L'Ennemi Mortel
Du plus loin que je me souvienne, le plus mortel des ennemis que je dû affronté n'était pas humain.
Il se situait à l'intérieur de mon corps.
C'était un cancer osseu au bassin.
J'avais déja eu dans le passé des menaces très sérieuses, que ce soit à l'époque de mes 16 ans où je faisais de la vente intinérante au Lac St-Jean et que j'eu à faire affaire à un homme dans la cinquantaine qui me demanda de quel ville je venait, en entandant ma réponse « Québec» il prit son fusil, un calibre 12 je crois, et voulait me tirer car dans son esprit ceux qui venaient de Québec ou de Montréal, étaient des profiteurs.
Jamais j'aurais cru que j'étais capable de descendre un escalier accordéon aussi vite.
Ou encore si je pense à 17 ans quand Richard, celui qui pourtant était à cette époque celui que je croyais être mon meilleurs ami, avait sous l'effet de la mescaline il décida de me menascé avec la lame d'un jack-nife dans mon dos.
Ou la fois que ce cher Manseau avait décidé de m'attaqué avec l'un de ses partenaires de sa petite click juste pour me faire les poches.
Il y a eu aussi des menaces qui n'étaient pas d'origine humaines, comme la fois en campagne dans ce rang en allant faire une commission au snack-bar, je tomba face à face avec un chien garde d'une ferme proche.
Où pire la fois où le feu pris dans ma cuisine le matin, pendant que je prenais mon café au lit.
Mais jamais à mes yeux un ennemi me mit autant dans une situation de point tournant dans mon existance.
Quand j'eu la nouvelle par le chiurgien c'est comme si instantanément le temps , la réalité et le monde auraient figé.
Comme si dans mon esprit et dans mes entrailles un vide incorfortable s'installa, m'envahissait.
Avec ce vide commenca un processus mental et moral en 4 étapes.
La première est celle où l'on se sent seul dépourvu dans cet univers cherchant à comprendre le pourquoi moi ? Ou les pourquois.
Ensuite vient la deuxième étape, celle du sentiment de défaite, c'est l'étape où moralement on ressent comme si tout autour de soi, notre univers s'écroulait.
À cet étape il y a un risque, celui dese croire vaincu et de vouloir tout laisser tomber en attendant la mort, comme une fatalité.
Et c'est à cet étape que cet ennemi peut devenir fatale.
Et c'est à ce moment précis que cet ennemi aurait pu me devenir mortel, si je tombais dans ce piège de tout laisser aller en attendant la fin.
Viens ensuite la troisième étape celle de la révolte, de la colère.
C'est dans cet étape surtout que se trouve la clé pour affronter et vaincre cet ennemi. Il me fallais canaliser cet énergie, cet puissance générée par ma révolte et ma colère contre celui qui était mon cancer, mon ennemi .
Oui dans ma malchance j'us de la chance, d'être opéré et suivi par le chiurgien que personnellement je considèrerais comme le meilleur dans son domaine.
Mais vous aurez beau avoir les meilleurs médecin, les meilleurs thérapies qui existent, le point qui fera la différence entre mourir ou vraincre pour vivre restera l'implication de votre esprit la puissance de votre volonté.
À cet étape, la volonté de survivre, de vaincre est prémordiale.
Il ne faut pas seulement vouloir vaincre.
Il faut croire qu'on est pour gagner le combat, si l'on désire évidenment réussir.
Heureusement ce qui m'aida dans ce combat était ma facilité pour la pratique à l'auto-hypnose.
Par un principe de visionnement mentale, en visualisant les étapes de de guérison à venir, je réussi à passer à travers.
Mon côté combatif , ma tête de cochon furent mes 2 alliés
Et vient ensuite la quatrième étape.
Il y a 2 possibilités pour cette étape, soit la mort ou soit l'étape de rémission.
C'est l'étape où vous prenez le dessus sur l'ennemi c'est le chemin vers cette guérison de ce cancer.
Mais c'est aussi la période où le cancer l'ennemi peut revenir vous hanter et gagner.
Le piège à cet étape se situe dans le fait qu'on a tendance à croire trop vite que le combat est terminé et on s'assis sur ses lauriers.
