mercredi 28 février 2024

On a tous au fond de soi

 

Ma réflexion que je partage avec vous

On a tous au fond de soi 


Par Sergio de Rosemont

On a tous au fond de soi un ange et un démon.

On a tous au fond de soi un dragon yin et un dragon yang.

On a tous au fond de soi un loup blanc et un loup noir.

Oui nous avons tous un démon à vaincre.

Si vous désirez voir à quoi ce démon ressemble, regardez-vous dans un miroir.

Et oui le démon que nous aurons à combattre c’est nous-même, notre côté obscure.

Effectivement il faudra un jour devenir le maître, le maître de nous-même.

Et cela est un combat de tous les jours, d’une vie.

Car il y aura toujours une facette de soi-même soit à corriger ou à améliorer.

Et le jour venu où nous aurons appris comment maîtriser, dominer notre démon intérieur, il nous restera à apprendre à laisser libre cours à notre ange intérieur, apprendre à travailler avec.

D’une certaine façon, la personne que nous sommes dans cette vie est comme un gros bloc de marbre qui doit être sculpté et nous sommes le sculpteur qui devons travailler ce bloc de marbre.

Effectivement nous devons nous sculpter nous-même.

Oui nous sommes le principal artisan de ce que nous devenons.

Effectivement c’est comme un travail alchimique sur nous-même !

lundi 19 février 2024

Pourquoi je suis pour la conservation de l’argent liquide.

 

Voici ma réflexion sur l’argent liquide

Pourquoi je suis pour la conservation de l’argent liquide.


Par Sergio de Rosemont

Pourquoi je suis pour la conservation de l’argent liquide.

Probablement par ce que les institutions bancaires font déjà suffisamment de profits.

Et oui un petit détail qu’on semble oublier, si par exemple, j’entre dans un commerce, peu importe quel commerce et que j’y dépense un billet de 20.00 $, alors l’entièreté de mon 20.00 $ va et reste au commerçant.

Par contre si je paye d’une façon numérique, que ce soit avec ma carte de débit ou ma carte de crédit, sur ce 20.00 $ que je paye, le commerçant n’obtient pas le 20.00 $ en entier, il n’en retire qu’autour des 18.50 $ ou 19.00 $ approximatif.

Pourquoi parfois, à l’occasion certains commerces ne vont accepter que vous puissiez payer de façon numérique seulement à la condition que vous achetiez pour un montant minimum prédéterminé par le marchant.

Et il y a même qui vont refuser que vous payez avec votre carte de crédit, n’acceptant que les payements par carte de débit ou en argent comptant.

Oui je vous vois venir, vous allez me dire :

{ Ah, alors tu n’auras qu’à payer qu’avec ta carte de débit ! }

Mais là encore les comptes bancaires n’accorde qu’un nombre limité de transactions sans payer de fais supplémentaires.

Et si vous vous dites :

{ Je vais alors tout payer avec ma carte de crédit pour ensuite rembourser avec un payement mensuel ! }

Mais encore là, il y a des frais d’utilisation.

Payer des frais juste pour pouvoir utiliser "notre argent".

Lorsque j’entre dans un commerce avec mon billet de 20.00 $ et que j’y fais des achats, je n’ai pas de frais supplémentaires à payer juste pour avoir la possibilité de faire usage de mon 20.00 $.

Décidemment si l’argent matériel viendrait à disparaître et que nous nous retrouverions uniquement qu’avec l’argent numérique, les seules à en être gagnantes seraient les institutions bancaires.

De plus j’aime bien aussi avoir la possibilité de choisir de quelle façon je payerais mes achats.

Et lorsque je me déplace sur un trottoir et que je croise une personne qui quête et que je trouve sympathique, j’aime bien avoir encore la possibilité de pouvoir lui donner une pièce de 1.00 $ ou de 2.00 $.

Si nous serions qu’avec l’usage exclusif de l’argent numérique, je ne pourrais pas pouvoir lui donner une pièce de 1.00 $ ou de 2.00 $ à moins que nous retrouvions avec un équivalent du modèle de portemonnaie numérique comme dans la télésérie "TekWar" de William Shatner.

Et encore là, une personne en situation d’itinérance aurait-elle les moyens de se procurer un tel portemonnaie numérique ?

J’en suis pas certain, hélas.

Encore une fois cela risquerait d’être qu’un développement technique avantageux que pour les mieux nantis, et peut-être pour la classe moyenne.

Mais pour ceux à faible revenu, je crois qu’ils s’en retrouveraient techniquement défavorisés.

