jeudi 31 octobre 2013

Pollution atmosphérique au port de Québec : Québec solidaire invite le gouvernement du Québec à envisager tous les recours possibles



Pollution atmosphérique au port de Québec : Québec solidaire invite le gouvernement du Québec à envisager tous les recours possibles

22 octobre 2013

Québec solidaire déplore que le Parti libéral du Québec empêche aujourd’hui l’Assemblée nationale d’adopter une motion qui visait à permettre l’accès au port de Québec pour les inspecteurs du ministère de l’Environnement. Les solidaires invitent le gouvernement du Parti québécois à aller plus loin dans ses recours.

« Il est normal que ministre de l’Environnement défende les pouvoirs de son ministère face à des entreprises qui polluent sans vergogne les quartiers centraux de la Capitale nationale avec la protection du gouvernement Harper. L’attitude du Parti libéral est déplorable. Le PLQ devra justifier son aplaventrisme face au gouvernement fédéral et expliquer pourquoi il priorise les intérêts économiques au détriment de la santé publique » déplore Amir Khadir, député de Mercier.

Sortir du modèle minier colonial

Pour Québec solidaire, le gouvernement du Québec doit aller plus loin que de pointer du doigt les autorités du Port de Québec et le gouvernement fédéral. En effet, une des causes potentielles identifiées est le transit de nickel extrait dans le Nord québécois actuellement envoyé sans transformation vers Sudbury.

Selon le député de Mercier, « il y a quelque chose de colonial à voir une entreprise, Xstrata, faire transiter par bateau notre nickel sans même le transformer et, surtout, de ne pas garantir la protection de la santé publique. La ministre des Ressources naturelles doit rappeler cette entreprise à l’ordre. Après toutes les promesses du Parti québécois sur la responsabilité sociale des entreprises et l’importance de transformer le minerai au Québec, il est plus que temps que la ministre Ouellet hausse le ton. »

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mercredi 30 octobre 2013

L'Accord de libre-échange Union européenne–Canada est inacceptable Et oui même en Europe les citoyens sont contre cette entente de libre échange.

Preuve qu'on ne peut vraiment pas se fier aux médias traditionnels comme TVA qui nous cachent le fait que de l'autre bord de l'Atlantique il y a aussi une forte opposition à cet accord



L'Accord de libre-échange Union européenne–Canada est inacceptable Et oui même en Europe les citoyens sont contre cette entente de libre échange.

L'Union européenne et le Canada sont finalement parvenus à s'entendre sur un accord de libéralisation du commerce et des investissements. Si l'accord politique confirmé aujourd'hui par J.M. Barroso et le Premier ministre canadien S. Harper reste symbolique à ce stade (les négociations techniques vont certainement se poursuivre plusieurs mois), cet AÉCG (Accord économique et commercial global) confirme cependant la volonté communautaire d'accélérer le rythme de construction d'un grand marché unique transatlantique, porteur de lourdes menaces du point de vue des mouvements sociaux et citoyens de part et d'autre de l'Atlantique.

Cette annonce intervient alors que personne – hormis les négociateurs et hommes d'affaire – n'a pu accéder directement au texte négocié, ou aux informations quant aux concessions faites par l'Union européenne et le Canada en vue de conclure cet accord, malgré les appels répétés des organisations de la société civile européenne et canadienne..

D'après les informations fuitées qui nous sont parvenues en novembre 2012, les répercussions de cet accord seraient majeures pour l'agriculture européenne, les services publics, les droits accordés aux multinationales, les règles environnementales et sanitaires, l'accès aux médicaments, etc. Mais les intérêts des multinationales semblent bien plus préoccuper le Président de Commission, J.M. Barosso, qui déclare : « Cet accord ouvrira de nouvelles opportunités pour les entreprises européennes et canadiennes en augmentant l'accès aux marchés des biens et services, et en accordant de nouvelles opportunités aux investisseurs européens. »

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Élections municipales à Montréal : exaspération chez les locataires

J'y étais !



Élections municipales à Montréal : exaspération chez les locataires

21 octobre 2013.

Une centaine de membres du FRAPRU étaient aux portes du Palais des congrès en fin d’après-midi, arméEs de casseroles et de sifflets, pour houspiller les candidats à la mairie de Montréal qui se rendaient à l’invitation de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain afin de discuter d’économie. Les manifestantes et les manifestants ont dénoncé la faiblesse de leurs engagements en matière de logement. « Deux tiers des ménages montréalais sont locataires, 40 % d’entre eux payent trop cher de loyer et tout ce dont on entend parler, c’est d’accès à la propriété privée pour les familles...?! C’est franchement inapproprié ! », s’est exclamée la porte-parole du FRAPRU à Montréal, Marie-José Corriveau.

