vendredi 29 septembre 2023

Ces Faux Espoirs

 

Voici ma réflexion que je partage avec vous :

Ces Faux Espoirs


Par Sergio de Rosemont

Ce manque de courage qui blesse l’autre.

Ce manque de courage qui blesse celui qui était sincère, qui était de bonne foi.

Blesser l’autre simplement avec l’illusion d’un espoir.

Souvent, trop souvent un "Faux Espoirs" blesse comme un coup de dague dans l’âme.

Un refus direct et franc fait beaucoup moins mal qu’un "Faux Espoirs".

La franchise blesse beaucoup moins mal qu’un "Faux Espoirs".

Un "Faux Espoirs" fait et dû par un manque de courage envers l’autre qui est devant soi.

Le "Faux Espoirs" comme réponse n’est pas seulement utilisé lors d’une avance sentimentale, il est aussi malheureusement utilisé lors de propositions de projets.

Oui le "Faux Espoirs" fait cruellement mal, la franchise fait beaucoup moins mal.

Qu’on se le dise le manque de volonté et l’hypocrisie tant qu’à eux vous blessent autant qu’un coup de dague dans le cœur, dans l’âme !

lundi 18 septembre 2023

C’est à travers "La Douleur" qu’on apprend

 


Voici mon poème, ma réflexion que je partage avec vous :



C’est à travers "La Douleur" qu’on apprend


Par Sergio de Rosemont

C’est à travers "La Douleur" qu’on apprend la réalité de l’existence.

Souvent par "La Douleur" on apprend que certaines choses que l’on croyait connaître, ne sont vraiment pas comme on le pensait.

Souvent c’est dans "La Douleur" de la perte que nous apprenons à apprécier les êtres chers à notre cœur et notre âme.

Souvent c’est par "La Douleur" que nous apprenons ce dont nous n’aurions pas dû faire ou ce que nous aurions dû faire autrement.

Oui "La Douleur" est un professeur cruel, mais qui sait s’il ne s’agit pas d’un professeur menant à une certaine sagesse dans l’âme et dans le cœur ! ? ! ?

"La Douleur" est un professeur qui nous apprend de nos erreurs passées !

dimanche 17 septembre 2023

La supériorité de la radio

 

Francis nous parle de Radio

La supériorité de la radio

16 septembre 2023

La radio est capable d’une influence extraordinaire sur les masses. On peine à imaginer la puissance de persuasion de ce média qui a eu des effets dévastateurs au XXe siècle (pensez à la propagande hitlérienne qui a fasciné les foules, pensez à la radio des Mille Collines et à son rôle dans le génocide au Rwanda).

Du côté positif, la radio a sorti de la solitude des gens de partout. On a aussi du mal à comprendre aujourd’hui le grand vecteur d’instruction qu’elle a été : des personnes habitant des régions peu accessibles ont eu accès à une formation, à des cours de toute nature. Pour qui n’a pas connu cette époque, l’efficace et enrichissant rôle de formation populaire que jouaient les cours universitaires à ce qui était alors la radio FM de Radio-Canada est difficile à concevoir.

Par ailleurs, grâce à la radio AM, j’ai pu, pendant mon adolescence, entendre des émissions provenant de Chicago, Détroit, Boston, Buffalo, Montréal, New York, etc. Cela me conférait un avantage formidable sur mes camarades quant à la connaissance des nouvelles chansons anglo-saxonnes et une maîtrise supérieure de l’accent américain (surtout celui de la Nouvelle-Angleterre).

Les vieilles personnes de mon âge se souviendront du millionnaire de Gilligan’s Island qui, sur son île déserte, recevait les nouvelles des cours de la bourse grâce à sa radio transistor. Heureusement pour lui, les ondes hertziennes voyagent très loin dans l’air sans avoir besoin d’autant de relais que les réseaux téléphoniques d’aujourd’hui. Sans réseau, il serait de nos jours complètement dans le noir avec son cellulaire.

On se souviendra aussi que, grâce à la radio, notamment avec l’animatrice Dominique Payette, on a sauvé des vies pendant le terrible épisode du verglas qui affecté le Québec en 1998.

Les ondes courtes ont permis à des gens du monde entier de communiquer bien avant que l’Internet arrive. Et leurs grands avantages sont la portabilité des appareils autant émetteurs que récepteurs ainsi que leur demande en énergie très réduite.

Pendant des décennies, les ondes en modulation d’amplitude étaient réservées à la radio généraliste. On y trouvait une offre extrêmement variée selon les propriétaires, les lieux et les États. Les ondes de modulation de fréquence de leur côté avaient un rayon de diffusion plus restreint, mais une qualité sonore supérieure et se consacraient surtout à la musique.

Chaque chaîne avait sa spécialité : rock, classique, country, chanson française... Mais celle de Radio Canada était un véhicule de culture incroyable avec ses émissions sur la littérature, l’histoire, la géographie, la musique, la diffusion de pièces de théâtre conçues pour la radio, les opéras du Met le samedi et les fameux cours universitaires qui m’ont, entre autres, initié à la ’Pataphysique avant même qu’on m’en parle à l’Université.

