lundi 8 septembre 2025

Dans chaque regard il y a une histoire



 

Mon plus récent poème

Dans chaque regard il y a une histoire

 

Par Sergio de Rosemont

Dans chaque regard il y a une histoire.

Chaque individu, si on regarde dans son regard, au plus profond de ses yeux.

Au plus profond de son âme, il y a une histoire.

Oui, derrière chaque regard que vous croisez, il y a une histoire.

Quelque fois cette histoire est très heureuse.

Quelque fois, elle est très malheureuse.

Et trop souvent, elle est malheureuse.

Et il ne faut pas se fier aux apparence.

Parfois quelqu’un peut nous paraître heureux et pourtant, et pourtant, si on pouvait voir dans son for intérieur, nous y découvrirait un malheur intense.

Avoir le cœur dans des ténèbres intérieures.

Des ténèbres qui parfois peuvent avoir été créés par une enfance problématique.

Mais souvent, aussi, ces ténèbres intérieures peuvent être dû à une désillusion, à une trahison ou à une tromperie.

Mais aussi et trop souvent, ces ténèbres intérieures sont dû aux préjugés sociaux, au racisme, à la xénophobie, au sexisme, à l’homophobie, à la transphobie ainsi qu’à l’ensemble des autres discriminations.

Oui si vous préférez toutes les formes de "Non acceptations" de la différence.

Méfiez-vous des apparences.

Parfois quelqu’un peut paraître heureux et pourtant dans son for intérieur, c’est un enfer au cœur de son âme !

dimanche 7 septembre 2025

THOR

 

Mon plus récent tableau

THOR

 

Par Sergio de Rosemont

Tableau créé à partir du recyclage d'un petit marteau de Thor en jouet.

Photo du 05 septembre 2025

 

mardi 26 août 2025

Chaque geste

 

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Chaque geste 

 

Par Sergio de Rosemont

Chaque geste que nous faisons, change l'avenir.

Photo du 19 août 2025

mercredi 20 août 2025

Pensée d'Aristote

 

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Pensée d'Aristote

 

Par Sergio de Rosemont

La mémoire est le scribe de l'âme.

Photo du 19 août 2025

lundi 11 août 2025

Isolé sur son cell

 

Voici ma réflexion que je partage avec vous

Isolé sur son cell 

 

Par Sergio de Rosemont

Bizarre comme gadget que ce cellulaire.

Un gadget qui vous rapproche de ceux qui vous sont éloignés, mais parfois, qui vous isole de ceux qui sont proches de vous, juste à côté de vous.

Parfois, souvent, il y a des personnes, pas tous heureusement qu’on pourrait croire qu’ils ne vivent que pour et qu’à travers leur cellulaire.

Parfois, on pourrait penser qu’ils vérifient leur cellulaire 2 500 fois par jour.

Non pas du tout ils ne le vérifient qu’une seule fois par jour, sauf que cette fois peut durer 16 heures.

16 heures soit le nombre d’heures où ils sont censés être en état d’éveil.

Traverser la rue tout en n’ayant les yeux que sur le cellulaire.

Parfois, on pourrait croire qu’ils ne peuvent pas prendre un repas ou marcher sur la rue sans avoir le nez dans leur cellulaire.

Pas sur mais dans leur cellulaire.

Des fois, il m’arrive de me demander s’ils sont capables de faire l’amour sans avoir le nez dans leur cellulaire ?

Mais sérieusement, souvent, je me questionne et j’ai l’impression que, depuis l’arrivée des téléphones dits intelligents, ces appareils, ces téléphones ne seraient-ce ils pas une technologie de contrôle des masses ?

Peut-être l’une des raisons pour laquelle je n’ai pas de téléphone dit intelligent et que je préfère me contenter d’un téléphone cellulaire traditionnel pliant, que pour me dépanner.

Et oui, n’est-ce pas magnifique, vous n’avez plus besoin de penser, votre cellulaire le fait à votre place.

Désolé, mais je préfère penser par moi-même !

En terminant, je serais curieux de voir ce que George Orwell en penserait de ce téléphone cellulaire dit intelligent ?

jeudi 31 juillet 2025

Le Mur du Destin

 

Mon plus récent tableau

Le Mur du Destin 

 

Par Sergio de Rosemont

Ce mur du destin qui nous est imposé par cette vie.

Et si ce mur serait un peu comme un miroir ?

Mais un miroir fracassé, avec des fragments brillants et d’autres comme embrouillés.

Et que voit-on dans ce miroir, dans ce mur ?

Soi-même.

Jusqu’à quel point nous est-il imposé ?

Et si nous avions un mot à dire ?

Et si nous pouvions influencer notre destin ?

Et si nous avions un certain contrôle sur lui ?

Et s’il suffisait que d’y croire ?

De simplement accepter l’idée que nous pouvons.

De croire en nous !

Photo du 29 juillet 2025

mercredi 30 juillet 2025

GAP, un nom approprié ?

 

Laissons la parole à Francis

GAP, un nom approprié ?

 

29 juillet 2025

Le Guichet d’accès à la première ligne (GAP) du système de santé est censé simplifier la vie des personnes qui n’ont pas de médecin de famille. Il s’avère fort compliqué pour une personne âgée, surtout si elle n’a pas d’ordinateur.

Il faut d’abord attendre longtemps au téléphone avant de pouvoir parler à quelqu’un pour lui expliquer son problème. Il y a ensuite un questionnaire avec des choix de réponses, dont la bonne réponse ne figure pas toujours dans la liste. Parfois, il faut répondre par oui ou par non à une question dont la bonne réponse serait des fois oui, des fois non.

