jeudi 27 février 2020

Non au Groupe de Lima ! Ne touchez pas au Venezuela !

Prenez le temps de regarder les photos suite à l’article



Voici un article que j’ai écris en collaboration avec mon amoureuse Sandra Cordero.

Non au Groupe de Lima ! Ne touchez pas au Venezuela ! 

Par Sandra Cordero et Sergio de Rosemont

La manif était organisée au bureau du premier ministre du Canada Justin Trudeau situé au 1100 boul. Crémazie Est.

Le 20 février 2020, le "Groupe de Lima" se réunissait à Ottawa dans un effort pour intensifier les activités de désatabilisation contre le gouvernement démocratiquement élu du Venezuela.

L’action fut organisé au bureau du premier ministre Justin Trudeau ce 20 février, en même temps qu’une manifestation qui se trenait le même jour à Ottawa.

Le "Groupe de Lima" est inspiré par la récente tournée tenue par le faux président auto-proclamé "Juan Guaido" reconnu honteusement et accueilli la semaine du début de février 2020 par le premier ministre Justin Trudeau ainsi qu’aux États-Unis et ailleurs.

Il est important de se rappeler que la réunion du "Groupe de Lima" est une nouvelle tentative de déstabiliser le Venezuela et d’imposer un changement de régime.

Nous étions 12 courageux militantEs à avoir affronté le froid pour venir dénoncer le "Groupe de Lima".

Merci aussi à Yves qui nous a aidé côté photographie, les 3 dernières photos sont de lui.

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VOICI LES PHOTOS :


P.S: Vu que pour l'instant je met mes photos sur Facebook et vu que Facebook aime bien à l'occasion changer l'adresse URL des photos, en cas où qu'un tel changement surviendrait à mes photos voici l'adresse de mon article en version Facebook :



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La manif était organisée au bureau du premier ministre du Canada Justin Trudeau situé au 1100 boul. Crémazie Est.


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On se prépare pour cette vigile.


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Voilà les militantEs commencent à venir nous rejoindre.


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Je crois que le message est clair !


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Non Monsieur Trudeau, le "Groupe de Lima"
est inacceptable et immoral.


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Je crois que le message est clair !


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Le froid ne nous a pas arrêté.


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Une petite photo souvenir.


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Merci à Yves qui nous a aidé côté photographie


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Non, le froid ne nous a pas arrêté.


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Non, le froid ne nous a pas arrêté.


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Merci aussi à Yves qui nous a aidé côté photographie, les 3 dernières photos sont de lui.


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Merci aussi à Yves qui nous a aidé côté photographie, les 3 dernières photos sont de lui.


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Merci aussi à Yves qui nous a aidé côté photographie, les 3 dernières photos sont de lui.

Ici Sergio de Rosemont avec l’équipe de la vigile

mercredi 26 février 2020

Indifférence, empathie, sympathie


Donnons la parole à Francis


Indifférence, empathie, sympathie 

21 février 2020

Avoir le réflexe de se demander comment l'autre se sent, essayer de ressentir ce que peuvent éprouver les personnes qui ne partagent pas notre condition n'est pas chose aisée dans le cadre d'une société intensément individualiste. L'hégémonie culturelle ne promeut que la réussite personnelle sans aucun égard pour les laissés-pour-compte puisqu'il est de leur « responsabilité individuelle » de s'en sortir.

Je dois avouer qu'à moins de prendre bien du recul, ce que notre mode de vie hyper-réactif déconseille fortement, il est bien difficile de se mettre à la place des autres quand on prend des décisions ou quand on interagit. D'ailleurs « se mettre à la place » suffit-il pour bien saisir les enjeux ?

J'aurai facilement tendance à me demander ce que je ferais si j'étais à la place de Sophie, mais si je veux bien savoir de quoi je parle, ne devrais-je pas aussi me demander ce que Sophie ferait si elle était à la place de Sophie ? Après tout, je n'ai peut-être pas vécu ce qu'elle a vécu, je n'ai peut-être pas les mêmes motivations ni les mêmes objectifs ? Peut-être aussi que les motivations et les objectifs n'ont rien à y voir et qu'il s'agit plutôt de s'adapter à des contraintes que je ne connais pas, qu'il m'est impossible de connaître.

Et si même, disposant de toutes ces connaissances si utiles à la compréhension des dispositions de Sophie, je n'ai pas la même sensibilité, serai-je en mesure de manifester la sympathie qui rendrait nos relations plus harmonieuses ?

Outre les cas qui sont faciles à trancher, par exemple que je ne peux pas partager le sentiment qu'il faudrait bastonner toutes les personnes qui contestent l'autorité, il y a pléthore de cas chaque jour où renvoyer l'autre à sa turpitude est plus facile que d'expérimenter le sentiment de désolation qui l'assaille. Qu'est-ce qui crie vraiment derrière le courriel, le tweet ou le texto rageur dont je ne vois que l'écume ?

