jeudi 31 août 2017

Pourquoi voter pour Projet Montréal ?


Voici ma réflexion citoyenne que je partage avec vous montréalaisEs :


Pourquoi voter pour Projet Montréal ?

Par Sergio de Rosemont

Pourquoi voter pour Projet Montréal ?

Par ce que présentement Montréal, oui Montréal notre ville est au prise avec un cancer politico-social qui s'appel "Équipe Denis Coderre".

Un cancer se nourrissant du populisme.

"Équipe Denis Coderre" qui tel un cancer s'est déclaré, s'est fait connaître spontanément peu avant la dernière élection.

"Équipe Denis Coderre" un parti qui n'a pas de chef, non "Équipe Denis Coderre" a un BOSS !

Avec l"Équipe Denis Coderre" vous n'avez pas besoin de réfléchir, le BOSS vous dit quoi penser, quoi aimer et ce qui est supposément bon pour nous !

L"Équipe Denis Coderre" est un cancer politique jouant non seulement dans le populisme mais aussi dans l'improvisation.

Comment pourrait-il en être autrement avec un parti politique créé spontanément avant l'élection simplement pour satisfaire le fantasme de Monsieur Denis Coderre de devenir le BOSS de Montréal ?

Un parti qui n'a pas de programme politique est condamné à l'improvisation !

Pourquoi voter pour Projet Montréal ?

Par ce que Projet Montréal est le seul antidote crédible contre ce cancer politico-social et que Valérie Plante est celle qui a la capacité de nous redonner ce goût du changement et redonner cette ville de Montréal aux montréalaisEs.

J'aimerais vous proposer un projet collectif :

Celui de reprendre le goût du changement, débarrassons-nous de ce cancer de populisme que représente l"ÉQUIPE DENIS CODERRE".

Mettons à notre agenda la date du 5 novembre 2017.

Oui le 5 novembre 2017 sortons Denis Coderre et son équipe de l'hôtel de ville et des arrondissements.

Le 5 novembre 2017 faisons en sorte que les mots "Équipe Denis Coderre" deviennent qu'un mauvais souvenir du passé à oublier et qu'enfin que le 6 novembre 2017 que nous puissions commencer à penser à progresser.

MontréalaisEs rappelons-nous lors du "Camp pour le droit au logement du FRAPRU" le 21 mai 2015, que fut la réaction, la décision de Monsieur Denis Coderre ?

D'ordonner à la SPVM le démantèlement du camps d'une façon assez impérative sans aucune tolérance, assez spécial pour un maire qui se prétend être pour le logement social n'est-ce pas ?

Si Denis Coderre aurait été vraiment pour le logement social il n'aurait pas agit de la sorte.

Pensez-y, vous avez un camp du FRAPRU un organisme qui milite pour plus de logements sociaux.

À ce camps vous aviez le personnel de la permanence du FRAPRU ainsi que des représentantEs de tous les comités logement de Montréal à la même place.

Donc si vous êtes maire de Montréal et que vous êtes sincèrement pour le logement social, vous n'ordonnez pas le démantèlement de ce camp.

Au contraire vous vous rendez en tant que maire à ce camps et avec les militantEs sur place vous regardez ce que vous pouvez faire en tant qu'administration municipale afin d'améliorer la situation et faire en sorte qui se réé plus de logements sociaux.

N'oublions pas que 25 000 ménages sont en attente d’un HLM; - 102 500 ménages paient plus de la moitié de leurs revenus pour se loger.

La problématique de l'itinérance est en hausse et pourtant Denis Coderre n'est pas l'ami des plus démuniEs de notre ville, un maire qui a préféré mettre 40 millions pour illuminer le pont Jacques Cartier mais qui investi que des miettes pour combattre l'itinérance.

Monsieur Denis Coderre ne semble pas comprendre que la priorité c'est pas un tunnel gonflable géant sur la Ste-Catherine ou des bancs de granit sur le Mont-Royal mais bien le logement social !

Et que dire du respect de l"ÉQUIPE DENIS CODERRE" envers les citoyenNes de Montréal ?

Vous vous souvenez du Grand Prix de F.E. de Montréal (Formule électrique) ?

Le seul Grand Prix de F.E. où c'est les contribuables qui ont dû payer et où les résidentEs du secteur du circuit ont été enclavéEs.

Dites-moi vous vous rappelez ?

Oui Ce 5 novembre 2017 sortons Denis Coderre et son équipe de l'hôtel de ville et des arrondissements.

Sortir Denis Coderre et son équipe de l'hôtel de ville et des arrondissements ce n'est pas un luxe, c'est une nécessité, la priorité !

