Les péquistes et les libéraux ont fait coalition pour bâillonner
Amir Khadir, qui voulait prendre la parole pour questionner
Pierre-Karl Péladeau à propos du lock-out qui dure au
Journal de Montréal depuis plus de deux ans. C'est d'une
hypocrisie sans nom, qui démontre clairement que les
péquistes et les libéraux défendent les mêmes idées,
les mêmes valeurs, les mêmes intérêts.
"Le PQ, le PLQ et l'ADQ refusent le droit de parole à Amir.
Ce faisant, ils cherchent clairement à protéger PKPéladeau
qui aurait certainement eu droit à un interrogatoire serré.
Dégueulasse." (Marie-Ève Rancourt, Coalition contre la
tarification et la privatisation des services publics)
Et oui une preuve de plus que les péquistes sont exactement
comme les adéquistes et les libéraux des LÂCHES et des
LICHEUX DE CUL des FINANCIERS !
Voici l'importance du DROIT DE PAROLE pour ces 3 partis !
Oui vous avez le droit de parole en autant que
votre opinion soit la même qu'eux !
Non Messieurs et Mesdames péquistes venez pas me dire
que vous êtes différents des 2 autres partis, vous avez
prouvé encore une fois que vous pouvez être aussi
médiocres, lâches et vendus qu'eux !
Lorsque vous appuyer le PQ voici la gang de minables
auxquels vous accorder votre vote !
Dois donc dire qu'on vote pour ce qui nous ressemble ?
Mesdames Messieurs lors de la prochaine élection
juste avant de mettre votre --- » X «---, au lieu de
le mettre tout bêtement posez-vous cette question :
Est-ce que ce parti à qui je vais accorder
mon vote me ressemble réellement ?
Et prenez 2 minutes pour réfléchir à la réponse !
Amir Khadir
Photo: PC
Commission sur le conflit au JdeM:
Khadir refusé
Paul Journet
Publié le 01 février 2011 à 10h08
La Presse
(Québec) La disposition anti-briseur de grève, qui date de 1977, est désuète, a démontré Raynald Leblanc, président du syndicat des travailleurs de l'information du Journal de Montréal (STIJM).
Selon la loi, seuls les cadres engagés avant un lock-out peuvent remplacer les syndiqués. Il est interdit de permettre à un tiers de venir travailler dans le local de travail pour remplacer les lock-outés. C'est ce qu'on appelle la notion d'établissement. Une notion élaborée avant internet, la téléphonie cellulaire et le télétravail.
Depuis le lock-out, le Journal de Montréal fait faire son infographie par la boîte Côté Tonic. Selon M. Leblanc, la direction du quotidien aide même à gérer l'horaire du personnel de la boîte. Le travail fait par Côté Tonic représenterait celui de 22 employés syndiqués.
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