La rémission est une perriode où le traitement a réussi, qu'on a gagné une bataille mais non la guerre.
C'est une période où le cancer peut revenir quasiment spontanément en hypocrite et refaire des ravage et même redevenir mortel .
La période dit de rémission est variable d'un cas à l'autre dans mon cas la période est de 10 ans.
Au début de cette les risques de récidives sont plus élevés et plus qu'on avance vers la fin de cette période évidenment les risques de récidives sont alors de plus en plus faible et vers la fin elle sont quasiment nuls.
Un coup la période de rémission passé, alors seulement on peut se considéré comme guéri.
En d'autre mots notre niveau de risques d'avoir un autre cancer deviennent les mêmes que n'importe quel citoyen.
Dans mon cas au moment d'écrire ces lignes, il me reste 4 ans avant de pouvoir dire que j'ai eu ma guérison et que je puisse comme tout le monde espèrer devenir vieux.
En ce qui me concerne je me considère très chanceux dans mon combat car les risques de récivives sont rendu quasiment nuls, mais je garde quand même dans mon esprit pour Françoise qui n'a pas eu la même chance dans son combat une pensée de reconnaissance pour tout ce qu'elle a pu me donner de positif.
Ce Cancer fut pour moi un ennemi très particulier dans le sens que non seulement il fut le plus dangereux ennemi auquel je dû faire face, mais aussi bizarre que celà puisse vous paraître, il m'apporta quand même une chose positive pour moi à travers le cheminement qu'il me fit prendre.
Il me permis de reviser certaines valeurs, il me permis de même de prendre conscience du mal que j'avais pu faire inutilement dans le passé par orgueil et à quel point comment nos erreurs peuvent ne plus être réparables et devenir des fois comme des boulets morales avec lesquels nous auront à partager le reste de notre vie, et à quel point qu'il faut méditer avant d'agir avant de porter un coup.
De plus il m'a permis de conpremdre à quel point quand il s'agit d'enjeux majeurs l'esprit et sa volonté peuvent être puissant !
Du plus loin que je me souvienne, le plus mortel des ennemis que je dû affronté n'était pas humain.
Il se situait à l'intérieur de mon corps.
C'était un cancer osseu au bassin.
J'avais déja eu dans le passé des menaces très sérieuses, que ce soit à l'époque de mes 16 ans où je faisais de la vente intinérante au Lac St-Jean et que j'eu à faire affaire à un homme dans la cinquantaine qui me demanda de quel ville je venait, en entandant ma réponse « Québec» il prit son fusil, un calibre 12 je crois, et voulait me tirer car dans son esprit ceux qui venaient de Québec ou de Montréal, étaient des profiteurs.
Jamais j'aurais cru que j'étais capable de descendre un escalier accordéon aussi vite.
Ou encore si je pense à 17 ans quand Richard, celui qui pourtant était à cette époque celui que je croyais être mon meilleurs ami, avait sous l'effet de la mescaline il décida de me menascé avec la lame d'un jack-nife dans mon dos.
Ou la fois que ce cher Manseau avait décidé de m'attaqué avec l'un de ses partenaires de sa petite click juste pour me faire les poches.
Il y a eu aussi des menaces qui n'étaient pas d'origine humaines, comme la fois en campagne dans ce rang en allant faire une commission au snack-bar, je tomba face à face avec un chien garde d'une ferme proche.
Où pire la fois où le feu pris dans ma cuisine le matin, pendant que je prenais mon café au lit.
Mais jamais à mes yeux un ennemi me mit autant dans une situation de point tournant dans mon existance.
Quand j'eu la nouvelle par le chiurgien c'est comme si instantanément le temps , la réalité et le monde auraient figé.
Comme si dans mon esprit et dans mes entrailles un vide incorfortable s'installa, m'envahissait.
Avec ce vide commenca un processus mental et moral en 4 étapes.
La première est celle où l'on se sent seul dépourvu dans cet univers cherchant à comprendre le pourquoi moi ? Ou les pourquois.
