encore une fois quelle déception, nous voici aux prises avec Denis Coderre.

Denis Coderre un maire qui dit être pour la création de plus de logements sociaux et pourtant envoi avec empressement les forces de l'ordre lorsqu'un camp des mal logéEs s'installe.

Oui faire démonter le camps d'une façon méprisante au lieu de venir discuter.

Denis Coderre qui se dit préoccupé par les problèmes donc doivent faire face les itinérants et qui pourtant par ses décisions a tendance à vouloir les tasser au lieu de les aider.

Ah oui c'est vrai j'oubliais des itinérants c'est moins vendeurs touristiquement.

Où on préfère les tasser là où ils sont moins visibles au lieu de vraiment les aider à régler leurs problèmes.

La seule consolation c'est qu'on peut dire que le système électoral désuet que nous utilisons

En espérant que les montréalais comprendront que si nous désirons avoir un maire et une administration qui respectent les citoyens, qui serait pertinent de forcer les partis impliqués en politique municipale montréalaise à appuyer instauration d'un mode de scrutin proportionnel pour Montréal.

Et dire que le parti "Projet Montréal" l'avait dans son programme et à l'image du PQ, l'a envoyé dans le 13ème tiroir, et a fait passer les intérêts du parti avant ceux de la population.

Peut-on appeler ca respecter la volonté de la population ?

NON !

VRAIMENT PAS !

Mais avouez tout de même que des fois lorsqu'on regarde les décisions prises au niveau municipal et au niveau des arrondissements qu'on pourrait dire que nous avons une drôle de ville mais munie d'un humour de mauvais goût !

dimanche 26 juillet 2015

Exploit : dans son micro-jardin, Joseph produit 300 kilos de légumes


J'attire votre attention sur cet article car il démontre une fois de plus la pertinence de l'agriculture urbaine.





Le jardin de Joseph, à Sotteville-lès-Rouen, le 10 juillet 2015 (Thibaut Schepman/Rue89)

Exploit : dans son micro-jardin, Joseph produit 300 kilos de légumes 

25/07/2015 à 17h00

Pour rentabiliser chaque mètre carré de son petit jardin, Joseph a dû multiplier les astuces. Il a réussi à y caser un potager, un verger, une mare et une serre, et à y faire pousser une centaine de fruits et légumes différents.

 (De Sotteville-lès-Rouen, Seine-Maritime)  Un coin de gazon, quelques rangs de légumes, une petite serre. Vu de la rue, on pourrait croire qu’on passe devant un jardin comme un autre, cultivé depuis quelques décennies par un gentil papi consciencieux. On aurait tout faux.

Joseph Chauffrey et sa compagne ont emménagé à Sotteville-lès-Rouen – à quelques minutes en métro du centre-ville de Rouen (Seine-Maritime) – il y a quatre ans. A l’époque, ils étaient presque néophytes et une bonne partie du jardin actuel était bitumée.

Depuis, cet espace de 150 m² est devenu un micro-jardin hyper-productif.

On y trouve un potager de 25 m2, un verger de 10 m2 mais aussi une mare et une serre minuscules.

En 2014, 252 kilos de plus d’une centaine de fruits et légumes différents ont été récoltés ici.

Suffisant pour que Joseph et sa compagne – qui pèsent consciencieusement chaque récolte – n’achètent quasiment plus aucun légume.

En 2015, Joseph pense passer la barre des 350 kilos de production. Et bien plus encore les années suivantes, quand les arbres fruitiers auront atteint une taille adulte. Le tout en consacrant « pas plus de dix heures par semaine au maximum au jardin ».

DOCUMENT TÉLÉCHARGEABLE ( Suivi potager ) :
rue89.nouvelobs.com/document/2015/07/suivi_potager.pdf


LA SUITE ICI

L’obsolescence programmée, symbole du gaspillage, est désormais punie par la loi


Malheureusement je ne crois pas qu'ici au Québec que les 3 partis majeurs néolibéraux ( PLQ, PQ, CAQ ) aient le courage et la volonté de mettre en vigueur une telle loi.