De plus je me rappel de certaines occasions où j’étais heureux d’avoir de l’argent comptant sur moi.

J’avais un achat à faire un achat pour un repas et le réseau pour les payements pour une raison "X" était en panne.

Personnellement je crois à la pertinence de pouvoir avoir accès à plus qu’une façon possible pour pouvoir payer nos dépenses.

Je terminerai en dénonçant une aptitude qu’une personne a eue à mon égard sur Facebook et que j’ai trouvée médiocre.

Je me suis fait accuser d’être un conspirationniste juste par ce que je n’étais pas d’accord avec la disparition de l’argent liquide et que j’avais une différence opinion de cette personne.

Donc si j’ai bien compris, oser avoir une différence d’opinion avec cette personne fait de moi un conspirationniste ????

Désolé mais accuser quelqu’un d’être conspirationniste juste par ce que cette personne ne pense pas exactement comme vous, je trouve ça IMBÉCILE, médiocre et imbécile.

Et si un jour par exemple, une nouvelle tendance en hausse faisant en sorte que nous devrions s’habiller avec des vêtements confectionnés qu’avec des sacs à ordures verts et que je me retrouve à être contre cette tendance, va-t-on encore m’accuser d’être un conspirationniste ?

vendredi 16 février 2024

Tableaux Frères

 

Mes 2 nouveaux tableaux

Tableaux Frères


Par Sergio de Rosemont

C'est simplement deux dessins géométriques que j'ai vus dans un rêve et que j'ai décidé de mettre sur des toiles.

Photo du 13 février 2024.

mercredi 14 février 2024

Des fois, parfois

 

Et oui, il m’arrive parfois d’avoir une journée avec le cafard

Des fois, parfois


Par Sergio de Rosemont

Des fois, parfois entré dans un café, y prendre un thé tout en écoutant la musique qui y joue permet de s’évader.

S’évader des douleurs des blessures dans l’âme.

Se sentir moins seul tout en étant seul.

Effectivement, un changement de décor, ça soulage de ne pas toujours voir toujours les mêmes murs.

Et oui parfois prendre un thé en écoutant cette musique permet de s’évader.

De ressentir moins la douleur des cicatrices des coups de dague dans l’âme.

C’est le problème avec la mémoire du cœur, elle se rappel beaucoup plus longtemps des blessures morales dans la tête.

C’est bizarre comment entendre dans ce café de la musique de notre jeunesse, peut parfois faire oublier ces blessures dans l’âme.

Cette musique qui nous rappel des périodes plus heureuses de notre jeunesse.

Se rappeler des épisodes heureux qu’hélas, on ne peut plus faire revenir dans le réel.

Des épisodes heureux passés, que nous ne pouvons revivre que dans notre mémoire, dans notre âme et notre cœur.

samedi 10 février 2024

La Fleur de l'Âme

 

Voici mon plus récent tableau en 3D

La Fleur de l'Âme


Par Sergio de Rosemont

Photos du 8 février 2024

vendredi 9 février 2024

Le problème avec Denis Coderre

 

Denis Coderre comme premier ministre du Québec, en ce qui me concerne, c’est NON MERCI !

Le problème avec Denis Coderre


Par Sergio de Rosemont

Techniquement, lorsqu’on devient politicien, nous serions censés être au service des citoyens, des électeurs et répondre de notre mieux à leurs demandes.

La responsabilité du politicien devrait être de défendre les intérêts des citoyens et travailler pour une justice sociale.

Par contre, le problème avec Denis Coderre, c’est que lorsqu’il est élu chef, son seul et unique but est de tout faire pour imposer ses fantasmes politiques.

Rappelons-nous, lorsqu’il était maire de Montréal, tous ses fantasmes politiques mis en place au détriment des montréalais.

Il fallait que Montréal réponde qu’à sa vision personnelle de ce que devrait être Montréal dans son imagination.

Même au sein de son propre parti, les membres et les élus de son parti, avaient le droit à leur opinion, en autant que ça soit la même à la virgule près de celle de Denis Coderre.

Rappelons-nous les réalisations de Denis Coderre au détriment des montréalais :

Rappelons-nous son méga fiasco du grand prix électrique où les citoyens d’un quartier ne pouvaient plus circuler librement dans leur propre quartier.

Le Grand Prix de F.E. de Montréal (Formule électrique), le seul Grand Prix de F.E. où c'est les contribuables qui ont dû payer et où les résidents du secteur du circuit ont été enclavés.

