samedi 31 octobre 2009

Héritage laissé


Héritage laissé

Quand je pense à l'héritage laissé aux générations futures.

À ceux que probablement nous ne connaîtrons sûrement pas.

Une planète ou un dépotoir ?

Regarder cet héritage que nous sommes en train de laisser à ceux qui nous suivent, nous constatons que c'est le meilleur moyen de percevoir l'imbécillité de la race humaine.

Tous sur cette planète savent très bien que nous détruisons le potentiel habitable vitale de la terre, qu'au rythme que vont les choses, ce n'est qu'une question de générations avant d’atteindre l'étape de non-viabilité de cette planète.

Cent ans ?

Deux cents ans, avec un peu de chance ?

Les preuves , les évidences, nous les avons en pleine face tous les jours. Pensons simplement aux événements climatiques ( cyclones, tornades, inondations, saisons déréglées etc, etc..) de plus en plus fréquents et violents.

Et qu'est ce que cet humain fait ?

Prolifération de véhicules automobiles polluants, et cette vagues d'utilisation de produits jetables qui en est rendu un mode de vie.

Utilise des produits ayant une duré de vie assez courte.

Cette habitude de jeter des biens qui sont encore valables simplement par ce qu'ils ne sont pas du dernier cri .

Serait-ce que cet imbécile sur deux pattes qu'on appelle humain et qui se dit espèce évoluée aurait cet attitude simplement à cause d'un besoin de démontrer qu'il est là .

Un besoin d'attirer l'attention ( le VUS, la nécessité de la pelouse d'un vert impeccable, l'allergie que certains semble ressentir envers toutes forme d'alternative au transport question de protéger leurs petit individualiste ) .

À cause de sa nauséabonde vantardise ?

Le traditionnel « Regardez-moi ! » .

Ce que je trouve le plus décevant c'est de savoir que probablement les seuls qui auront les moyens de survivre à cette planète qui sera devenue invivable, de se payer les installations adéquates seraient malheureusement les mêmes qui en seront pour une bonne partie les responsables de cet état de chose.

Vous souvenez-vous il y a disons 15 ou 20 ans lorsque vous achetiez exemple une cuisinière, un réfrigérateur une laveuse ou bien un téléviseur , quel était la durée moyenne d'expérience de vie utile de l'appareil ?

Vingt ans approximativement .

De nos jours si vous achetez les mêmes appareils, quel sera la durée moyenne d'expérience de vie utile de l'appareil du même appareil ?

Cinq ans !

Et on accepte ca comme étant logique que ca soit la norme comme qualité de fabrication ?

Et sous excuse que l'économie doit avoir priorité sur tout !

Il a fallut attendre d'en être rendu presque au stade du non-retour, pour voir enfin la pensée environnementale comme une valeur sociale valable.

Pour qu'on cesse de voir quelqu'un avec une conscience environnementale comme une créature descendue d'une planète X .

Tout ce que j'espère, c'est que la conscience environnementale qui semble se développer soit là pour rester.

Que ce ne soit pas uniquement qu'une vague dans laquelle on embarque simplement par ce que ca fait IN pour devenir OUT dans quelque temps !

J'espère que c'est pour rester et j'espère que cette pensée environnementale, qui émerge présentement puisse enfin s'incruster dans notre inconscient collectif pour enfin devenir la norme socialo-politico-éthique pour le futur proche et le futur éloigné .

J'espère pour une fois pouvoir être fier de faire parti de cette Race Humaine, en pouvant me dire :

Enfin Homo-sapien c'est transmuté dans l'Homo-Écolo-Mien
( l'écologie qui est mien ! )



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vendredi 30 octobre 2009

Je ne cherche qu'à garder la tête haute !

Je ne cherche qu'à garder la tête haute !

Vous me percevez comme insociable, parfois rapide à réagir.

Vous pensez que j'ai un sal caractère , n'est-ce pas ? Je sais que vous me comprenez !

Tout ce que je cherche, c'est simplement garder la tête haute. Face au manipulateur ! Face au narcissisme !

Comme le loup, malgré la douleur encourue et les blessures que j'en subis, j'affronte lorsqu'on m'injure, me méprise. Je mord lorsque je prend conscience qu'on protège le répugnant.

Surtout avant de me jeter le blâme, regardez qui ou quoi est source de ma révolte.

Je ne cherche qu'à être capable de me regarder dans le miroir sans ressentir aucune honte .

Je désire simplement pouvoir marcher la tête haute !

Je ne cherche qu'à garder la tête haute !

jeudi 29 octobre 2009

Il m'arrive parfois de rêver

Il m'arrive parfois de rêver

Il m'arrive parfois de rêver, d'espérer que ce soleil ne se lève plus.

D'espérer que ces petits citoyens robotisés demeurent dans leurs sommeil, dans un sommeil dans une nuit éternellement froide.

Cédant la place à ceux et par leurs rejet des dômes moralo-sociologiquo-abrutissants des soit-disant bien-penseurs qui dûent subir le mépris et fréquemment la cruauté de ces même soit-disant bien-penseurs idiots. Idiots comme le serait un troupeau de bétail !