La notion d'obsolescence programmée oscille entre mythe et réalité, mais certains exemples sont assez parlants © illustration AFP STR

L’obsolescence programmée, symbole du gaspillage, est désormais punie par la loi 

Publié le 24/07/2015 à 14h10, modifié le 25/07/2015 à 13h58 par Alexandra Tauziac

Réduire volontairement la durée de vie des produits pour inciter le consommateur à acheter toujours plus est désormais puni par la loi en France

Votre lave-linge rend l'âme sans crier gare, impossible de trouver une batterie pour remplacer celle de votre smartphone, votre logiciel n'est plus compatible avec votre appareil. La fatalité ? Ou peut-être est-ce que l'on appelle l'obsolescence programmée, un mal très actuel qui oscille souvent entre mythe et réalité. C'est en tout cas désormais un délit puni "d'une peine de deux ans d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende" , ce montant pouvant même être porté à 5 % du chiffre d'affaire annuel réalisé en France.

Cette disposition fait partie de la loi sur la transition énergétique, adoptée définitivement par le Parlement mercredi. Pour rendre toutes ces mesures opérationnelles rapidement, les premiers décrets d'application seront publiés dès la rentrée 2015, a promis Ségolène Royal.

Selon le texte adopté, "l'obsolescence programmée se définit par l'ensemble des techniques par lesquelles un metteur sur le marché vise à réduire délibérément la durée de vie d'un produit pour en augmenter le taux de remplacement." En revanche, dans cette version, la liste des fameuses "techniques" n'apparaît plus. Dans sa première version, le texte précisait qu'il pouvait s'agir de "l'introduction volontaire d'une défectuosité, d'une fragilité, d'un arrêt programmé ou prématuré, d'une limitation technique, d'une impossibilité de réparer, en raison du caractère indémontable de l'appareil ou de l'absence de pièces détachées essentielles au fonctionnement de ce dernier, ou d'une incompatibilité". Tout cela a disparu, donnant lieu à une définition plus large et plus sujette à débat en cas de litige.


samedi 25 juillet 2015

François William Croteau, maire de l'arrondissement Rosemont-Petite-Patrie: Nous vous demandons de faire affaire avec la SPCA au lieu du Berger Blanc


le programme de la SPCA CSRM (capturer, stériliser, relâcher et maintenir) est LA SOLUTION.



François William Croteau, maire de l'arrondissement Rosemont-Petite-Patrie: Nous vous demandons de faire affaire avec la SPCA au lieu du Berger Blanc 

Créée par Myriam H. Canada

Destinataire: François William Croteau, maire de l'arrondissement Rosemont-Petite-Patrie

Publiée Juillet 21, 2015

Pourquoi c'est important

Monsieur Le Maire de RPP,

Le problème de surpopulation de chats errants dans Rosemont-Petite-Patrie est alarmant et pour pouvoir remédier à ce fléau d'une façon humaine, le programme de la SPCA CSRM (capturer, stériliser, relâcher et maintenir) est LA SOLUTION. Le Berger Blanc n'est pas un organisme à but non lucratif contrairement à la SPCA, et privilégie l'euthanasie.

C'est pourquoi nous vous demandons de changer l'organisme avec qui vous faites affaire, puisque les arrondissements sont libres de décider à quel organisme ils donnent juridiction sur leur territoire. Beaucoup de citoyens de Rosemont-Petite-Patrie n'attendent que ça pour avoir accès au programme CSRM (capturer, stériliser, relâcher et maintenir) de la SPCA qui consiste à capturer les chats errants, les stériliser, vacciner et vermifuger pour ensuite les remettre en liberté, freinant ainsi la surpopulation.

Je vous prie d'agréer, Monsieur Le Maire, mes plus sincères salutations.

Myriam Hince
Résidente de RPP


www.spca.com/?page_id=5371&lang=fr

Signez la pétition

Nous vous demandons de faire affaire avec la SPCA au lieu du Berger Blanc

Allocution du RIOCM à la Biennale du développement social de Montréal




Allocution du RIOCM à la Biennale du développement social de Montréal 

21 juillet 2015

Allocution de Sébastien Rivard, coordonnateur du RIOCM, dans le cadre de la Biennale du développement social de Montréal

3 juin 2015

Selon la définition de 1998 du Conseil de la santé et du bien-être du Québec, le développement social fait référence à la mise en place et au renforcement, au sein des communautés, dans les régions et à l’échelle de la collectivité, des conditions requises pour permettre, d’une part, à chaque individu de développer pleinement ses potentiels, de pouvoir participer activement à la vie sociale et de pouvoir tirer sa juste part de l’enrichissement collectif, et, d’autre part, à la collectivité de progresser, socialement, culturellement et économiquement, dans un contexte où le développement économique s’oriente vers un développement durable, soucieux de justice sociale. Dans cette optique, le développement social, tout comme le développement économique et le développement culturel, sont des dimensions interdépendantes et complémentaires d’un projet de société.

