samedi 30 juin 2018

Décès de Paul Gérin-Lajoie: un géant disparaît


Je partage à titre d’information



Décès de Paul Gérin-Lajoie: un géant disparaît 

26 juin 2018

Québec solidaire salue la mémoire de Paul Gérin-Lajoie, tout premier ministre de l’éducation et porteur de réformes importantes sur lesquelles le Québec moderne s’est construit.

«Le Québec perd un grand bâtisseur aujourd’hui. J’aimerais présenter mes condoléances à la famille et aux proches de Paul Gérin-Lajoie au nom de tous les solidaires. Il nous incombe à tous et à toutes de continuer le projet d’éducation laïque et totalement gratuite que portait M. Gérin-Lajoie.» a expliqué le député de Mercier Amir Khadir.

M. Gérin-Lajoie a été un acteur important des réformes de l’éducation des années 1960 à travers la commission Parent. Ces dernières ont aboli les collèges classiques et permis un meilleur accès à l’éducation à tous les Québécois et Québécoises en instaurant entre autres les maternelles, les polyvalentes ainsi que les cégeps et les systèmes de prêts et bourses universitaires.

«Le projet de loi 60, déposé en 1963, qui décrétait la création du ministère de l’Éducation, est possiblement le projet de loi le plus important de l’histoire du Québec. Paul Gérin-Lajoie, à titre de premier titulaire de la charge de ministre de l’Éducation, a su mener cette réforme de façon magistrale. Il est le véritable père de nos écoles publiques et gratuites.» a déclaré le porte-parole de Québec solidaire Gabriel Nadeau-Dubois.

L’impact de M. Gérin-Lajoie s’est également fait sentir à travers sa doctrine en relations internationales qui influence encore aujourd’hui la présence du Québec à travers le monde. Il est également le fondateur de la fondation de coopération internationale PGL qui oeuvre pour un accès accru à l’éducation partout dans le monde.

 

La montée de la droite, et la construction d’une alternative de gauche


Laissons la parole à André Frappier



La montée de la droite, et la construction d’une alternative de gauche 



Mardi 26 juin 2018 / DE : André Frappier

À quelques mois des élections générales au Québec les sondages indiquent la possibilité d’un gouvernement majoritaire de la CAQ de François Legault avec 37% des intentions de vote versus un parti libéral à 28% qui n’arrive pas à remonter la pente, une chute historique du PQ à 19% et une certaine stabilisation de QS à 9%.

La crise financière et l’incertitude économique qui en découle ne sont certainement pas étrangères à cette situation. Cette incertitude n’est pas seulement causée par des paramètres uniquement québécois mais par la crise mondiale, qui conduit des parties importantes de populations à fuir les désastres environnementaux, la pauvreté endémique, la répression et la guerre.

L’Europe et l’Amérique du nord (à l’exception du Mexique) font partie des endroits qui jusqu’à récemment ont relativement échappé à cette crise, notamment à cause de leur position de domination par rapport aux pays du sud. Domination qui s’est développée par l’exploitation économique mais aussi par la politique guerrière à laquelle les États-Unis au premier plan mais aussi le Canada ont participé. La crise permanente tant environnementale qu’économique qui en découle nous rejoint maintenant. Une récession durable s’est installée en Europe et aux États-Unis et cogne maintenant à nos portes, dans l’État canadien comme au Québec.

Le Parti Libéral usé et corrompu n’est plus en mesure d’apparaître avec crédibilité malgré ses promesses électorales. Le vent dominant cependant, n’est pas à gauche. L’arrivée de Macron en France, de Trump aux États-Unis et récemment de Doug Ford en Ontario ainsi que du candidat conservateur lors des élections fédérales partielles au Saguenay non seulement le confirme mais vient ajouter un poids aux défis de la gauche et particulièrement pour Québec solidaire. Une réponse politique à la mesure de cette situation est nécessaire afin de convaincre la population de la nécessité d’un changement social en profondeur.

Si nous n’arrivons pas à donner cette réponse globale, les arguments protectionnistes et anti immigration garderont leur emprise sur une population en recherche de solutions. Vaincre la droite c’est identifier leur responsabilité dans la crise politique et économique actuelle.

La CAQ a utilisé le thème de l’immigration pour se faire du capital politique. Ce parti a d’abord soulevé la nécessité d’ajuster les seuils d’immigration aux capacités d’intégration des personnes migrantes et CAQ n’a pas hésité à afficher son hostilité envers les personnes demandant un statut de réfugié. Le PQ quant à lui a fait abondamment la preuve à quel point il pouvait utiliser les sentiments identitaires à des fins électoralistes.

Si PLQ et la CAQ sont des artisans de la privatisation au service des entrepreneurs, le PQ quant à lui promet d’être un gouvernement fier de ses entrepreneurs qui met « l’État au service d’une croissance économique plus robuste ». Il créera un environnement propice à l’entrepreneuriat en allégeant la réglementation. [1]

Le Parti libéral du Québec s’est fait le défenseur zélé des intérêts des patrons du Québec et plus particulièrement des pétrolières et des gazières. La CAQ s’inscrit dans la même logique et n’a jamais pris aucune distance face aux politiques du PLQ. L’expérience du Parti québécois au pouvoir sous Pauline Marois a été désastreuse à cet égard en subventionnant l’exploration pétrolière sur l’île Anticosti et en harnachant le gouvernement avec les pétrolières dans un contrat dont il a fallu payer pas moins de 41 millions pour s’en libérer.