Rappelons-nous en 2017 l’abattage d’arbres au parc Jean Drapeau de l’île Ste-Hélène pour l’aménagement d’un «amphithéâtre naturel» à l’endroit où se tiennent les festivals Osheaga et Heavy MTL., tout en dérangeant les animaux sauvages vivants tout proche, destruction des plantes, et plaintes des riverains pour des bruits excessifs.

Rappelons-nous en décembre 2015 où il a favorisé dans un appel d’offres de la Ville de Montréal de l’entreprise Cisco.

Rappelons-nous en mars 2012 peu avant d’accéder à la mairie de Montréal, avoir mentionné à une policière qu’il serait «son futur boss» au moment de recevoir un billet d’infraction.

Rappelons-nous en mai 2015 son mépris pour le droit au logement pour tous alors qu’en 2015, 25 000 ménages étaient déjà en attente d’un HLM; - 102 500 ménages payaient déjà plus de la moitié de leurs revenus pour se loger.

Rappelons-nous ce 21 mai 2015 sa réaction face du "Camp pour le droit au logement du FRAPRU", il a ordonné à la SPVM le démantèlement du camps d'une façon assez impérative sans aucune tolérance, assez spécial pour un maire qui se prétend être pour le logement social n'est-ce pas ?

Si Denis Coderre aurait été vraiment pour le logement social il n'aurait pas agi de la sorte.

Pensez-y, vous aviez un camp du FRAPRU un organisme qui milite pour plus de logements sociaux.

À ce camp vous aviez le personnel de la permanence du FRAPRU ainsi que des représentants de tous les comités logement de Montréal à la même place.

Donc si Denis Coderre aurait été pour le logement social, il n'aurait pas ordonné le démantèlement de ce camp.

Au contraire il s’aurait rendu sur place en tant que maire à ce camps et avec les militants sur place et il aurait regardé ce qu’il aurait pu faire en tant qu'administration municipale afin d'améliorer la situation et faire en sorte qu’il se créé plus de logements sociaux.

Rappelons-nous que dans le dossier de la problématique de l'itinérance qui était déjà en hausse lors de son mandat est en hausse et pourtant Denis Coderre n'était pas l'ami des plus démunis de notre ville, en tant que maire il a préféré mettre 40 millions pour illuminer le pont Jacques Cartier mais n’a investi que des miettes pour combattre l'itinérance.

Désirons-nous vraiment que Denis Coderre devienne "Premier Ministre du Québec" ?

Désirons-nous vraiment que Denis Coderre administre le Québec de la même façon qu’il a administré Montréal ?

Désirons-nous vraiment que Denis Coderre administre le Québec simplement qu’en fonction de son optique personnel, de son imagination ?

Évidemment que le PLQ va louanger Denis Coderre.

Au PLQ, que l’arrivée de Denis Coderre comme "Premier Ministre du Québec" soit un choix toxique pour le Québec, n’a aucune importance, la seule chose qui compte pour eux c’est que leur parti reprenne le pouvoir.

En ce qui me concerne, remplacer la CAQ par le PLQ c’est comme :

{ Ah je suis écœuré de la Peste, essayons avec le Choléra question de faire changement ! }

Et remplacer la CAQ par le PQ c’est comme :

{ Ah je suis écœuré de la Peste, essayons avec le Scorbut question de faire changement ! }

Et continuer avec la CAQ ça serait de demeurer dans ce cauchemar politique !

Oui vous allez me dire que je suis pessimiste.

Si je suis pessimiste, c’est à cause de notre mode de scrutin actuel.

Si nous avions un mode de scrutin proportionnel, je serais plus optimiste car l’arrivé de Denis Coderre ou de tous autres politiciens voulant de la politique que dans leur intérêt ou celui de leurs amis serait beaucoup moins catastrophique car ils ne pourraient pas avoir le 100 % du pouvoir.

Disons qu’avec un mode de scrutin proportionnel mixte compensatoire, que la politique serait beaucoup moins infecte !

jeudi 8 février 2024

Elliadora et la DRH

 

Francis nous conte une histoire de la DRH

Elliadora et la DRH


6 février 2024

Elliadora entre dans la pièce qui dégage une odeur de cave. Son épiderme se hérisse à cause d’une étrange humidité. Assise et la regardant avec un sourire énigmatique, la DRH fait un geste de la main tout en émettant une sorte de marmottage qu’Elliadora interprète comme une invitation à s’asseoir.

Le siège est dur et le dossier est trop éloigné pour qu’on puisse s’y appuyer. Devant l’inconfort, Elliadora redresse sa colonne et ses épaules, un petit craquement sec au milieu du dos.

