vendredi 29 mars 2019

Nous nous sommes retrouvé à la station de métro St-Laurent pour dire NON AU RACISME !


Voir les photos suite à mon article

Il n'y a pas de place au Québec pour le racisme, la xénophobie et l'islamophobie, qu'on se le dise !


Nous nous sommes retrouvé à la station de métro St-Laurent pour dire NON AU RACISME ! 

Par Sergio de Rosemont

Nous nous sommes retrouvé à la station de métro St-Laurent pour dire NON AU RACISME !

Ce dimanche 24 mars 2019 à 14h, nous étions des centaines à s'avoir donné rendez-vous pour la "Manifestation contre le racisme et la xénophobie ici et ailleurs ".

"Palestiniens et Juifs Unis PAJU" avait répondu PRÉSENT à l'invitation.

SITE DU PAJU MONTRÉAL
  www.pajumontreal.org/

Plusieurs militantEs de Québec solidaire avaient répondus à l'appel.


Notre message est qu'il n'y a pas de place pour le racisme et la xénophobie.

Par la suite les militantEs ont marché jusqu'au Complexe Guy-Favreau.

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VOICI LES PHOTOS :

P.S: Vu que pour l'instant je met mes photos sur Facebook et vu que Facebook aime bien à l'occasion changer l'adresse URL des photos, en cas où qu'un tel changement surviendrait à mes photos voici l'adresse de mon article en version Facebook :
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J'aime ce chandail !


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Les militantEs commencent à arriver.


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Mes 2 amis solidaires André Querry et François Saillant.


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On prépare la bannière de tête.


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"Palestiniens et Juifs Unis PAJU" avait répondu PRÉSENT à l'invitation.

SITE DU PAJU MONTRÉAL
 www.pajumontreal.org/
 

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Nous sommes de plus en plus nombreux.


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Mon amie la militante Hanan.


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"Palestiniens et Juifs Unis PAJU" avait répondu PRÉSENT à l'invitation.

SITE DU PAJU MONTRÉAL
 www.pajumontreal.org/
 

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Une photo souvenir avec la militante solidaire Molly Alexander du collectif "Solidaire pour un Québec Laïc et Inclusif" donc je suis membre.

C'est l'État qui est laïc pas les citoyens.


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Des militantEs de toutes les générations.


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Le militant solidaire Marc Bonhomme.


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Je crois que le message est clair !


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Je crois que là aussi le message est clair !


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Le militant solidaire Béranger Enselme du collectif "Solidaire pour un Québec Laïc et Inclusif" donc je suis membre.


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Le drapeau Palestinien.


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Il est temps de s'adresser aux militantEs.


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Il est temps de s'adresser aux militantEs.


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Et oui,... Eux aussi y étaient.


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Voilà les militantEs se prépare pour la marche.


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Et voilà c'est le départ.


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La marche avançant sur St-Laurent.


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Vraiment, mais vraiment très agréable lorsqu'ils passent à 2 ou 3 centimètres devant vous alors que vous vous apprêtez à prendre une photo. :-(

Pourquoi nous n'irons plus en Macronie


Francis nous parle de la Macronie


Pourquoi nous n'irons plus en Macronie 

27 mars 2019



Mon conjoint et moi sommes des amoureux inconditionnels de la France en général et de Paris en particulier. Nous nous y rendons au moins une fois chaque année, souvent deux, parfois quatre comme ce fut le cas en 2018. Mais, depuis 2017, la République française a dégringolé vers la Macronie, qui est devenue le nouveau régime de l'État français, lequel n'a plus grand-chose à voir avec la patrie des Droits de l'Homme et du Citoyen.



Comme touriste, voici comment j'ai vécu, à Paris, une partie de mon samedi 5 janvier 2019. Je voulais sortir du métro Châtelet par la rue Saint-Martin. Il m'a fallu rebrousser chemin, car cette sortie était envahie par les gaz lacrymogènes au point où l'odeur se répandait loin dans les tunnels. Ma gorge comme mes yeux se sont mis à piquer fortement. Je prends donc une autre sortie près de la rue Victoria, et vois la foule des Gilets jaunes qui se fait refouler par la police, alors que les manifestant·e·s tentaient simplement de rejoindre la place de l'Hôtel-de-ville d'où devait partir la manifestation telle que déclarée à la préfecture. Près du fleuve, on voyait la rangée de CRS raides et d'allure imperturbable, mais aussi un peu plus loin, passé le pont Notre-Dame, des groupes vêtus de noir qui semblaient comploter. Ils montraient des gens du doigt, puis se précipitaient sur eux. Les gendarmes et CRS les regardaient d'un air complaisant.