Cette définition correspond tout à fait à la mission des organismes communautaires qui participent au jour le jour à l’amélioration des conditions de vie de dizaines de milliers de personnes dans les communautés de Montréal. À Montréal seulement, il y a environ  700 organismes communautaires reconnus par les ministères et 6 000 personnes qui y travaillent, en plus des bénévoles. Un milieu très largement féminin. Dans plusieurs domaines, les organismes sont la principale ressource d’aide pour la population. Ils viennent principalement en aide aux 20 % de la population vivant sous les seuils de faible revenu.

Cependant, les organismes communautaires, bien que remplis de bonne volonté, ne peuvent et ne pourront soutenir seuls la population. Les mesures d’austérité mises en place récemment, en coupant dans des services publics essentiels et dans certains programmes, nuisent non seulement à la lutte à la pauvreté, mais également au développement de notre ville et de tout le Québec. Il faut souligner que les mesures d’austérité touchent encore plus durement les femmes, qui sont très majoritairement la main d’œuvre et les bénéficiaires des programmes sociaux.

En réponse à la question « à qui appartient le développement social? », le principal acteur du développement social est malheureusement pratiquement absent de notre biennale et c’est, selon nous, le gouvernement du Québec, car il détient les principaux outils pour redistribuer la richesse. Nous ne croyons pas qu’il faut baisser les bras devant le programme d’austérité, car la crise des finances publiques est le résultat d’un déséquilibre fiscal qui peut être corrigé avec un peu de volonté politique.

Allons-nous accepter encore longtemps qu’une personne sur cinq soit pauvre dans la métropole? Est-ce devenu un niveau confortable? Acceptable? Des questions graves qui ont été posées ici.

Si nous voulons que toutes et tous puissent participer au développement de Montréal et que celui-ci soit réellement durable et orienté vers la justice sociale, nous devrons poursuivre nos actions sur le terrain pour soulager la pauvreté. Mais nous devons surtout unir nos forces pour faire en sorte que les gouvernements de tous les niveaux s’y investissent davantage en supportant des politiques publiques adéquates.

Nous saluons à ce titre la lettre conjointe du 11 mars dernier, parue dans Le Devoir, de plusieurs fondations, dont celle de M. Chagnon ici présent, qui nous mettaient en garde contre les effets délétères de la rigueur budgétaire.

Quant aux entreprises, nous croyons qu’elles ont un rôle à jouer pour faire un lien entre développement économique et justice sociale. En ce sens, pourquoi ne pas s’inspirer du mouvement pour le « Minimum Wage » aux États-Unis, qui a connu des succès dans 4 États et deux villes importantes. À San Francisco, le salaire minimum sera de 15 $ l’heure en 2018. Pourquoi pas à Montréal? En passant, avec le taux de change actuel, cela donnerait 18,70 $ canadiens!

La Biennale du développement social a été un exercice intéressant d’échanges entre des acteurs de différents réseaux. Nous soulignons particulièrement les ateliers d’inspiration qui ont amené des visions complémentaires venues du local et de l’international. Les organisations présentes n’ont pas nécessairement les mêmes orientations, mais nous avons toutes et tous à cœur l’amélioration de la situation de notre métropole et de toute sa population. Espérons que nous développerons une meilleure cohésion, ce qui assurera un plus grand rayonnement de la métropole.

Finalement, nous offrons au Maire Coderre, à Madame Vallée et à toute l’administration municipale, notre entière collaboration pour l’aider à faire progresser le développement social de notre ville et faire en sorte que son message soit entendu jusqu’à Québec et Ottawa.

Je prends ici devant vous l’engagement de tout faire pour que les organismes communautaires puissent continuer de jouer leur rôle et de participer encore plus activement au développement social de Montréal.

Ensemble, nous sommes capables de beaucoup. Faisons en sorte que nous donnions à toutes et tous les outils et ressources nécessaires pour que notre créativité s’exprime, sur notre coin de rue, dans nos quartiers et dans toute la métropole.

Plateforme de revendications communes 2013

Montréal (Québec) H2J 1W8
Téléphone : 514-277-1118
Télécopieur : 514-277-2333
Courriel : nfo@riocm.ca


INFORMATION PRISE ICI
www.riocm.ca/allocution-du-riocm

vendredi 24 juillet 2015

Le comité régional de Montréal du MDN à l'oeuvre.


Mon vidéo et mes photos de l'événement sont à la suite de l'article.


Le comité régional de Montréal du MDN à l'oeuvre. 

