jeudi 29 juin 2023

Parfois ce qui nous semble immortel

 

Mon plus ressent poème

Parfois ce qui nous semble immortel


Par Sergio de Rosemont

Parfois ce qui nous semble immortel ne l’est pas.

Parfois ce qui nous semble immortel s’éteint au moment où on s’y attend le moins.

Voilà que certaines choses doivent être faites comme si c’était la dernière fois de notre vie qu’on le fait.

Car on sait jamais quand ca sera la dernière que nous le ferons.

Non il ne faut pas se fier aux apparences, parfois ce qui nous paraît immortel est très mortel !

mercredi 28 juin 2023

True Love

 

Voici ma pensée matinale que je partage avec vous.

True Love


Par Sergio de Rosemont

J’entre dans mon café préféré pour y prendre mon thé matinal.

Un thé pour tenter de me rendre un peu plus tolérable la douleur de ce coup de dague dans l’âme.

Et voilà que je remarque qu’il y a une femme installée à une table lisant ce que je crois être un roman ayant comme titre "True Love".

Quel hasard, moi qui suis encore dans ce cyclone émotionnel dans ma tête, mon cœur et dans mon âme.

Et les questions qui me viennent alors en tête à la vue du titre du livre sont :

{ Combien comprennent vraiment ce qu’est l’Amour Vrai ? }

Et

{ Combien ne le respectent pas en cherchant à le détruire lorsqu’il est entre 2 âmes qui s’aiment ? }

Et souvent la Vipère Mielleuse qui injecte son venin dans cet amour vient de la famille.

P.S : j’avoue n’avoir jamais lu ce roman, c’est le titre du livre qui a attiré mon attention.

mardi 27 juin 2023

Elle m’avait demandé

 

Ce poème me fut douloureux à écrire

Elle m’avait demandé


Par Sergio de Rosemont

Elle m’avait demandé si je l’aimerais toujours lorsqu’elle sera vieille.

Je lui avais répondu que oui je l’aimerais pour toujours.

Et quand je lui avais répondu, c’est avec mon âme et mon cœur que je lui avais répondu.

À ce moment où je mets sur papier ce souvenir, le cœur me serre de douleurs.

Non on ne verra pas de larmes sur mon visage.

Les larmes me coulent à l’intérieur de mes entrailles et ce sont des larmes d’acide brulant mon âme et mon cœur dans une douleur intense.

J’avais un Ange,… Maintenant j’ai perdu mon Ange.

Parfois mon corps, mon âme ont le souvenir de la sensation de sa main dans la mienne.

Pourquoi quand deux âmes sont heureuses ensemble, faut-il que certain.e.s comme des vipères viennent sournoisement injecter leur venin dans l’esprit de l’une des deux âmes ?

Désolé si j’écris et partage ce texte, mais c’est la seule façon que mon âme et mon cœur ont d’évacuer cette douleur morale qui me brûle de l’intérieur comme une balle de larve en fusion tournoyant à l’intérieur de mes entrailles.

Pourquoi ces Vipères Mielleuses aiment tant vomir leur venin dans l’esprit des âmes heureuses ?

Pourquoi ?

Pourquoi ?

Oui pourquoi ?

Car tout doit répondre à leurs normes ?

Pourquoi ?

Par ce que lorsque ces vipères intoxiquent l’Amour, elles se sentent vivantes ?

Pourquoi ?

Pourquoi ?

Oui pourquoi ?

dimanche 25 juin 2023

Les blessures dans l’âme sont les plus douloureuses.

 

Mon plus récent poème

Les blessures dans l’âme sont les plus douloureuses.


Par Sergio de Rosemont

Les blessures dans l’âme sont les plus douloureuses et souvent, ont les ressent pour le reste de notre vie.

Et leurs cicatrices même guéries peuvent ouvrir de nouveau dans certaines épreuves et redevenir aussi douloureuses.

Évidemment les trahisons par ceux que nous aimions sont les plus douloureuses pour l’âme.

Comme une dague qu’on vous plante direct dans l’âme.

Et quand on tente d’influencer l’être que vous aimez en salissant votre image, ce coup de dague dans l’âme fait encore plus mal.