La radio est plus libre que la télé, car elle permet de continuer à agir, à se déplacer, à effectuer les gestes quotidiens. Elle stimule l’imagination et crée des images mentales. Les écrans, pour leur part, immobilisent. Ils choisissent pour nous les images qui s’imposent à notre mémoire.

Dans une trousse de secours, on doit toujours avoir une radio transistor et des piles. En cas de panne générale ou de catastrophe, les groupes électrogènes d’urgence permettent aux émetteurs radio de fonctionner et de transmettre des messages aux populations privées d’électricité, de réseau téléphonique ou d’Internet.

J’ai entendu dire qu’on projette de supprimer la radio analogique pour la remplacer par la radio numérique diffusée par satellite ou par Internet. Je m’inquiète à la fois pour les coûts énormes de ce changement et pour l’étendue réduite de la diffusion de ses signaux : beaucoup plus de réémetteurs, un changement de récepteur pour tout le monde, une consommation énergétique plus grande pour les récepteurs. L’avantage du transistor, c’était sa portabilité et son accessibilité.

La souplesse de la radio traditionnelle permettait aussi des émetteurs libres, qui n’ont pas besoin de passer par un multiplexeur. Déjà que Radio-Canada a quitté les ondes courtes pour le web, qui n’a pas la même flexibilité : un récepteur radio peut être utilisé n’importe où ; le web nécessite un accès réseau.

La supériorité de la radio deviendra bientôt un souvenir.

Francis Lagacé

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SITE DE FRANCIS LAGACÉ

Parfois dans la vie il y a des tempêtes

 

Mon plus récent poème que je partage avec vous :

Parfois dans la vie il y a des tempêtes


Par Sergio de Rosemont

Parfois dans la vie il y a des tempêtes qui lèvent.

Mais alors tel que dans la nature, une tempête dans notre esprit, n’est pas éternelle.

Il s’agit juste de tenir d’aplomb le gouvernail et de naviguer en prenant garde aux récifs, question de ne pas naufrager dans la vie.

Et un coup la tempête terminée, que le beau temps est de retour, alors travailler à réparer les dégâts.

Et ensuite créer du positif avec le négatif autour.

Il en est de même dans le cœur, dans l’âme, parfois une tornade, un ouragan, un cyclone peut naître, alors il faut se dire que les tempêtes ne sont pas éternelles.

Et si on ne se sent pas capable de naviguer dans cette tempête, alors voir si on ne pourrait pas trouver quelqu’un pouvant nous aider comme co-pilote dans cette tempête qui se situe dans notre âme, dans notre cœur, dans notre esprit.

Après tout comme j’ai déjà entendu dans un film;

{ Il ne peut pas pleuvoir tout le temps, après la pluie vient le beau temps }.

Et moi de rajouter ;

{ Cette pluie aide à rafraichir la température et à faire pousser les fruits et les légumes avec lesquels nous nous nourrissons ! }

mercredi 13 septembre 2023

Si tu désires contrôler

 

Mon plus récent tableau en 3D

Si tu désires contrôler


Par Sergio de Rosemont

Si tu désires contrôler des peuples pendant des siècles et des siècles, écris un bon roman de fiction.

Photos du 11 septembre 2023.

lundi 11 septembre 2023

J’espère que.

 

Mon poème, ma pensée, ma réflexion que je partage avec vous :

J’espère que.


Par Sergio de Rosemont

Je suis assis dans ce café prenant mon thé.

Je vois un jeune couple entrer avec un carrosse et un enfant.

Et à chaque fois que je vois un carrosse, j’y ressens une certaine peine pour cet enfant innocent, ignorant la réalité de cette société dans laquelle on l’a fait naître.

Une société où on y détruit l’environnement nous permettant de vivre, aussi où l’injustice y est "Reine".

Mais quel héritage leur laisse-t-on à ces enfants, à ceux de cette génération naissant dans cette décennie des années 2020 ?

Quand ces enfants seront adultes, auront-ils une planète qui est un paradis terrestre ou une planète devenu qu’un dépotoir planétaire ?

Une planète où survivre relèvera presque du miracle.

Survivre et non pas vivre !

En regardant ce carrosse, tout ce que j’espère c’est que je n’ai pas été père d’un enfant sans le savoir lors de l’une de mes aventures de jeunesse.

Si oui cet enfant de moi donc j’ignorerais l’existence aurait aujourd’hui dans la quarantaine et iel pourrait avoir eu un ou des enfants à son tour.

Alors si j’ai été géniteur d’un enfant, mais dans quelle société ai-je emmené cet enfant à naître ?

Et si cet hypothétique enfant aurait eu une descendance, dans quel monde, dans quelle société leur a t-il donné la vie ?

Ca va peut-être vous paraître bizarre, mais je ressens parfois, souvent une climato-anxiété.

Une climato-anxiété pas pour moi mais pour les générations qui viendront après moi.