Tout de go, la DRH annonce la couleur : « J’attends de mes employées qu’elles donnent leur 110 %. »

Elliadora répond d’une voix nonchalante : « C’est tout naturel. Tout comme vous me verserez 110 % du salaire, 110 % des assurances dentaires, 110 % de l’assurance-maladie, 110 % des vacances. Tout comme vous m’octroierez 110 % des pauses santé. »

Un grognement sourd émerge de l’autre côté du bureau, celui occupé par la DRH.

« Tout comme vous m’attribuerez 110 % de l’espace de travail, me fournirez un ordinateur qui fonctionne à 110 % de sa capacité et vous montrerez attentive à 110 % au bien-être de vos employées. »

— Voyons donc !, rétorque la DRH. Ce n’est pas la même chose. Vous aurez un contrat de travail à respecter.

Elliadora reprend sur un ton sarcastique : « C’est drôle comme ce n’est jamais la même chose pour les boss. »

— Bon je crois, que cette entrevue a assez duré.

— Pas si vite, vous allez m’entendre avant de pouvoir exercer votre tyrannie sur la prochaine candidate.

« Analysons la logique de vos élucubrations managériales. Moi, dans mon bar, je sers des verres remplis à 110 %. Ce qui déborde est perdu.

Est-ce que dans les allées de l’épicerie vous marchez à 100 % de votre vitesse ?

Doit-on tenir un œuf à 100 % de sa force ? Les enfants ne maîtrisent pas encore la leur et les vieilles personnes ne la contrôlent plus : pas assez, l’œuf échappe et se brise, trop l’œuf se casse entre leurs mains. C’est ça que vous voulez ?

Est-ce que vous croquez tous vos aliments à 100 % de votre force ?

Est- ce que vous remplissez votre bouche à 100 % à chaque fourchetée ? Non, il faut de petites bouchées pour bien mastiquer, puis bien digérer. »

Les yeux de la DRH commencent à ressembler à ceux de Regan dans L’exorciste.

— Mais pour qui vous prenez-vous ?

— Pour celle qui a une leçon à vous donner.

Elliadora regarde la DRH avec apitoiement et autorité. Avez-vous déjà vu pareil regard ? Moi, c’est la première fois.

— Taisez-vous et écoutez.

Elliadora reprend tout en faisant varier son assiette d’une fesse à l’autre pour pallier l’incommodité de sa chaise :

« Le coureur de fonds, est-ce qu’il court toujours à 100 % ?

Si vous fouettez la mayonnaise à 100 % de votre énergie, il n’en restera plus dans le bol.

Le pianiste met-il 100 % de son énergie dans son exécution ? Toutes les pièces seraient alors jouées à la même vitesse et à la même force. C’en serait fini des pianos, des forte, des allégros, des lento, etc. »

La DRH a appuyé discrètement sur le bouton panique. Quand le gros Garda apparaît, Elliadora, sans se retourner, lève son bras droit en équerre pour lui faire voir le revers de sa main. Le gorille reste figé, retenu par quelque filet invisible.

Elle met l’index de sa main gauche sur ses lèvres devant une DRH bouche bée, puis continue son discours :

« Est-ce que vous montez le volume de votre radio à 100 % ?

Est-ce que vous allumez le feu à 100 % pour faire cuire vos aliments ?

Est-ce que vous mettez votre grille-pain à 100 % pour faire vos toasts ?

Est-ce que votre congélateur est à 100 % ? Votre crème glacée sera immangeable et le compresseur ne durera pas longtemps.

Vous utilisez votre voiture environ 1 heure sur 12 (soit 8 % du temps) et quand vous l’utilisez, elle ne roule pas à 100 % de la capacité du moteur. Sinon, combien de temps durerait-elle ?

On ne fait pas fonctionner les machines à 100 %, parce que ça les bousillerait. C’est la même chose pour les humains.

Nous terminerons donc cet exposé par une question à choix de réponses permettant de vérifier si vous avez bien compris. Combien de son énergie faut-il accorder à une tâche ?

a) 110 %

b) 100 %

c) 50 %

d) 10 %

e) 0 %

f) Autre, précisez : la quantité nécessaire à l’exécution de la tâche. »

— Mais, vous ne comprenez rien ! finit par cracher la DRH.

Elliadora se lève : « En effet, il n’y a rien à comprendre à vos méthodes de gestion. »

Sans prononcer aucun autre mot, sans faire un geste d’au revoir, elle se retourne, frôle le garde de sécurité et fend l’air jusqu’à la sortie où une atmosphère plus saine emplit ses poumons de satisfaction.

Francis Lagacé

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