La campagne politique de Québec solidaire à la veille des élections s’inscrit donc dans le contexte d’un Parti libéral est usé, d’un PQ face à une baisse historique continue mais en même temps d’une mobilisation sociale en baisse suite aux échecs successifs des dernières années. En effet le mouvement syndical au premier chef n’a pas su capitaliser et emboiter le pas dans les grandes avancées comme le fut le printemps des carrés rouges. Il n’a pas su mener la bataille lorsque les mobilisations étaient au rendez-vous.

Le défi pour QS ne réside donc pas seulement dans la réussite d’une campagne électorale au sens classique du terme mais dans sa capacité de redonner espoir et de rassembler les forces sociales pour relancer la lutte. C’est ce à quoi il s’est attardé dans les dernières semaines avec la tournée de mobilisation, la campagne électorale est maintenant dans quelques semaines et nous nous y préparons avec intensité.

[1] Presse-toi à gauche !, Les engagements et les promesses des plates-formes du PLQ, de la CAQ et du PQ cherchent à masquer le caractère de classe de leurs politiques. Mercredi 30 mai 2018 / DE : Bernard Rioux

INFORMATION PRISE ICI

jeudi 28 juin 2018

Les perspectives électorales de QS : revenir à l’esprit du printemps érable de 2012 en mobilisant la jeunesse


Parlons de Québec solidaire avec Paul Cliche



Les perspectives électorales de QS : revenir à l’esprit du printemps érable de 2012 en mobilisant la jeunesse 

Mardi 26 juin 2018 / DE : Paul Cliche

Paul Cliche est militant de Québec solidaire

Après l’embellie qui a suivi l’arrivée de Gabriel Nadeau-Dubois à Québec solidaire en 2017, les intentions de vote du parti sont revenues depuis au niveau antérieur de 9-10%. Pendant ce temps, la CAQ caracole en tête des sondages principalement grâce à la ponction importante qu’elle a effectuée dans la clientèle du PQ ; ce qui pourrait valoir à ce dernier la pire dégelée de son histoire. Quant aux libéraux, ils conservent leurs bastions anglophones mais ils risquent de perdre toutes les circonscriptions à forte concentration francophone qu’ils détiennent. Jusqu’ici QS a stagné. Mais de nombreux indices laissent prévoir une remontée significative d’ici le scrutin du 1er octobre.

Analysons-les :

Le nombre de membres de QS ne cesse d’augmenter s’approchant du cap des 20 000. Et les dons affluent plus que jamais. En 2017, le parti a dépassé ses objectifs de financement ; quelque 3,500 donateur.trice.s lui permettant d’amasser 300,000$. Plus que la CAQ qui a dû se contenter de 225 000$. Aux dernières nouvelles, le parti avait déjà atteint 75% de son objectif de financement pré-électoral.

9 000 personnes aux assemblées de QS depuis le début de 2018

Sur le plan de la mobilisation, plus de 4, 000 sympathisant.e.s ont participé, ce printemps, aux quatre grands rassemblements que Québec solidaire a tenu à Sherbrooke, Rouyn-Noranda, Québec et Montréal. C’est tout un exploit car aucun des trois autres partis n’a organisé d’assemblées de masse jusqu’ici. Pourtant les médias ont très peu diffusé de nouvelles à ce sujet. Dans le cas du rassemblement de Montréal, auquel quelque 2 300 personnes ont participé, on a même eu droit à un black-out médiatique total pendant que les nouvelles candidatures caquistes et libérales faisaient les manchettes.

Jusqu’ici, les associations locales de circonscriptions de Québec solidaire ont choisi plus de 90 des 125 candidates et candidats qui brigueront les suffrages. Leur choix s’est fait lors d’assemblées d’investiture auxquelles, estime-t-on, plus de 4 000 membres et sympathisant.e.s ont participé. Sur le plan démocratique c’est donc bien différent de la CAQ et du Parti libéral où les candidat.e.s sont désignés par le chef sans que les membres du parti n’aient leur mot à dire. De plus, seul QS atteindra pour une cinquième élection consécutive la parité masculine-féminine parmi ses candidat.e.s.

Il s’est également tenu de nombreuses assemblées générales au niveau des circonscriptions au cours des derniers mois. On peut donc estimer qu’en additionnant ces trois types de réunions (grands rassemblements, assemblées de mises en candidature, assemblées générales), on atteint un total de quelque 9 000 personnes ; ce qu’aucun autre parti n’a réussi.

C’est ça faire de la politique autrement !

L’authenticité de Manon Massé incarne la différence de QS

Québec solidaire n’a pas à avoir de complexe d’infériorité au chapitre du leadership car, avec ses deux porte-parole, il possède des atouts aussi enviables que le charisme d’un René Lévesque qui mené le PQ au pouvoir en 1976.

La différence qu’incarne Manon Massé constitue son principal atout. Elle prouve que Québec solidaire sait relever le défi de faire de la politique autrement que les trois autres partis vieux jeu qui assombrissent notre paysage politique. « À une époque où le cynisme envers la classe politique atteint un sommet, Manon est devenue un véritable symbole d’authenticité en assumant pleinement sa personnalité hors norme », a écrit le chroniqueur politique Michel David du Devoir qui lui a décerné la cote ‘A’ la plaçant en tête de son palmarès des parlementaires de l’opposition pour la dernière session.

On se souvient qu’Amir Khadir et Françoise David avaient décroché le même honneur lorsqu’ils agissaient comme porte-parole de QS de 2009 à 2016 ; ce qui démontre l’excellence du travail effectué par notre aile parlementaire.

