Excellent la réalité péquiste en un seul texte , À lire :
Moi je trouve que PQ, PLQ et CAQ ça se ressemble pas mal. Dire que certains prétendent que l’on vit dans une belle province et un beau pays très démocratique et que l’on devrait en être fiers. La véritable option pour les Québécois qui tiennent vraiment aux notions de bien commun, de l’égalité des chances, de justice sociale et économique et de solidarité est Québec Solidaire qui en Europe serait considéré, ce qu’il est vraiment, un parti politique de centre-gauche. Je sais que le réputé chroniqueur Richard Martineau et sa douce moitié Sophie Durocher, elle aussi chroniqueuse renommée, ne pensent pas du tout comme moi. Pour ces derniers, il faut assimiler Québec Solidaire à des communistes comme Karl Marx, Fidel Castro, Mao Tsé-Toung et Hugo Chavez.
Léo-Paul Lauzon
Moi je trouve que PQ, PLQ et CAQ ça se ressemble pas mal. Dire que certains prétendent que l’on vit dans une belle province et un beau pays très démocratique et que l’on devrait en être fiers. La véritable option pour les Québécois qui tiennent vraiment aux notions de bien commun, de l’égalité des chances, de justice sociale et économique et de solidarité est Québec Solidaire qui en Europe serait considéré, ce qu’il est vraiment, un parti politique de centre-gauche. Je sais que le réputé chroniqueur Richard Martineau et sa douce moitié Sophie Durocher, elle aussi chroniqueuse renommée, ne pensent pas du tout comme moi. Pour ces derniers, il faut assimiler Québec Solidaire à des communistes comme Karl Marx, Fidel Castro, Mao Tsé-Toung et Hugo Chavez.
Léo-Paul Lauzon
PLQ, CAQ et PQ : Du pareil au même?
Léo-Paul Lauzon - 4 juillet 2012
La semaine dernière, Pauline Marois, la chef du Parti Québécois, ironisait sur le dos du Parti libéral du Québec et sur celui de la Coalition avenir Québec (qui veut désormais se faire reconnaître comme l’Équipe de François Legault) en clamant : «Je trouve bien dommage qu’il n’y ait pas d’alliance entre la CAQ et le PLQ. Ils se ressemblent tellement. La CAQ, c’est un peu M. Charest» (Le Devoir, 26 juin 2012).
Énoncer et souhaiter cette alliance n’est pas très stratégique électoralement parlant de sa part mais bon, qu’à cela ne tienne, madame Marois et le PQ ne semblent guère mieux, ni maintenant, ni avant : «Le PQ reluque des adéquistes» (Journal de Montréal, 19 juin 2008). Et le 26 octobre 2008, madame Marois en fait une priorité et met le paquet afin d’appâter des députés de l’Action démocratique du Québec (ADQ maintenant fusionnée avec la CAQ) : «Marois prête à accueillir des transfuges adéquistes». Pas tellement grave si l’ADQ est fédéraliste et très à droite, pourquoi s’enfarger dans les détails ? Le PQ et Bernard Landry n’ont-ils pas eu comme conseillers économiques deux anciens de l’Institut économique de Montréal en Maxime «Jos Louis» Bernier (maintenant député conservateur) et Daniel Audet issu du Conseil du patronat (malheureusement décédé récemment)?
L’Institut économique de Montréal n’est pas à droite tellement il est à droite : c’est la droite. D’ailleurs, un de ses économistes a récemment fait paraître un texte d’opinion dans La Presse pour dénoncer la politique «sexiste» des sacs réutilisables à la SAQ car une femme, qui n’a pas un de ces sacs, peut mettre sa bouteille de vin dans sa sacoche. Elle échappe alors aux regards indiscrets et au jugement des autres qui s’intéresseraient évidemment à la dite étiquette car ils n’ont que ça à faire regarder les achats des autres… Alors que l’homme est biaisé! S’il n’a pas son sac réutilisable, voilà qu’il affiche sa pastille de couleur et l’étiquette de sa bouteille de vin au monde entier! Diantre! Bref, n’importe quoi pour attaquer un service d’État (car bien sûr l’entreprise privée offre des sacs à 0,05$ pour le plus grand bien de notre environnement et des petits cachotiers). Ça donne le ton de l’IEDM comme conseiller de chef d’État… Disons que la SAQ a versé en 2011 dans les coffres de l’État du Québec un dividende d’un milliard de dollars. C’est environ le tiers de ce que les 300 000 compagnies au Québec ont versé pour cet exercice en impôts sur le revenu au Trésor. Sans compter que la SAQ ne reçoit aucune subvention, contre au moins six milliards pour les entreprises et qu’elle paie rubis sur ongle et en entier l’argent qu’elle collecte en TVQ et en TPS, ce qui n’est pas le cas pour des milliers de compagnies.