Idiots aux point de se contredire où d'un bord ils n'auront pas conscience du tord qu'ils causent à leurs environnement ou à leurs semblables, et de l'autre bord avec le coeur serré et presque la larme à
l'oeil, ils donneront à des causes comme pour effacer une tache sur
leurs âme ainsi que le mal qu'ils ont causé.

Ces petits citoyens se disent contrariés par cette pseudo-agressivité de certains marginaux, de certains rejetés. Comme incapables de comprendre que cette agressivité n'est qu'une réponse à ce mépris de ces soit-disant bien-penseurs idiots.

À force de ressentir ces lames de rasoirs dans leurs tripes, ces rejetés enfants de la rebellion sentent cette nausée , ce haut de coeur leurs venir. Lorsque souvent trop souvent même, vous êtes depuis votre jeunesse victime de votre mépris, vos préjugés ainsi que de vos coup de salaud. Ces exclus en viennent à désirer une minimisation des relations avec les
soit-disant conventionnels , à part évidemment quelques rares exceptions.

Il m'arrive parfois de rêver, d'espérer que ce soleil ne se lève plus.





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mercredi 28 octobre 2009

Texte de Stan Rice - 01



Désir de disposer dans un collage cohérent
l'abeille, la chaîne de montagne, l'ombre
de mon sabot --
désir de les assembler reliés
par le fil infini et brillant de la logique
qui traverse toute substance

. . . .


Désir
de dire que partout où mon regard se pose,
je vois l'endroit où l'aiguille
débute la tapisserie -- mais pourtant
chacun des points semble le tout et la partie --
vivent l'oeil et le coeur lucide.


Stan Rice 1975


Stan Rice était le conjoint d'Anne Rice l'auteure des « Chroniques des Vampires »
Si vous avez aimé ce texte alors je vous suggère de lire les livres d'Anne Rice comme « Entretien avec un Vampire » et la « Reine des Damnés »

Voici la page Wikipédia sur Stan Rice

Voici la page Wikipédia sur Anne Rice


Voici la page Wikipédia sur les Chroniques des vampires


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mardi 27 octobre 2009

Je déteste les fades, les tièdes , les effacés

Je déteste les fades, les tièdes , les effacés. Ceux qui ne savent se décider.

Ceux qui ne savent avoir un opinion.

Ceux qui manquent de courage pour dire ce qu'ils pensent.

Ceux qui se cachent derrière le masque de ce petit sourire hypocrite .

Ces lâches qui n'ont pas le courage de leurs idéaux, préférant se contenter de répéter comme des perroquets ce que ceux autour d'eux répètent comme des perroquets ce que d'autres disent répétant comme des perroquets ce qu'ils croient
comme vrai ayant été dit par d'autres perroquets .

Ceux qui disent blanc lorsque tous disent blanc même si dans leur intérieur ils pensent noir.

Ceux qui disent noir lorsque tous disent noir même si dans leur intérieur ils pensent blanc.

Je détestes ces effacés qui se disent être de droite par ce que ca fait plus « IN »
dans le discours du moment alors que leur pensée est à gauche.

Comme je répugne ceux qui se disent de gauche, lorsqu'ils sont avec des progressifs, de peur de provoquer un débat qu'ils ne sont pas certains de gagner , alors oui alors que leur petit égaux ne rêve qu'à droite.

Je méprise ces semblants, ceux qui ne vivent que par le verbe Paraître au lieu de vivre par le verbe Être. Ceux qui ne veulent pas être Vrais !

Je déteste les gueules de bois et ce mauvais théâtre.

Dites-moi comment voulez-vous qu'on puisse viser un but idéologique que ce soit comme progrès social, ou qu'il s'agisse d'un projet de souveraineté nationale si l'ensemble des joueurs autant chez le peuple que chez les représentants des principaux partis politiques n'ont pas le courage de dire ce qu'ils pensent vraiment ?

lundi 26 octobre 2009

Il m'arrive parfois de devenir.....


Il m'arrive parfois de devenir.....



Il m'arrive parfois de devenir colère, rage. Que mon esprit en devienne même comme un ouragan .

Car le mépris , l'injure et l'hypocrisie sont comme des dagues appliquant des blessures. Ces blessures comme telle ne sont que superficielles.

Mais hélas, bien que superficielles elle sont douloureuses, non pas par elles-mêmes mais par ce qu'elle me rappellent toutes celles du passé qui étaient souvent plus profondes.

Et non ce n'est pas à travers cette mémoire de l'esprit, mais bien à travers la mémoire de mes entrailles que ces souvenirs, ces anciennes blessures et souffrances refont surface. Se font ressentir à travers les battements de mon coeur.

Alors les pulsions en deviennent torrents et les torrents typhons .

Et ces blessures antérieures en deviennent comme volcans en érosion , en explosion.

Souvent on oubli trop facilement qu'une chose qui nous parait anodine peut en éveiller une qui elle ne l'est pas.

Il ne faut jamais se fier aux apparences.

Souvent les choses ne correspondent pas à leurs apparences primaires !








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dimanche 25 octobre 2009

Gentillesse hypocrite

Gentillesse hypocrite

Gentillesse hypocrite, gentillesse cachant, voilant leurs vrais visages . Je répugne cet hypocrisie.