Au passage, le regroupement a reproché aux candidats d’avoir refusé son invitation à débattre de droit au logement. « Ils auraient pourtant beaucoup appris », a mentionné madame Corriveau, rappelant que le revenu médian des ménages locataires de Montréal est de l’ordre de 30 000 $ par année et que peu d’entre eux ont les moyens d’accéder à la propriété sans compromettre leurs autres besoins essentiels. Selon elle, « les données de la Société canadienne d’hypothèque et de logement démontrent que, depuis le début des années 2000, le secteur privé ne fait rien pour répondre aux besoins des mal-logés, au contraire. Le développement frénétique de condos, soutenu par la Ville et la trop faible construction de logements locatifs entrainent un embourgeoisement des quartiers centraux ». D’après le FRAPRU, cela compromet le maintien des ménages à faible et à modeste revenu dans leur milieu, à proximité de leurs réseaux d’entraide, et aggrave leur exclusion sociale. « Les gens ne savent pas combien de temps ils auront les moyens de rester dans leur quartier », a précisé la porte-parole du regroupement, rappelant que le loyer médian des locataires a augmenté de 31 % depuis dix ans et que l’itinérance est en croissance partout à Montréal.

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mardi 29 octobre 2013

Petite précision de ma part pour le 3 novembre 2013

En complément à mon texte : 
{ Je me dois de faire une mise au point concernant les élections municipales du 3 novembre 2013 }


Petite précision de ma part pour le 3 novembre 2013

Par Sergio de Rosemont

Comme j'avais spécifié dans mon texte précédent { Je me dois de faire une mise au point concernant les élections municipales du 3 novembre 2013 } que j'appuierais Érika Duchesne et François William Croteau dans le Vieux-Rosemont même si je ne soutiens plus Projet Montréal.

Oui je vais mettre mon « - X - » à côté de leurs noms malgré le fait qu'ils soient rattachés à Projet Montréal, car dans mon esprit moralement ce sera pour ces 2 candidats et non pas le parti que je vais voté.

Comme j'avais mentionné dans mon texte précédent je le fais par ce que même si je suis déçu par Projet Montréal et surtout par Richard Bergeron qu'à mes yeux Érika et François ont fait un bon boulot ils ont su être pro-actifs.

Et l'un des exemple du bon travail qu'ils ont accompli est l'intersection Masson et Molson qui était à mon avis l'une des plus dangereuse dans le vieux-Rosemont.

Effectivement cet intersection était très dangereuse dû à un manque de signalisation.

N'oublions pas qu'à cette intersection ce retrouve le marché Maxi, le Parc Pélican avec sa piscine et l'arrêt d'autobus.

Ah oui ce Richard Bergeron que j'ai d'ailleurs comme on dit en québécois ramassé au Première Moisson le 19 octobre 13, disons je tenais qu'il sache ma pensée.

VOICI LE LIEN VERS MON TEXTE PRÉCÉDENT :


VOICI LES 4 PHOTOS DE L'INTERSECTION MASSON MOLSON DONC JE PARLE :


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Plusieurs enfants traversent cet intersection à cause du parc et de l'arrêt d'autobus.


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Avant qu'il y ait des feux de circulation traverser ici pouvait être dangereux à cause que souvent des automobilistes semblaient oublier qu'ils partagent la voie publique avec les piétons et les cyclistes et oser leur demander de perdre un petit 3 seconde leur semblait être un sacrilège.


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N'oublions pas que des personnes âgés viennent souvent au Maxi faire leur épicerie et après traversent cette intersection pour prendre l'autobus pour entrer chez eux.


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Je sais vous allez dire que ce ne sont que des feux de signalisation mais en ayant fait ce qu'il fallait pour leurs installation, Érika et François ont démontrer que la sécurité de leurs concitoyens est importante à leurs yeux.

Merci François et Érika pour ces feux de signalisation.

Assurance autonomie – Pour Québec solidaire, financement privé de la caisse autonomie ne rime pas avec accessibilité et qualité



Assurance autonomie – Pour Québec solidaire, financement privé de la caisse autonomie ne rime pas avec accessibilité et qualité

26 octobre 2013

Alors que s’amorçait hier la commission parlementaire qui entend les groupes intéressés à débattre du Livre blanc du ministre Hébert au sujet de l’assurance autonomie, Françoise David, députée de Gouin identifie trois enjeux principaux à propos du Livre blanc sur l’assurance autonomie : le financement des soins et des services, leur prestation et leur organisation.

Mme David entend bien défendre des principes chers aux personnes aînées du Québec : l’accessibilité et la qualité des soins et des services. « Ce n’est pas tout de dire que l’État doit assurer des services aux aînés là où ils souhaitent, c’est-à-dire à domicile selon le ministre. Encore faut-il que ceux-ci aient accès à des services de qualité qui correspondent à leur état et à leurs besoins », explique-t-elle.

Le financement des services à domicile

Françoise David s’interroge sur le financement de la « caisse autonomie » dont parle le ministre Hébert dans son Livre blanc : « Jusqu’où veut-il aller quand il parle de financer son projet par une contribution des personnes usagères en fonction de leur revenu? ».  Pour Québec solidaire, l’ensemble des contribuables, particuliers et entreprises doivent contribuer à bonifier le financement des services à domicile aux personnes aînées via la fiscalité. Il n’est cependant pas question pour la députée d’accepter une tarification des services médicalement requis, même s’ils sont offerts à domicile.