Autre témoignage percutant : celui du critique littéraire du Devoir Louis Cornellier qui, de son propre aveu, est loin d’être un sympathisant solidaire. Manon du peuple. C’est pourtant le titre louangeur dont ce dernier a coiffé sa critique du livre Parler vrai que Manon Massé publié il y a quelques semaines. Sans compter le fait que la porte-parole de QS a livré, de l’avis de plusieurs, la meilleure prestation lors de la série d’entrevues que les chefs des quatre principaux partis ont accordé à tour de rôle du 19 au 22 juin au chef d’antenne de Radio-Canada, Patrice Roy, sous le thème Sur la ligne de départ. Cela promet pour le débat des chefs du 13 septembre prochain. La différence de Manon se fera certes sentir autant que celle de Françoise David qui, elle aussi, avait remporté la palme lors débat de 2014.

Quant à l’autre porte-parole de QS, Gabriel Nadeau-Dubois, figure de proue du Printemps érable, il agit comme organisateur en chef de la campagne électorale. Le duo formé par Manon et Gabriel est sans contredit plus inspirant que celui des Couillard, Legault ou Lisée même si ce dernier s’est adjoint in extremis Véronique Hivon comme vice-chef.

QS : la seule alternative aux politiques néolibérales

Depuis 20 ans, les six campagnes électorales menées par les partis de la nouvelle gauche québécoise, que ce soit le PDS, le RAP, l’UFP ou QS, se sont faites sous le signe de la rupture d’avec l’ordre néolibéral dominant, c’est-à-dire d’avec le Parti libéral, le PQ et la CAQ (ou son ancienne mouture, l’ADQ de Mario Dumont).

Cette orientation sera encore plus marquée cette année où QS se présentera comme la seule alternative crédible aux politiques néolibérales imposées depuis 30 ans par les gouvernements libéraux et péquistes qui ont alterné au pouvoir. On remarque aussi que la plateforme 2018 s’efforce de proposer des propositions politiques de plus en plus claires qui se traduisent par des engagements simples et fermes dont les incidences sont susceptibles de bénéficier à la population. Par exemple, l’assurance-dentaire, le salaire minimum à 15$, le transport en commun à moitié prix, les vacances portées à quatre semaines et bien d’autres mesures concrètes qui parlent aux gens.

QS présente donc la plateforme la plus cohérente. Il présente aussi l’équipe de candidat.e.s ayant le plus de cohésion : des citoyen.ne.s bien implanté.e.s dans leur milieu, choisi.e.s démocratiquement par la base. Quelle différence d’avec ces candidat.e.s, décrits comme des vedettes, que Legault et Couillard parachutent un peu partout au gré de leur opportunisme politique. Et on voudrait nous faire croire que ces gens, pourraient former une bonne équipe gouvernementale (« l’équipe du changement », clame la CAQ) alors qu’il ne s’agit que d’un assemblage disparate de gens qui n’ont que deux points en commun : la défense des intérêts établis et la promotion de leur carrière personnelle. Ainsi, à la CAQ on trouve aussi bien un économiste libertarien qui nie l’existence du bien commun, un dirigeant de la Banque Nationale, une ancienne attachée de presse de Jacques Parizeau, ainsi que plusieurs ex-supporteurs libéraux flairant l’odeur du pouvoir.

Cette élection se déroule sous le thème du changement, prétend-t-on. « Du changement dans la continuité », précisent les libéraux pour ne pas s’exclure du jeu. On prévoit en effet un changement de gouvernement. Mais les politiques caquistes de François Legault ne seront certes pas différentes de celles que nous ont fait subir les libéraux de Jean Charest et de Philippe Couillard depuis 13 ans et les péquistes de Pauline Marois lors de l’intermède de 2012-2014. Quelle farce !

Durant le carnaval médiatique auquel a donné lieu jusqu’ici la pré-campagne électorale, le terme « progressiste » n’a jamais été aussi galvaudé ; étant utilisé même pour décrire des politicien.ne.s de centre droit. Je me demande s’il ne serait pas temps de trouver un autre vocable pour qualifier notre mouvance politique ?

Enclencher le processus d’accession à l’indépendance dès l’arrivée au pouvoir

QS s’est aussi engagé à enclencher le processus d’accession à l’indépendance dès la prise du pouvoir. Manon Massé l’a d’ailleurs confirmé lors de l’entrevue qu’elle a accordée à Patrice Roy de Radio-Canada le 22 juin. Ce serait le premier geste que poserait un gouvernement solidaire, a-t-elle répondu à l’intervieweur qui l’interrogeait à ce sujet.

Dans le communiqué qu’il a publié le 24 juin à l’occasion de la Fête nationale, QS insiste « C’est une chance que nous devons saisir : le Parti québécois, en décidant de reporter la souveraineté aux calendes grecques, nous laisse le champ libre. Nous avons un projet inclusif, ouvert et qui peut rassembler tous les Québécois et toutes les Québécoises. Il est fondé sur la construction d’un Québec où tout le monde a sa place et où l’on arrête les distinctions entre « nous » et « eux ».

