lundi 27 mai 2024

Il y a une différence entre juste Exister et Vivre.

 

Voici ma réflexion que je partage avec vous

Il y a une différence entre juste Exister et Vivre.


Par Sergio de Rosemont

On peut prendre ses 3 repas par jour, ses nuits de sommeil, prendre sa douche quotidienne sans trop se poser de questions.

Ca ça s’appelle exister, simplement exister !

Vous pouvez vous contenter de visionner la TV ou l’internet sans prendre le temps de vous interroger, vous questionner sur la véracité de ce qui y est diffusé.

Ca ça s’appelle exister, simplement exister !

Vous pouvez y prendre ces discours, ces opinion déjà pré-pensées et décider d’en faire votre idéologie, votre opinion propre sans même comprendre le sens profond de ces discours.

Ca ça s’appelle exister, simplement exister !

Vous pouvez décider de vous habiller uniquement qu’avec des vêtements griffés, et oui c’est « IN », après tout il faut bien suivre le troupeau, n’est-ce pas ?

Ca ça s’appelle exister, simplement exister !

Si tu agis tout le temps en t’assurant de bien répondre à la moindre petite norme sociale, après tout il faut s’assurer de ne contrarier personne, n’est-ce pas ?

Ca ça s’appelle exister, simplement exister !

Par contre si tu agis en fonction de tes convictions et tes croyances réelles.

Alors là tu ne te contente pas d’exister, t’as décidé de vivre !

Si tu fais des actions car dans ton for intérieur elles doivent être accomplies, même si plusieurs autour de toi s’y opposent.

Alors là tu ne te contente pas d’exister, t’as décidé de vivre !

Quand dans ton habillement tu portes des vêtements qui te correspondent et que t’en a rien à foutre des vêtements griffés car t’as vraiment pas le goût de suivre le troupeau.

Alors là tu ne te contente pas d’exister, t’as décidé de vivre !

Quand tu ne te contentes pas des discours et des informations officielles diffusées dans les médias mais que tu cherches à comprendre le « NON-DIT ».

Alors là tu ne te contente pas d’exister, t’as décidé de vivre !

samedi 25 mai 2024

La douleur, la rage et la colère de ma jeunesse forment l’énergie de mon combat.

 

Mes sentiments que je partage avec vous

La douleur, la rage et la colère de ma jeunesse forment l’énergie de mon combat

Par Sergio de Rosemont

Au moment d’écrire ces lignes, je suis le 23 mai 2024 en après-midi et je suis assis dans un café pour y prendre un thé question d’y digérer une émotion de ce matin.

Ce matin alors que je regardais les informations à la télévision, j’appris la nouvelle que les victimes du "Mont-d’Youville" ont gagné dans leur poursuite.

Ce fut pour moi une forte émotion paradoxale, une émotion de joie mélangé à une colère et à un sentiment de dégoût.

Ey oui j’y ai été placé pendant 4 ans.

Quatre années qui furent pour moi un enfer.

Cet orphelinat dirigé par les "Sœurs de la Charité".

Oui elles étaient très charitables dans les coups de ceinture et de bâton envers les enfants qui y étaient pensionnaires.

La croix et le crucifix chrétiens peuvent souvent être symboles des forces du mal, de l"Enfer" et entre mes 8 ans et mes 11 ans ca en était le cas.

Je n’y ai pas subi de sévices sexuels, par contre dans mon cas, c’était des abus de violence que j’y ai subi et ma tortionnaire se nommait "Mère Brillant", elle adorait faire usage d’un bâton ou d’une ceinture lorsqu’elle frappait les enfants.

Et lorsqu’elle utilisait une ceinture, elle aimait frapper avec la boucle de la ceinture qui était évidemment en métal, ça fait plus mal.

Moi, je m’étais pas inscrit à cette poursuite mais je suis tout de même heureux qu’ils aient gagné leur poursuite car enfin la vérité, cette vérité est reconnue.

Mais par contre cette colère et ce dégout viennent du fait que ces faits me sont arrivé entre mes 8 et mes 11 ans et qu’il m’a fallu attendre à mes 66 ans pour voir enfin cette vérité enfin reconnue.

Ce que je déplore aussi c’est que "Mère Brillant" n’a pas pu être traîné devant un tribunal.

Mais ma colère et mon dégout viennent aussi du fait que si j’y ai été placé, c’est surtout à cause de l’alcoolisme de mon père.

Et dire qu’au début qu’on avait tenté de me faire croire que c’était à cause de mes résultats scolaires.

J’espère Père que ta "Labatt 50" était bonne, t’as scrapé mon enfance et ma jeunesse.

Et oui la douleur, la rage et la colère de ma jeunesse forment l’énergie de mon combat.

Ey oui cette colère, ce "Loup Intérieur" qui loge dans mes entrailles est parfois, souvent l’énergie qui me motive à me battre pour changer cette société.