Après avoir passé par ce filtre éprouvant, on est mis sur une liste d’attente pour recevoir un autre appel afin de décider du rendez-vous. Pour cet autre appel, gare à vous si vous n’avez pas de cellulaire, car si vous avez le malheur de ne pas être à la maison ou d’être aux toilettes au moment où l’on vous appelle, on clôt l’appel et on enclenche le premier tour d’un décompte de trois. Il vous reste deux chances parce qu’après trois appels infructueux, on annule votre demande et il faut tout recommencer à partir de zéro.

Si vous avez la chance de recevoir l’appel, il faut choisir l’option « accepter l’appel ». On vous met alors en attente. Quand, enfin, on daigne vous parler, on vous fait repasser par toutes les étapes de la première fois avec le même questionnaire incongru.

Tout cela est exaspérant même si vous avez un téléphone cellulaire.

Mais ces embêtements ne sont pas le seul défaut du système.

En effet, le GAP ne peut traiter qu’un seul problème à la fois. Si vous avez mal à l’épaule gauche et au pied droit, quand vous avez un médecin de famille, vous prenez rendez-vous avec lui et vous lui parlez de l’ensemble de votre situation : votre douleur à l’épaule gauche et celle au pied droit.

Mais pour le GAP, il vous faudra deux rendez-vous et donc faire deux fois ce processus pénible. Ajoutez ça à toutes les embûches du système et vous avez une idée de la croisade qu’il vous faudra entreprendre.

En outre, si le rendez-vous qu’on vous propose coïncide avec un autre rendez-vous médical, ce qui est quand même fréquent chez les personnes âgées avec de multiples conditions ou encore chez les personnes traitées pour des maladies graves comme le cancer et qui nécessitent un suivi constant, vous répondez en conséquence qu’il est impossible de vous y présenter.

Malgré vos explications, au lieu de vous proposer une autre date, on inscrit dans le système que le rendez-vous est rejeté. Vous devez encore une fois recommencer tout le processus : appel au GAP, attente, questionnaire, attente d’un nouvel appel, stress de ne pas être là quand on vous appelle, attente, répétition du questionnaire.

On vous dit : « Vous comprenez, le système doit accorder le rendez-vous, on doit le passer à quelqu’un d’autre, donc on ne peut pas rester avec vous. »

La programmation informatique se fait à partir d’une série de conditions si, alors. Comment se fait-il que personne n’ait songé dans la conception du système à prévoir que l’on puisse prendre le rendez-vous suivant et mettre le rendez-vous rejeté dans un bassin où pourront puiser les autres intervenant·e·s téléphoniques. Il suffit de transmettre automatiquement une notification à tous les employé·e·s en ligne à ce moment-là, selon laquelle un rendez-vous a été libéré pour l’appel suivant à un autre patient.

Refiler le rendez-vous à l’autre appel et ramasser le suivant pour la personne à qui l’on parle, ce n’est pourtant pas si compliqué. Même la plus insignifiante des applications aujourd’hui disponible fait ce genre de choses. Si un ignorant comme moi est capable de concevoir ça, on se demande ce que valent les programmeurs que le gouvernement engage en sous-traitance. (En fait, poser la question, c’est peut-être y répondre quand on voit comment sont administrés certains autres dossiers.)

«Mind the gap», nous dit-on dans le métro londonien pour nous prévenir de faire attention à l’espace entre le train et le quai. Dans le réseau de santé québécois, le GAP est un fossé dans lequel vont s’abîmer les patients qui ne sont pas calibrés sur mesure pour le système.

LAGACÉ, Francis

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SITE DE FRANCIS LAGACÉ
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samedi 26 juillet 2025

Quand des solitudes se croisent

 

Mon plus récent poème, aussi ma plus récente réflexion que je partage avec vous

Quand des solitudes se croisent 

 

Par Sergio de Rosemont

Quand des solitudes se croisent tout en demeurant des solitudes.

Elles se croisent, mais sans jamais oser s’adresser à l’autre, car il est un inconnu.

Ces solitudes qui sont seules tout en étant dans une foule.

Vivre dans une ville comptant plus d’un million d’individus et pourtant subir la solitude.

Et même se sentir plus seul que si on était en plein milieu du désert.

Dans une société où le sport à la mode est celui d’envoyer foutre autrui.

Une société où, on méprise ceux qui nous sont différents, ceux qui ne croient pas et ne pensent pas comme nous.

Souvent sans même connaître le voisin de la porte d’en face.

Et parfois, ne connaissant les membres de leur famille qu’en surface.

Des solitudes pour qui avoir des amis, que l’amitié relève du défi.

D’un défi relevant presque de l’impossible.

Des solitudes pour qui avoir une douce moitié ne semble possible que dans le domaine du rêve

Des solitudes qui parfois ont plus d’intimité avec leur chien de compagnie qu’avec leur propre famille.

Et fréquemment, des solitudes qui n’ont même pas d’animal de compagnie pour combler le vide dans leur âme, dans leur cœur.

Parfois, il y a des solitudes pour qui leurs uniques compagnons étant les écureuils et les pigeons sur ces places publiques.

Mais aussi parfois des solitudes, donc leur unique compagne de vie se nomme Folitude.

Une folie due à la solitude et une solitude due à la folie.

Et oui, le charme de cette solitude moderne !

mardi 22 juillet 2025

Hommage à Jean Leclerc

 

Merci à mon ami Yvon

Hommage à Jean Leclerc


Par Sergio de Rosemont

Voici le monument érigé en hommage à Jean Leclerc à Sainte-Pétronile sur l'île d’Orléans, le premier Leclerc à avoir mis le pied en Nouvelle-France avec Jean-Talon.

Donc mon premier ancêtre à avoir mis le pied en Amérique, il était tisserand.

Et en regardant ces 2 photos, j'ai pu donc constater qu'il existe un blason familial pour les Leclerc.

Je tiens à remercier mon ami Yvon, qui a pris le temps lors de son voyage à l'île d'Orléans, de s'arrêter et de photographier ce monument pour moi, pour me faire plaisir.