Et quand la ou les personnes qui tiennent la dague sont des personnes que vous aimiez et en qui vous aviez mis votre confiance, alors la douleur morale est atroce.

Très atroce !

vendredi 23 juin 2023

Le bouton marche/arrêt

 

Parlons intelligence artificielle avec Francis

Le bouton marche/arrêt

19 juin 2023

On répète à l’envi que l’intelligence artificielle n’est pas un outil comme les autres parce qu’elle prend des décisions.

Il y a pourtant longtemps que notre autonomie a cédé le pas à certains algorithmes. Déjà dans la première décennie des années 2000, Toyota recevait d’innombrables plaintes à la suite des accidents causés par les décisions erratiques de son système de contrôle de freinage et d’accélération.

Justement, les automobiles n’ont-elles pas complètement changé notre paysage ? Au point qu’elles ont structuré la façon de vivre en Amérique du Nord : les feux de circulation, les banlieues avec l’étalement urbain, la vie en bungalow, les centres commerciaux, les hypermarchés, les autoroutes, certaines congestionnées, d’autres désertes, les arroseurs d’asphalte qui veulent une cour propre au détriment de notre eau potable, etc.

Il ne manque pas d’inventions pour transformer notre mode de vie, mais plus elles sont complexes, plus les conséquences sont grandes sur nos sociétés comme sur nos vies individuelles. C’est pourquoi la meilleure assurance de notre priorité sur les machines reste le bouton marche/arrêt que l’on devrait pouvoir actionner à volonté.

C’est un problème quand les appareils qui sont connectés 24 heures sur 24 ont la possibilité de transformer le contenu des données qu’ils renferment. L’électricité sans panne, c’est bien pour maintenir le chauffage ou l’air climatisé, mais le téléphone branché en permanence devient intrusif en nous réveillant à des heures indues si on n’a pas la sagesse de l’éloigner de l’oreiller. En plus, il nous soumet à d’étranges surprises quand les applications mises à jour automatiquement incluent des extensions imprévues.

Les cellulaires envoient de faux messages d’alerte au 911 lorsque leur propriétaire est dans un manège qui lui fait subir des mouvements brusques, ce qui contribue à engorger ce service. C’est donc que ces appareils sont en mode silencieux ou même veille, mais pas complètement éteints comme ils devraient l’être quand on est dans une salle de spectacle, en train de suivre un cours ou dans une fête foraine.

Toutes les personnes qui ont utilisé Facebook savent qu’elles seront envahies de publicités basées sur leur navigation dans Internet (à moins d’avoir installé F. B. Purity).

Il suffit de lire L’âge du capitalisme de surveillance de Shoshana Zuboff pour comprendre comment les appareils connectés servent surtout à s’assurer que l’homo consumeris ne quitte pas le droit chemin de la consommation exactement comme le petit catéchisme d’autrefois permettait de maintenir le fidèle dans la bonne voie.

Le problème est toujours le même avec les technologies : une personne humaine doit valider les décisions. Je l’ai déjà écrit dans mon billet sur le robot conversationnel, sauf pour la surveillance vidéo, ce qui n’est pas ma tasse de thé, les appareils ne devraient pas nous connecter 24 heures sur 24.

Croire qu’on a besoin d’une application pour nous dire comment gérer son compte en banque, c’est croire en la magie. Or, la technologie n’a rien de magique et elle ne remplacera jamais le bon sens.

Vous voulez peut-être d’un réfrigérateur intelligent qui vous préviendra quand vos tomates vieillissent et vous proposera vos menus, mais d’autres se contentent de faire leur marché tous les jours après avoir fait le tour de ce qu’il y a dans le frigo, ce qui a comme conséquence de n’acheter que ce qui est nécessaire et de ne jamais jeter d’aliments, sauf lorsqu’à l’ouverture du paquet on constate que, malgré la date de péremption éloignée, le produit est moisi ou pourri.

C’est sûr, cette dernière solution exige que vous accordiez plus d’importance au temps d’arrêt, et que vous ne soyez pas engagé·e dans la course folle au travail et à la consommation. Tous n’ont pas ce loisir. Encore moins la mère monoparentale débordée ; elle n’a certainement pas les moyens d’avoir un frigo connecté. Celle qui les possède a aussi une bonne pour faire le tour de son frigo le matin.