Ces sourires forcés me donnent le goût de vomir. Ces collègues faisant semblant de vous apprécier, tentent de me faire croire d'être encore mes amis en jouant le jeu du trop de travail ou de l'horaire surchargé pour ne plus pouvoir converser plus longtemps .

Jacassant comme des perroquets , aussitôt que j'ai le dos tourné . Espérant mieux plaire à des gestionnaires ou à cette clique interne ne m'ayant jamais acceptés .

Pourquoi devrais-je ressentir estime ou pitié pour ces prostitués d'intérêt ?

Prostitués d'intérêt prêts à trahir un amitié et à salir votre nom afin de s'assurer un petit salaire ou un petit avantage accordé. Ou tout bêtement afin d'éviter le rejet de cette clique.

Prêts à accepter à se porter complice à cette amnésie volontaire et collectif sur certaines vérités embarrassantes . Même celles m'ayant causé préjudices . Participant par leurs lâcheté à permettre au troubleur de merde officiel de l'entreprise à déverser sa merde et à distribuer des coups de cochons lorsque vous avez le dos tourné. N'ésitant pas à commettre des actes ou paroles pouvant s'avérer blessante moralement , simplement que pour satisfaire son besoin narcistique d'attention.

Et lorsque vous désirez expliquer à ce gestionnaire que vous croyiez intègre le pourquoi de votre opposition à ce troubleur de merde officiel et qu'il vous répond avec ce si beau sourire : « Je ne suis pas intéressé à savoir pourquoi » . Quelle belle peur de jouer le rôle qu'elle , une belle gentillesse hypocrite !


N.B : le mot « prostitué » est à prendre au sens large .






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Des réponses pré-fabriquées


Des réponses pré-fabriquées

Des réponses pré-fabriquées , pré-pensée pour vous donné l'illusion qu'on vous porte un attention.

Pour vous donner l'impression d'importance !

samedi 24 octobre 2009

Bathory


Elisabeth Báthory.

7 août 1560 – 21 août, 1614
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Celle qui fut reconnue pour aimer se baigner dans une baignoire rempli du sang de jeunes vierges.

L'expression : bain de sang , ca vient d'elle .