Merci Yvon.

lundi 21 juillet 2025

Aime-t-elle le vivant ? La vie ?

 

Voici une réflexion qui m’est venue à l’esprit suite à un incident survenu à cet endroit où j’aime bien m’asseoir.

Aime-t-elle le vivant ? La vie ?

 

Par Sergio de Rosemont

J’étais assis sur l’un des rares bancs de cette petite place publique en ce début de soirée.

Il y a une dame dans la soixantaine que c’est la première fois que je vois qui entre sur la place en me disant, sur un air hautain

{Que ça fait du bien de sortir du logement pour décompresser !}

Sur la place, il y avait 1 écureuil et un couple de pigeons.

Elle commence à stresser, à paniquer et à devenir agressive envers ces animaux.

J’avais beau tenter de lui faire comprendre qu’elle n’avait qu’à ne pas s’occuper d’eux.

J’ai même tenté de lui explique, qu’elle n’avait rien à craindre, que ces pigeons et les écureuils sont des animaux végétariens, dont que non, ils ne l’attaqueront pas.

Elle se lève frustrée et va s’asseoir sur un banc plus loin.

Même pas une minute, plus tard, en observant un pigeon qui se dirige vers elle, elle devient colérique et en me regardant me dit sur un ton colérique

{Je m’en vais, ça m’écœure !}

Si j’ai bien compris, pour elle, il aurait fallu qu’il n’y ait aucun animal à part, bien sûr, les pitous en laisse.

Et oui, hélas, elle me semblait ne pas aimer les animaux.

J’avoue que j’éprouve des difficultés à comprendre cette peur des pigeons et des écureuils, des animaux totalement inoffensifs qui nous craignent.

Si ça avait été un coyote ou un carcajou, là j’aurais pu comprendre, mais des pigeons et des écureuils ???

À mes yeux, quand on n’aime pas les animaux, je me demande à quel point on n’aime pas la vie ?

Je sais des fois, il y en a qui aiment bien dire que les pigeons salissent.

Alors, moi, je pose cette question :

Sur cette planète Terre entre les humains et les pigeons, lesquels ont été les plus salissants et les plus destructeurs ?

Et j’aimerais aussi rappeler que, biologiquement, les humains sont des animaux.

Et l’humain est aussi l’animal le plus cruel ayant existé sur cette terre.

jeudi 17 juillet 2025

Contact humain

 

Laissons la parole à Francis

Contact humain

14 juillet 2025

Il est dix heures trente. Dans un café montréalais du désormais chic Rosemont, il a placé ses affaires sur les deux chaises de la petite table. Son téléphone à la main, il s’assoit sur une chaise de la table voisine où trône un gros latté. Il compose un numéro. Notre aimable personnage occupe donc quatre places, car personne n’osera s’asseoir devant lui.

Il est seize heures trente. Dans une brasserie sur le bord du Rhin dans le quartier historique de Düsseldorf, elle a placé ses affaires sur les deux chaises de la table voisine et s’est installée devant sa bière. Elle est assise en équerre les deux pieds sur la chaise qui lui fait face. Son téléphone bien en vue à côté de sa bière, elle occupe donc quatre places. Le portable se met à chanter la chevauchée des Walkyries assez fort pour que tout le monde se retourne.

—Allo.

—Salut Sophie-Jeanne. C’est RFM ici. (Il dit rarement son prénom au complet, Réjean-François-Mathieu). Je suis dans un café de Rosemont et j’ennuie tout le monde avec une conversation sans intérêt.

—Bonjour Jean-Sois-Thieu (c’est le surnom affectueux que les intimes lui ont infligé). Je suis dans une brasserie de Düsseldorf près du fleuve et je vais faire suer tout le monde avec une conversation à voix haute dans une langue que tout le monde ne comprend pas.

—N’est-ce pas merveilleux d’avoir un forfait illimité ?

—Oui, on pourra jaser pendant des heures. Enfin tant que la batterie du cell va durer.

—C’est extraordinaire la technologie ! Ça nous permet de nous soucier de nos proches et d’en prendre soin.

—Oui, c’est ce qu’il y a de mieux pour les contacts humains.

NDLA : Cette nouvelle fait partie du recueil N’allez jamais à Montréal paru en décembre 2021.

LAGACÉ, Francis

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vendredi 11 juillet 2025

Pensée de Mark Twain

 

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Pensée de Mark Twain 

 

Par Sergio de Rosemont

"Ce n'est pas ce que vous ne savez pas qui vous attire des ennuis, c'est ce que vous savez avec certitude et qui n'est pas vrai."

Mark Twain

mercredi 9 juillet 2025

Il faut que tu respectes la bulle des gens !


 

Ma réflexion sur un incident qui m’est survenu que je partage avec vous

Il faut que tu respectes la bulle des gens ! 


Par Sergio de Rosemont

J’étais dans un café sur la rue Masson, en train de consommer mon thé.

Tout d’un coup, il y a un garçon de 7 ou 8 ans qui vient à ma table et ouvre ma théière et me dit { c’est ton thé ? }.

Je lui réponds { et oui, je bois du thé }.

Sur le coup, j’ai trouvé ce petit garçon assez mature pour son âge.

Techniquement, il ne faisait rien de mal, il ne cherchait qu’à discuter avec moi.

En d’autres mots, il me semblait être dans une période où il est à la découverte de la relation, de la discussion avec autrui.

Tout d’un coup, son père arrive et le moralise en lui disant { il faut que tu respectes la bulle des gens ! }.

Et tout ça sans même s’adresser à moi pour s’excuser ou pour me demander si cela me dérangeait.

Tout ça comme si je n’étais qu’un élément du décor.

Ce père aurait pu du moins profiter de l’occasion pour enseigner à son fils que lorsqu’on désire s’adresser à un inconnu que l’on se doit de commencer par le saluer pour ensuite se présenter et lui demander si on le dérange.