Une troisième voie pour qu’il y ait entente sur l’Assemblée constituante entre Québec solidaire et Option nationale


Voici un texte qui porte à la réflexion que je vous invite à lire :



Une troisième voie pour qu’il y ait entente sur l’Assemblée constituante entre Québec solidaire et Option nationale

par Jonathan Durand Folco, professeur à l’École d’innovation sociale de l’Université Saint-Paul et ancien responsable de la Commission politique de Québec solidaire

et

Paul Cliche, membre fondateur du Rassemblement pour une alternative politique (RAP) en 1998, de l’Union des forces progressistes (UFP) en 2002 et de Québec solidaire en 2006

Pour dépasser le blocage politique du Québec, plusieurs mettaient de l’avant, il y a quelques mois, l’idée d’une convergence entre le Parti québécois et Québec solidaire, projet que ce dernier a rejeté en congrès. Malgré l’échec apparent d’une alliance des forces progressistes et indépendantistes, Québec solidaire (QS) a entamé des discussions avec un autre parti indépendantiste, Option nationale (ON), en vue d’une fusion. On devrait connaître les résultats de ces pourparlers dans quelques semaines. La pierre d’achoppement de ces négociations se situe d’ores et déjà sur les modalités de l’Assemblée constituante (AC) qui est devenue la stratégie d’accession à l’indépendance commune à l’ensemble du mouvement souverainiste.

En fait, il y a eu jusqu’ici divergence entre les deux formations quant au mandat exact que l’Assemblée nationale devrait confier à l’Assemblée constituante: Doit-elle obligatoirement rédiger la constitution d’un Québec indépendant, ou doit-elle ne pas présumer de l’issue des débats concernant le statut politique du Québec en laissant la porte ouverte à différents scénarios ? Cette question, apparemment technique rappelant les débats sur la «mécanique référendaire», peut sembler éloignée des préoccupations concrètes de la population. Néanmoins, la «question nationale» représente toujours un enjeu actuel et fondamental. Comment permettre au peuple québécois d’exercer son droit à l’autodétermination, soit de décider de son avenir politique et de définir ses propres institutions ?

La conclusion ou non d’une alliance entre les deux partis dépend donc de la réponse apportée à cette question. Résumons les grandes lignes du débat. Tandis que le programme d’ON précise qu’une « Assemblée constituante démocratique citoyenne, indépendante et non partisane, sera convoquée afin d’écrire une constitution du Québec indépendant ». QS préconise le même type d’Assemblée constituante et la même démarche menant à la tenue d’un référendum qui marquerait la fin du processus, mais il laisse la porte ouverte à diverses options. Cette position de QS n’est pas le fruit d’un oubli ou d’un hasard ; c’est le résultat d’un débat politique qui a animé les membres du parti lors de son congrès de 2016. À cette époque, deux camps cherchaient à faire valoir leurs points de vue. L’un affirmait, tout comme ON, la nécessité de préciser que l’objectif de l’AC était de rédiger la constitution d’un pays, alors que l’autre soutenait le besoin de maintenir la position adoptée par QS lors de son congrès de 2009 ; c’est-à-dire de garder le débat ouvert pour rallier les personnes non convaincues au projet d’indépendance. C’est la deuxième position qui l’a emporté avec une majorité d’environ 55%. Or, la réussite (ou l’échec) d’une fusion entre QS et ON#### semble dépendre de la volonté des membres de QS à revenir sur la position adoptée en 2016, ce qui pourrait créer des tensions à l’interne. Plusieurs sont en effet persuadés qu’en confiant à l’AC le mandat de préparer une constitution pour un Québec indépendant on se priverait automatiquement de l’appui de la tranche de 15% à 20% de votes nécessaire pour assurer une victoire du Oui lors d’un troisième référendum comme l’ont démontré les résultats des référendums de 1980 et 1995. Or, ce sont des fédéralistes de bonne foi ou des indécis qu’on doit convertir à l’indépendance. Il serait difficile de convaincre ces derniers de participer à la consultation publique organisée par la Constituante car un bon nombre, ayant l’impression que les dés sont pipés à cause du mandat du mandat confié à l’Assemblée constituante de préparer la constitution d’un Québec indépendant, pourraient plutôt écouter l’appel au boycott qui sera certes lancé par les leaders fédéralistes dans ce moment crucial.

