Marche mondiale pour le climat – Le pétrole au Québec : que des risques, aucun bénéfice

Marche mondiale pour le climat – Le pétrole au Québec : que des risques, aucun bénéfice 

21 septembre 2014

Manon Massé, députée de Sainte-Marie–Saint-Jacques, a tenu à se joindre à la Marche mondiale pour le climat qui s’est tenue à Montréal le dimanche 21 septembre 2014 pour rappeler que Québec solidaire est le seul parti à l’Assemblée nationale à s’indigner au nom des citoyennes et citoyens préoccupés-es par les changements climatiques.

« Québec solidaire est le seul parti à proposer un plan pour entamer la nécessaire transition énergétique au Québec. Pendant que les leaders mondiaux sont réunis à New York au Sommet 2014 pour le climat, nous sommes dans la rue pour leur dire que la survie de notre planète n’est pas à vendre au plus offrant et qu’il est urgent de passer aux actes pour renverser la vapeur », a lancé Mme Massé.

« Au Québec aussi, on peut faire la différence et freiner les changements climatiques. Que ce soit en refusant de devenir les porteurs d’eau du pétrole sale de l’Alberta ou en s’opposant à la construction du port pétrolier de Cacouna, la population ne doit pas se laisser faire et doit tenir tête au gouvernement de Harper. Pourquoi les Québécois et les Québécoises accepteraient ce que la Colombie-Britannique et les États-Unis ont refusé? », se questionne Manon Massé.

« Nous n’avons rien à gagner à faciliter la vie d’Ottawa et des pétrolières. 1,1 million de barils de pétrole sous nos pieds chaque jour, c’est inacceptable! Ne laissons pas nos gouvernements nous arracher notre chemise pour le bénéfice de l’industrie pétrolière. Les profits iront dans les coffres des compagnies et ce sera nous qui devrons payer la facture pour réparer leurs dégâts », de conclure la députée solidaire.