Ce que j’ai trouvé le plus fâchant dans cet incident, ce n’est pas le comportement de l’enfant, qui m’a surpris, oui, mais qui n’était pas fâchant, il ne cherchait juste qu’à parler.

Par contre, l’attitude du père, je l’ai trouvé fâchant.

Il ne m’a aucunement adressé la parole que c’est pour s’excuser ou me demandé si cela m’avait dérangé.

Oui d’accord, je suis pour eux un inconnu, mais je ne suis pas une décoration murale.

Et oui, c’est son travail de lui apprendre à être prudent, mais, de plus un jour, il faudra bien qu’il lui apprenne aussi comment aborder un inconnu, ça pourrait lui être utile un coup que lui-même sera un adulte.

Comment peut-on vivre dans cette société sans avoir appris à communiquer, à parler à autrui ?

Quand on se contente de dire à des enfants qu’il ne faut pas parler aux inconnus, mais qu’on ne leur enseigne pas comment s’adresser à un inconnu (de façon prudente), c’est peut-être de cette façon qu’on crée des citoyens qui auront de la difficulté avec les relations humaines.

mardi 8 juillet 2025

Le Regard du Cœur

 

Mon plus récent tableau

Le Regard du Cœur 

 

Par Sergio de Rosemont

Regardez avec le cœur.

Photo du 05 juillet 2025

jeudi 3 juillet 2025

L’espoir, qu’est-ce que l’espoir ?

 

Voici une réflexion que je partage avec vous

L’espoir, qu’est-ce que l’espoir ? 

 

Par Sergio de Rosemont

L’espoir, qu’est-ce que l’espoir ?

C’est souvent cette énergie qui nous donne le goût de vivre, de continuer.

C’est cette énergie qui donne le goût de continuer au lieu de faire l’irréparable.

Car l’espoir permet de percevoir que les choses peuvent s’améliorer.

Que les choses que nous désirons qui arrivent peut se réaliser avec du travail et de la volonté.

L’espoir, oui, l’espoir qu’un jour, cette humanité finira peut-être par s’assagir.

Et qui sait à peut-être réussir à s’éviter une autoextermination !

Les trois niveaux

 

Mon plus récent tableau

Les trois niveaux 

 

Par Sergio de Rosemont

 ( Tableau en 3D )

Les trois niveaux, est-ce

Conscient, subconscient et inconscient ?

Ou

Physique, esprit et âme ?

Ou

Corps physique, corps astral et âme ?

Ou serait-ce autre chose ?

Photo du 01 juillet 2025.

dimanche 29 juin 2025

Mes yeux ont vu, mes oreilles ont entendu et mon cœur a ressenti

 

Mon plus récent poème

Mes yeux ont vu, mes oreilles ont entendu et mon cœur a ressenti


Par Sergio de Rosemont

Mes yeux ont vu, mes oreilles ont entendu et mon cœur a ressenti ce que pouvait être que l’humain.

Vu, entendu et ressenti ce qui peut présenter de plus barbare, méprisant, lâche et bas chez l’être humain.

Et j’ai vu, entendu et ressenti aussi ce qui peut représenter le plus noble, le plus courageux et le plus grand dans l’homme.

Depuis ma tendre enfance, j’ai pu voir, entendre et ressenti ce qui y a de pire et de meilleur chez l’être humain.

Et parfois chez la même personne.

Effectivement, dans chaque humain, il y a à la fois un Démon et un Ange.

Et à un moment donné, nous avons un choix à faire.

Lequel nourrirons-nous ?

Notre Démon intérieur ou notre Ange intérieur ?

Oui, le démon, le diable existe bien.

Et, un jour, nous aurons tous à le combattre.

Vous désirez voir le visage du Démon ?

C’est simple, regardez-vous dans un miroir.

Effectivement, le Démon qu’on aura à combattre n’est nul autre que notre part intérieure de ténèbres.

Notre Démon personnel intérieur.

Ce Démon intérieur est créé et nourri par les coups durs négatifs du destin, souvent dans notre jeunesse, dans notre enfance.

Effectivement, les préjugés qu’on nous afflige nourrissent ce Démon intérieur.

C’est à nous d’avoir le courage de prendre la décision d’affronter notre

Démon intérieur.

D’arrêter de le nourrir.

samedi 21 juin 2025

La pluie approche

 

Mon plus récent poème

La pluie approche 


Par Sergio de Rosemont

La pluie approche, les arbres et les feuilles dansent avec le vent.

Ce vent qui nous pousse à avancer.

Ce vent qui assourdit tous les sons environnants.

Son souffle fort en devient comme une chanson, invitant au calme.

Allez, Hélios apporte avec toi dans ta rafale ces souvenirs douloureux, amers et lourds, comme l’est le plomb.

Ce vent qui traîne avec lui des semences sur des kilomètres, afin qu’elles puissent prospérer plus loin, qu’il fasse de même avec mes idées, mes vœux, mes désirs.

Oui, parfois, le vent apaise dans l’âme.

mercredi 18 juin 2025

Bonhomme Visage

 

Laissons la parole à Francis

Bonhomme Visage

18 juin 2025

C’est le compère de la rue. Sa grosse face de Humpty Dumpty toujours dans la fenêtre. Pas une crotte de chien qui lui échappe. Pas une nouvelle fleur dans les bacs de balcon non plus. Quand il sort, il devise longuement avec toute personne qu’il rencontre. Il sait par cœur les couples mariés, divorcés, concubins, les enfants partagés, perdus, adoptés ou fraîchement nés.

Toutes les maladies de chacune et chacun peuvent être débitées avec la couleur des pilules associées. Les marques de voiture, les sortes de cigarettes fumées, les bières préférées et les alcools consommés par chaque ménage du voisinage.