« L’universalité et la gratuité de la Santé au Québec sont attaquées de front par le projet du ministre quand il dit vouloir mettre davantage à contribution les utilisatrices et utilisateurs de soins à domicile. Les Libéraux tenaient le même genre de discours quand il était question des frais de scolarité. Si le gouvernement cherche des solutions pour financer à bonne hauteur les soins à domicile, je lui suggère de regarder du côté de la fiscalité des entreprises et des institutions financières. Il a assez pigé dans la poche des citoyennes et des citoyens », fait valoir Françoise David

La prestation et l’organisation des services à domicile

Québec solidaire est d’accord pour étendre et valoriser les services de soutien à domicile pour les personnes aînées et souhaite en élargir l’accès dans toutes les régions du Québec.

« La protectrice du citoyen a démontré la persistance d’inégalités au niveau de l’accessibilité territoriale des soins à domicile et cela est inadmissible. Il faut une bonification du soutien aux proches aidants certes, mais aussi, par exemple, plus de médecins qui font des visites à domicile. Il faut également la garantie que les personnes aînées auront accès à des professionnels qualifiés qui bénéficient de bonnes conditions de travail », ajoute la députée de Gouin.

En ce sens, Québec solidaire favorise une approche intégrée qui fait appel à différents intervenants qui coordonnent les aspects cliniques, sociaux et organisationnels des besoins des personnes aînées. Pour la députée solidaire, les services à domicile s’intègrent au réseau public de santé et la qualité de vie des personnes aînées est aussi l’affaire de tous les professionnels qui y travaillent.

Mme David enchaîne : « Le développement d’une première ligne de soins et de services, forte et de proximité, doit être une priorité si on veut répondre aux besoins diversifiés des personnes aînées. Nous proposons de redonner aux CLSC leur rôle central au niveau de la prévention et de l’éducation; on veut augmenter leurs budgets et favoriser une complémentarité entre eux, les organismes communautaires et les organismes d’économie sociale sur le terrain. Que les personnes aînées demeurent à domicile ou non, elles ont droit à des services de qualité qui répondent à leurs besoins. Mettre ensemble tous ceux et toutes celles qui y œuvrent déjà représente un prérequis si on veut atteindre nos objectifs. »

La députée de Gouin a donc hâte d’entendre les groupes qui participeront à la commission parlementaire sur le Livre blanc du ministre Hébert. C’est sur fond d’accessibilité et de qualité des services de soutien à domicile pour les personnes aînées que Françoise David compte échanger avec eux afin que, élection ou pas cet automne, celles et ceux qui ont contribué à bâtir le Québec puissent se dire fiers de ce qu’il est devenu aujourd’hui et de ce qu’il sera demain.

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lundi 28 octobre 2013

La charte de la confusion

Laissons Francis Lagacé nous parler de charte



La charte de la confusion

28 octobre 2013

En huit jours, j'ai eu l'occasion d'assister à trois débats publics sur la charte dite des valeurs proposée par le gouvernement québécois.

Entendre les opinions de part et d'autre est fort utile pour comprendre la légitimité des diverses positions. Toutefois, il ressort que le débat serait plus facile et plus serein si les paramètres étaient plus clairs et mieux connus. En fait, on a souvent l'impression que les interlocuteurs ne parlent pas toujours de la même chose, ce qui occasionne de l'ambiguïté, des quiproquos et des confusions.

Je propose ici un essai de distinction de différents concepts utilisés et des différentes règles auxquelles on réfère.

D'abord, il ne paraît pas déraisonnable en soi de vouloir adopter une charte des valeurs. Une telle charte servirait de guide pour la conception des lois et règlements, et ensuite quant à leur interprétation.

Cependant une charte des valeurs doit regrouper les valeurs universelles auxquelles une société adhère : égalité, liberté, solidarité, justice, paix, etc. En ce sens, il s'agit d'une grande déclaration de principes qui ne contient pas en elle-même de mesures spécifiques, car ces mesures-là relèvent des lois et règlements qui s'en inspireront.

Or, il est bien clair que le gouvernement ne présente pas, dans le cas qui nous occupe, une charte des valeurs, mais une tentative de charte de la laïcité, qui contient un élément de charte des valeurs, soit le principe de l'égalité entre les femmes et les hommes. En voulant tout faire rapidement en une étape, le gouvernement a contribué à la confusion.

La laïcité, donc, puisque c'est de cela qu'il s'agit consiste pour l'État à afficher une neutralité complète à l'égard des religions et à n'en favoriser aucune.

Encore une fois, la tâche est assez partielle puisque les religions bénéficient toujours de certains avantages dont ne bénéficient pas les autres organismes sans but lucratif. Elles peuvent même exercer certains pouvoirs civils comme celui de faire des mariages reconnus par l'État.

