Ha oui, je me souviendrais toujours.
Ha oui, je me souviendrais toujours de cette blessure.
Mes souvenirs de cette blessure en sont amers.
Oui, vous m'avez porté cette blessure dans l'une des endroits qui me soit le plus intime, dans mon amitié !
Ne craignez rien, vous ne verrez pas de larmes couler de mes yeux.
Non, ces larmes d'acide coulent par l'intérieur.
Ha non vous ne pouvez savoir comment ces souvenirs peuvent m'en être amers.
Un jour c'est moi qui tiendrai cette dague de la traîtrise, et alors vous ressentirez cette saveur amère qu'apporte au fond de votre gorge cette traîtrise ce mépris de votre part.
Vous avez fait en sorte que ce lieu de travail que j'adorais me laisse maintenant une saveur de vomissure dans la bouche.
Vous savez, rien n'est plus blessant, que lorsque vous faite acte de loyauté et que vous prenez conscience que la personne responsable de la gestion de cette centrale vous poignarde dans le dos.
Dites moi, combien d'injures au téléphone que je dû avaler au nom de votre entreprise ?
Tellement qu'un senteur de pestilence m'en remonte dans la tête.
Vous avez voulu me représenter comme étant le perturbateur, tout en couvrant celui qui a créé la pagaille.
Ha oui c'est vrai, j'oubliais qu'il dort dans la couche de l'une des responsables de l'étage du haut qui est l'une de vos bonne amie !
Vous avez vomit sur mon intégrité.
Moi je vous vomirez en plein visage ce venin que vous avez fait naître en moi dans mes entrailles et qui me calcine l'intérieur.
Et surtout je finirais en faisant voir votre vrai visage à tous, et tous sauront que le méprisant n'est pas moi !
J'aimerais en terminant vous inviter
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