Une troisième voie pour concilier les deux positions

Les deux co-auteurs de cette lettre, Jonathan Durand Folco et Paul Cliche, faisaient partie des deux camps opposés lors du débat de 2016 à QS. Heureusement, nous sommes aujourd’hui arrivés à la conclusion qu’une troisième voie pourrait réconcilier ces deux positions. En voici les principaux éléments : Considérant que la mise sur pied d’une Assemblée constituante par l’Assemblée nationale constituerait une rupture de facto d’avec l’ordre fédéral canadien, cette dernière se verrait confier le mandat de rédiger la constitution de l’État indépendant du Québec. À la fin du processus, elle ferait entériner ses travaux par un référendum à deux questions : 1) voulez-vous que l’État du Québec adopte cette constitution ; 2) voulez-vous que l’État du Québec soit indépendant ? Les avantages d’une double question sont multiples. Premièrement, cela permettrait de bien distinguer deux choses différentes : d’un côté, l’adoption d’une loi fondamentale servant à définir les principes, valeurs et institutions de base d’une communauté politique, puis la relation de cet État avec la constitution canadienne d’autre part. Deuxièmement, cette formulation implique que l’AC ne débouchera pas simplement sur la constitution d’une province, mais que l’option de l’indépendance sera présente lors du référendum afin que le peuple québécois puisse décider de son avenir politique. Troisièmement, cette stratégie pourrait rallier plusieurs personnes indécises, car la rédaction collective d’un projet de constitution interpelle toutes les franges de la population, et la possibilité de voter séparément sur l’indépendance lors du référendum permettrait d’éviter un boycott de l’assemblée constituante par les non-indépendantistes.

Certains objecteront peut-être que mener à terme un processus constituant est déjà une opération complexe en soi et que le fait de poser deux questions lors d’un référendum pourrait semer la confusion. Au contraire, si nous prenons l’exemple du vote sur l’avenir politique de la Catalogne du 9 novembre 2014, cette consultation avait bien deux questions très faciles à comprendre. Si nous regardons maintenant l’assemblée constituante islandaise et son référendum non contraignant du 20 octobre 2012, les citoyens et citoyennes étaient appelés à voter sur six questions : la première portait sur le projet de constitution comme tel, puis les cinq autres sur des articles distincts ne faisant pas l’unanimité (propriété publique des ressources naturelles, Église nationale, etc.). Comme nous pouvons anticiper dès maintenant que la totalité de la population ne sera pas d’accord sur le statut politique du Québec à ce moment là, la manière la plus simple de résoudre cette question consiste à laisser les gens voter directement sur cet enjeu de toute première importance, sans pour autant miner l’ensemble du processus constituant.

Enfin, l’Assemblée constituante est la meilleure façon de relancer une large conversation nationale sur notre avenir collectif, tout en permettant de dépasser les débats parfois acrimonieux sur des questions partielles (laïcité, immigration, liberté d’expression, etc.) en les replaçant à l’intérieur d’une réflexion plus large orientée vers la construction d’un nouveau cadre politique. Par un large processus de mobilisation populaire, d’éducation civique et de délibération publique, l’AC pourra faire des tournées approfondies dans toutes les régions du Québec pour discuter d’enjeux sociaux, de valeurs, de décentralisation et de démocratie, en donnant ainsi une plus grande légitimité à un processus de refondation de la société québécoise. L’essence de l’indépendance, au fond, réside dans l’exercice de la souveraineté populaire, c’est-à-dire de la participation citoyenne en marche. Ce processus d’émancipation collective réside dans la capacité des citoyens et citoyennes à redéfinir ensemble leurs institutions publiques. C’est la possibilité pour un peuple de décider de son avenir politique, en créant ses institutions à son image dans le but de s’auto-gouverner.

L’indépendance sans souveraineté populaire, et donc sans Assemblée constituante, n’est qu’un idéal abstrait ; pour lui donner vie, il faut réactiver l’imaginaire collectif en déployant un large processus inclusif et participatif, visant ni plus ni moins la refondation de la démocratie elle-même. L’AC, comme moteur de libération, démarche de mobilisation, de délibération et d’action politique élargie, c’est l’étincelle qui remettra le Québec en marche, par l’activité concrète des gens réunis pour discuter ensemble du monde dans lequel ils veulent vivre.

mercredi 30 août 2017

C'était l'assemblée d'investiture de Projet Montréal Rosemont-La Petite-Patrie.


Voir mes photos suite à mon texte.


C'était l'assemblée d'investiture de Projet Montréal Rosemont-La Petite-Patrie.

Par Sergio de Rosemont

Effectivement ce dimanche 27 août 2017 à 13h au Carrefour communautaire de Rosemont l’Entre-Gens au 5675, rue Lafond se tenait l'assemblée d'investiture de Projet Montréal Rosemont-La Petite-Patrie afin d'élire les candidats pour l'élection du 5 novembre prochain.

Les candidatEs Pour Projet Montréal pour l'arrondissement Rosemont-La Petite-Patrie sont ;

- Pour la mairie d'arrondissement : François William Croteau

- Pour le district Vieux-Rosemont : Christine Gosselin.