Le robot conversationnel n’est pas l’intelligence artificielle, il en fait usage. Pour l’instant, il n’a pas d’initiative, sauf si on tarde à lui poser des questions. Il demande alors si on a encore besoin de ses services. Il est toujours muni du bouton marche/arrêt, car on peut s’en déconnecter en tout temps. Là, où ça devient embêtant, c’est lorsque les enthousiastes de la technologie voudront que la machine soit branchée en permanence et qu’elle prenne des initiatives. Iels deviendront alors au service celleux qui nous vendent ces machines, c’est-à-dire du technocapitalisme.

Que l’intelligence artificielle pose des diagnostics médicaux et propose des traitements est aussi problématique lorsqu’on sait que la moitié de la guérison (quand cette guérison est possible) consiste en l’écoute que les personnes soignantes apportent aux malades. Juste le fait de savoir qu’un être humain offre une oreille attentive aux problèmes que l’on explique est une grande partie de la thérapie elle-même, et c’est le drame de la médecine moderne de ne l’avoir toujours pas compris, ce qui apporte de l’eau au moulin de certaines approches alternatives pas toujours à la hauteur.

Rappelons que l’intelligence artificielle est mécanique et non inventive, reproductive mais pas innovatrice (elle sera un excellent faussaire) et qu’elle ne devrait jamais prendre de décisions qui affectent négativement le principe de bien-être tel qu’il a été développé dans la Déclaration de Montréal sur l’IA responsable. Et, encore une fois, pour que cela puisse être vérifiable, il faut qu’un service ou un système d’IA soit toujours doté du bouton marche/arrêt.

Francis Lagacé

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SITE DE FRANCIS LAGACÉ

Tuer la magie dans le merveilleux

 

Mon plus récent poème

Tuer la magie dans le merveilleux.


Par Sergio de Rosemont

Tuer la magie dans le merveilleux.

Tuer la magie dans le bonheur.

Tuer la magie dans l’espoir.

Tuer la magie dans l’amour.

Tuer la magie dans la vie que pour survivre.

La magie c’est la saveur du merveilleux, du bonheur, de l’espoir et de l’amour.

Parfois certaines personnes semblent prendre plaisir à tuer, effacer la magie dans la vie des autres.

Exemple deux personnes sont heureuses ensemble, la magie fonctionne entre eux, une ou des personnes tenteront de tuer le côté magique entre eux.

Comme s’il y aurait l’obligation que cette magie entre ces deux êtres réponde à leurs normes à eux.

Pourtant cette magie d’amour entre ces deux personnes ne les regarde absolument pas !

Et quand cela vous arrive, le sentiment qui vous habite est celui de s’avoir fait voler votre bonheur, votre droit au bonheur.

Comme si cette ou ces tiers personnes pourraient décider que vous n’avez pas le droit d’être heureux, que vous n’avez pas le droit d’aimer une personne car cela ne répond pas à leurs petites normes personnelles, à leurs petits caprices d’égo-trip !

mercredi 14 juin 2023

Parfois lorsque tout est détruit

 

Ma pensée, mes sentiments mon poème que je partage avec vous.

Parfois lorsque tout est détruit


Par Sergio de Rosemont

Parfois lorsque tout est détruit et que l’on pense que tout est fini.

Parfois avec la volonté et le désir on peut reconstruire ce qui a été détruit.

Je ne dis pas que c’est facile, je dis que c’est réalisable.

Il s’agit surtout de croire en soi et de vouloir.

Je ne dis pas qu’on réussira toujours du premier coup.

Il peut arriver parfois que l’on ne réussisse pas.

Quand on ne réussis pas, prendre le temps d’analyser, qui sait des fois qu’on comprendrait pourquoi ca n’a pas fonctionné et quoi changer.

Rien ne renaît sans volonté, sans désir.

Ce qui a été détruit avec quelqu’un peut renaître avec quelqu’un d’autre !

mardi 13 juin 2023

Quand la tempête frappe

 

Mon plus récent poème

Quand la tempête frappe


Par Sergio de Rosemont

Quand la tempête frappe dans notre vie.