Une autre distinction, abordée par exemple dans le billet du 14 octobre 2013 http://www.francislagace.org/billet.php#sujet297 , est celle entre croyance et religion. La religion relève d'une organisation qui dispose d'un clergé ou de représentants; la croyance relève de la conviction personnelle. Il faut donc distinguer entre la liberté de religion des groupes d'un côté et la liberté de croyance des individus de l'autre.

Cela nous amène à distinguer l'État comme institution, qui ne doit afficher aucun lien avec la religion, et les individus d'autre part, qui disposent de la liberté d'expression.

La question qui se pose est donc celle de savoir quelles sont les limites raisonnables à apporter à la liberté d'expression des individus pour garantir la neutralité de l'institution. Pour ce qui est de l'institution, elle ne doit pas afficher de signe religieux et, en ce sens, le maintien du crucifix au-dessus du fauteuil de la présidence à l'Assemblée nationale est une aberration.

Il ne semble pas non plus qu'aucune religion n'exige formellement de la part des individus le port de certains signes en tout temps. Les avis à cet égard relèvent de l'interprétation.

Mais de qui doit-on exiger cette retenue dans l'expression des croyances ? Là encore le projet de charte présenté (notons qu'il n'y a pas encore de projet de loi officiel) contient des incohérences, sources de confusion.

Il convient donc de rappeler que les exigences dont il est question dans le projet en débat s'adressent aux employéEs de l'État et non aux employéEs des commerces ni aux passants dans la rue. J'ai remarqué par exemple que la caissière d'un commerce que je fréquente ne porte plus son foulard depuis un certain temps, je n'ai pas osé lui demander si c'était à cause des dérapages que le débat a pu causer.

La question est donc : pour quels employéEs de l'État de telles exigences sont-elles appropriées ?

Exiger la même retenue de la part de tous les employéEs de l'État, mais pas des éluEs est-il justifié ? Doit-on traiter les écoles primaires et secondaires de la même façon que les cégeps et les universités ? Il convient de rappeler la liberté académique si chèrement acquise par les enseignantEs des collèges et universités.

Les hôpitaux sont gérés par l'État, mais les personnes qui y travaillent sont-elles dans une relation institutionnelle ou dans une relation d'aide ?

Permettre un droit de retrait selon le conseil d'administration d'un établissement, c'est ouvrir la porte à l'arbitraire et créer des régimes parallèles d'une institution à l'autre même si elles sont physiquement voisines, par exemple dans une même rue.

Et quand on parle de signes, sait-on de quoi l'on parle ? On entend beaucoup parler de voile. On se rend compte pourtant que de nombreuses personnes entendent par là le hidjab, qui est en fait un foulard. L'expression « femme voilée » ne désigne-t-elle pas une femme dont on ne voit pas le visage parce qu'elle porte un niqab ?

Quand on entend des interlocuteurs s'entre-contredire, le fait qu'ils appellent de noms différents des réalités semblables ou de noms semblables des réalités différentes n'aide pas à résoudre ces contradictions.

Sur la question du niqab toutefois, il semble bien que le consensus soit tout à fait général : on donne et on reçoit un service de l'État à visage découvert.

Pour aider à la sérénité du débat, ne conviendrait-il pas aussi de reconnaître dès le départ des discussions que les objectifs 1. d'assurer la neutralité de l'État et 2. de garantir la liberté d'expression sont tous les deux légitimes et que le débat doit porter sur les moyens de concilier les deux ?

La fréquentation des débats m'a semblé fort instructive et, si l'on essayait chaque fois de s'entendre au moins sur les termes de référence, cela devrait nous conduire à un exercice démocratique plus mesuré, certes difficile, mais nécessaire.

LAGACÉ Francis

Manon Massé investie dans Ste-Marie–St-Jacques avec l’appui des députés solidaires



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Manon Massé investie dans Ste-Marie–St-Jacques avec l’appui des députés solidaires

27 octobre 2013

Le dimanche 27 octobre 2013, les militants et militantes de Québec solidaire dans Sainte-Marie–Saint-Jacques ont à nouveau choisi Manon Massé pour les représenter lors des prochaines élections générales. À cette occasion, Amir Khadir et Françoise David ainsi que plusieurs candidats et candidates solidaires, dont Alexandre Leduc d’Hochelaga-Maisonneuve et Geneviève Fortier-Moreau de Viau, se sont joints aux citoyens et citoyennes de la circonscription pour signifier leur appui à Mme Massé.

C’est avec un plaisir et un enthousiasme renouvelés que Manon Massé se présente dans la circonscription dans laquelle elle vit et milite depuis plusieurs années. « Ste-Marie–St-Jacques mérite une meilleure représentation politique. Nous avons constaté que, malgré ses convictions personnelles, le député péquiste Daniel Breton n’a pas été en mesure de défendre les intérêts des personnes les plus vulnérables entre autres dans les dossiers des coupes à l’aide sociale et des milliers de victimes d’abus policiers de la grève de 2012. Il a également déçu l’ensemble des Québécois et Québécoises par son incapacité à mettre ses promesses à exécution en matière de protection de l’environnement », affirme Mme Massé.