POUR PLUS D’INFORMATION SUR LE DOSSIER DU MONT-D’YOUVILLE

mercredi 22 mai 2024

Nos Créatures Intérieures

 

Mon plus récent tableau en 3D

Nos Créatures Intérieures

Par Sergio de Rosemont

Photo du 19 mai 2024

lundi 20 mai 2024

Ce qui est beau à mes yeux, ne l’est peut-être pas à tes yeux.

 

Mon poème, ma réflexion que je partage avec vous.

Ce qui est beau à mes yeux, ne l’est peut-être pas à tes yeux.


Par Sergio de Rosemont

Ce qui est beau à mes yeux, ne l’est peut-être pas à tes yeux.

Nous avons beau avoir des yeux constitués de la même façon, nos regards sont différents.

Le regard de notre œil est celui de notre âme.

C’est notre âme qui regarde à travers notre œil.

Et ce sont nos valeurs qui déterminent notre regard, ce que nous trouvons beau et ce que nous trouvons laid.

Ce que nous trouvons magnifique et ce que nous trouvons horrible.

Ce qui est beau à mes yeux, ne l’est peut-être pas à tes yeux.

mardi 14 mai 2024

Si jeune pour déjà mourir

 

Voici ma réflexion que je partage avec vous

Si jeune pour déjà mourir



Par Sergio de Rosemont

Si jeune pour déjà mourir.

Un oisillon naissant tombé du nid.

Fort probablement un accident.

Hey pourtant, sûrement que son désir était de vivre.

Il n’a même pas eu le temps d’avoir ses premières plumes.

Fort probablement un accident.

Il n’a pas pu découvrir le plaisir, le bonheur de faire son premier envol.

Fort probablement un accident.

Oui, il aurait pu chanter comme tant d’autres oiseaux, ce qui met de la vie dans nos parcs et espaces publics.

Fort probablement un accident.

Effectivement, je trouve ça très triste de voir un être, innocent mourir aussi jeune, bébé, par accident.

Par contre ce que je trouve encore plus triste et surtout très révoltant à mes yeux, c’est de voir tous ces enfants palestiniens qui meurent et même plusieurs sont encore des bébés.

Et ils ne meurent pas par accident.

Ils meurent assassinés par l’armée israélienne.

Y a-t-il un geste plus lâche que celui d’assassiner des enfants et des bébés ?

Et tout ce massacre avec la bénédiction de Benyamin Netanyahou !

dimanche 12 mai 2024

Par quoi t'identifie tu ?

 

Mon plus récent tableau en 3D

Par quoi t'identifie tu ?


Par Sergio de Rosemont

Par quoi t'identifie tu ?

Par des marques ou par les valeurs ?

Applaudir l’armée ?

 

Francis nous parle de l’armée

Applaudir l’armée ?


8 mai 2024

Le 25 avril dernier, pour la première fois de ma vie, et sans doute aussi pour la dernière, j’ai applaudi l’armée.

Il faut dire que ce n’était pas n’importe quelle armée. Il s’agissait de celle du Portugal et, surtout, des vétérans de 1974, qui ont libéré le peuple de la dictature. Les voir défiler la main sur le cœur et un œillet rouge à la boutonnière sur les chars mêmes qui ont servi à aller déloger le dictateur Caetano (successeur de Salazar) en ce 25 avril 2024, 50 ans après la fameuse révolution des œillets était particulièrement émouvant.

On peine à imaginer aujourd’hui des forces armées au service du peuple plutôt qu’aux ordres de ses dirigeant. C’est d’ailleurs toujours le mot d’ordre des forces armées portugaises : « Au service de la population », en plus de leur devise « C’est ma patrie heureuse, ma bien-aimée ».

La ville de Lisbonne ne manquait pas d’expositions ravivant les souvenirs de cette période exaltante. L’une en particulier m’a franchement impressionné : Les 10 jours qui ont bouleversé le Portugal tenue par un organisme communautaire appelé « Archives éphémères ».

Objets de l’époque, photos, cartes, bibelots, articles de journal, affiches, journaux personnels, lettres manuscrites, tasses, verres, souvenirs de toutes sortes faisaient revivre la petite histoire dans la grande et rendaient un témoignage très touchant de cette révolution pas comme les autres.

Je ne peux m’empêcher pour conclure mon commentaire de souligner deux réactions venues de France qui m’ont tout simplement dégoûté. D’abord, il y a Cavanna dans un article qui se plaignait que les révolutionnaires ne fassent pas subir aux dirigeants déchus le même sort qu’ils réservaient à leurs opposants.

Quelqu’un avait écrit une réponse en français (le français est beaucoup pratiqué au Portugal, surtout à l’époque) sur l’article même en dessinant un gros phylactère comme dans les bandes dessinées. En gros, ça disait : « Vois-tu, Cavanna, c’est pour ça que nous sommes de gauche et que nous ne sommes pas la droite. Nous, nous n’éliminons pas nos adversaires. »

L’autre vient de Libération. Je me rappelle que, déjà, dans les années 80, je préférais Le Monde, que je trouvais plus sérieux, à Libération, que j’estimais destiné aux esprits superficiels et bourgeois. Certes, Le Monde n’a pas tardé à dégringoler à vitesse grand V au point de devenir le torchon néolibéral qui a gracieusement ouvert ses pages à l’odieux Premier Ministre du Québec, Jean Charest, en 2012, lui qui jouissait de voir les étudiant·e·s se faire matraquer, sans que cette feuille aujourd’hui macroniste ne daigne tolérer la moindre réplique ni même une mise en contexte.