Voici des informations que j'ai pris sur le site :
http://www.dark-refuge.com/cryptes/erzebeth-bathory.php
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Erzebet Bathory, folle monstrueuse, aliénée, ou tueuse sadique ? Tel le souffle glacial de la mort et du déséquilibre humain, la comtesse sanglante arbore les vallées Hongroise de souvenirs et d'éternels hurlements. Qui fut-elle réellement ? Comment peut-on imaginer tant d'horreur et d'abomination dans l'esprit humain ? Son épouvantable histoire sillonnera à jamais ces contrés lointaines, qui ne diront mots sur la vérit
Lienable histoire d'Erzebet.
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Elle vit le jour en 1560, en Transylvanie. La famille voulait qu'elle fut élevée par sa future belle-mère, une femme chaste qui la priva de toute enfance, l'assénant de prières et de sainte lecture. Vint enfin le jour du mariage, épousant Ferencz Hadasdy, né en octobre 1555, issu d'une grande famille de Hongrie. S'assemblaient alors deux puissantes familles du pays. Les Bathory, sûrement d'origine allemande, descendaient d'une longue lignée princière de Transylvanie. Mais tous étaient aliénés, sadiques et pervers. Vers la fin du 13eme siècle, la famille obtient ce nom grâce à un chevalier qui valut l'appellation de Bator, soit " le courageux " Alors ce transmet des tares mais aussi le mal inconnu de l'épilepsie. La généalogie des Bathory nous permet de mieux comprendre la folie d'Erzebet :
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Istvan, oncle illettré, faux monnayeur et menteur finit ses jours dans le délire. Gabor, cousin d'Erzebet, fut roi de Transylvanie en 1608, connu pour son orgueil et ses débauches. Il commit l'inceste avec Anne, sa soeur, dont il eut deux enfants qui moururent âgés de 12 ans. Le 27 octobre 1613, il meurt tué. Klara, tante d'Erzebet, eu 4 époux, elle en assassina un, l'étouffant à l'aide d'un oreiller. Pourvu également d'une multitude d'amants amassés sur tous les chemins de la Hongrie, elle garda finalement un jeune homme, à qui elle offrit un château, mais celui-ci mourut, embroché et rôti par un pacha. Elle finit violé et poignardé. Un deuxième Gabor, célèbre pour ses crises de possession où il mordait. Puis, notons Andreas qui fut tué à coup de hache au sommet d'un glacier. Quant à Erzebet, elle est née d'un mariage apparenté. Anna, sa mère, et György Bathory qui était son cousin, eurent 4 enfants : Istvan, un malade mental sadique, Erzebet, Sophie et Clair. A onze ans, elle se marie donc à Ferencz, fier combattant. Ils s'installent à Csejthe dans un château obscur et triste, abandonné sur une montagne désertique. Et c'est ici, que la comtesse passera une grande partie de sa vie, pendant que son époux bataille. Seule, isolé, elle s'ennuie. Un peu plus tard, elle frappera violemment une de ses servantes au visage et, le sang coulant, elle remarque qu'à cet endroit la peau semble rajeunis. Elle se baigne alors le visage avec le sang d'une de ses servantes et les tortures commencèrent. Allant de la simple aiguille enfoncée dans la peau d'une jeune domestique lorsque celle-ci rate la robe devant être repiqué, jusqu'à punir une des parentes de son époux, en la faisant dévêtir et en l'enduisant de miel et de sucre, abandonnée un jour et une nuit dans le jardin pour que les abeilles, les fourmis et autres insectes, la piquent. 1579, sa belle-mère meurt. Erzebet se rend plusieurs fois à Vienne où le surnom de Blutgräfin ( comtesse sanglante ) circule déjà. Vers la fin du 16eme siècle, le couple vit dans une vieille bâtisse où il apparaît que le sadisme de la comtesse ne connu plus de limite. Chaque matin, Dorko et Illona, ses complices, jetaient dans le caniveau des cuves d'eau pourpre. C'est également dans cette demeure qu'il fallait répandre des cendres, car les mares de sang affluaient. Pourtant, parurent trois enfants et la comtesse resta tout de même une mère aimante. Mais les années passent, la vieillesse se fait sentir, pourtant Erzebet reste jeune est belle. A cinquante ans, les témoins racontent qu'elle était restée d'une beauté effrayante et d'une pâleur captivante et épouvantable à la fois. Le 4 janvier 1604, Ferencz meurt. Erzebet est à nouveau seule. A ce moment, ces forces lui reviennent et les châtiments deviennent impitoyables. Ses acolytes intensifient leurs efforts pour trouver du bétail, mais trop de jeunes filles disparaissent. En 1610, une fouille se fait au château. Les découvertes sont abominables. Dans une cellule on retrouve plusieurs jeunes victimes attendant pour les prochaines tortures. Elle racontèrent qu'on leur fit manger la chair grillée de leurs amies mortes. Lors du procès de la comtesse, on reconnaît plusieurs complices :
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Jo Illona, arrivée en 1591. On la définit laide, forte et émanant une odeur propre à ceux qui ne se lavent pas. Elle fut la nourrisse des enfants de Bathory. Ujuary Janos, nommé Ficzko, un nain bossu, bêta, servil et sadique. Il fut condamné avant même d'avoir eu 20 ans. Dorotya Szentes, nommé Dorko, sorcière spécialisée dans les envoûtements et les incantations. Kandoska, ivrognesse parcourait le pays à la recherche de jeunes filles. Et enfin Katalin Beneizky qui était chargé de faire disparaître les corps. Ficzko, lors du procès avoua que seulement après l'arrivée de Anna Darvulia les tortures furent plus cruelles. D'après Valentine Penrose, c'est elle qui initia Bathory aux plus cruels jeux de torture, lui apprenant à regarder mourir. En 1609, quant les soupçons deviennent plus fort, Darvulia s'enfuis et nul ne la revit. Les complices, lors du procès, détaillèrent les tortures de Bathory :
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" Elles attachaient les mains et les bras très serrés avec du fil de fer, et les battaient jusqu'à ce que tout leur corps fut noir comme du charbon et que leur peau se déchirât. " déclara Ficzko.
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Dorko décrivit également toutes sortes de cènes de supplices :
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" Les doigts étaient coupés un à un avec des cisailles, Illona apportait le feu, et faisait rougir des tisonniers qu'on appliquait sur le visage, le nez et la bouche. " Les filles étaient laissées sans eau et sans nourriture durant quelques jours. Illona détailla la manière de punir les jeunes filles qui trouvaient des pièces de monnaies sans les rendre ; " Bathory les chauffer à blanc et brûler avec ces dernières les mains des jeunes filles. " Tout une série de torture immonde fut ainsi dévoilée. Gyorgy Thurzo, l'inquisiteur, la condanme à une sentence assez douce par rapport à ce qu'elle fit, en l'emmurant dans son château pour l'éternité.
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Pour les complices, Jo Illona et Dora Szentes, leurs doigts furent arrachés par les pinces du bourreau, puis elle furent jetées vivantes dans le feu. Quant à Ficzko, étant donné son jeune âge, il fut décapité puis jeté au feu. Enfin, en avril, Erzebet fut emmurée, durant trois ans et demis, elle vécut seule, dans la pénombre silencieuse. Elle mourut le 21 août 1614.

Leurs site primaire ( Un site à visiter ) :
http://www.dark-refuge.com/
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Autres infos sur le net

http://fr.wikipedia.org/wiki/Erzs%C3%A9bet_B%C3%A1thory

http://fr.wikipedia.org/wiki/Bathory





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jeudi 22 octobre 2009

Fils de la douleur.

Fils de la douleur.

Pour me donner vie, ma mère dû passer par des douleurs, des souffrances plus intenses que la normal. Tout d'abord morales vue que les 3 grossesses me précédant se terminèrent en fausse couches. Trois deuils, épreuves intenses pour une femme déja très hypothêquée côté santé .

De plus ma naissance lui fuent sûrement très éprouvante , à cause de la césarienne. Donc pour cette femme à la santé fragile, me donner naissance fut pour elle un acte de courage, de la part de cette femme douce de nature.