Les députés solidaires ont tenu à envoyer un message clair : « Québec solidaire est prêt à représenter les citoyens et citoyennes à l’Assemblée nationale. Manon, avec toutes ses compétences et ses expériences, doit se joindre à Amir et moi pour que se fasse entendre une voix solidaire encore plus forte », a déclaré Françoise David, députée de Gouin et porte-parole du parti.

Des citoyennes et citoyens très engagés dans le milieu, dont Me Noël Saint-Pierre, avocat pour les droits des personnes homosexuelles et trans, et Mme Linda Vallée, ancienne présidente de la Corporation de développement économique communautaire Centre-Sud/Plateau-Mont-Royal, sont également venus témoigner du grand engagement de Manon Massé dans sa circonscription.

Rappelons qu’aux dernières élections provinciales de 2012, Manon Massé a obtenu 25,4 % des suffrages. Le nombre d’électeurs et électrices lui ayant accordé leur confiance a donc doublé par rapport à 2008.

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dimanche 27 octobre 2013

Quel que soit le maire élu, aucun parti n’obtiendra de majorité absolue au conseil municipal de Montréal

Paul Cliche prévoit que le 3 novembre qu'il n'y aura pas de majorité.



Quel que soit le maire élu, aucun parti n’obtiendra de majorité absolue au conseil municipal  de Montréal

Paul Cliche, ex-conseiller municipal montréalais

À une dizaine jours des élections du 3 novembre, on peut prévoir avec une quasi certitude qu’aucun des partis en lice n’obtiendra une majorité des sièges au conseil municipal de Montréal. Une analyse des forces en présence permet de constater en effet que ni Équipe Coderre pour Montréal, ni Projet Montréal-Équipe Bergeron et encore moins Coalition Montréal-Marcel Côté ne pourront faire élire les 33 conseillers que requiert une majorité absolue è l’Hôtel de ville ; le conseil étant composé de 65 membres, soit le maire de Montréal, 18 maires d’arrondissement et 46 conseillers de ville. Quant aux partis marginaux Vrai changement pour Montréal-Groupe Mélanie Joly et Intégrité Montréal de Michel Brûlé, ils ne présentent pas suffisamment de candidats pour être dans la course.

C’est un phénomène nouveau qui explique en grande partie cette minorité appréhendée, soit la création impromptue de partis champignons dans six arrondissements sur 19, soit Anjou, Lachine, La Salle, l’Ile-Bizard-Sainte-Geneviève, Outremont et Verdun; ce dernier arrondissement comptant même deux partis locaux. Il s’agit toutes d’anciennes municipalités de banlieue fusionnées. On y voit là le signe d’une intégration plus faible de ces arrondissements à Montréal. Le même phénomène ne s’est pas produit dans les neuf arrondissements de l’ancienne ville de Montréal, ainsi que dans quatre anciennes villes fusionnées, soit Montréal-Nord, Pierrefonds-Roxboro, Saint-Laurent et Saint-Léonard.

Ces sept partis «autonomistes», étant pour la plupart dirigés par des maires d’arrondissement sortants et présentant aussi des conseillers sortants, ont donc de bonnes chances de faire élire plusieurs candidats. Ces résultats, qui semblent probables, réduiraient d’autant la possibilité que le nouveau maire puisse être à la tête d’une administration majoritaire. Le sentiment d’autonomie se fait particulièrement sentir dans Outremont où on ne veut pas que l’arrondissement disparaisse lors d’une éventuelle annexion à celui du Plateau-Mont-Royal. La présence de deux partis d’arrondissement dans Verdun semble toutefois réduire les chances d’un des deux d’être victorieux.

Les châteaux forts sont peu nombreux

Une analyse plus pointue permet de réaliser que les arrondissements considérés comme des châteaux forts assurés pour les trois «grands partis» sont relativement peu nombreux. Dans le cas de l’Équipe Coderre, on peut mentionner Montréal-Nord, Saint-Laurent, Saint-Léonard et dans une moindre mesure Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension. Ce furent quatre forteresses d’Union Montréal de défunte mémoire. Dans le cas de Projet Montréal on peut mentionner de Rosemont-La-Petite-Patrie et le Plateau-Mont-Royal. Dans le cas de la Coalition Montréal, l’arrondissement Mercier, Hochelaga-Maisonneuve est le seul qui semble pointer. C’était la forteresse de Vision Montréal de Louise Harel.