Car il s'agit bien de quoi et non de qui : quelle névralgie lancinante ? quelle frustration ? quel besoin inassouvi ? quelle blessure secrète ? quelle trahison impardonnée ? quel outrage mal encaissé ? quelle injustice jamais réparée ? quelle solitude mal vécue ? quelle condition socio-économique imposée ?

L'illusion individualiste conduira certains lecteurs•lectrices à voir dans cette réflexion des interrogations qui ne concernent que son auteur, c'est-à-dire l'entité corporelle qui signe je. Pourtant, je me rappelle bien l'ancien professeur de poétique, monsieur Lamontagne, qui nous a introduits à la théorie des embrayeurs du linguiste Émile Benveniste selon laquelle les pronoms personnels, dans certains contextes, peuvent désigner, peu importe leur forme, toute autre personne à commencer par la personne qui lit.

Je est un autre qui semble si surréaliste à beaucoup est très souvent d'une banalité évidente. Le je qui écrit n'est déjà plus leje qui lui survit quelque temps plus tard et le je qui réfléchit a la plupart du temps vocation à être « nous, vous, elles•ils ». Le je incarne toutes les instances qui sont capables de dire « je ». C'est sans doute ce que Blaise Pascal n'avait pas su deviner quand il accusait Montaigne de trop parler au je.

C'est peut-être cela que je devrais me rappeler chaque fois que j'oublie de me mettre à la place de Sophie (qui, elle aussi en passant, s'appelle tout aussi bien Louis, Naïma, Kim, Kiko, Mamadou que Sean) ou de me demander ce que je ferais à sa place, ou mieux encore ce qu'elle ferait à sa place.

Francis Lagacé

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SITE DE FRANCIS LAGACÉ 


mardi 25 février 2020

Nous avons exprimé notre appuis au peuple iranien


Oui nous avons exprimer notre collère envers les U.S.A


 Nous avons exprimé notre appuis au peuple iranien 

Par Sergio de Rosemont

Effectivement ce samedi 25 janvier 2020 nous étions entre 200 et 300 militantEs à se regrouper à la place Norman Bethune pour participer à une marche afin de dénoncer cette menace états-unienne d’une guerre contre l’Iran.

Au Québec à Montréal l’événement était organisé par les"Artistes pour la paix", le "Collectif échec à la guerre" et le "Mouvement québécois pour la paix".

La marche c’est arrêté à l’ambassade états-unienne pour aller se terminer devant le complexe Guy-Favreau.

Mais dans les fait nous étions plus que 200 ou 300 car il s’agissait d’un événement qui se tenait en simultané dans plusieurs villes dans le monde.

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P.S: Vu que pour l'instant je met mes photos sur Facebook et vu que Facebook aime bien à l'occasion changer l'adresse URL des photos, en cas où qu'un tel changement surviendrait à mes photos voici l'adresse de mon article en version Facebook :



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Nous étions entre 200 et 300 militantEs à se regrouper à la place Norman Bethune.


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La bannière de la marche.


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Amir était des nôtres.


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Le militant André Querry était des nôtres.


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Bruce Katz le co-président du PAJU était des nôtres.

Le PAJU était aussi là !


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Bruce, Julia et Amir.


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L'Association des femmes iraniènnes de Montréal.


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L’une des bannières utilisées pour la marche.


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Mon ami Bill Sloan du CA du PAJU.

Le PAJU était aussi là !


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Chadi Marouf co-président du PAJU avec l’un des représentants des premières nations

Le PAJU était aussi là !


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Votre hôte Sergio de Rosemont tenant la bannière de tête de la marche.

Le PAJU était aussi là !


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Susana du CA du PAJU.

Le PAJU était aussi là !


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Ronald Cameron distribuant des drapeaux de Québec solidaire.

Oui Québec solidaire y était.


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Non à la guerre contre l’Iran !


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Oui Québec solidaire y était.


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Les Mémées déchênées


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Les Mémées déchênées


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Le message est clair.


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Voilà c’est le moment des discours.


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Voilà j’ai pris place dans le camion de tête et la marche se met en mouvement.


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Nous avançons sur la rue Guy.


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Les slogans aux micros.


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Nous avançons sur Ste-Catherine.


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Voilà nous sommes rendu à l’ambassade états-unienne et nous portons notre message.


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Voilà nous sommes rendu à l’ambassade états-unienne et nous portons notre message.


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Voilà nous sommes rendu à l’ambassade états-unienne et nous portons notre message.



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Voilà nous sommes rendu au complexe Guy-Favreau et nous portons notre message.


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Le militant André Querry à l’action.


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Fred du CA du PAJU était des nôtres.

Le PAJU était aussi là !


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Oui Québec solidaire y était.


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Bill Sloan du CA du PAJU au micro.

Le PAJU était aussi là !


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Oui j’adore cette photo pour une magnifique raison personnelle :-)