En ce qui me concerne, fréquenment dans mon enfance il m'arriva de me demander pourquoi ces différences entre moi et les autres enfants ? Comme si j'étais responsable de ma démarche particulière dû à mes handicapes peut-être légers , mais assez pour imprégner une différence dans ma démarche

Souvent on me regardait dans ma jeunesse, souvent on me regarde comme si j'étais le fruit d'un engendrement de Lucifer avec cette Mater Tenebrarum de Charles Beaudelaire , et que mon frère soit Leviathan !

Souvent on me regardait dans ma jeunesse comme ce fruit de Lucifer avec Mater Tenebrarum comme si j'aurais dû être tenu responsable de l'ivrognerie de mon paternel biologique. Souvent on me regardait dans ma jeunesse comme ce fruit de Lucifer et de la Mater Tenebrarum à cause de cette révolte dans mes tripes.

Souvent on me regarde comme si j'étais le fruit d'un engendrement de Lucifer avec Mater Tenebrarum à cause de cette révolte de cette rebelliance lorsque je vois l'arrogance des humains et leurs imbécilité. Lorsque l'envie de vômir me monte à la gorge en me rappellant en me regardant dans ce mirroir que malheureusement je suis membre de cette humanité .

Souvent aussi je retrouve le réconfort auprès de gens qui à mes yeux me paraissent plus sympathique,ces gens qui sont aptes à me porter l'oreille et à me porter compréension. Ces gens qui souvent sont eux aussi délaissés, marginalisés et méprisés par ces soit-disant Biens Pensant et qui tout comme moi furent à l'occasion déchirés ou blessés par le mépris de ces mêmes Biens Pensant.

Et oui Souvent je me sens comme si j'étais un fils spirituel d'un Lucifer
et d'une Mater Tenebrarum, deux êtres incompris ayant eu comme crime d'avoir voulu instruire les humain.

Je comprend bien des choses. Je comprend bien plus que vous l'imaginez et j'ai surtout apris à lire en vous comme dans un livre, mais surtout j'aimes lire entre les lignes. Même si vous me fermez la porte au nez .




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mercredi 21 octobre 2009

L'ours et le lapin


L'ours et le lapin

C'est un ours qui poursuit un lapin. L'ours dit : J'vais t'attraper petit salopard de lapin de merde!" Le lapin répond : "Va t'faire foutre ours de merde!"

Les deux traversent un champ ou se trouve une grenouille magique.

Grenouille : "Stoppez-la vous deux!
Je suis une grenouille magique et je peux vous exaucer 3 voeux chacun, qui commence?"

L'ours : "Moi, je suis le plus gros et le plus fort."

Grenouille : "Vas-y l'ours, quel est ton premier voeu?"

L'ours : "Moi je veux que tous les ours de mon bois soient des femelles, sauf moi!"

Grenouille : "Pas de problème! Et toi lapin, que souhaites-tu?"

Lapin :"Moi je veux un casque de moto à la grandeur de ma tête."

L'ours regardant le lapin : "t'es vraiment con toi!"

Grenouille : "Pas de problème, ton voeu est exaucé voilà ton casque."

Grenouille : "L'ours, quel est ton 2e voeu?"

L'ours : "Moi je veux que tous les ours du bois voisin soient des femelles!"

Grenouille : "C'est fait et toi lapin quel est ton 2e voeu?"

Lapin : "Moi je veux une moto à ma taille, super puissante, ultra turbo."

Grenouille : "Voilà!"

L'ours encore une fois regarde le lapin et lui dit : "Non mais tu le fais exprès ou t'es cave à ce point?"

Grenouille : "Bon ça suffit les engueulades, est-ce qu'on peut terminer vos souhaits?"

L'ours : "Mon dernier voeu, est que tous, mais alors tous les ours de l'univers soient des femelles sauf moi!"

Grenouille : "Ton voeu est exaucé, et toi lapin, quel est ton dernier voeu?"

Le lapin met son casque, monte sur sa moto, démarre à fond et crie en se retournant : Je veux que l'ours soit homosexuel!"





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mardi 20 octobre 2009

Ils voient le danger partout

Ils voient le danger partout

Ils voient le danger partout, partout où il ne se trouve pas. Mais ne le voient pourtant pas où il est !

La réalité ment souvent sur certains détails .

Souvent ils voteront pour celui qu'ils croient être le sauveur ou le guide qui les mènera vers un jour meilleurs.


Hélas, sans même sans apercevoir ils ont choisi le Chacal , le Hyène et le Renard et on rejeté le Bon Loup, le guide, celui qui les aimait vraiment.

Celui qui voulait leur montrer le Bon Sentier.

Ce sentier qui leur permettait d'éviter toutes embûches afin d'atteindre le Jardin Luxuriant. Jardin offrant les fruits de l'Équité et de la Justice.


Mais, hélas ils l'ont renier, ce Loup qui aurait su affronter les rapaces. Ils ont préféré croire le Chacal , le Hyène et le Renard .

Alors ils sont dirigé direct au Jardin des Vautours, maîtres du Chacal , du Hyène et du Renard.


Espérons que la prochaine fois, qu'ils sauront mieux choisir leur guide afin d'atteindre le Bon Jardin !