« Au lieu d’attendre qu’un « contexte plus favorable » s’installe, créons-le ! Un projet transformateur et emballant comme celui de l’indépendance du Québec, ça n’arrive pas du jour au lendemain. »

Le dynamisme de la jeunesse pour propulser QS en orbite

Québec solidaire cible prioritairement les 18-24 ans. Les jeunes sont en effet les plus susceptibles de devenir la bougie d’allumage de la fusée qui mettrait QS en orbite le 1er octobre. Pour atteindre cet objectif, il faudra qu’à compter de la troisième semaine d’août un blitz soit lancé sur la vingtaine de campus universitaires et la cinquantaine de campus de cégeps que compte le Québec afin de mobiliser le plus grand nombre possible d’étudiant.e.s. Cette mobilisation aurait un effet d’entrainement dans la population. On pourrait alors revivre l’esprit du Printemps érable de 2012. Mais, cette fois-ci, les casseroles seraient remplacées par des votes. Ça tombe bien, nous avons comme porte-parole l’icône de ce mouvement qui a constitué la mobilisation populaire la plus importante survenue au Québec depuis la campagne référendaire de 1995.

Ces dernières années, les campagnes électorales ont joué un rôle important. Rien n’est joué à l’avance comme c’était le cas dans les décennies 1930 et 1950 avec les libéraux de Louis-Alexandre Taschereau et les unionistes de Maurice Duplessis. On a vu, en 2001, comment le néo-démocrate Jack Layton a su conquérir le Québec en l’espace de quelques semaines détrônant le Bloc québécois de Gilles Duceppe qui , au milieu de la campagne, était encore en tête dans les sondages. Le tout s’est joué en l’espace de moins de 15 jours. Un phénomène semblable s’est produit, en novembre dernier, en faveur de Projet Montréal dirigé par Valérie Plante, une jeune n’ayant pas de notoriété publique. Elle a dépassé, dans le dernier droit de la campagne, un Denis Coderre empêtré dans le bourbier de la Formule E. La victoire inattendue du Justin Trudeau en 2015 sur un Thomas Mulcair, erratique, est un autre exemple.

Montréal, 25 juin 2018

 

Dans la grande démocratie israélienne, on fête les bébés qu’on brûle : VIDÉO


Parlons de cette si merveilleuse démocratie israélienne



Dans la grande démocratie israélienne, on fête les bébés qu’on brûle : VIDÉO 

25 juin 2018

Ci-dessous une vidéo d’Israéliens fêtant la semaine dernière la mort du bébé Ali Dawabshe brûlé vif par les colons, et déplorant que lors de ce "barbecue", son frère Ahmed, très grièvement brûlé, n’ait pas "grillé" complètement. Ceci se passe en l’absence de toute intervention de la police ou de l’armée devant un tribunal.




Cette fête a lieu devant le tribunal militaire d’Ofer, en Cisjordanie occupée, où le grand-père des deux enfants, Hussein Dawabshe qui a porté plainte, était entendu le 20 juin dernier.

"Où est Ali ??? Ali a cramé, il est passé au barbecue ! " "Où est Ali ? Il n’ y a pas d’Ali ! Ali a cramé, il est passé au gril !"

"Tout cela fut scandé violemment tels des crachats en pleine face, avec le grand-père dans la ligne de mire. Les policiers et les militaires, qui se tenaient devant nous, ne firent...rien. Strictement RIEN.", écrit Jonathan Ofir.

"Les apôtres du terrorisme n’oublièrent pas de rappeler les autres membres de la famille palestinienne : “Où est Ali ? Où est Riham ? Où est Saad ? OoooH ! Vraiment quel dommage, Ahmad n’a pas brulé comme les autres !

Ils profèrent à l’encontre de ce grand-père les insultes les plus obscènes, tout droit sorties du répertoire nazi, pour parler de son petit fils passé " au gril", tandis que la police israélienne reste de marbre, révélant par son inertie combien le racisme lui est devenu intrinsèque".


Voilà ce qui se chanta à propos d’Ali Dawabsheh, ce petit bébé de dix huit mois, mort brûlé vif, tué en 2015 par des Juifs terroristes, à Duma village de Cisjordanie. Riham, la mère d’Ali, tout comme son père Saad, succombèrent à leurs blessures quelques semaines après l’incendie criminel qui ravagea leur maison, suite à des jets de coktails molotov par des colons israéliens durant la nuit.

De toute la famille, de ses quatre membres, seul le petit Ahmad, âgé de cinq ans, a pu survivre.


Et ces Israéliens, le mêmes terroristes étaient là, devant le tribunal, pour narguer le grand-père venu s’y présenter pour une audience préliminaire, au cours de laquelle la Cour décida de mettre en examen un adulte ayant avoué sa participation à l’attentat, ainsi qu’un adolescent reconnu comme complice.

Hussein était accompagné de ses avocats palestiniens israéliens, Ayman Odeh et Ahmed Tibi. Maître Tibi a posté une vidéo où l’on voit la police israélienne rester impassible, nullement troublée par ces chants de haine, ces appels au meurtre. Durant toute leur manifestation devant le tribunal, Les jeunes colons crièrent regretter que la mort eût épargné Ahmad.


"Les autorités israéliennes lui refusent pour autant tout droit à "réparation" normalement due à toute personne victime de terrorisme. Pourquoi ? La famille d’Ahmad a le tort de ne pas être juive.", commente Jonathan Ofir.

Quant aux auteurs du crimes, connus comme faisant partie de "la bande des collines", ils furent finalement arrêtés. Mais cela n’empêche pas leurs amis de la même bande de se produire devant le tribunal pour crier de joie " Ali est sur le gril".


