La nourrice clandestine.
Je suis à la fenêtre de la cuisine lavant la vaisselle.
Regardant par cette fenêtre je vois une vieille dame méfiante regardant tout autour d'elle, question de s'assurer que personne ne la voie.
Et soudainement dans un geste brusque et rapide, sort d'un sac plusieurs morceaux de pain, qu'elle lance sur le trottoir pour les pigeons et s'éloigne rapidement.
et oui voilà la société dans laquelle nous vivons !
Une société où une veille femme qui désire faire un geste d'amour envers les oiseaux en ressente une gêne, un mal à l'aise.
et oui une société ou on impose des règlements municipaux interdisant de nourrir les oiseaux.
Ces oiseaux, l'un des derniers symboles de liberté encore vivant.
Ces oiseaux probablement les seules créatures vivantes avec lesquelles cette vieille dame ait encore des contacts.
Les seules créatures envers lesquelles elle peut encore faire preuve d'affection.
Mais hélas cette société n,éprouve que du mépris envers ces créatures de paix, ces oiseaux de liberté.
Comment ne pas ressentir du chagrin envers cette vieille dame qui me semble dans les 70 ans ?
Et dites-moi comment ne pas ressentir d'amertume en pensant à la façon donc ces oiseaux sont considérés dans cette société ?
Mais surtout dites-moi comment ne pas ressentir une répugnance envers cette société lorsque je pense à cette vieille dame et ces oiseaux ?
Dites-moi !
Je suis à la fenêtre de la cuisine lavant la vaisselle.
Regardant par cette fenêtre je vois une vieille dame méfiante regardant tout autour d'elle, question de s'assurer que personne ne la voie.
Et soudainement dans un geste brusque et rapide, sort d'un sac plusieurs morceaux de pain, qu'elle lance sur le trottoir pour les pigeons et s'éloigne rapidement.
et oui voilà la société dans laquelle nous vivons !
Une société où une veille femme qui désire faire un geste d'amour envers les oiseaux en ressente une gêne, un mal à l'aise.
et oui une société ou on impose des règlements municipaux interdisant de nourrir les oiseaux.
Ces oiseaux, l'un des derniers symboles de liberté encore vivant.
Ces oiseaux probablement les seules créatures vivantes avec lesquelles cette vieille dame ait encore des contacts.
Les seules créatures envers lesquelles elle peut encore faire preuve d'affection.
Mais hélas cette société n,éprouve que du mépris envers ces créatures de paix, ces oiseaux de liberté.
Comment ne pas ressentir du chagrin envers cette vieille dame qui me semble dans les 70 ans ?
Et dites-moi comment ne pas ressentir d'amertume en pensant à la façon donc ces oiseaux sont considérés dans cette société ?
Mais surtout dites-moi comment ne pas ressentir une répugnance envers cette société lorsque je pense à cette vieille dame et ces oiseaux ?
Dites-moi !
J'aimerais en terminant vous inviter
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