Avec les éléments d’information dont nous disposons, on ne peut prédire l’issue de la lutte dans le reste des arrondissements. C’est le cas notamment d’Ahuntsic-Cartierville, de Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce, de Pierrefonds-Roxboro, de Rivière-des-Prairies-Pointe-aux-Trembles, du Sud-Ouest et de Ville-Marie. Cette situation fera sorte que, pour dégager des majorités au conseil, le nouveau maire devra d’abord faire des avances aux élus des partis d’arrondissement, plusieurs de ces derniers ne demandant pas mieux que d’échanger leur appui en retour de compensations. Il se peut aussi que le maire élu s’adjoigne au comité exécutif des conseillers d’autres partis que le sienne comme le maire Gérald Tremblay l’avait fait en 2009. Mais on doit exclure la constitution d’un comité exécutif de coalition, où tous les partis seraient représentés, comme celui qui, depuis 11 mois, a assuré la transition jusqu’aux élections. Le nouveau maire voudra plutôt imprimer sa marque sur la nouvelle administration

À noter, par ailleurs, que 87 des 103 élus sortants se représentent, soi 84,5%. Seize ont mis fin à leur carrière politique dont 10 femmes la plus connue étant la présidente du comité exécutif, Josée Duplessis. On note aussi qu’avec 103 maires et conseillers Montréal est de loin la ville canadienne qui compte le plus grand nombre d’élus avec les dépenses importantes qu’implique cette boursouflure des institutions représentatives. Par exemple, Toronto en compte 45, Québec 38, Longueuil 27, Halifax et Ottawa 24, Laval 22, Winnipeg 17, Hamilton 16, Calgary et London15, Edmonton 13, Vancouver, Saskatoon et Windsor 11.

Montréal, 22 octobre 2013

Accord de libre-échange Canada-Union européenne : une grave attaque contre la souveraineté du Québec en agriculture

Oui, les québécois ont le droit de connaître les textes de cette Accord :



Accord de libre-échange Canada-Union européenne : une grave attaque contre la souveraineté du Québec en agriculture

18 octobre 2013

À la veille de la signature de l’Accord économique global entre le Canada et l’Union européenne, Québec solidaire invite le gouvernement du Québec à rendre publics les textes de l’Accord et à prendre position le plus rapidement possible pour protéger la souveraineté de l’État québécois, notamment en matière d’agriculture.

Selon Amir Khadir, député de Mercier, « il serait indécent que le gouvernement du Canada sacrifie, avec le silence complice du gouvernement de Pauline Marois, la fragile industrie du fromage québécois pour favoriser les exportateurs de bœuf de l’Ouest canadien. Ce type de marchandage se fera aux dépens de notre souveraineté. Pauline Marois semble avoir cédé à l’arrivée du pétrole des sables bitumineux, mais il y a une limite à faire le jeu de l’Alberta », dénonce le député de Mercier.

Depuis le début des négociations commerciales avec l’Europe, Québec solidaire invite le gouvernement du Québec à protéger notre économie et à ne pas céder au mirage de l’augmentation des exportations qui bénéficierait à une minorité d’entreprises. « La population du Québec s’attend à ce que le Parti québécois protège ce qu’il reste d’indépendance et de liberté d’action pour le Québec. Le ministre Lisée doit prendre une position combative au lieu de courber l’échine et de donner son appui à cet accord qui bafoue notre souveraineté », ajoute Amir Khadir.

Le député de Mercier est intervenu à plusieurs reprises pour protéger les marchés publics de la concurrence étrangère, entre autres ceux d’Hydro-Québec, et pour souligner le risque de voir la facture des médicaments augmenter puisque l’Accord augmentera la durée des brevets, ce qui privilégie indûment une industrie pharmaceutique déjà très favorisée au détriment du public.

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samedi 26 octobre 2013

La grande braderie du plan de relance du PQ

Laissons Marc Bonhomme nous parler du plan de relance du PQ



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Le militant solidaire Marc Bonhomme qui tout comme moi fait dans du reportage solidaire avec ses photos et ses articles.

La grande braderie du plan de relance du PQ

Le plan de relance du PQ brade le bien commun hydraulique du Québec, plus une générosité fiscale financée par les coupures sociales et par les hausses de tarif, par l’offre de vente d’électricité à rabais à toute une panoplie d’entreprises.  Le volet hydraulique, même si les rabais par rapport au tarif grande puissance (tarif L) ne sont pas inclus dans la somme de deux milliards $ sur trois ans dont le gros morceau (700 millions) est un crédit d’impôt aux entreprises, n’en est pas moins le cœur de ce programme dont la rénovation verte (110 millions) est le sucre sur la pilule.  Il ne faut pas se surprendre de la réaction fort positive des Conseil du patronat et tutti quanti… et des centrales syndicales (sic)… et de la colère des partis d’opposition qui ont bien compris la manœuvre électorale qui leur tire de sous les pieds la carte thématique de l’économie qu’il comptait utiliser contre le PQ.  Quant au PQ, il s’était rendu compte que la mauvaise performance conjoncturelle de l’économie du Québec depuis le début de l’année l’obligeait à se sortir du piège de l’atteinte de l’équilibre budgétaire pour la prochaine année fiscale en contrebalançant ce renoncement, déplaisant pour le milieu des affaires, par l’annonce d’un programme de relance du genre que les OCDE et FMI de ce monde conseillent, réalisant que l’austérité à pleine vapeur devient trop menaçante pour la paix sociale.