Ensuite vient la deuxième étape, celle du sentiment de défaite, c'est l'étape où moralement on ressent comme si tout autour de soi, notre univers s'écroulait.
À cet étape il y a un risque, celui dese croire vaincu et de vouloir tout laisser tomber en attendant la mort, comme une fatalité.
Et c'est à cet étape que cet ennemi peut devenir fatale.
Et c'est à ce moment précis que cet ennemi aurait pu me devenir mortel, si je tombais dans ce piège de tout laisser aller en attendant la fin.
Viens ensuite la troisième étape celle de la révolte, de la colère.
C'est dans cet étape surtout que se trouve la clé pour affronter et vaincre cet ennemi. Il me fallais canaliser cet énergie, cet puissance générée par ma révolte et ma colère contre celui qui était mon cancer, mon ennemi .
Oui dans ma malchance j'us de la chance, d'être opéré et suivi par le chiurgien que personnellement je considèrerais comme le meilleur dans son domaine.
Mais vous aurez beau avoir les meilleurs médecin, les meilleurs thérapies qui existent, le point qui fera la différence entre mourir ou vraincre pour vivre restera l'implication de votre esprit la puissance de votre volonté.
À cet étape, la volonté de survivre, de vaincre est prémordiale.
Il ne faut pas seulement vouloir vaincre.
Il faut croire qu'on est pour gagner le combat, si l'on désire évidenment réussir.
Heureusement ce qui m'aida dans ce combat était ma facilité pour la pratique à l'auto-hypnose.
Par un principe de visionnement mentale, en visualisant les étapes de de guérison à venir, je réussi à passer à travers.
Mon côté combatif , ma tête de cochon furent mes 2 alliés
Et vient ensuite la quatrième étape.
Il y a 2 possibilités pour cette étape, soit la mort ou soit l'étape de rémission.
C'est l'étape où vous prenez le dessus sur l'ennemi c'est le chemin vers cette guérison de ce cancer.
Mais c'est aussi la période où le cancer l'ennemi peut revenir vous hanter et gagner.
Le piège à cet étape se situe dans le fait qu'on a tendance à croire trop vite que le combat est terminé et on s'assis sur ses lauriers.
La rémission est une perriode où le traitement a réussi, qu'on a gagné une bataille mais non la guerre.
C'est une période où le cancer peut revenir quasiment spontanément en hypocrite et refaire des ravage et même redevenir mortel .
La période dit de rémission est variable d'un cas à l'autre dans mon cas la période est de 10 ans.
Au début de cette les risques de récidives sont plus élevés et plus qu'on avance vers la fin de cette période évidenment les risques de récidives sont alors de plus en plus faible et vers la fin elle sont quasiment nuls.
Un coup la période de rémission passé, alors seulement on peut se considéré comme guéri.
En d'autre mots notre niveau de risques d'avoir un autre cancer deviennent les mêmes que n'importe quel citoyen.
Dans mon cas au moment d'écrire ces lignes, il me reste 4 ans avant de pouvoir dire que j'ai eu ma guérison et que je puisse comme tout le monde espèrer devenir vieux.
En ce qui me concerne je me considère très chanceux dans mon combat car les risques de récivives sont rendu quasiment nuls, mais je garde quand même dans mon esprit pour Françoise qui n'a pas eu la même chance dans son combat une pensée de reconnaissance pour tout ce qu'elle a pu me donner de positif.
Ce Cancer fut pour moi un ennemi très particulier dans le sens que non seulement il fut le plus dangereux ennemi auquel je dû faire face, mais aussi bizarre que celà puisse vous paraître, il m'apporta quand même une chose positive pour moi à travers le cheminement qu'il me fit prendre.
Il me permis de reviser certaines valeurs, il me permis de même de prendre conscience du mal que j'avais pu faire inutilement dans le passé par orgueil et à quel point comment nos erreurs peuvent ne plus être réparables et devenir des fois comme des boulets morales avec lesquels nous auront à partager le reste de notre vie, et à quel point qu'il faut méditer avant d'agir avant de porter un coup.
De plus il m'a permis de conpremdre à quel point quand il s'agit d'enjeux majeurs l'esprit et sa volonté peuvent être puissant !
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