Mon plus récent tableau en 3D




Fantaisie sur écorce de bouleau
Par Sergio de Rosemont
Tableau réalisé avec un morceau d'écorce de bouleau.
Photos du 16 novembre 2025
Je suis Tenebrum Draco Je vous souhaites la bienvenue dans mon alcôve, cette demeure du Dragon Ténèbreux , au coeur de la rebelliance .....Quand ce monde n'est pas tien !
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Fantaisie sur écorce de bouleau
Par Sergio de Rosemont
Tableau réalisé avec un morceau d'écorce de bouleau.
Photos du 16 novembre 2025
Voici mon plus récent poème que je partage avec vous en espérant qu’il puisse apporter certaines réflexions

L’Enfer n’est pas le même pour tous
Par Sergio de Rosemont
L’«Enfer», n’est pas le même pour tous.
L’«Enfer», c’est quand on vous impose une solitude non désirée.
Lorsqu’on ne vous reconnais pas le droit d’aimer l’«Être aimé».
Mais par contre, pour certain.Es, l’«Enfer» c’est cette violence conjugale.
Pour d’autre l’«Enfer» c’est le racisme.
Il y en a pour qui, l’«Enfer» c’est la discrimination à cause de leur différence.
Pour d’autre, l’«Enfer» c’est de ne pas pouvoir être eux-mêmes à cause des préjudices de cette société.
L’«Enfer» pour plusieurs c’est aussi de ne pas pouvoir se montrer sur leur vrai visage, d’affirmer ce qu’iels sont réellement à cause qu’iels ne correspondent pas aux normes des autres, de soi-disant «Bienpensants».
Mais l’«Enfer», ça peut aussi être lorsque d’autres cherchent à vous imposer et à tenter de vous enfoncer dans le fond de la gorge leur croyance ou leur non-croyance, ou leurs petits principes moraux personnels.
N’importe qui peut devenir l’«Enfer», ou le «Démon» pour quelqu’un d’autre, lorsqu’on cherche consciemment ou inconsciemment à lui imposer ses croyances ou non-croyances ou ses petites normes ou ses préjugés.
Ne demandez-vous pas pourquoi certain.Es en deviennent misanthropes.
Mais on peut aussi en devenir l’«Enfer», ou le «Démon» de quelqu’un d’autre lorsqu’on cherche à lui imposer son plaisir.
Oui l’«Enfer» peut-être lumineux,car il peut se produire aussi par une belle journée ensoleillée.
Oui, effectivement l’«Enfer» existe,car il est créé par l’humain lui-même !
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Hommage à Mère Nature Gaïa
Par Sergio de Rosemont
Tableau réalisé avec des éléments de la natures, feuilles d'arbre, petites branches, pierres donc 7 améthystes, des coquillages des plumes et un morceau d'écorce de bouleau.
Photo du 13 novembre 2025
Ma réflexion sur la première neige

Par Sergio de Rosemont
Je suis ce dimanche 9 novembre 2025, en matinée, et je me dirige vers un café où je vais rencontrer quelqu’un.
Et en marchant, j’y perçois les premiers grains de neige de la saison.
Oui une ambiance, une température se situant entre deux périodes, deux saisons.
Une neige pour nous rappeler que l’année tire à sa fin avec ses bons et ses mauvais souvenirs.
Avec ses bons et ses mauvais coups.
En ce qui me concerne, une année avec ses bonnes nouvelles, mais aussi avec ses désillusions amères.
Oui, 2026 approche, et j’y mets un espoir d’atteindre ce que je désire.
Après tout, qu’est-ce que vaut la vie si l’on y enlève l’Espoir ?
En ce qui me concerne, l’Espoir est ce qui me donne le goût et le désir de continuer !
Ma pensée à peut-être réfléchir que je partage avec vous.

Tu me juges.
Par Sergio de Rosemont
Tu me juges ?
Pourtant, est-ce toi qui as vécu… mon vécu ?
Est-ce ton âme, ton cœur qui a vécu mon enfance, ma jeunesse, mon adolescence ?
Est-ce toi qui as été forcé de boire à cette "Coupe de la Violence" ?
Est-ce toi, qui, dans tes entrailles, dans ton enfance, as dû subir la colère de représentantes de cette Église, de ce "Petit Jésus", de ressentir la force du bâton ou de la ceinture qui heurtait ta chair d’enfant ?
Et qu’il arrivait que, parfois, quand elles utilisaient la ceinture, elles s’assurassent de te frapper avec la boucle de la ceinture.
Serait-ce toi qui as été placé dans un orphelinat administré par des religieuses à cause d’un père alcoolique ?
NON !
Et ne viens pas me servir ton sermon avec ton "Jésus", ton culte chrétien, sache que je le connais très bien, même trop bien.
Quand on cherche à me l’enfoncer dans la gorge, ça me donne juste le goût de vomir.
Serait-ce toi qui as été obligé de boire aussi à cette "Coupe de la Trahison" ?
Tu me dis révolté, rebelle.
Mais qui donc es-tu pour venir me critiquer ?
Me jeter des blâmes ?
As-tu eu à ressentir comme cette sphère de métal en fusion, dont, tu as la sensation qu’elle tournoi sur elle-même dans tes entrailles ?
Non, tu ne peux pas et tu n’as pas affaire à me juger.
Car ce n’est pas toi qui a vécu ma vie.
Oui, la vie a fait de moi le loup que je suis dans le plus profond de mon âme.
Un loup capable de se battre en solitaire, mais aussi de me battre en meute solidaire.
Et ce loup peut mordre et il sait où mordre !
Voici ma réflexion que je partage avec vous