"MORT AUX ARABES", cela n’est jamais poursuivi en Israel. Mais si jamais des Arabes étaient pris en train de chanter "Mort aux Juifs !", alors non seulement ils seraient trainés devant les tribunaux, mais de surcroît on entendrait partout dans le monde les cris d’orfraie des organisations sionistes hurlant à l’antisémitisme, en montrant du doigt ces Arabes qui sont possédés par la haine du Juif.


Banderole : Tuez les tous !

Ce n’est pas la première fois que la mort de ce bébé fut encensée. En décembre 2015, une vidéo montrant une douzaine d’invités à un mariage en train de porter un toast à l’incendie terroriste, fut rendue publique par Channel 10. On pouvait y voir les invités de ce mariage mener de véritables danses de la mort, en train de brandir des coktails molotov, des poignards, allant jusqu’à lacérer à coups de couteaux une photo du petit bébé Ali Dawabshe.

Dans la famille de la droite dite radicale, ce couple tout juste marié était connu comme le loup blanc, et il ne fut pas inquiété."

(Traduit par Lionel R. pour CAPJPO-EuroPalestine)

Source : azvsas.blogspot.com/2018/06/how-sick-can-they-get-judeo-nazi.html

CAPJPO-EuroPalestine

mardi 26 juin 2018

C'était le tour cycliste du quartier de Qs-Rosemont.


Voir le vidéo et les photos suite à mon texte.

Des nouvelles de Québec solidaire Rosemont.


C'était le tour cycliste du quartier de Qs-Rosemont. 

Par Sergio de Rosemont

C'était le tour cycliste du quartier de Qs-Rosemont.

Le point de départ était au Parc Pélican, au coin de Laurier et de la 1ère Avenue dans le Vieux-Rosemont.

Ce tour cycliste était sous le thème "À vélo pour la Fête nationale".

Le but était de pouvoir faire la tournée des parcs de la circonscription à vélo et d'aller à la rencontre des citoyens et citoyennes de Rosemont afin de leur permettre d'exprimer leurs préoccupations mais aussi de leur permettre de mieux connaître Québec solidaire et son programme.

Le tour cycliste partait du Parc Pélican pour se diriger vers le Parc Jean-Duceppe pour par la suite se diriger vers le Parc Lafond pour ensuite se diriger vers le Parc Étienne-Desmarteaux et finir au Parc Joseph-Paré.

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POUR PLUS D'INFORMATIONS :





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VIDÉO :

 

Vincent Marissal a un message pour les rosemontois

En cette veille de la Fête nationale du Québec, Vincent Marissal, candidat de Québec solidaire Rosemont s'adresse aux rosemontois dans le cadre de l'événement "À vélo pour la Fête nationale".

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VOICI LES PHOTOS :

P.S: Vu que pour l'instant je met mes photos sur Facebook et vu que Facebook aime bien à l'occasion changer l'adresse URL des photos, en cas où qu'un tel changement surviendrait à mes photos voici l'adresse de mon article en version Facebook : www.facebook.com/serge.rosemont.7/media_set?set=a.2323919
 

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Le point de départ était au Parc Pélican, au coin de Laurier et de la 1ère Avenue dans le Vieux-Rosemont.


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Vincent Marissal candidat de Québec solidaire Rosemont et Maxime Vinet Béland coordonnateur de Québec solidaire Rosemont sont déjà prêts.


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Jean-Sébastien Bourret aussi a répondu présent à l'invitation.


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Voici le tract qui fut distribué aux rosemontoisEs.

Je me sens l'âme vide !


Voici pourquoi que pour certains je peux paraître comme une lame de rasoir ces jours ci :


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Je me sens l'âme vide ! 

Par Sergio de Rosemont

Je me sens l'âme vide !

Oui vide, très vide !

Avant avec elle mon Ange je me sentais revivre.

Cette Vipère Mielleuse s'est comme assuré de rendre l'amour entre nous deux impossible et l'amitié entre nous deux douloureuse et même parfois toxique pour moi.

C'est extrêmement douloureux dans l'âme et dans le coeur lorsque celle que vous aimez encore vous est rendu toxique.

Comme si le venin de cette Vipère Mielleuse ferait ressortir ses démons intérieurs revenant de son passé.

Ne plus avoir la sensation de vivre mais plutôt celle que de survivre, voilà comment je me sens pendant que ma plume trace ces lignes sur cette feuille.

Aussi confortable qu'une dague finement affilée plantée dans votre dos jusqu'au coeur.

Comme une déchirure dans l'âme.

Comme une fleur qui pleure dans mon coeur.

Mon âme saigne, saigne dans cette douleur.

Non ce n'est pas une dépression que je vie, ce que je vie c'est un dégoût total, un goût de vomir de colère envers ce mépris que mon Ange et moi avons été la cible de la part de cette Vipère Mielleuse.

Pourquoi n'aurions-nous pas eu le droit d'être heureux ensemble.

Comme si mon Ange et moi, nous deux, deux âmes ayant but plus souvent qu'à notre tour à cette Coupe du Mépris et des Préjugés chacun de notre bord que nous n'avions pas le droit de se rendre mutuellement heureux ensemble.

Oui écrire apaise un peu cette colère, même si ca l'apaise pas complètement.

Est-ce que le destin sera calmer cette douleur et cette colère dans mon âme ?

Est-ce que ce destin remettra sur mon chemin une autre âme à aimer ?

Et si oui en espérant qu'il n'y ait pas d'autre vipères qui se sentent vivantes en détruisant le bonheur et le destin d'autrui.