Le Bonhomme Visage sait tout de tout le monde et a réponse a tout, même et surtout quand il n’y connaît rien. Il conseille Raymonde sur ses prochains voyages, Lucie sur son roman en gestation, Philippe sur ses chroniques culinaires et Simon dans ses études de philosophie.

Une voiture qui se gare dans la rue sans appartenir à son répertoire suscite la plus grande curiosité. Il attendra patiemment qu’on en sorte pour voir si c’est une nouvelle acquisition. S’il a raté l’arrivée du véhicule, il approchera sa chaise de la fenêtre ou s’assoira sur la galerie quand il fait bon pour attendre qu’on y remonte. Des personnes connues recevront des félicitations sur la nouvelle bête, puis un tas de questions sur les caractéristiques, performances et modes de financement. Des visages étrangers subiront un véritable interrogatoire quant à la raison de leur présence dans le quartier, à leur origine et à leur destination.

L’auto étrangère garée trop fréquemment ou trop longtemps sera vivement dénoncée à la police. Celle d’un membre de sa famille en visite aura une place réservée, car il en occupera deux avec son propre véhicule, le temps que son parent s’y installe.

Les bacs à recyclage sont inspectés et replacés dans l’ordre des numéros d’appartement de sorte que tout soit à sa place. Tout emballage de produit inhabituel sera l’occasion d’une enquête auprès des personnes qui occupent le logement associé, de sorte que Bonhomme sache à quoi sert le produit en question et si ses voisins ont changé leurs habitudes.

Quand le camion du recyclage passe, Visage crie par la fenêtre pour expliquer aux employés préposés au ramassage pourquoi tel bac est moins plein que d’habitude (Germain est malade) ou beaucoup plus (Jacinthe a numérisé ses revues, elle jette le format papier) ou absent (Raymonde est en voyage).

Si un changement est annoncé dans la cueillette des ordures, tout le monde l’apprendra très vite. Une pétition apparaîtra si cette modification dérange trop son rituel.

Si on rentre plus tard que vingt-trois heures, on peut le voir surgir derrière soi au moment de mettre la clé dans la serrure. C’est qu’il s’inquiétait, voyez-vous.

Si vous partez le matin très tôt, il vous apprendra à votre retour qu’il vous a entendu fermer la porte, siffler dans la rue, courir pour attraper le bus ou allumer le moteur de la voiture.

Quand on déménage sans le prévenir, il prend cela comme un affront personnel. Son sentiment est juste.

NDLA : Cette nouvelle fait partie du recueil N’allez jamais à Montréal paru en décembre 2021.

Francis Lagacé

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mardi 17 juin 2025

Y a-t-il plus corrosif, plus acide pour l’âme que la solitude

 

Mon plus récent poème, portant une réflexion.

Y a-t-il plus corrosif, plus acide pour l’âme que la solitude 

 

Par Sergio de Rosemont

Y a-t-il plus corrosif, plus acide pour l’âme que la solitude ?

Ce vide qu’on ressent dans notre âme.

Oui je le sais que, parfois, la solitude peut être bénéfique, mais elle peut aussi être désastreuse, tout dépendant du contexte.

Parfois, lorsqu’on ressent le besoin de se retirer, car on ressent le besoin de se retirer temporairement pour faire le point, réfléchir sur un détail très important pour nous.

Dans un tel cas, la solitude peut être bénéfique.

Dans ce cas, on parle d’une solitude désirée et volontaire.

Par contre, lorsqu’elle vous est imposée et lorsqu’elle vous est servie avec la trahison comme accompagnement.

À ce moment-là, elle est corrosive pour l’âme et acide pour le cœur.

Et souvent, il arrive, pour certains, qu’à travers cette solitude, que les seuls amis qu’il leur reste sont les pigeons et les écureuils partageant quelques rayons de soleil ou de lune avec ces cœurs solitaires.

Au moins, les pigeons et les écureuils ne trahissent pas eux au moins !

lundi 16 juin 2025

Quand tu prends le temps de le / la regarder dans les yeux

 

Voici une réflexion que je partage avec vous

Quand tu prends le temps de le / la regarder dans les yeux 

Par Sergio de Rosemont

Quand tu prends le temps de le / la regarder dans les yeux, dans son âme, tu prends conscience qu’iel est un humain tout comme toi.

Avec tout comme toi la capacité d’aimer ou d’haïr.

Avec tout comme toi de ressentir la joie, la peine, le bonheur, la peur.

Avec tout comme toi a des désirs, des rêves, des projets.

Oui regarde le / la dans les yeux, dans son âme.

Iel est ton égal.

Qu’iel soit un homme ou une femme, une personne transgenre, gay, iel est ton égal.

Qu’iel soit d’une autre communauté culturelle, iel est ton égal.

Qu’iel soit handicapé.e, iel est ton égal.

Qu’iel soit punk, metal, gothique, rap ou streak, iel ton égal.

Qu’iel soit d’une autre classe sociale ou d’un autre niveau d’éducation, iel est ton égal.

Avant de voir celui / celle qui t’es différent.e comme un.e adversaire, peut-être faire l’effort de tenter de le / la connaître.

Peu importe nos différences, nos particularités, nous sommes tous des humain.es de la même race.

Si nous désirons en tant qu’espèce humaine éviter l’autodestruction, il est plus que temps que nous mettions à la poubelle nos préjugés et que nous commencions `voir tous ensemble comment peut-on sauver notre avenir collectif.

Travailler à l’avancement de la cause collective en priorité au lieu que de ne penser qu’à notre petit individualiste.

Ensemble, plaçons-nous tous devant ce bol de toilette, prenons tous ces discours discriminatoires, ce néolibéralisme et cette extrême-droite, jetons ce tout dans ce bol de toilette et tirons la chasse d’eau.