- Pour le district St-Édouard : François Limoge.

- Pour le district Étienne-Desmarteau : Stéphanie Watt

- Pour le district Marie-Victorin : Jocelyn Pauzé.

Oui Projet Montréal Rosemont-La Petite-Patrie est prêt, et marquons à notre agenda le 5 novembre 2017, allons voter et montrons la sortie à Denis Coderre et son équipe.

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POUR PLUS D'INFORMATION :



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VOICI MES PHOTOS :

P.S: Vu que pour l'instant je met mes photos sur Facebook et vu que Facebook aime bien à l'occasion changer l'adresse URL des photos, en cas où qu'un tel changement surviendrait à mes photos voici l'adresse de mon article en version Facebook :


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Effectivement ce dimanche 27 août 2017 à 13h au Carrefour communautaire de Rosemont l’Entre-Gens au 5675, rue Lafond se tenait l'assemblée d'investiture de Projet Montréal Rosemont-La Petite-Patrie.


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Les membres de Projet Montréal Rosemont-La Petite-Patrie prennent place.


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L'assemblée d'investiture de Projet Montréal Rosemont-La Petite-Patrie commencent.


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Patrick Cigana présidait l'assemblée.


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François William Croteau en élection pour le poste de candidat à la mairie de l'arrondissement Rosemont-La Petite-Patrie.


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Christine Gosselin en élection pour le poste de candidate comme conseillère pour le district Vieux-Rosemont.


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François Limoges en élection pour le poste de candidat comme conseiller pour le district St-Édouard.


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Stéphanie Watt en élection pour le poste de candidate candidate comme conseillère pour le district Étienne-Desmarteau.


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Mikael St-Pierre en élection pour le poste de candidat comme conseiller pour le district Étinne-Desmarteau.


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Nadia Aubert en élection pour le poste de candidate comme conseillère pour le district Étienne-Desmarteau.


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Laurent Morissette en élection pour le poste de candidat comme conseiller pour le district Marie-Victorin.


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Marie-Pier St-Louis en élection pour le poste de candidate comme conseillère pour le district Marie-Victorin.


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Jocelyn Pauzé en élection pour le poste de candidat comme conseiller pour le district Marie-Victorin.


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Mathieu Séguin en élection pour le poste de candidat comme conseiller pour le district Marie-Victorin.


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Valérie Plante cheffe de Projet Montréal est venue nous rencontrer.


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François W Croteau nous parlant du plan d'action.


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Les gagnantEs ceux qui défendront les couleurs de Projet Montréal Rosemont-La Petite-Patrie :

François William Croteau à la mairie

Christine Gosselin district Vieux-Rosemont

François Limoges district St-Édouard

Stéphanie Watt district Étienne-Desmarteau

Jocelyn Pauzé district Marie-Victorin


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Le tout c'est terminé sur un sympathique BBQ.

Bravo à Toxique Trottoir !


Voir mes photos suite à mon texte.


Bravo à Toxique Trottoir !

Par Sergio de Rosemont

Ce samedi 26 août 2017 dans le cadre de la vente trottoir sur la rue Masson, la troupe théâtrale "Toxique Trottoir" donnait une prestation de théâtre de rue.

Le spectacle était magnifique.

Ce spectacle était comme une poésie en images mise en théâtre.

Oui bravo à ces extraordinaires comédiennes de "Toxique Trottoir".

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POUR PLUS D'INFORMATION :

Toxique Trottoir
5350, rue Lafond
Montréal Québec
H1X 2X2

T : 514-728-4223

C : 514-581-3707

F : 514-524-9813



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VOICI MES PHOTOS :

P.S: Vu que pour l'instant je met mes photos sur Facebook et vu que Facebook aime bien à l'occasion changer l'adresse URL des photos, en cas où qu'un tel changement surviendrait à mes photos voici l'adresse de mon article en version Facebook :

P.S: Certains visages ont été brouillés question de protéger l'anonymat de ces personnes.


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Des valises très spéciale.


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Où vont-elles ?


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Ce spectacle était comme une poésie en images mise en théâtre.


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Quel regard !


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On nous regarde.


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Un peu de lecture ?


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De toutes les couleur, du noir à l'orangé.


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Un ballet pour les yeux.


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Santé !


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De tous les couleurs du noir à l'orangé au bleu.


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Quel regard !


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Vous voulez danser avec moi ?


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Quel regard n'est-ce pas ?


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Ce spectacle était comme une poésie en images mise en théâtre.


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Oui bravo à ces extraordinaires comédiennes de "Toxique Trottoir".