Ressentir le besoin de détruire ce qui est bien juste pour se sentir vivant, médiocre n'est ce pas ?

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P.S: Vu que pour l'instant je met mes photos sur Facebook et vu que Facebook aime bien à l'occasion changer l'adresse URL des photos, en cas où qu'un tel changement surviendrait à ma photo voici l'adresse de mon article en version Facebook :
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lundi 25 juin 2018

Les prochaines élections respecteront-elles la volonté populaire ?


Laissons la parole à Paul Cliche



Les prochaines élections respecteront-elles la volonté populaire ? 

Mardi 19 juin 2018 / DE : Paul Cliche

Si les résultats du scrutin du 1er octobre prochain étaient identiques à ceux du sondage LCN/Léger publié le 13 juin et à la répartition des sièges réalisée par l’analyste Bryan Breguet, il se classerait troisième dans l’histoire du Québec quant à l’importance des distorsions entre la volonté populaire et la composition de l’Assemblée nationale. Cet écart est dû au mode de scrutin majoritaire, le mécanisme électoral servant à transposer les votes en sièges parlementaires.

Les données publiées dans Le Journal mercredi indiquent, en effet, que la Coalition avenir Québec (CAQ) obtiendrait 37 % des suffrages, ce qui, selon les projections de Breguet, lui permettrait de faire élire un gouvernement largement majoritaire avec 83 députés, soit 66 % des 125 que compte l’Assemblée nationale. Il y aurait donc un écart de 29 % entre la proportion de votes obtenus par ce parti et le nombre de députés qu’il ferait élire.

Les écarts les plus élevés enregistrés en 1948 et 1973

Deux autres élections seulement ont permis d’enregistrer des écarts plus élevés :

•En 1948, l’écart a été de 38,1 % en faveur de l’Union nationale de Maurice Duplessis, qui a défait le Parti libéral d’Adélard Godbout.

•En 1973, il a été de 38 % en faveur du Parti libéral de Robert Bourassa, qui a défait le Parti québécois de René Lévesque.

Cinq autres élections ont donné lieu à des écarts dépassant 20 %, soit en 1952 et 1956 en faveur de l’Union nationale sur le Parti libéral, puis celle de 1976 en faveur du Parti québécois sur le Parti libéral, et enfin celles de 1985 et 1989 en faveur du Parti libéral sur le PQ. Lors des cinq dernières élections, l’écart a été moins élevé.

Trois renversements de la volonté populaire

Un phénomène encore plus grave d’un point de vue démocratique s’est produit lors des élections de 1998, alors qu’on a assisté à un renversement de la volonté populaire. Les péquistes de Lucien Bouchard ont alors été réélus de façon largement majoritaire avec 61 % des sièges, alors qu’ils avaient obtenu une proportion de votes moins forte que les libéraux de Jean Charest (43,5 % vs 43 %).

Le même phénomène s’était d’ailleurs produit deux fois auparavant, soit en 1944, alors que l’Union nationale avait ravi le pouvoir aux libéraux, et en 1966, alors que le gouvernement libéral de Jean Lesage, initiateur de la Révolution tranquille, avait été défait par l’Union nationale de Daniel Johnson.

Le PQ, la principale victime en 2018

Si on revient au dernier sondage, on note que la principale victime du mode de scrutin en 2018 serait le Parti québécois, ce qui ne lui est pas arrivé souvent depuis les années 1970. Ce coup de sonde lui accorde en effet 19 % des intentions de vote, mais seulement cinq sièges (4 %), soit un écart de 15 %. Québec solidaire, qui avec 9 % des intentions de vote se verrait attribuer 4 sièges (3.2 %), enregistrerait pour sa part un écart de 5,8 %. Quant au Parti libéral, avec 28 % des suffrages il remporterait 33 sièges (26,4 %). Cet écart de 1,6 % en ferait donc le parti d’opposition le moins désavantagé.

Legault honorera-t-il sa signature ?

Selon moi, les faits relatés ci-haut plaident éloquemment en faveur d’une réforme du mode de scrutin, qui devrait se traduire par l’instauration d’un scrutin de type proportionnel. Au Québec, on discute de cette réforme depuis plus de 50 ans. Le PQ l’a introduite dans son programme dès 1969 à l’instigation de René Lévesque. Ce dernier s’apprêtait à présenter un projet de loi en 1984, alors qu’il a été bloqué par le caucus de ses députés. Mais l’engagement est demeuré dans le programme péquiste jusqu’en 2011, alors que Pauline Marois l’a fait biffer dans l’espoir (déçu) de former un gouvernement majoritaire.

Quant à Jean Charest, il a présenté en 2004 un avant-projet de loi prévoyant l’instauration d’un scrutin proportionnel mixte avec compensation inspiré du modèle écossais. Mais il l’a retiré en 2006 sans fournir d’explications, même si, quelques mois plus tôt, plus de 2000 intervenants avaient réclamé le dépôt d’un projet de loi en bonne et due forme. Depuis bientôt 12 ans, le dossier s’est perdu dans les limbes de l’Assemblée nationale.

Mais il y a de l’espoir, car les quatre partis d’opposition (PQ, CAQ, QS et Parti vert) ont signé, en mai dernier, une entente où ils s’engagent à travailler ensemble pour remplacer le mode de scrutin majoritaire actuel par un scrutin proportionnel dont ils ont défini les contours (système proportionnel mixte avec compensation au niveau régional). Ils se sont formellement engagés, s’ils sont élus, à présenter un projet de loi en ce sens dans la première année de leur mandat, même si le Parti libéral devait s’y opposer.