P.S : J'ai choisi le loup pour représenter l'honorable car à mes yeux le loup est un animal ayant beaucoup de noblesse dans l'âme et beaucoup de courage dans le coeur. Qui malheureusement dû subir un mépris et une haine injustifiée de la part de l'humain.

Souvent aussi le loup fut accusé de méfaits auxquels il n'avait rien à voir !



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dimanche 18 octobre 2009

Il m'arrive parfois

Il m'arrive parfois

Il m'arrive parfois d'avoir la senssassion de ne pas avoir d'âge.

La rebellion du début vingtaine , mais à la fois la maturité de la cinquantaine, comme si les deux s'entre-choquaient !

Au regard des étoiles je me sens comme millénaire, comme étant en communion avec des vies antérieurs , des vies passées mais aussi avec des vies futures. Peut-être de mes vies peut-être celles d'autres

Mais c'est qu'un poème rien qu'un poème !





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samedi 17 octobre 2009

Je dois combattre

Je dois combattre

Je dois combattre pour mon droit à l'existence, du plus loin que je me rappel ma vie fut comme un combat perpétuel pour mon droit à la différence à la marginalité.

Je dois combattre pour mon droit à penser, pour mon droit de croire que ce système n'a pas nécessairement raison. Cette Société où on cherche à brûler les esprits , à en faire que des petits automates de chaire et de sang mais sans âme ni pensée véritable .

Je dois me battre à chaque jour que mon existence m'apporte pour mon droit de penser autrement, alors que cette Société ne m'accorde que le droit de survivre

Que le droit de Survivre !





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vendredi 16 octobre 2009

Je me souviens dans ma jeunesse

Je me souviens dans ma jeunesse

Je me souviens dans ma jeunesse à quel point l'école était mon supplice.

Sûrement la raison première pour laquelle j'i tant haïs mon enfance et mon adolescence.

Ce fût la pire période de ma vie , vous savez le genre de période où vous auriez aimé ne pas exister , ou du moins vous retrouver comme dans une autre existence.

Vous savez le genre d'expérience qui vous inflige dans le plus profond de vos entrailles une blessure que vous ressentez encore à l'aube de votre cinquantaine.

Une blessure qui a créé comme une déchirure dans votre âme. Blessure causée par le mépris et les préjugés des autres enfants.

Et que dire de ces parents de ces autres enfants.

Cette belle bande d'ordures non recyclable ayant peur d'user de leurs autorité parentale afin de mettre un terme aux comportements abjects de leurs progéniture.

Après tout seul leurs petits garçons adorés avaient de l'importance, à leurs yeux moi je n'étais qu'un détail , un jeu pour leurs gamins .

Pourquoi s'en faire ?

Ce ne sont que des jeux d'Enfant n'est-ce pas ?

À quoi d'autre l'Enfant à la démarche différente dû à un handicape pouvait bien servir d'autre que de distraction à ces petits monstres sortent de leurs entrailles ?

Et si par malheur s'osais me défendre et faire mal volontairement ou non à l'un de ces morpions, tout ce que j'avais droit n'était que la vengeance soit du collectif de ces jeunes morpions ou de leurs parents.

Ces même parent qui tenaient un discours sur le respect d'autrui.

Ha oui je me souviens très bien aussi comment il fallait être courageux pour être mon ami !

Non pas que je refusait d'avoir des amis, mais simplement qu'être mon ami équivalait à devenir la cible de ces mêmes méprisants.

Ha ! Je me souviens aussi de ces faux amis feignant me comprendre pour mieux me ridiculiser espérant en avoir les honneurs et l'admiration du groupe.

Ces faux amis comme ce P.Bilo l'ami avec qui je me tenais pendant la plus grande partie de mon adolescence avec qui j'écoutais la musique, un ami connu au pensionnat et qui avait été dans les mêmes 2 des écoles secondaires.

Mais pourtant je me rappel à l'époque j'avais 17 ans il commençait à vouloir chercher la moindre occasion pour tenter de me ridiculiser devant d'autres adolescents que je connaissais pas simplement pour se faire accepter par ce groupe. Je me rappel le soir où avec ce groupe il voulu m'attaquer juste pour s'amuser .

Essayer de vous imaginez comment vous pouvez aimer la vie lorsqu'un type que vous croyiez être votre ami de plusieurs années ; vous attaque avec sa gang juste pour s'amuser !

Et le fait avec la classe d'une hyène attaquant en lâche.

Oui ces années de jeunesse avaient pour moi une saveur amère.


Souvent ma meilleur amie était la solitude elle-même !





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jeudi 15 octobre 2009

J'ai vu vos regards

J'ai vu vos regards

J'ai vu vos regards dans ce reflet de vitre.

Regards remplis d'un tel mépris.

Ce même regard que des lâches attendant le moment opportun pour vous passer le lacet autour du coup.

Rien n'est plus puant pour mon nez que ce parfum pestentiel de magouille où l'on vous appose le tord non voulu de votre part ayant été causé part un tier .


