Cette saveur amère de vomissure
Cette saveur amère de vomissure, c'est ce qui me vient dans la gorge en entrant dans ce lieu de travail.
Comme un temple érigé à la gloire de toute cette hypocrisie, érigée presqu'en institution.
Voir tous ces faces de charognards qui feignent l'acceptation, mais qui pourtant ont pris plaisir à ce festival du coup de couteaux dans le dos.
Comment pourrais-je maintenant les accepter ?
Comment pourrais-je leur pardonner ?
Non, je ne leurs pardonnerais jamais !
On ne pardonne pas à des lâches !
Par respect envers moi-même, je ne leur pardonnerais pas.
Non, ne vous en faites pas je ne leur réserverais pas un chien de ma chienne.
Je préfères leur réserver une portée de ma louve.
Et croyez-moi que ces loups auront d'excellentes dents.
Je n'ai jamais autant haïs les lâches.
Jamais plus, non plus jamais je ne pourrais voir cette entreprise de la même façon.
Maintenant je n'y ressens qu'une colère, qu'une rage me fait monter dans la gorge cette sphère d'acier en fusion tournoyante dans mes entrailles, créée par cette blessure morale, créée par cette traîtrise.
Non, je ne leur réserves pas un chien de ma chienne.
Je leur réserve une portée de ma louve.
Que ces loups puissent leur dévorer les entrailles afin qu'ils ressentent ce que je ressent !
Mais ne vous en faites pas, après tout il ne sagit que d'une poésie !
Cette saveur amère de vomissure, c'est ce qui me vient dans la gorge en entrant dans ce lieu de travail.
Comme un temple érigé à la gloire de toute cette hypocrisie, érigée presqu'en institution.
Voir tous ces faces de charognards qui feignent l'acceptation, mais qui pourtant ont pris plaisir à ce festival du coup de couteaux dans le dos.
Comment pourrais-je maintenant les accepter ?
Comment pourrais-je leur pardonner ?
Non, je ne leurs pardonnerais jamais !
On ne pardonne pas à des lâches !
Par respect envers moi-même, je ne leur pardonnerais pas.
Non, ne vous en faites pas je ne leur réserverais pas un chien de ma chienne.
Je préfères leur réserver une portée de ma louve.
Et croyez-moi que ces loups auront d'excellentes dents.
Je n'ai jamais autant haïs les lâches.
Jamais plus, non plus jamais je ne pourrais voir cette entreprise de la même façon.
Maintenant je n'y ressens qu'une colère, qu'une rage me fait monter dans la gorge cette sphère d'acier en fusion tournoyante dans mes entrailles, créée par cette blessure morale, créée par cette traîtrise.
Non, je ne leur réserves pas un chien de ma chienne.
Je leur réserve une portée de ma louve.
Que ces loups puissent leur dévorer les entrailles afin qu'ils ressentent ce que je ressent !
Mais ne vous en faites pas, après tout il ne sagit que d'une poésie !