S’il devient premier ministre en octobre, François Legault honorera-t-il sa signature ou agira-t-il comme Justin Trudeau, qui a renié un de ses principaux engagements ? C’est sur cette question que son nouveau gouvernement subira probablement son premier test de crédibilité.

Paul Cliche est l’auteur du livre Pour réduire le déficit démocratique : le scrutin proportionnel.

 

« Le ministre Barrette doit faire face à la musique » - Amir Khadir


Un message au ministre de la Santé Gaétan Barrette



« Le ministre Barrette doit faire face à la musique » - Amir Khadir 

22 juin 2018

Emboîtant le pas au chef de l’APNQL, Ghislain Picard, et au maire de Kuujjuaq, Tunu Napartuk, le député de Mercier, Amir Khadir, demande au ministre de la Santé Gaétan Barrette de tirer sa révérence avant le déclenchement des élections générales du 1er octobre prochain. Pour M. Khadir, les propos discriminatoires tenus par M. Barrette à l’endroit des Autochtones véhiculent des préjugés qui n’ont pas leur place dans le réseau de la santé à l’heure où les défis sont grands pour donner aux populations des communautés éloignées les services auxquels elles ont droit.

« Au lieu de défendre son volte-face permettant aux parents d’accompagner leurs enfants dans les ambulances aériennes, M. Barrette n’a rien trouvé de mieux que de colporter des vieux stéréotypes à l’endroit des Premières nations », affirme M. Khadir. « Est-ce que Philippe Couillard partage les préjugés de son ministre? Si ce n’est pas le cas, quel est son plan d’action pour s’assurer qu’ils n’influencent pas la livraison des services? »

« Le Parti libéral sera durement jugé le 1er octobre prochain pour avoir toléré aussi longtemps les acrobaties du ministre de la Santé. J’invite M. Barrette à saisir cette dernière opportunité de tirer sa révérence et laisser Philippe Couillard lui-même défendre le bilan désastreux de son gouvernement en matière de santé. Après tout, les réformes du ministre Barrette se sont déroulées sous l’oeil approbateur du Premier ministre! La vision du ministre Barrette est celle de son parti: toujours plus de coupures, de centralisation et d’augmentations de salaire aux médecins spécialistes au détriment du patient et du personnel », conclut le député de Mercier.

 

mercredi 20 juin 2018

Québec solidaire Rosemont était présent au Forum social de Rosemont


Voir les photos suite à l'article

Des nouvelles de Qs-Rosemont


Québec solidaire Rosemont était présent au Forum social de Rosemont 

Par Sergio de Rosemont

Ce samedi 16 juin 2018 à 9h30 dans le cadre du DRE III, c'était le Forum social de Rosemont qui se tenait au Collège de Rosemont.

Le but étant de sélectionner les priorités pour Décider Rosemont III.

Et Québec solidaire Rosemont était sur place afin d'encore plus saisir les problématiques que doivent affronter les rosemontoisEs.

Vincent Marissal, candidat de Qs-Rosemont était sur place avec quelques membres.

Gabriel Nadeau-Dubois était des nôtres ainsi que Paul Cliche l'un des fondateurs de Québec solidaire.

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VOICI LES PHOTOS :

P.S: Vu que pour l'instant je met mes photos sur Facebook et vu que Facebook aime bien à l'occasion changer l'adresse URL des photos, en cas où qu'un tel changement surviendrait à mes photos voici l'adresse de mon article en version Facebook : www.facebook.com/serge.rosemont.7/media_set?set=a.226759458053118
 

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Gabriel Nadeau-Dubois, député solidaire de Gouin vient nous rejoindre.


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Paul Cliche l'un des fondateurs de Québec solidaire était des nôtres.


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Vincent Marissal, candidat de Qs-Rosemont et Gabriel Nadeau-Dubois, député solidaire de Gouin étaient très attentifs au déroulement du forum.


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Vincent a participé à la même atelier que moi.


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Ma pose dîner avec ma gang de Québec solidaire.


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Ce qui est intéressant dans un forum social c'est que ca permet aux gens d'échanger comme ici Luc Bordeleau du Mouvement Démocratie Nouvelle MDN et Vincent Marissal le candidat de Qs-Rosemont échangeant sur la nécessité de changer le mode de scrutin.

L’administration Trump cite la bible pour justifier la séparation des enfants de migrants


Trump = l’art de la lâcheté et de ne pas avoir de conscience



Une mère et sa fille venues du Honduras sont appréhendées par la police frontalière au Texas le 12 juin 2018. | John Moore / AFP

L’administration Trump cite la bible pour justifier la séparation des enfants de migrants 

16 juin 2018

La surenchère en cynisme et hypocrisie sur la question des migrants bat tous ses records avec la déclaration du ministre américain de la justice qui cite la bible, et notamment un de ses passages autrefois utilisé aux États-Unis pour défendre l’esclavage, afin de justifier l’injustifiable.

Depuis la mise en place cet automne aux USA d’une politique de « tolérance zéro » envers les sans-papiers, près de 700 familles ont été séparées à la frontière mexicaine, dont 100 enfants de moins de quatre ans qui se sont retrouvés dans des centres de rétention pendant que leurs parents étaient envoyés en prison.

Alors que l’opposition démocrate a commencé à protester vigoureusement contre ces séparations, le ministre de la Justice Jeff Sessions a tenté de les justifier en citant la bible.