Je préfère encore tolérer la solitude plutôt qu'une meute de visages à deux faces





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mercredi 14 octobre 2009

VOICI 2 PHOTOS DE MES FENÊTRES ARRIÈRES

VOICI DEUX PHOTOS DE MES FENÊTRES ARRIÈRES


Fenêtre cuisine

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Fenêtre de la chambre à coucher
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mardi 13 octobre 2009

Pensée différenment : Texte de l'ancienne pub d'Apple pour l'OS 09

Pensée différenment : Texte de l'ancienne pub d'Apple pour l'ancien OS 09


Voix-Off (VF) :

Les fous,
les marginaux, les rebelles,
les anticonformistes, les dissidents...

Tous ceux qui voient les choses différemment,
qui ne respectent pas les règles.

Vous pouvez les admirer,
ou les désapprouver,
les glorifier,
ou les dénigrer.

Mais vous ne pouvez pas les ignorer.
Car ils changent les choses.

Ils inventent, ils imaginent, ils explorent.
Ils créent, ils inspirent.
Ils font avancer l'humanité.

Là où certains ne voient que folie,
nous voyons du génie.

Car seuls ceux qui sont assez fous pour penser
qu'ils peuvent changer le monde, y parviennent.






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L'Alcôve de Tenebrum-Draco

Le Cercle Grès de Tenebrum Draco

dimanche 11 octobre 2009

Si j’étais Dieu

Voici un poème que Jean-Victor Joubert a mit
comme commentaire à l'un des textes
que j'avais mis sur Voix de Gauche.

Le texte peut vous paraître cru mais par contre je l'aimes
car il porte à réflécchir sur le rôle des religions .
Et de plus j'aimes le travail poétique de ce texte

Si j’étais Dieu

Si j’étais Dieu,
Nom de Moi,
Je ferais cuire tous ces cagots
Ces insupportables bigots,
Ces punaises de sacristie,
Tous ces culs bénis abrutis,
Ces flagorneurs et ces badernes,
Ces lèche culs qui se prosternent,
Genoux ployés ou culs levés,
Pour Jésus, Allah ou Yahvé.
Ils proclament que je suis Tout,
Que je suis le Grand Manitou
Omniscient, plein de sagesse,
Généreux devant leurs faiblesses,
Et voyez, nom de Moi !,
Comment agissent- ils avec moi !
Ils me traitent comme un vieux con,
Ridicule vieillard abscons,
Fort avide de privations,
Jouissant des propitiations,
Des louanges bêlantes, des sanglants sacrifices,
Capable d’imposer de m’immoler son fils
A celui que j’aurais choisi comme prophète,
Et bavant de plaisir en cette immonde fête.
Si j’étais ce pervers, ce névrosé sadique,
Ce parano borné, ce tyran narcissique,

Si j’étais Dieu,
Nom de Moi,
Et si j’étais salaud tout autant qu’ils le sont,
Pour les gratifier d’une bonne leçon
Je leur infligerais cette terrible peine
Qu’ils ont imaginé, par bêtise et par haine,
Que j’eus pu concevoir, que je puisse appliquer :
C’est eux ! ces tristes cons, eux ! que je damnerais !
En enfer les croyants ! Satan, met du charbon !
Mais bouche-toi le nez : ils sont nauséabonds.
Leurs curés, leurs imams, leurs rabbins rabat-joie,
Infligent à tous de Moi une image d’effroi,
D’une espèce de flic, d’adjudant implacable,
Les menacent en mon nom de tourments redoutables.
Ils prétendent m’aimer avec leurs simagrées,
Leurs prières débiles, leurs rituels tarés,
Leurs cérémonials qu’ils veulent grandioses
Mais qui ne sont que le reflet de leurs névroses.
Comme si je pouvais — Moi, Dieu, Être parfait,
Suprême intelligence — être par ça bluffé ! ! !

Si j’étais Dieu,
Nom de Moi,
Les athées, les sans-dieu, les non-croyants,
Ceux-qui-se-posent-des-questions, les mécréants,
Ceux qui refusent d’ingurgiter
Les réponses prêt-à-porter,
Qu’un soi-disant Elu, prétentieux allumé,
Aurait reçu de Moi ! Pauvre illuminé,
En haut d’une montagne, en quelque lieu secret
Et qu’il aurait transcris dans un livre sacré.
Ceux-là, tous ceux qui doutent, les hommes de Raison,
Ceux qui n’acceptent pas, de la foi, le poison,
Et qui ne vivent pas pour autant en bandits,
Pour ceux-là j’ouvrirais, tout grand, mon paradis.

Si je suis Dieu,
Nom de Moi,
Si je suis cet être infiniment bon,
Comment peut-on penser que je suis assez con
Pour vouloir tourmenter
Toute une éternité
Ce pauvre humain mortel qui dans son désarroi
Ne croit pas en moi !
Si je suis cette suprême intelligence
Comment peut-on penser, et par quelle aberrance,
Que j’ai créé les Hommes pour en être adoré,
Et que je prends en compte toutes leurs logorrhées !

Si je suis Dieu,
Nom de Moi,
Si j’ai donné à l’Homme la Raison,
Cet outil merveilleux pour poser des questions,
La faculté de pouvoir discerner
Si un événement est vrai,
Possible ou invraisemblable,
Il faut vraiment être minable
Pour penser que je vais punir
Tous ceux qui osent s’en servir !