Soit qu’en tant que race humaine, que nous ayons l’intelligence de mettre de côté tous ces préjugés et commencions à travailler ensemble à sauver notre avenir ou nous disparaissions tous dans une auto-extermination comme des imbéciles.

dimanche 15 juin 2025

Effectivement, l’enfer peut être ensoleillé et lumineux


 

Mon plus récent poème que je partage avec vous

Effectivement, l’enfer peut être ensoleillé et lumineux

Par Sergio de Rosemont

Effectivement, l’enfer peut être ensoleillé et lumineux.

Lorsque vous vivez à Gaza.

Ou devrais-je plus tôt dire, lorsque vous tentez de survivre à Gaza.

Le jour, le soleil est radieux, mais c’est l’enfer tout de même.

Un enfer ensoleillé où les enfants et les mères de famille se font assassiner par dizaines chaque jour.

Et les démons ne portent pas d’étoiles renversées comme logo.

Leur symbole est un hexagramme ( étoile à 6 pointes ) de couleur bleu pâle avec une bande bleu pâle au-dessus et une autre de même couleur en dessous.

Et ces démons ont remplacé leur fourche pour le Tavor ( modèle de fusil d’assaut israélite ).

Oui, un enfer ensoleillé où on fait usage du phosphore blanc et de dromes, de missiles et de chars d’assaut contre des civils, des vieillards et des enfants.

Un enfer où les démons assassinent des civiles affamées et désarmées qui se présentent aux points de distributions alimentaires d’urgence.

Un enfer où les amputations sur des enfants sont monnaie courante.

Et la nuit, cet enfer reste lumineux avec ces bombes incendiaires utilisées pour détruire les édifices.

Un enfer où des villes entières ne sont maintenant que des champs de ruines.

Et oui, l’enfer et ses démons existent réellement, et tout cela sous le regard hypocrite de la communauté internationale avec leurs interventions qui ne sont qu’apparences.

Oui, bienvenue en enfer !

P.S : J’aimerais faire une mise au point suite à mon texte. Il y a une différence entre israélites et juifs. Les israélites disent que l’état d’Israël représenterait l’ensemble des juifs. Pourtant plusieurs juifs ne reconnaissent pas l’état d’Israël pour les représenter, Et aussi plusieurs juifs s’opposent à la politique Israël et au génocide que l’état d’Israël pratique sur le peuple Palestinien. Plusieurs juifs soutiennent le peuple Palestinien.

mardi 3 juin 2025

Les traces que nous imposons

 

Mon plus récent tableau

Les traces que nous imposons


Par Sergio de Rosemont

Les traces que nous imposons à Gaïa.

Les traces que nous imposons à Mère Nature.

Photo du 31 mai 2025.

samedi 31 mai 2025

Je me rappelle de ce cours d’arts plastiques

 

Ma plus récente réflexion que je partage avec vous

Je me rappelle de ce cours d’arts plastiques


Par Sergio de Rosemont

Je me rappelle de ce cours d’arts plastiques à l’école St-Vincent-de-Paul.

J’avais 12, 13 ans.

Cette école n’existe plus, elle a été démolie pour faire place au "Québec Hilton".

Revenons à ce cours d’arts plastiques.

En cet après-midi d’automne, l’exercice de ce cours en était un de découpage dans du carton pour ensuite peinturer notre découpage avec de la gouache.

Nous étions 3 ou 4 à avoir décidé de découper le symbole du "Peace and Love".

Comme j’avais presque terminé mon travail, deux autres élèves avaient décidé de briser mon travail.

Alors j’ai eu le réflexe de détruire moi-même mon travail tout en éclatant de rire dans leur face.

Comme un réflexe pour dire :

{ Si mon œuvre a à être détruite, ce sera par moi-même et non pas par d’autres ! }

Souvent, quand j’étais enfant, je me demandais pourquoi j’avais le fardeau d’avoir à subir le mépris des autres.

Juste à cause de quelques différences, j’avais souvent à subir l’intimidation dans la cour de récréation.

Et j’avais aussi souvent, sur le chemin de retour vers la maison, après l’école, à avoir à affronter 3 ou 4 autres élèves qui avaient décidé que je leur servirais d’amusement.

Rarement, même très rarement, il y avait des adultes pour intervenir et faire cesser cette situation.

Et pour les parents de ces autres enfants agresseurs, jamais leurs petits n’auraient pu être méchants.

Combien de fois, enfant ou ado, j’ai pu me demander ce que je pouvais bien foutre dans cette vie ?

Oui, vous avez bien lu :

Combien de fois, enfant ou ado, j’ai pu me demander ce que je pouvais bien foutre dans cette vie ?

Quand j’étais jeune, tout ce que je demandais n’était que le droit de vivre une enfance normale.

Un droit qu’on m’a souvent refusé.

Oui, les blessures morales ont cicatrisé.

Mais, par périodes, il m’arrive que ces cicatrices morales se fassent ressentir à travers ma mémoire.

Quand j’étais très jeune, j’étais de caractère très doux, comme un agneau.

Avec cette jeunesse, je suis devenu un loup qui a appris à mordre et où mordre.

Et, à quelque part, ce que je suis devenu, c’est dû à cette société par son non-intervention dans ce problème.

Ce loup révolté qui se retrouve dans mes entrailles a été créé et alimenté par ces blessures morales de mon enfance.

Lorsqu’un enfant subit de l’intimidation, c’est pas juste son enfance que l’on scape, c’est aussi et surtout une partie de sa future vie adulte que l’on affecte à cause de ses cicatrices morales qui restent permanentes.

Parfois, je me demande si c’est bien un loup que je suis moralement devenu ou si ça serait pas plutôt un carcajou que je suis devenu.

Prenons-nous vraiment assez au sérieux le problème de l’intimidation ?

Posons-nous la question !

P.S : Si j’ai écrit et que je partage ce texte, c’est que ça libère en faisant sortir ce poison de mon âme.

Et c’est aussi en espérant amener une réflexion.

mercredi 28 mai 2025

La gentrification c’est aussi

 

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La gentrification c’est aussi


Par Sergio de Rosemont

La gentrification c’est aussi ceux qui créent leur fortune sur l’inconfort et le malheur des autres.