Rien ne distinguait certaines de ces personnes des CRS sinon l'absence de casque et de bouclier. Rien n'en distinguait d'autres des casseurs. Sauf que, dans les deux cas, ces gens en noir portent un brassard orange sur lequel est écrit BAC. Ce sont des membres de la Brigade anti criminalité. Ces groupes créés par la police dans les années 90 sont des sortes de milicien·ne·s qui s'habillent comme ils veulent et font la loi dans les banlieues. Leur apparition au centre de Paris est récente, mais à voir leur comportement de cowboys « lâchés lousses », on comprend que les jeunes des técis les aient en aversion.



Je discute avec une dame qui porte un gilet jaune. Elle est déçue d'être ainsi refoulée et ne comprend pas pourquoi un groupe pacifique ne peut se diriger vers le lieu déclaré de la manifestation. Je la salue alors qu'elle va rejoindre son groupe. Puis, je me retourne et vois la rangée de CRS qui avance vers moi jouant de la matraque dans leurs mains. On sent qu'ils ont envie d'en découdre avec les manifestant·e·s pourtant tranquilles. C'est tout juste s'ils n'ont pas la bave aux lèvres. Je m'engouffre à toute allure dans le métro pour éviter qu'ils me passent sur le corps. Mon cœur bat à tout rompre. Comme militant des droits sociaux, j'ai connu moult manifestations, mais autant de rage non provoquée suscite toujours l'effroi.



Avec nombre de correspondant·e·s sur Twitter, je constate qu'une telle attitude est devenue l'ordinaire de la réponse policière au mouvement social. Pendant ce temps, les médias tournent en boucle une vitrine fracassée quelque part sur les Champs-Élysées. Pas un mot sur les centaines de blessé·e·s par la police pourtant rigoureusement rapportés par le journaliste indépendant David Dufresne.



Ce qui me frappe dans la Macronie, au sens propre comme au figuré, c'est l'inhumanité du gourou de ce régime d'État, des fabricants de ce régime, de ses officiers, de ses sbires, de ses techniciens qui soutiennent La Répression En Marche, de ses larbins et de ses thuriféraires médiatiques. Jamais la moindre compassion pour les victimes d'un régime autoritaire et d'une société profondément inégalitaire. Les objets et les images sont sacrés ; on arrête des gens qui ont simplement décroché un portrait du chef suprême. (Non, je ne blague pas. Ce n'est pas la Corée du Nord, c'est la Macronie.) Les gens, quant à eux, sont considérés comme accessoires et substituables. Les ministres et députés macronistes vont même jusqu'à rejeter la faute sur les personnes blessées. Nombre de comptes macronistes sur les réseaux sociaux se réjouissent de la violence, des blessures, certain·e·s en appellent au meurtre. Tous les soutiens de ce régime fou se lâchent et appellent à la violence contre la dissidence. Des individus qui passent pour des philosophes respectables estiment que le vote d'un opposant ne compte pas, qu'il faut « se débarrasser » des Gilets Jaunes et qu'il faut se servir des armes de guerre contre les manifestant·e·s. La Macronie est inhumaine.



Rappelons que le caporal en chef de ce nouveau régime voulait honorer Pétain le jour de l'Armistice. On a eu beau faire disparaître les documents qui le prouvaient, d'autres ont été plus rapides pour les photographier, les numériser et les diffuser. Rappelons que lui et son ministre de l'Intérieur ont inventé de toutes pièces un délit de complicité des violences si on se trouve sur les lieux d'une manifestation non déclarée. Cela est parfaitement contraire à tous les droits reconnus internationalement.



Rappelons que le nouveau prince a décidé d'appeler l'armée faisant de lui-même un Adolphe Thiers. Sa cruauté, typique du narcissique qui se croit intouchable, l'a même poussé à dire qu'une manifestante pacifiste âgée renversée par un policier n'avait tout simplement pas à se trouver là. L'État se fait terroriste en infligeant la peur à quiconque veut faire connaître sa dissidence.



