VOICI UNE INFORMATION REÇUE SUR FACEBOOK QUE JE PARTAGE AVEC VOUS:
***REVUE 2014***VOX POPULI —
Trop peu de gens encore sont conscients de la rapidité de la croissance de la production des sables bitumineux et son impact sur notre environnement, l'économie et la société canadienne. Les sables bitumineux ne sont rien de moins que le plus grand projet industriel sur la terre. L’une des cinq principales catastrophes écologiques de la planète.
Lacs toxiques sur 180 km carrés, camions géants énergivores, rivière transformée en égout industriel, forêts rasées; les sables bitumineux ressemblent à l’enfer d’un point de vue écologique, ou encore à Hiroshima au lendemain du lancement de la première bombe atomique.
Pire que tout, alors que la catastrophe est déjà sans commune mesure, l’industrie pétrolière canadienne prévoit tripler sa production d’ici 2030 pour atteindre 6,7 millions de barils de pétrole par jour. Ce qui fera croître les émissions de GES en provenance des sables bitumineux de 250 % selon l’Institut Pembina.
Déjà, qu’aujourd’hui en 2014, l’industrie des sables bitumineux produit plus de GES à elle seule que l’ensemble du parc automobile canadien.
À l’heure des changements climatiques, il est de toute urgence nécessaire de se mobiliser d’un océan à l’autre, pour empêcher cette expansion qui doit se faire à partir de la réalisation des projets d’oléoducs Keystone XL, Nothern Gateway et Énergie-Est.
Apprenez s’en davantage sur les sables bitumineux en visitant les sites suivants :
GES : le Canada s’enfonce et le Québec est sous haute surveillance /Greenpeace
www.greenpeace.org/canada/fr/Blog/ges-le-canada-senfonce-et-le-qubec
www.greenpeace.org/canada/fr/Blog/ges-le-canada-senfonce-et-le-qubec
SVP, passez à l’action, signez et partagez les pétitions suivantes.
Ghislaine Daris, mairesse de Cacouna: Sauvez les bélugas dans le St-Laurent /Avaaz
secure.avaaz.org/fr/petition/Ghislaine_Daris_mairesse_de_Cacouna_Sauvez_les_belugas
secure.avaaz.org/fr/petition/Ghislaine_Daris_mairesse_de_Cacouna_Sauvez_les_belugas
© Crédit photo : Jiri Rezac / Greenpeace
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