Un miroir, ça déforme la réalité
Par Sergio de Rosemont
Un miroir, ça déforme la réalité.
Quand on se regarde dans un miroir, on a le réflexe de se dire qu’il nous reflète la réalité tel quel.
Pourtant, on le sait bien qu’il nous reflète une distorsion, celle de l’inversion gauche droite, qu’on appelle l"Effet miroir".
Parfois, aussi dépendant de l’éclairage ou de l’emplacement d’un objet, il peut en altérer la perception de la réalité.
Voilà le pourquoi de son usage dans le monde de l’illusionnisme.
Mais aussi, parfois, nous-mêmes pouvons en altérer la perception de l’image que ce miroir nous renvoie de nous-mêmes.
Est-ce que notre subconscient en déforme l’image ? Oui !
On y perçoit une image plus obèse de soi-même que nous le sommes en réalité.
Ou une image plus moche, que ce que nous sommes en réalité.
Et oui, dans la perception de ce que reflète un miroir, il y a un détail très important auquel il faut tenir compte, notre esprit et, pour être plus précis, notre subconscient.
Effectivement, ce subconscient, cet inconnu à l’intérieur de nous-mêmes.
Conscient, subconscient, inconscient.
Le subconscient est le plus inconnu des 3 niveaux de conscience.
Ce subconscient, cette grotte secrète et énigmatique enfuie au plus profond de notre esprit.
Là où se retrouvent nos fantasmes, nos désirs les plus profonds.
Là où résident nos peurs, nos phobies.
Mais aussi l’endroit où nous nous forgeons ces chaînes pour nous auto-sabotées.
Comment décrire ce subconscient ?
Le subconscient ne perçoit pas la réalité par lui-même.
Il la perçoit, qu’à travers la perception du conscient, mais aussi et surtout à travers nos filtres personnels.
Le subconscient est le lieu où se retrouvent nos peurs, nos phobies ainsi que l’enracinement de nos dépendances (addictions).
Mais il agit aussi un peu comme un ordinateur.
Quand vous ne cessez pas de vous dire que vous n’êtes pas capable de faire telle ou telle chose, il le perçoit comme si vous lui donniez l’ordre de faire en sorte que vous soyez toujours en sorte que vous serez toujours incapable de le faire en créant des blocages dans notre personnalité.
Une petite suggestion que j’aimerais vous faire, si vous le permettez.
Choisissez une chose que vous ne cessez pas de vous dire que vous n’êtes pas capable de faire (exemple d’écrire des textes) et la prochaine fois que vous vous regarderez dans un miroir, tout en fixant votre reflet entre les 2 yeux à la racine du nez, dites-vous :
{Je suis capable d’écrire des textes et je vais apprendre à le faire !}
Et chaque fois que vous vous regardez dans un miroir, répétez l’exercice.
Après que vous ayez fait l’exercice à quelques reprises, ayez à votre portée de main de quoi écrire et laissez vous aller à vous amuser à écrire, juste pour le plaisir.
Et vous remarquerez que, de fois en fois que ça vous paraîtra de plus en plus facile.
Et oui, en vous disant devant un miroir :
{Je suis capable d’écrire des textes et je vais apprendre à le faire !}
Vous avez ordonné à votre subconscient de faire en sorte de vous rendre capable de la faire.
Laissons la parole à Francis