Par chance, je ne suis pas Dieu,
Nom de Dieu…
A la santé de ceux qui refusent de croire,
Satan, verse-moi à boire !

Jean-Victor Joubert




Pour en savoir plus sur Jean-Victor Joubert ,
je vous ai mis 2 liens , l'un menant vers
un blogue où on retrouve de ses textes .

Cliquez ici pour le blogue Lanti Fadas

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vendredi 9 octobre 2009

Aleister Crowley


Aleister Crowley

Né en 1875. Il fut initié en 1898 dans la société rosicrucienne de « L'Ordre Hermétique de l'Aurore Doré » qu'on appelle la Golden Down, dirigée par S.L. Mathers qui aurait traduit en anglais les Clavicules de Salomon et qui pratiquait un rituel égyptien avec recours au livre des morts, possiblement d'après une idée de Cagliostro.

En 1905 Aleister Crowley créa l'A.A ( Astrum Argentinum ), nouvel ordre magique destiné à former des prophètes. Pendant un voyage au Caire, en 1904, où sa femme aurait eu la vision du dieu Horus, il écrivit { Le livre de la loi } prônant une religion nouvelle que son disciple Smith propagea en Californie.

Il en retint des invocations hermétiques gréco-égyptiennes qu'il mêla, en 1905, à des conceptions de yoga collectées lors d'un voyage en Asie.

Pour lui, « chaque homme et chaque femme est une étoile » ayant pour but suprême de « traverser l'abîme » .

Hostile aux réunion de groupe, il recommandait l'auto-initiation reçue des « Supérieurs Inconnus » en détruisant le Moi. Enseignant aussi que « l'éxistance est pure joie » . Ayant fondé en Sicile autour de 1920 l'Abbaye de Thélème, il paraissait sous de nombreux déguisements excentriques , aimait fumer du tabac trempé dans le rhum. Aimait s'adonner aux drogues , aux orgies sacrées. Se présentait comme le Diable il aimait signer « La Bête » ou « Mega Therion » .
Lien
La fermeture e l'Abbaye de Thélème fut dû à plusieurs hospitalisations de ses concubines ainsi qu'à des soi-disant activité douteuses. Le cinéaste américain Kenneth Anger y aurait photographier des peintures réalisées par Crowley en était second !

Pour plus ample information sur Aleister Crowley je
vous propose ces 2 liens :


http://fr.wikipedia.org/wiki/Aleister_Crowley

http://www.paganguild.org/pissier/crowley/oz.html



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jeudi 8 octobre 2009

Pensée de Joseph Hanse

« Dans notre pays, mettre les deux langues sur le même pied équivaut à mettre les deux pieds sur la même langue

Joseph Hanse

mardi 6 octobre 2009

Dépouille d'oiseau


C'est le printemps qui débute. Je m'assis dans le parc Place d'Armes , les tas de neige fondent laissant place au sol ,...ainsi que la dépouille d'un oiseau.

Mort de froid ou de faim ? Agressé par un animal ou pas ?

Qui se soucis de cet oiseau ? Victime innocente de cette présence humaine et de son développement . Celui qui pourtant n'avait rien à se reprocher.

Lui , qui n'avait pourtant jamais causé le moindre préjudice.





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lundi 5 octobre 2009

Ce vieil itinérant traversant


Ce vieil itinérant traversant

Ce vieil itinérant traversant très lentement Place d'armes, d'un regard apeuré face aux regards de ces soit-disant bien pensant. D'un pas qui semblait si pénible .

Tirant et traînant son sac sur le sol, au lieu de le porter. Un sac aussi lourd à porter qu'une vie de douleurs.

Essayant de cacher sans succès son visage marqué, tatoué , brisé par cette douleur dû à cette cruauté sociale.

Son seul crime face à cette Société dite civilisée ; sa Maladie Mentale et rien d'autre !

« Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil ! »

dimanche 4 octobre 2009

Cons-serviteurs et la culture


Cons-serviteurs et la culture

pourquoi les Cons-Serviteurs, conservateur coupe dans la culture ?

Qu'en ont-ils à faire de la culture, des mauvaises herbes , herbe à poux, herbe à puces , les cons conservateurs ca pousse tout seul , pas besoin de les entretenir, comme n'importe quel parasites !




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samedi 3 octobre 2009

Tel que je vous l'avais promis voici d'autres photos des travaux


Tel que je vous l'avais promis voici d'autres photos des
travaux à la Place d'Armes à Montréal



Cliquez ici pour voir la photo en pleine grandeur

Oui j'ai très hâte de voir ce qu'aura de l'air cette futur Place d'Armes .

Mais j'ai surtout hâte de voir si on aura tenu parole envers Mme. Lacroix !

Vue que cet article est complémentaire à des articles précédents je
vous inviterais alors à aller ces articles que j'avais déjà écris sur le sujet :

Cliquez ici pour l'article : Début de la rénovation de la place d'Armes. Ou lorsque les élus agissent en salops !

Cliquez ici pour l'article : Briser un rêve

Cliquez ici pour l'article : Kiosque de Mme.Lacroix vide Ouvrez et regardez


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