Et c’est accroître aussi l’infortune des infortunés !

Photo du 25 mai 2025

mardi 27 mai 2025

Porter des lunettes fumées pendant la pluie

 

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Porter des lunettes fumées pendant la pluie


Par Sergio de Rosemont

Porter des lunettes fumées pendant la pluie.

Porter des lunettes fumées la nuit.

Comme si on ne voudrait pas qu’on découvre le visage de notre âme.

Comme en espérant passer inaperçu, incognito.

Introverti ou plus un désir d’un "Regardez-moi !" mais voilé ?

Est-ce pour camoufler un manque de confiance en soi ?

Pour se donner un look plus sombre, plus mystérieux ?

Comme pour indiquer qu’on est différent des autres.

Le hic, c’est qu’on est tous différents des autres à quelque part !

Oui, d’accord, effectivement, il y en a qui souffrent d’hypersensibilité rétinienne, les rendant plus sensibles à la lumière.

Mais est-ce toujours le cas ?

Je ne crois pas.

Par contre, j’aimerais que vous vous disiez que ce texte doit être plus perçu comme une interrogation de ma part.

Question de ma part de tenter de comprendre.

CAQ : Faites ce que je dis, pas ce que je fais !

 

Laissons Francis nous parler de la CAQ

CAQ : Faites ce que je dis, pas ce que je fais !


26 mai 2025

Il y a quelque chose d’assez ironique à voir la campagne publicitaire du gouvernement de la Coalition avenir Québec incitant la population à produire moins de déchets dans le but de préserver l’environnement.

Ce même gouvernement, pour accommoder Stablex, une compagnie qui enfouit chez nous des déchets états-uniens, est passé par-dessus un règlement municipal de protection d’une zone humide et n’a même pas respecté ses propres exigences environnementales afin de permettre à ladite compagnie d’empiéter sur cette zone protégée.

C’est encore ce même gouvernement, prêt à sacrifier des terrains humides importants pour la biodiversité, qui a décidé de se passer d’étude d’impact environnemental pour favoriser Northvolt, sous prétexte que la fabrication de batteries pour voitures électriques, c’est très important pour l’environnement.

C’est toujours ce même gouvernement, capable de trouver des centaines de millions pour une firme étrangère qui fabrique des batteries, qui n’a plus un sous lorsqu’il s’agit d’aider une entreprise québécoise de construction d’autobus fonctionnant avec moteur électrique (Lion).

Finalement, le gouvernement de la CAQ, c’est comme une grosse pub de VUS : Si vous voulez profiter de la nature, détruisez-la !

Francis Lagacé

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SITE DE FRANCIS LAGACÉ

samedi 24 mai 2025

Sous la pluie

 

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Sous la pluie


Par Sergio de Rosemont

L’avantage avec la pluie, c’est que lorsqu’on pleure sous la pluie, c’est que ça ne parait pas.

Ça passe inaperçu !

Se promener sous la pluie avec des lunettes fumées, c’est comme si ça serait pas déjà assez sombre.

Même si on court sous la pluie, on sera tout de même mouillé.

Personnellement, quand je marche sous la pluie, je trouve ça réconfortant.

Comme si la pluie apportait avec elle le calme.

Comme si elle dissolvait une grande partie du négatif autour.

Cette pluie me porte souvent à une rêverie éveillée.

Et cette rêverie, souvent, porte à la création.

Il me semble que quelqu’un a déjà dit :

{ Il faut rêver aujourd’hui pour savoir ce qu’on fera demain ! }

dimanche 18 mai 2025

La poésie de Gaïa

 

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La poésie de Gaïa


Par Sergio de Rosemont

Quand Gaïa fait de la poésie avec la nature.

Photo du 11 mai 2025

vendredi 9 mai 2025

Ces parfums qui me dégoûtent

 

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Ces parfums qui me dégoûtent


Par Sergio de Rosemont

Ces parfums qui me dégoûtent.

Le premier parfum qui me dégoûte est celui de l’hypocrisie.

Le second étant celui de l’arrogance.

Le troisième étant celui du narcissisme.

Le quatrième étant celui du racisme.

Et le cinquième étant celui du fascisme, de l’extrême-droite.

Évidemment, ce cinquième parfum est créé avec la combinaison des quatre précédents.

Étant la combinaison de quatre parfums infects précédents, son odeur est pestiférant et toxique.

Une odeur pestiférant et toxique comme celle d’un cancer.

Oui, car on y parle bien d’un cancer moral et social de notre société.

Et chaque collectif et individu qui soutiennent ce fascisme, ce nazisme, cette extrême-droite est à mes yeux comme des métastases ou des tumeurs pour notre société.

Et ces odeurs malsaines sont des odeurs qui sont perceptives, surtout avec notre for intérieur.

Oui ce sont ces parfums qui me dégoûtent ! .

jeudi 8 mai 2025

Vous vous demandez

 

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Vous vous demandez


Par Sergio de Rosemont

Vous vous demandez si l'enfer existe vraiment ?

Demandez aux Palestiniens et aux Gazaouis !


Photo du 06 mai 2025

vendredi 25 avril 2025

J’ai trop bu de cette coupe

 

Pourquoi parfois, moralement, je suis comme un loup.

J’ai trop bu de cette coupe


Par Sergio de Rosemont

J’ai trop bu de cette coupe.

On m’a trop souvent forcé à boire à cette coupe.

À cette coupe de la condescendance.

À cette coupe du mépris.

À cette coupe de la discrimination.

À cette coupe qui est l’ensemble de ces coupes.

Enfant, j’avais une déformation de mes jambes, elles étaient croches vers l’extérieur.

Et j’ai dû subir une opération importante à mes 2 jambes afin de les redresser à l’âge de 12 ans.