Rappelons que ce régime a fait voter une loi qui restreint sévèrement le droit de manifester en la faisant passer pour une loi « anti-casseurs ».



Au Québec en 2012, de telles mesures liberticides ont été adoptées. La population était clivée presque pour moitié entre les partisan·e·s de la force et celleux de la liberté de manifester. La police n'a pas osé appliquer constamment une loi si immonde. Heureusement, il y avait dans l'entourage du Premier ministre québécois des conseillers suffisamment intelligents pour lui suggérer de passer par les urnes avant que la situation ne dégénère. C'est ce que font tous les démocrates même quand leur compréhension de la démocratie est limitée.



En France, ce sont les deux-tiers de la population qui sont en désaccord avec l'exécutif. Il semble hélas qu'il ne reste plus de conseillers intelligents autour de la présidence et que sa compréhension de la démocratie soit infime. Rappelons que le locataire de l'Élysée considère la démocratie comme le fait de mettre un bulletin dans l'urne uniquement aux cinq ans avec comme seul droit celui de se taire entretemps, ou sinon d'aller écouter des leçons de « bien penser » dispensées par lui-même dans des shows intitulés Grand Débat.



Nous avons peur pour notre sécurité si nous osons retourner en territoire français, car le caporal-prince-président a aussi déclaré qu'il était « inacceptable de parler de violence policière ». Donc, la pratiquer n'est pas grave, c'est en parler qui est le problème. C'est à cela que mène l'ivresse du pouvoir.



Tant que l'État français sera aux mains d'Augusto Macronet et de ses sbires, nous ne pourrons prendre le risque de nous faire matraquer, assommer, renverser, arrêter juste parce que nous nous trouvons à un endroit où on ne veut pas nous voir ou parce que nous ne pensons pas « de la bonne manière ».



Nous espérons qu'un jour bientôt nous pourrons renouer avec celle que Ferrat appelait affectueusement « Ma France » :

lle qui chante en moi, la belle, la rebelle

Elle tient l'avenir inséré dans ses mains fines

Celle de trente-six à soixante-huit chandelles

Ma France



Gilets Jaunes, résistez, c'est vous qui sauverez l'honneur de notre France et nous y ramènerez.

LAGACÉ Francis

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jeudi 28 mars 2019

Les "Habitations Loggia-Pélican" ont participé au "Mois de la nutrition à Rosemont"


Des nouvelles des "Habitations Loggia-Pélican".


Les "Habitations Loggia-Pélican" ont participé au "Mois de la nutrition à Rosemont" 

Par Sergio de Rosemont

Effectivement ce vendredi 22 mars 2019 à 12h, les "Habitations Loggia-Pélican" situés au 2535 Place Pierre-Falardeau tenaient la "Soupe populaire du Pélican".

Une excellente soupe y était servie.

Par la suite la nutritionniste Karine Pelletier était l'invité pour nous parler de la nutrition des aînéEs.

Nous avons aussi glissé un mot sur le tout nouveau guide alimentaire canadien.

POUR AVOIR ACCÈS AU GUIDE ALIMENTAIRE :

Autour d'une vingtaine de personnes y ont participé.

Bravo à l'équipe du Pélican pour cette magnifique initiative.

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Pour les personnes désirant contacter Karine Pelletier :


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POUR PLUS D'INFORMATION :


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VOICI LES PHOTOS :

P.S: Vu que pour l'instant je met mes photos sur Facebook et vu que Facebook aime bien à l'occasion changer l'adresse URL des photos, en cas où qu'un tel changement surviendrait à mes photos voici l'adresse de mon article en version Facebook :


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Bienvenue à la "Soupe populaire du Pélican".


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Une accueil chaleureuse.


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La documentation était disponible.


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Miam ! Miam ! elle était délicieuse cette soupe.


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La sympathique Lili.


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C'est l'heure de la soupe.


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Martine Poitras la directrice de Loggia-Pélican au micro avec le mot de bienvenue.


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Martine présentant la nutritionniste Karine Pelletier.

Nous avons parlé de l'alimentation au fil des années.


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Les gens de l'auditoires participaient avec plaisir.


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La sympathique Karine Pelletier.


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Nous avons aussi glissé un mot sur le tout nouveau Guide alimentaire canadien.

POUR AVOIR ACCÈS AU GUIDE ALIMENTAIRE :


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Les types de gras.