Quand la tempête frappe dans notre âme.

Comme un cyclone frappant et déstabilisant notre bonheur.

Lorsqu’on se sent comme un moineau prit au cœur de la tornade des mauvais coups du destin essayant de se trouver une branche où se poser en espérant pouvoir ressentir de nouveau la paix dans son âme.

Lorsqu’on ressent comme un tsunami venant frapper le mur de notre émotionnel.

Quand quelques événements négatifs vous donnent la sensation qu’une pluie torrentielle a transformé le jardin de votre bonheur en marécage.

Alors il faut se dire qu’il ne peut pas toujours pleuvoir et que le beau temps va sûrement revenir.

Et tel un Phénix alors, on renaîtra de nos cendres morales !

dimanche 11 juin 2023

Parfois lorsque les bons souvenirs nous font mal.

Mon plus récent poème inspiré du passé, ce n’est qu’un poème.

Parfois lorsque les bons souvenirs nous font mal.

Par Sergio de Rosemont

Parfois lorsque les bons souvenirs nous font mal.

Lorsqu’ils nous rappellent un être cher à notre cœur, à notre âme.

Lorsqu’ils nous rappellent ces moments de joie et de bonheur avec l’être cher à notre cœur, à notre âme, à cet être cher qui n’est plus là.

Cet être cher qu’on ne peut plus tenir par la main, par la taille, dans nos bras.

Cet être cher qu’on ne peut plus embrasser.

Oui parfois les bons souvenirs nous font mal, très mal.

Comme parfois la mémoire du cœur peut être un bourreau cruel !

mercredi 7 juin 2023

Si tu ressens.

 

Mon poème, ma réflexion que je partage avec vous.

Si tu ressens.


Par Sergio de Rosemont

Si tu ressens que t’as besoin d’un verre ou d’une substance quelconque pour te sentir un homme ou une femme.

Si tu ressens que t’as besoin d’un verre ou d’une substance quelconque pour te sentir capable d’avoir du courage dans la vie.

Si tu ressens que t’as besoin d’un verre ou d’une substance quelconque pour te sentir le courage de dire ce que t’as sur le cœur.

Si tu ressens que t’as besoin d’un verre ou d’une substance quelconque pour te sentir capable de sociabiliser.

Si tu ressens que t’as besoin d’un verre ou d’une substance quelconque pour avoir le courage de vivre.

Vivre et non pas survivre.

Alors il est peut-être temps que tu prennes le temps de réfléchir sur toi-même car peut-être que t’as un problème que tu ne veux pas reconnaître.

lundi 5 juin 2023

Allez enfonces toi dans tes brumes.

 

Mon plus récent poème.

Allez enfonces toi dans tes brumes.


Par Sergio de Rosemont

Allez enfonces toi dans tes brumes dans ton brouillard.

Allez enfonces toi dans tes brumes afin d’oublier que tu existes.

Allez enfonces toi dans tes brumes afin d’oublier que tu vie.

Allez enfonces toi dans tes brumes afin d’oublier ton passé.

Allez enfonces toi dans tes brumes afin d’oublier ton présent.

Allez lève la ta bouteille et régale toi de cette insouciance.

Oui cette bouteille donc tu crois qu’elle te permet, t’autorise de dire tout, tout en te déchargeant de la responsabilité de tes mots, de tes maux.

Cette bouteille ce breuvage d’illusion qui te fait croire que tu t’élèves au-dessus de tout alors que tu t’enfonces dans l’abîme de ta brume, de ton brouillard.

Allez lève cette bouteille afin de te croire maître du monde alors que tu n’es même pas maître de toi-même.

Allez lève cette bouteille pour oublier qui tu es !

Allez lève cette bouteille pour oublier ta réalité !

Oui tu lèves ta bouteille pour t’oublier, oublier ta réalité, mais hélas t’en oublis même que parfois, souvent que tu en es toxique pour les autres avec ton attitude !

Allez lève cette bouteille afin de tenter de dissoudre une certaine culpabilité, te demandant peut-être pourquoi personne ne semble pouvoir t’aider.

Je crois que tu as oublié que pour que d’autres puissent t’aider, qu’il faut d’abord que tu veuille t’aider toi-même !