« Je pourrais vous renvoyer à l’apôtre Paul et à son commandement clair et sage, dans Romains 13, qu’il faut obéir aux lois du gouvernement car Dieu les a décrétées afin d’assurer l’ordre », a-t-il déclaré face à un public de policiers dans l’Indiana.

Jusqu’ici les familles étaient détenues ensemble, mais le ministre de la justice a introduit des mesures pour les séparer, expliquant que ces séparations étaient une façon « d’envoyer un message dissuasif " .

Quant à ces enfants de migrants, les autorités américaines envisagent de les loger dans des tentes près de la frontière, une solution dénoncée par un élu démocrate texan qui a rappelé que les températures dépassaient régulièrement les trente-sept degrés.

Lors du briefing de la porte-parole de la Maison-Blanche, le journaliste de CNN Jim Acosta a interrogé Sarah Huckabee-Sanders sur ce sujet :

« Où dans la bible est-il écrit qu’il est moral d’enlever les enfants à leurs mères ? »

Huckabee-Sanders a répondu qu’elle n’avait pas entendu le discours du ministre mais qu’il était « très biblique de faire respecter la loi ».

Le jour d’avant, la Conférence des évêques catholiques des États-Unis avait qualifié la politique migratoire du gouvernement américain d’immorale, et un évêque avait suggéré que les catholiques qui aidaient à mettre en place ces mesures étaient en violation de leur foi.

Même le Vatican a décidé de s’exprimer via un tweet de sa section migrants et réfugiés citant un verset du Deutéronome selon lequel Dieu « aime l’étranger qui habite parmi vous, et lui donne de la nourriture et des vêtements ».

Comme le note un historien interviewé par le Washington Post, le passage cité par Jeff Sessions a été souvent utilisé par les sudistes dans les années 1840 et 1850 pour défendre l’esclavage face aux abolitionnistes.

Source : www.slate.fr/story/163229/administration-trump-bible-justifier-separation-enfants-migrants

CAPJPO-EuroPalestine

 

mardi 19 juin 2018

C'était le Forum social de Rosemont.


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Parlons du DRE III


C'était le Forum social de Rosemont. 

Par Sergio de Rosemont

Ce samedi 16 juin 2018 à 9h30 dans le cadre du DRE III, c'était le Forum social de Rosemont qui se tenait au Collège de Rosemont.

Le but étant de sélectionner les priorités pour Décider Rosemont Ensemble III.

300 participantEs étaient sur place ainsi que plusieurs éluEs locaux.

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Pour les gens intéressées par la démarche Décider Rosemont Ensemble: www.cdcrosemont.org www.forumsocialrosemont.com
514 524-1797 poste 230

Daniel Desputeau, agent de développement Décider Rosemont Ensemble, 514 524-1797 poste 230 ou d.desputeau@cdcrosemont.org

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VOICI LES PHOTOS DU FORUM :

P.S: Vu que pour l'instant je met mes photos sur Facebook et vu que Facebook aime bien à l'occasion changer l'adresse URL des photos, en cas où qu'un tel changement surviendrait à mes photos voici l'adresse de mon article en version Facebook : www.facebook.com/serge.rosemont.7/media_set?set=a.22673508472222
 

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Il y avait un autobus spécial qui partait du Pélican où je demeure pour nous transporter au Collège de Rosemont en faisant un détour au centre Gabrielle et Marcel Lapalme.


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Jean prenant des photos dans l'autobus.


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Voilà nous arrivons au Collège de Rosemont.


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Entrons !


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La sympathique Catherine à l'accueil :-)


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Les muffins et les croissants étaient délicieux.


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La sympathique Joakim que je félicite pour son magnifique travail.


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Une autre sympathique femme, Josyanne de Bouffe-Action de Rosemont était aussi sur place.


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François Croteau, le maire de l'arrondissement était des nôtres.


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Jean qu'on félicite pour son élection au CA du Comité Logement Rosemont.


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L'écrivain rosemontois Paul Cliche avait répondu présent à l'invitation.


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Luc Bordeleau du Mouvement Démocratie Nouvelle MDN, rosemontois depuis peu était aussi sur place.


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Gabriel Nadeau-Dubois député solidaire de Gouin était aussi des nôtres.


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Voilà nous commençons Denis Leclerc de la CDC Rosemont au micro.


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Danny Dan de la CDC Rosemont au micro.


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La sympathique Marie-Anne Cantin avec des amies.


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Une photo souvenir du Forum social de Rosemont.

Merci à Luc Bordeleau pour la photo.


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Un peu d'humour.


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Une photo souvenir avec la sympathique Stéphanie Watt.


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Marie-Anne Cantin au micro.


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Nos amis Jocelyn Pauzé et Alexandre Boulerice.


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Et oui il y a eu aussi du travail en atelier.


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C'était l'heure du dîner dans la cour intérieure du Collège de Rosemont.


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Notre ami Martin Fontaine.


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Ce qui est intéressant dans un forum social c'est que ca permet aux gens d'échanger comme ici Luc Bordeleau du Mouvement Démocratie Nouvelle MDN et Vincent Marissal le candidat de Qs-Rosemont échangeant sur la nécessité de changer le mode de scrutin.


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Une photo souvenir avec Marjolaine Boutin-Sweet députée fédéral NPD dans Hochelaga-Maisonneuve.

Merci à Jean Gosselin pour la photo.


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Oui Danny Dan bravo pour ton magnifique travail.


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Oui Danny Dan bravo pour ton magnifique travail.