PQ - l'argument de la division du vote ne tient plus
En refusant une alliance des partis nationalistes et progressistes en juin 2012, le Parti québécois a choisi de faire cavalier seul aux élections qui s’amorcent. En refusant la main tendue par les artistes, Option nationale et Québec solidaire, le PQ a rejeté du même coup l’argument de la division du vote si souvent clamé pour convaincre les réticents de rallier Mme Marois. Là où les différents partis ne pouvaient s ’entendre, semble-t-il, serait au niveau d’une réforme complète du mode de scrutin vers la proportionnelle tant discutée par les différents partis depuis des décennies. Celle-là même qui avait été incluse au programme du parti par René Lévesque lors de la formation du PQ et qui avait été une promesse électorale par Bernard Landry jusqu’aux élections de 2003.
En refusant une alliance des partis nationalistes et progressistes en juin 2012, le Parti québécois a choisi de faire cavalier seul aux élections qui s’amorcent. En refusant la main tendue par les artistes, Option nationale et Québec solidaire, le PQ a rejeté du même coup l’argument de la division du vote si souvent clamé pour convaincre les réticents de rallier Mme Marois. Là où les différents partis ne pouvaient s ’entendre, semble-t-il, serait au niveau d’une réforme complète du mode de scrutin vers la proportionnelle tant discutée par les différents partis depuis des décennies. Celle-là même qui avait été incluse au programme du parti par René Lévesque lors de la formation du PQ et qui avait été une promesse électorale par Bernard Landry jusqu’aux élections de 2003.
Si Mme Marois et le Parti québécois ont fait ce choix de décliner l’union, c’est qu ’ils croient qu’ils peuvent gagner seuls et exercer le pouvoir sans l’aide de la frange plus progressiste de la population. Mettons que c’est bien parti si le PQ souhaite par la suite unir à nouveau les différentes forces indépendantistes pour un référendum gagnant..!
L’argument de la division du vote n’a donc plus droit au chapitre s ’il vient des ténors du PQ. De toute façon c’est le même vieil argument de peur qui a toujours favorisé les tenants du pouvoir afin d ’endormir le désir de changement. Si les Québécois l’avait écouté à chaque fois tout au long de l’histoire, nous n’aurions pas connu la fin de Duplessis dans les années 60, la révolution tranquille ou l’élection même du PQ en 1976.
«Un gouvernement minoritaire péquiste avec une balance du pouvoir solidaire et nationale est envisageable et pourrait constituer une assurance dans la gestion des affaires courantes»
Consultez les engagement électoraux de Québec solidaire
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