Le chuchottement, la voix des lâches.
Le chuchottement, la voix des lâches des hypocrites.
La voix de ceux à qui leurs manque assez de coeur au ventre pour affronter celui à qui ils lui reprochent quelque chose, pour justement lui dire ce qu'on a à lui reprocher.
Favorisant la philosophie du coup de poignard dans le dos, ils préfèrent partir des rumeurs ou salir des réputations auprès de tiers partis.
Ils adorent entre lâches faire courir les rumeurs, en omissant de mentionner qu'ils en sont l'origine.
S'amusant en les amplifiant et les modifiant question de donner plus de mordant à l'histoire.
Faisant en sorte que les rumeurs en devienne mensonges et n'ai plus aucun rapport avec la vérité.
Ca en est un sport pour eux.
Fréquenment, ils seront la source de création de click dans les milieux de travail.
Plusieurs croient que c'est pour impressioner quand je dis que je n'ai pas froid et que je suis en t-shirt dehors dans le Vieux-Montréal en plein mi novembre.
Non !
C'est que j'y suis confortable .
Ca me permet d'oublier pour un court lapse de temps ces imbéciles qui s'image être des mastros de la stratégie avec leurs manigances enfantines.
Pour moi ce froid n'est que fraiche et détente.
Ce froid me permet d'obtenir un moment de détente à l'écart des chuchottements des lâches.
Il me permet de méditer, de réfléchir.
Il me permet de me permet de me retrouver avec moi-même afin de refaire mon harmonie avec moi-même .
À l'écart de ces arrogants jouant à savoir lequel impressionnera le plus les autres.
À l'écart de ces supposés amis qui disent être votre grand ami, question évidenment de devenir essentiel à vos yeux.
À l'écart de tous ces visages décorés de leur splendide sourire d'yppocrites à deux faces.
Oui ce froid me permet d'oublier ce chuchottement, cette voix des lâches des hypocrites, oui il me permet d'avoir comme compagnons dans ce parc que les pigeons.
Et le vent à mes oreille fait office de musique me permettant d'oublier pour un instant le jacassage de ces hyppocrites.
Si ce froid ne me dérange pas, s'il m'est confortable et n'est pour moi qu'une fraiche.
Serait-ce à cause de mon refus de l'idée que ce froid soit infernal, infernal ?
Je vous laisse cette angroisse à l'idée d'un froid infernal !
Si vous crayez tellement le froid, est-ce à cause qu'il vous rappel le froid de votre âme, ou l'état de froideur, de congèlation dans lequel se retrouve votre âme ?
Si vous aimez autant le soleil et la chaleur serait-ce justement parce qu'inconscienment vous espèrez qu'il fera fondre ce bloc de glace qui emprisonne votre âme ?
Si un jour une fée me demande de faire un voeux, je pourrait lui demander que ce froid puisse geler sur place ces parasites, pour qu'ensuite le vent puisse les propulser dans le fleuve question de leurs rafraichir l'esprit !
Tiens il faudrait que je regardes dans les petites annonces s'il y a une fée qui annonce !
J'aimerais en terminant vous inviter
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