Tiens, tiens, tiens, d’autres titres d’articles qui en disent long sur la véritable nature du Parti québécois : «L’ex-numéro deux de l’ADQ sera candidate pour le PQ», puis «d’anciens péquistes et bloquistes candidats pour l’ADQ» et enfin : «Un ancien candidat à la direction du PQ claque la porte pour se joindre à… l’ADQ».
La semaine dernière, Pauline Marois, la chef du Parti Québécois, ironisait sur le dos du Parti libéral du Québec et sur celui de la Coalition avenir Québec (qui veut désormais se faire reconnaître comme l’Équipe de François Legault) en clamant : «Je trouve bien dommage qu’il n’y ait pas d’alliance entre la CAQ et le PLQ. Ils se ressemblent tellement. La CAQ, c’est un peu M. Charest» (Le Devoir, 26 juin 2012).
Énoncer et souhaiter cette alliance n’est pas très stratégique électoralement parlant de sa part mais bon, qu’à cela ne tienne, madame Marois et le PQ ne semblent guère mieux, ni maintenant, ni avant : «Le PQ reluque des adéquistes» (Journal de Montréal, 19 juin 2008). Et le 26 octobre 2008, madame Marois en fait une priorité et met le paquet afin d’appâter des députés de l’Action démocratique du Québec (ADQ maintenant fusionnée avec la CAQ) : «Marois prête à accueillir des transfuges adéquistes». Pas tellement grave si l’ADQ est fédéraliste et très à droite, pourquoi s’enfarger dans les détails ? Le PQ et Bernard Landry n’ont-ils pas eu comme conseillers économiques deux anciens de l’Institut économique de Montréal en Maxime «Jos Louis» Bernier (maintenant député conservateur) et Daniel Audet issu du Conseil du patronat (malheureusement décédé récemment)?
L’Institut économique de Montréal n’est pas à droite tellement il est à droite : c’est la droite. D’ailleurs, un de ses économistes a récemment fait paraître un texte d’opinion dans La Presse pour dénoncer la politique «sexiste» des sacs réutilisables à la SAQ car une femme, qui n’a pas un de ces sacs, peut mettre sa bouteille de vin dans sa sacoche. Elle échappe alors aux regards indiscrets et au jugement des autres qui s’intéresseraient évidemment à la dite étiquette car ils n’ont que ça à faire regarder les achats des autres… Alors que l’homme est biaisé! S’il n’a pas son sac réutilisable, voilà qu’il affiche sa pastille de couleur et l’étiquette de sa bouteille de vin au monde entier! Diantre! Bref, n’importe quoi pour attaquer un service d’État (car bien sûr l’entreprise privée offre des sacs à 0,05$ pour le plus grand bien de notre environnement et des petits cachotiers). Ça donne le ton de l’IEDM comme conseiller de chef d’État… Disons que la SAQ a versé en 2011 dans les coffres de l’État du Québec un dividende d’un milliard de dollars. C’est environ le tiers de ce que les 300 000 compagnies au Québec ont versé pour cet exercice en impôts sur le revenu au Trésor. Sans compter que la SAQ ne reçoit aucune subvention, contre au moins six milliards pour les entreprises et qu’elle paie rubis sur ongle et en entier l’argent qu’elle collecte en TVQ et en TPS, ce qui n’est pas le cas pour des milliers de compagnies.
Tiens, tiens, tiens, d’autres titres d’articles qui en disent long sur la véritable nature du Parti québécois : «L’ex-numéro deux de l’ADQ sera candidate pour le PQ», puis «d’anciens péquistes et bloquistes candidats pour l’ADQ» et enfin : «Un ancien candidat à la direction du PQ claque la porte pour se joindre à… l’ADQ».
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