Révéler le coût des rabais par rapport au tarif L, lui-même un rabais, aurait fait scandale.  L’article du Devoir (Marco Bélair-Cirino, L’électricité sera vendue au rabais pour attirer les investisseurs , 8/10/13) permet quand même de le deviner.  Pour ce programme, le gouvernement réserve « un bloc de 50 TWh […qui] représentent une fois et demie la consommation d’électricité annuelle de l’île de Montréal ou 75 % de la consommation industrielle totale du Québec en 2012 ».  Y auront droit « les secteurs de la transformation des ressources naturelles, de la fabrication de composantes liées à l’électrification des transports, ou liées aux énergies renouvelables et aux technologies vertes ainsi que les technologies de l’information… »  « Ces 50 TWh proviendront des surplus d’achats postpatrimoniaux déjà engagés par Hydro-Québec Distribution à un coût moyen de 10 cents/kWh… »  « Le tarif offert oscillera autour de celui des contrats spéciaux - environ 3 cents/kWh […]  avant d’être progressivement relevé au niveau du tarif industriel habituel, le tarif L - de 4,5 à 5 cents/kWh […] au terme des dix premières années. »

Pour une année, si l’ensemble du bloc était engagé, la subvention implicite serait donc de (.10-.03)$ X 50(1012 - 103)Wh, soit  .07$ X 50GWh, soit 3.5 milliards $ l’an.  Ce calcul sommaire correspond à celui de « [l]’analyste en énergie Jean-François Blain [qui] y voit une « revente au rabais » […] : “La différence entre le coût total d’acquisition et le revenu total résultant de cette revente à rabais, soit environ 3,2 milliards de dollars représentent la perte financière qui sera épongée par l’ensemble des clients réguliers d’Hydro-Québec Distribution.” ».  À 5 cents le kWh, elle serait de 2.5 milliards $ l’an.  Si l’on suppose qu’en moyenne sur dix ans, la moitié du bloc sera engagé au prix moyen de 4 cents le kWh, la subvention implicite serait donc de 1.5 milliard $ l’an, soit, sur trois ans pour fin de comparaison avec la somme de deux milliards $ en subvention directe et fiscale du programme de relance, 4.5 milliards $.  Si on suppose de plus une période de démarrage, la subvention implicite sera au moins le double de la subvention explicite pour le restant du programme.

Une réponse de gauche qui tient compte des rapports de force

Quelle pourrait être une réponse de gauche à cette braderie pour ne pas se faire coincer dans le piège qu’une attitude trop rigide laquelle entraînerait des pertes d’emplois en éloignant des investisseurs ?  Il faut en effet tenir compte du rapport de forces entre le capital et le monde du travail très à l’avantage du premier.

Dans le cas des entreprises d’exploitation et de première transformation des matières premières, y compris dans le domaine de l’énergie, la réponse est la nationalisation démocratique et autogestionnaire telle que stipulée dans la plate-forme électorale et le programme de Québec solidaire en autant qu’ils ne soient pas mis sous le boisseau.  La raison fondamentale en est que les ressources naturelles sont le bien commun, le patrimoine si l’on veut, du peuple québécois dont la rente et les bénéfices d’exploitation lui reviennent.  Tout au plus serait-il possible de s’associer avec une entreprise privée dont on a besoin de l’expertise lui concédant la partie minoritaire des profits moyens mais non la rente (royalties, redevances, une partie des impôts).

Pour le cas des entreprises purement manufacturières, on peut penser à la solution contenu dans le programme de l’ancien Parti de la démocratie socialiste (PDS), un des partis fondateurs de l’Union des forces progressistes (UFP) lui-même un des partis fondateurs de Québec solidaire soit « la prise de participation étatique dans les compagnies subventionnées, ce qui permettra d’associer le gouvernement aux prises de décision »… et de savoir ce qui s’y trame y compris ces prétendus secrets commerciaux qui ne le sont que pour le grand public et les élus.  J’ajouterais que cette participation pourrait être au prorata du ratio de la subvention, implicite ou explicite, par rapport au capital investi que ce soit sous forme de fonds propres ou d’endettement.