Mes parents furent en grande partie responsables de ma jeunesse infernale que j’ai tant détestée.

Ma mère me défendait de me vêtir comme n’importe quel autre jeune, par exemple en m’interdisant de porter des jeans, m’obligeant à porter des pantalons gris pâle, style habits des années 60s.

Elle était paradoxale d’une certaine façon, elle était une fanatique religieuse, pourtant, elle avait comme un côté disons sorcière avec sa cartomancie qu’elle maitrisait.

Tant qu’à mon père, lui avec son alcoolisme, avec lequel, disons, qu’il m’a volé mon enfance.

J’ai eu à vivre l’enfer du Mont D’Youville pendant 4 ans.

Et oui, j’y ai été placé durant 4 ans. Pour moi, cet endroit était comme un enfer, une prison.

Là où j’ai dû boire à cette "Coupe de la violence et de l’intimidation".

Ce Mont D’Youville où l’usage des coups de bâton sur les doigts ainsi que l’usage de la ceinture en frappant l’enfant avec la boucle de la ceinture était en usage pour appliquer ce qu’elles / ils appelaient la discipline aux enfants.

Je me rappelle de ce moniteur qui m’avait lancé avec force en pleine face un ballon de soccer (football européen) qui avait trempé dans l’eau.

Et je vous confirme que recevoir un ballon de soccer en pleine face, ça fait mal, très mal, surtout quand vous n’avez que 10 ans !

Je me rappelle aussi l’été où j’ai dû participer à la colonie de vacances de ce Mont D’Youville.

Là où quand certains moniteurs étaient insatisfaits de certains enfants, utilisaient et disons comme rituel disciplinaire, de poignée l’enfant par le poignet et de le faire tourner autour d’un tas de sable en lui administrant des coups de pied assez forts au postérieur.

Un autre de leur rituel disciplinaire qui me revient en mémoire était de faire un trou dans ce tas de sable, d’y faire s’assoir l’enfant qui devait retenir ses jambes au niveau des genoux et ensuite de l’ensevelir sous le sable avec au moins 2 pouces par-dessous la tête et en le laissant ainsi pendant au moins une minute.

Essayez ne serait-ce qu’une minute d’imaginer ce qu’un enfant de 10 ans peut ressentir dans cette situation.

Essayez de vous imaginer à sa place !

Par la suite, après ce Mont D’Youville, quand j’ai dû réintégrer l’école publique, disons régulière (fin de l’élémentaire et du secondaire), encore là, j’ai dû recommencer à faire face à l’intimidation dans la cour d’école ainsi qu’à la sortie des classes.

Où souvent, je me devais d’affronter 3 ou 4 autres étudiants sur mon chemin de retour à la maison.

Et oui, je n’étais qu’un amusement pour eux.

Par la suite, dans mon début de l’âge adulte, j’ai été obligé de à cette "Coupe de la trahison".

Cette coupe qui me fut servie par des personnes que je croyais être mes amis.

Et encore là, je n’étais qu’un amusement pour eux.

Avez-vous une idée à quel point j’ai pu haïr ma jeunesse ?

Combien de fois dans ma jeunesse j’ai pu me demander pourquoi j’existais, que je vivais ?

Encore là, en écrivant ces lignes, un souvenir me revient en mémoire, un événement qui m’est survenu à mes 17 ans.

La fois où j’ai dû faire face à mon père dans un combat armé.

J’explique, il était soûl et il était en colère, car il avait appris que j’avais fumé un joint et me le reprochait.

Alors, je lui mentionnai qu’il était mal placé pour me faire la morale dans l’état qu’il était.

Alors, il a pris une chaise et a tenté de me frapper avec et j’ai eu juste le temps de poignée un bâton qui était sur mon bureau à côté de moi pour répliquer.

Et au moment où il trébucha, j’en profitai pour fuir vers le carré d’Youville proche de la porte Saint-Jean, d’où j’appelai mon parrain au téléphone.

Essayez d’imaginer comment vous pouvez-vous sentir quand vous subissez un enfer que vous n’avez pas provoqué et que vous ne méritez pas.

Ne vous demandez pas pourquoi je peux haïr ma ville natale.

Ne vous demandez pas non plus pourquoi parfois mes réactions peuvent être corrosives.

Ne vous interrogez pas à savoir pourquoi mon âme peut occasionnellement être colérique face à la condescendance, au mépris, à la trahison et à toutes les formes de discriminations.

Dans ma tendre jeunesse, côté caractère, j’étais comme un agneau, maintenant, je suis comme un loup.

Comme loup, aucun n’est plus dangereux que celui qui était un agneau dans sa jeunesse.

Pourquoi ? Par ce qu’à force de se faire mordre quand il était un agneau, il a appris où mordre pour que ça fasse mal, très mal.

Quelque part, ce que je suis maintenant, c’est cette société qui en partie m’a fait ainsi.

Oui, je suis comme un loup se battant pour une justice sociale, pour l’équité.

Effectivement, écrire ce texte, a rouvert certaines cicatrices dans l’âme, mais en même temps, ça m’a été libérateur car peut-être que cela permettra à certains de mieux me comprendre.

Voilà, je vous ai permis de mieux comprendre pourquoi je suis comme je suis.

En terminant, j’aurais un message destiné que pour les intimidateurs.

Celui donc vous prenez plaisir à intimider est un être humain tout comme vous.

Qui tout comme vous ressentent la joie, la peine, l’amour, la haine, le plaisir, la colère et la haine.

Si un jour celui que vous avez intimidé devient mentalement comme un loup ou un carcajou et décide de vous affronter, vous en serez vous-même coupable, car vous étiez l’intimidateur et que lui ne fera que se défendre.

Tout comme vous, il a le droit de vivre et au bonheur.

Demandez-vous si vous aimeriez qu’on vous traite de la même façon que vous le faite avec lui.