Mais pour revenir à Libération, son article superficiel coiffé du titre insultant « Libération ou simple défoulement ? » affichait bien sa tendance libérale. Le seul fait de poser cette question d’une vulgarité sans nom montrait clairement une préférence pour l’ordre bourgeois. C’était une dérive que je ne croyais pas si hâtive, mais elle ne s’est jamais démentie depuis.

Mais de 25 Abril. Fascismo, nunca mais !

Francis Lagacé

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SITE DE FRANCIS LAGACÉ

mardi 7 mai 2024

Parfois la vie est comme un casse-tête échappé sur le trottoir

 

Mon plus récent poème sur l’une des réalités de notre si belle société.

Parfois la vie est comme un casse-tête échappé sur le trottoir

 

Par Sergio de Rosemont

Parfois pour certains, la vie est comme un casse-tête.

Ils essaient honnêtement de faire de leur mieux pour faire leur vie d’une façon décente.

Ils font de leur mieux et même parfois, ils font des acrobaties, des contorsions morales pour tenter d'avoir des relations sociales harmonieuses.

Mais parfois tel que sur un casse-tête, il y a une pièce qui ne veut pas s’insérer ou est introuvable.

Ce qui fait que la belle image qu’ils aimeraient tant montrer à cette société ne peut pas être complète et satisfaire les "dits" conventionnel et "dits" bien-pensant de cette société.

Mais parfois, hélas oui parfois pour une ou des raisons "X", "Y", "Z", ces personnes se retrouvent à la rue.

Et leur vie en devient comme un casse-tête échappé violement sur la pavée du trottoir.

Ils ne sont plus capables de remettre les morceaux de ce casse-tête ensemble en place.

Et alors l"Espoir" les quitte sans aucun préavis.

Et alors la seule compagne qu’ils leur reste se nomme "Folitude".

La "Folitude" c’est la folie due à la solitude qui elle-même est due à la folie.

Une folie du désespoir.

Malheureusement la dague que cette société vous enfonce dans l’âme, dans le cœur laisse des cicatrices douloureuses pour des années et des années et parfois jusqu’à la fin de la vie à son dernier souffle.

Les blessures morales sont souvent plus douloureuses que les blessures physiques même si elles sont moins visibles.

Oui parfois la vie est comme un casse-tête échappé sur le trottoir.

vendredi 3 mai 2024

Je repense à ce fanatique religieux

Avoir écrit ce texte est une façon pour moi de dénoncer ce fanatisme religieux.

Je repense à ce fanatique religieux


Par Sergio de Rosemont

Je suis assis dans cette pizzéria et je me rappel de ce fanatique.

J’étais assis dans un café sur la rue Masson à l’une des tables communes.

Il y a un type qui vient s’assoir à la même table que moi.

Il sort son pad pour écrire, il me regarde en me saluant et en me demandant comment ça allait.

Je lui réponds alors par mon traditionnel : « On travaille pour ! ».

Et j’enchaîne en lui souhaitant : « Bonne lecture ».

Il me répond qu’il a une conférence à faire et qu’il travail là-dessus.

Je lui réponds : « Bonne conférence ».

Il me mentionne alors que sa conférence porte sur la : « Grâce, la Grâce divine ».

La discussion commence.

Son attention est attirée par ma bague dragon oriental.

Je lui explique alors que contrairement à l’Occident où pour plusieurs, le dragon représente les forces négatives, qu’en Orient les dragons représentent les forces de la nature.

Par la suite, son attention fut attirée par mon pentagramme que je porte dans le cou.

Je lui explique alors que la définition originale du pentagramme qui représentait l’humain dans l’univers, dans le monde.

C’est alors qu’il commence à faire dévier la conversation vers un fanatisme religieuse avec un discours où la seule chose d’importance dans la vie était sa : « Grâce divine » et rien d’autre, absolument rien d’autre.

Peu après la conversation dérive sur la politique internationale.

Et c’est là que le dégoût envers ce conférencier m’a pris.

Il commença à tenir un discours très méprisant envers les musulmans et il m’avoue être en faveur de ce qui arrive aux palestiniens.

Et il m’envoi : « Y ont juste à s’évangéliser, à se convertir et prier Jésus ! ».

Et il continu : « Qu’ils se fassent exterminer ce n’est pas grave, ils ont juste à se convertir ! ».

Et oui pour monsieur, que les palestiniens se fassent massacrer, ce n’est pas grave, pour lui la seule chose qui ait de l’importance, c’est que les palestiniens commencent à prier son « Jésus ».

C’est alors que j’ai préféré me lever et sacrer mon camp avant de le frapper, ce type me dégoûte, me donne le goût de vomir.