Par Sergio de Rosemont

Effectivement ce mercredi 22 juillet 2015 à 9h Maxime Jean-Christophe et Simon du comité régional de Montréal du "MDN Mouvement Démocratie Nouvelle" s'étaient donné rendez-vous sur le rue Ste-Catherine question de parler démocratie et mode de scrutin avec les citoyens.

Cette activité est dans le cadre de la campagne "Meilleure Démocratie".

Ces citoyens qui deviennent à chaque élection des électeurs.

Ils ont commencé leur activité de contact avec le public à la "Place des festivals" sur la rue Ste-Catherine proche de la "Place des arts".

Par la suite ils ont descendu la rue Ste-Catherine vers l'Est.

Je les ai rejoint vers 13h15 au métro Beaudry et je les ai suivi à titre de photographe.

Les citoyens pouvaient laissé leur adresse courriel afin que le "MDN Mouvement Démocratie Nouvelle" puisse leur envoyer un lien question de leur parmettre de s'inscrire eux-même à la liste d'envois du "MDN Mouvement Démocratie Nouvelle".

Minimum 30 personnes ont laissé leur adresse courriel.

Oui l'événement fut un succès !

Oui il faut parler avec les citoyens question de démontrer la désuétude de notre mode de scrutin actuel qui est incapable de respecter la volonté du peuple, des électeurs.

Mais aussi parler avec les citoyens pour leur démontrer la pertinence, la nécessité de se doter d'un mode de scrutin proportionnel où chaque vote compte.

Il est plus que temps que nous nous dotions d'un mode de scrutin qui soit au service des citoyens, des électeurs et non pas au service des politiciens.

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POUR PLUS D'INFORMATION:


Le MDN Mouvement Démocratie Nouvelle est un mouvement non partisant prônant un mode de scrutin proportionnel mixte et compensatoire qui rattaché à aucun parti politique.

MEILLEURE DÉMOCRATIE
 meilleuredemocratie.com

MDN MOUVEMENT POUR UNE DÉMOCRATIE NOUVELLE  
www.democratie-nouvelle.qc.ca

MDN MOUVEMENT POUR UNE DÉMOCRATIE NOUVELLE SUR FACEBOOK
  www.facebook.com/DemocratieNouvelle

MDN MOUVEMENT POUR UNE DÉMOCRATIE NOUVELLE SUR TWITTER  
twitter.com/#!/MDNinfo


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VOICI MON VIDÉO DE L'ÉVÉNEMENT:

Voici le Comité régional de Montréal du MDN Mouverment Démocratie Nouvelle à l'oeuvre

Voici le Comité régional de Montréal du MDN Mouverment Démocratie Nouvelle à l'oeuvre

Ce mercredi 22 juillet 2015 le Comité régional de Montréal du MDN Mouverment Démocratie Nouvelle était à l'oeuvre sur la rue Ste-Catherine question d'échanger avec citoyens sur la pertinence de changer de mode de scrutin et d'adopter un mode de scrutin proportionnel mixte compensatoire.

Votre hôte Sergio de Rosemont est allé rejoindre l'équipe bénévole du Comité régional de Montréal du MDN Mouverment Démocratie Nouvelle.

L'événement fut un succès plusieurs citoyens ont donné leur adresse courriel pour recevoir le lien pour qu'ils puissent s'abonner à la liste d'envois de la campagne Meilleure Démocratie  
www.youtube.com/watch?v=rjSWP9jTvWo&feature=em-upload

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VOICI MES PHOTOS DE L'ÉVÉNEMENT:

P.S: Vu que pour l'instant je met mes photos sur Facebook et vu que Facebbok aime bien à l'occcasion changer l'adresse URL des photos, en cas où que d'un tel changement à mes photos voici l'adresse de mon article en version Facebook :
  www.facebook.com/sergio.derosemont/media_set?set=a.1194806510545136
 

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Maxime, Jean-Christophe et Simon se préparant à repartir sur la marche sur la Ste-Catherine.


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Maxime échangeant avec une citoyenne.

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Un citoyen laissant son adresse courriel à Jean-Christophe.


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Oui plusieurs citoyens on laissé leurs coordonnées aux bénévoles du MDN.


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Un citoyen satisfait de son échange avec Maxime.


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Simon donnant de l'information sur le mode de scrutin proportionnel à un citoyen.


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Une citoyenne laissant son courriel à Jean-Chritophe.


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Une petite photo souvenir de votre hôte Sergio de Rosemont avec Maxime, Jean-Christophe et Simon du comité régional de Montréal du "MDN Mouvement Démocratie Nouvelle".