Il ne faut pas s’illusionner par rapport au soi-disant potentiel de création d’emplois des entreprises pour lequel il faudrait sacrifier le bien commun hydraulique.  Selon l’éditorialiste du Devoir, Robert Sansfaçon :

« Toutes ces mesures et une foule d’autres devraient générer 43 000 emplois d’ici trois ans, selon le ministre des Finances, en sus des 72 000 qui seraient créés normalement, pour un total de 115 000. Voilà des chiffres étonnants puisque cela équivaut à une moyenne annuelle de 38 000 emplois nets, un nombre identique à celui de 2011, à peine meilleur que les 30 800 de 2012 et surtout bien inférieur aux 66 700 de 2010…  Tout ça pour ça ? » (Politique économique - Budget d’automne?, Le Devoir, 8/10/13)

Et d’enfoncer le clou :

« N’empêche qu’en cette période d’austérité, on aurait aussi pu commencer par se demander pourquoi le Québec fait moins bien que l’Ontario, qui n’offre pourtant même pas le tiers des avantages fiscaux du Québec à ses entreprises et qui ne solde pas son électricité. »

Marc Bonhomme, 8 octobre 2013
www.marcbonhomme.com


Ce fut tout un tintamarre

Les 3 vidéos et les 23 photos de l'événement sont placés suite à la fin de l'article.


Ce fut tout un tintamarre

Par Sergio de Rosemont

Effectivement vu que les principaux partis politiques se présentant à l'élection municipale du 3 novembre à Montréal, incluant ( incluant Projet Montréal ) avaient refusé l'invitation du FRAPRU à participer à un débat sur la problématique du logement , mais qu'ils ont par contre tous ( incluant Projet Montréal ) accepté l'invitation de la Chambre de commerce de Montréal à leur débat, alors un tintamarre a été organisé.

Ce tintamarre ayant été organisé par le FRAPRU ce lundi 21 octobre à 16 H 30 devant ce Palais des congrès de Montréal à cette Place Riopelle là et au moment où justement cette Chambre de commerce de Montréal avait organiser son débat !

Un tintamarre pour rappeler à ces partis politiques que plus de 65 % des montréalais sont des locataires.

Et aussi pour leur rappeler que ce sont surtout ces locataires qui vont voter ce 3 novembre 2013 !

Près d'une centaine de membres du FRAPRU à Montréal étaient aux portes du Palais des congrès en fin d’après-midi, avec casseroles et sifflets, pour houspiller les candidat.e.s à la mairie qui se rendaient à l’invitation de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain afin de discuter d’économie.

Deux tiers des ménages montréalais sont locataires, 40 % d’entre eux payent trop cher de loyer et tout ce dont on entend parler, c’est d’accès à la propriété privée pour les familles...?!

C’est franchement inapproprié! Pour lire le communiqué de presse, visitez le site web du FRAPRU : www.frapru.qc.ca/

Et il était aussi important de leur rappeler que le parti qui remportera l'élection ; qu'il devra être au service des citoyens ET NON PAS À CELUI DE LA FINANCE !



Voici les 3 vidéos que j'ai pris lors de ce tintamarre :

 
 
 


VOICI MES 23 PHOTOS DE CET ÉVÉNEMENT:


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Et voilà j'ai eu juste le temps de franchir cette porte avant qu'ils barrent tous les issus de ce Palais des congrès de Montréal.

Et oui ils ont barré le tout à 15 H 45 alors que l'événement du FRAPRU n'était qu'à 16 H 30.


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Ils étaient déjà sur place à 16 H 00,.... Avaient-ils peur de manquer le rendez-vous ?


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Voilà l'équipe du FRAPRU qui arrive sur place.


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François Saillant le porte-parole officiel du FRAPRU.


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Voici le matériel de communication pour passer notre message à ces partis politiques.


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Voilà les militants qui viennent nous rejoindre.


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La bannière du FRAPRU.


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Les pancartes du FRAPRU.


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La bannière du Comité logement Ville-Marie.


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Lorsqu'ils parlent d'économie, c'est sur le dos des démuni-e-s.


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Alors on chaudronne tous ensemble !


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l'équipe vidéo.


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Alors on chaudronne tous ensemble !


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Tous ensemble passons leurs notre message.


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Et voilà ces Ami$ de la Finance qui se dirigent à vive allure vers ce débat question de savoir lequel de ces partis feront de meilleurs Valet$.


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La délégation du Projet Genèse qui avait réussi à s'infiltrer à l'intérieur du Centre des congrès.


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Alors on chaudronne tous ensemble !


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Alors on chaudronne tous ensemble !


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Et oui, l'équipe du Comité Logement Rosemont y était aussi !


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La bannière du Comité Logement Rosemont.


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Et oui, l'équipe du Comité Logement Rosemont y était aussi !


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Oui le message a été passé et s'ils ne l'ont pas compris alors ils nous rencontreront sur leur chemin !


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Mireille de l'équipe du Comité Logement Rosemont avec votre hôte Sergio de Rosemont.



VOICI MES ARTICLES PRÉCÉDENTS D'ÉVÉNEMENTS OÙ LE COMITÉ LOGEMENT ROSEMONT ÉTAIT PRÉSENT:

Article 01 juin 2012

Article du 07 octobre 2012

Article du 03 novembre 2012

Article du 10 novembre 2012

Article du 16 décembre 2012

Article du 03 février 2013

Article du 29 avril 2013

Article du 14 juin 2013

Article du 16 septembre 2013

Article du 20 septembre 2013

Article du 28 septembre 2013

Article du 01 octobre 2013

Article du 05 octobre 2013