Mon plus récent poème sur l’une des réalités de notre si belle société.
Par Sergio de Rosemont
Parfois pour certains, la vie est comme un casse-tête.
Ils essaient honnêtement de faire de leur mieux pour faire leur vie d’une façon décente.
Ils font de leur mieux et même parfois, ils font des acrobaties, des contorsions morales pour tenter d'avoir des relations sociales harmonieuses.
Mais parfois tel que sur un casse-tête, il y a une pièce qui ne veut pas s’insérer ou est introuvable.
Ce qui fait que la belle image qu’ils aimeraient tant montrer à cette société ne peut pas être complète et satisfaire les "dits" conventionnel et "dits" bien-pensant de cette société.
Mais parfois, hélas oui parfois pour une ou des raisons "X", "Y", "Z", ces personnes se retrouvent à la rue.
Et leur vie en devient comme un casse-tête échappé violement sur la pavée du trottoir.
Ils ne sont plus capables de remettre les morceaux de ce casse-tête ensemble en place.
Et alors l"Espoir" les quitte sans aucun préavis.
Et alors la seule compagne qu’ils leur reste se nomme "Folitude".
La "Folitude" c’est la folie due à la solitude qui elle-même est due à la folie.
Une folie du désespoir.
Malheureusement la dague que cette société vous enfonce dans l’âme, dans le cœur laisse des cicatrices douloureuses pour des années et des années et parfois jusqu’à la fin de la vie à son dernier souffle.
Les blessures morales sont souvent plus douloureuses que les blessures physiques même si elles sont moins visibles.
Oui parfois la vie est comme un casse-tête échappé sur le trottoir.
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