D’abord, on adopte leur vocabulaire,
ensuite on normalise leurs idées,
finalement on est complètement cuits
Le capitalisme a gagné la guerre idéologique. Son imaginaire a envahi notre pensée au point que l’hégémonie culturelle impose aujourd’hui des expressions prises à contre-sens, par exemple ce sont les gens de gauche qui sont accusés de vouloir le statu quo et la notion de progrès est considérée comme s’appliquant seulement à l’économie ou au produit intérieur brut, jamais aux mesures sociales.
Je ne m’étendrai pas sur les innombrables formules qui ont fini par coloniser nos esprits. Je me contenterai de trois exemples qui sont devenus monnaie courante, c’est le cas de le dire, pour illustrer le fait que leur adoption signifie l’abandon de tout espoir de justice sociale ou environnementale.
1. Le « développement durable » tient lieu de mot d’ordre tant à droite qu’à gauche, comme si la théorie de la croissance était sérieuse, comme si le Club de Rome n’était pas passé par là en 1972. Il n’est pas possible d’aménager la croissance infinie. La seule véritable option est la Règle verte : ne jamais retirer de la terre plus que ce qu’on peut lui rendre.
2. Le « logement abordable » est un euphémisme pour dire « soumis au marché ». Et tout le monde fait comme si c’était un objectif louable. Mais les logements « abordables » sont excessivement chers, donc en réalité parfaitement inabordables. En adoptant ce vocable idiot, on a laissé tomber l’objectif de loger les gens à des prix modiques. On condamne ainsi à la rue une part de plus en plus grande de la population.
3. Le « capitalisme vert » est une contradiction dans les termes. Le capitalisme est basé sur le pillage et le gaspillage. La seule chose qui soit verte dans le capitalisme est la face des cadavres qu’il sème tout au long de son parcours. C’est sûr, l’écosocialisme, ce n’est pas aussi sexy que l’inexistant capitalisme vert et son miroir aux alouettes.
Nous ne savons plus nommer nos objectifs. C’est désormais l’hégémonie néolibérale facho-compatible qui en décide pour nous.
LAGACÉ, Francis
«»-----------------------«»
SITE DE FRANCIS LAGACÉ
www.francislagace.org
Un autre de mes poèmes automnaux pour vous

Cette odeur de solitude
Par Sergio de Rosemont
Comme une odeur automnale de solitude.
Je suis sur cette petite place publique.
Elle est calme, même trop calme.
Assez calme pour faire ressentir à un solitaire dont sa compagne se nomme "Solitude".
Cette odeur d’automne, en devient une de solitude.
Quand les seuls à vous tenir compagnie ne sont que les écureuils.
Cette place publique a été construite sous la forme d’une allée.
Et ce soir, j’ai le goût de la nommer "Allée de la Solitude".
Une solitude, un calme trop calme, attirant de vieux souvenirs douloureux.
Et en cette soirée réellement trop calme, la seule chose que j’estimerais c’est de ressentir le vent.
Ce vent qui soufflerait ces vieux souvenirs douloureux, loin, très loin de moi.
Très loin de moi !
Mon poème, ma pensée que je partage avec vous

La solitude, ça blesse
Par Sergio de Rosemont
La solitude, ça blesse.
Elle est comme une dague affilée qu’on t’enfonce dans le cœur, dans l’âme.
Oui, la solitude, ça blesse, surtout quand elle nous est imposée.
Quand tu te fais servir cette "Coupe de cette Solitude".
Et la pire des dagues que l’on puisse t’enfoncer dans le cœur est celle du "Faux Espoir".
Celle qui t’enfonce cette solitude au plus profond de ton être.
Cette "Dague du Faux Espoir", elle fait réellement mal, elle est destructrice au plus profond de notre for intérieur, de notre âme, de notre cœur.
Surtout lorsqu’on sait que souvent l"Espoir" est la seule énergie qui donne la raison de continuer, celle de vivre.
Et cette "Dague du Faux Espoir", donc chacun des tranchants se nomme "Solitude" et "Isolement" quand elle te blesse, elle créé une douleur si intense, qu’il en devient extrêmement difficile de pardonner à la personne qui manœuvrait cette dague.
Et on n’oubliera jamais cette blessure dans l’âme.
Et quand cette dague est manœuvrée par l’être espérée, la douleur est très intense dans le plus profond de notre être.
Quand on laisse le temps à l’autre de tomber amoureux, pour après cela, quelques mois plus tard, ne servir qu’un :
{ N’attends pas trop de moi ! }
Oui une désillusion qui nous arrive avec la délicatesse d’une tonne de brique reçue en pleine face.
Se sentir comme si on était un vin périmé et déposé au rébus.
Non, une dague n’a pas besoin d’être matérielle pour blesser !
Un poème automnal que je partage avec vous

Je suis assis sur un banc de cet Îlot
Par Sergio de Rosemont
Je suis assis sur un banc de cet Îlot au coin de la ruelle.
Et je ressens des feuilles mortes qui me tombent sur la tête.
Oui, effectivement c’est l’automne qui m’avise de son arrivée.
C’est un peu comme quand on ressent des gouttes de pluie ou des flocons de neige nous atterrir sur la tête.
Ressentir ces actions de Mère Nature.
Oui, dans le temps, l’année est comme une roue où les années ont 4 saisons.
Il en est de même pour une vie humaine, qui a 4 saisons.
Sa jeunesse, son printemps.
Son âge adulte, son été.
Sa période plus mature, dite plus sage, son automne.
Et sa vieillesse son hiver.
Oui, il y a une analogie.