dimanche 26 novembre 2023

Sa réalité


Mon plus récent tableau et 3 D

Sa réalité


Par Sergio de Rosemont

Iel désire se détacher de sa réalité.

Mais Iel est rattaché par cette réalité qui l'enchaîne à elle !

Cette chaîne de l'existence et des événements de la vie.

Photos du 24 novembre 2023

vendredi 24 novembre 2023

Noël ! Noël ! Joyeux Noël à tous, Vraiment ?

 

Voici l’une de mes réflexions que je partage avec vous :

Noël ! Noël ! Joyeux Noël à tous, Vraiment ?


Par Sergio de Rosemont

Je suis assis devant mon thé, dans ce café sur la rue Masson.

Et à cette approche de ce "Temps des Fêtes", je réfléchis.

Et je réfléchis !

Et je réfléchis sur 2 réalités totalement différentes.

La réalité d’ici au Québec versus celle de la Palestine où pour les palestiniens la vie de chaque jour équivaut à "Survivre en Enfer" où les démons ont remplacé leur fourche par le "Uzi Pistol Model B" (pistolet automatique israélien) assassin et le souffre par le phosphore blanc.

Pendant qu’ici on se demande comment on décora notre maison pour Noël, en Palestine, à Gaza une famille palestinienne se demande où réussiront-ils à se trouver un toit à se mettre sur leur tête.

Pendant qu’ici on se demande qu’est-ce qu’on servira au invités pour le réveillon, à Gaza une famille palestinienne se demande s’ils pourront manger au moins un repas cette semaine ?

Pendant qu’ici on se questionne sur quoi leur acheter comme cadeaux, à Gaza plusieurs gazaouis se demande, s’interrogent si leur famille sera encore en vie demain matin ou si elle aura été assassinée.

Pendant qu’ici au Québec on se demande quels jouets acheter pour Noël pour les enfants, à Gaza des parents craignent pour la vie de leurs enfants.

Pendant qu’ici qu’on se demande avec qui nous passerons Noël, à Gaza autour de 2 Millions de palestiniens se demandent s’ils seront encore vivant à la fin de la semaine ou auront été assassinées.

Pendant qu’à Tel Aviv ce gouvernement d’extrême-droite israélien se félicite pour sa barbarie, partout sur notre planète, des millions de juifs ne reconnaissent pas l’État d’Israël comme représentant de leur peuple.

Israël, un envahisseur colonisateur, voleur de territoire, agresseur qui prétend se défendre.

Trop souvent on perçoit sur les médias la question :

{ Est-ce qu’Israël a le droit de se défendre ? }

Non, la question devrait être

{ Est-ce que le peuple palestinien a le droit de se défendre contre un envahisseur ? }

Oui hélas, il y a bien des questions à se poser sur l’honnêteté d’Israël !

mardi 21 novembre 2023

Du respect pour le vivant ! S.V.P. !

 

Mon plus récent tableau

Du respect pour le vivant ! S.V.P. !


Par Sergio de Rosemont

Sur la 2ème photos les flèches en rouge indiquent des porte-clefs contenant à l'intérieur de réels bébés animaux.

Les 2 flèches du haut indiquent des porte-clefs contenant à l'intérieur de réels bébés scorpions.

La flèche du bas indique un porte-clef contenant un bébé crabe.

Et oui pour ces modèles de porte-clefs qu'on vent aux touristes, ce sont des vrais bébés animaux qu'on tu pour ensuite les insérer dans des moules pour ensuite y couler de l'époxy.

Et la plume au bas du coeur est une plume de poule question de rappeler la cruauté imposée aux volailles dans l'industrie.

Photos du 19 novembre 2023.


lundi 20 novembre 2023

Les patates du marin

 

Laissons la parole à Francis

Les patates du marin


20 novembre 2023

C’était l’été mille-neuf-cent-soixante-dix-huit. Je venais d’acheter la nouvelle édition de la fameuse Flore laurentienne du bien-aimé frère Marie-Victorin. Alain, un copain du cégep, m’avait invité à passer l’été chez lui dans son petit village de Saint-Paul-du-Calvaire. J’étais content de renouer avec un patelin rural. C’était dans le du Bas-du-Fleuve, à la fois semblable et très différent d’où j’avais grandi dans les Laurentides. Je travaillerais à la scierie de son père selon les besoins, deux ou trois après-midis par semaine, en échange du gîte et du couvert. Lui y travaillerait tous les jours, mais on aurait les soirs pour jaser, jouer de la guitare et se balader alentour dans la volkswagen de son frère parti pour l’armée. Amplement de temps pour herboriser.

L’herbier se constituait patiemment. Les notes s’accumulaient. J’aurais de l’avance sur tout le monde dans mon cours de botanique du trimestre d’automne. Ma relation quotidienne, sauf journée pleureuse, avec les frères Marie-Victorin et Alexandre par notices et dessins interposés, me remplissait d’une sorte de joie mystique, car il y a du recueillement dans l’acte de récolter délicatement une plante. Je profitais aussi d’une visite tout aussi journalière chez Yvan, un bonhomme de cinquante ans, dont la vieille maison était située à un kilomètre du domicile des parents d’Alain. C’est lui qui me l’avait présenté.

Yvan fut marin. Sa jambe gauche était paralysée depuis un accident mille fois raconté. Pour le plus grand plaisir de nos oreilles et de mon imagination allumée, mille autres histoires peuplaient sa mémoire généreuse. Alors, je me présentais tous les matins vers dix heures, juste après qu’il mettait ses patates à chauffer, pour accomplir le rituel où trônait sa chute en introit, le récit de mon herborisation de la veille en kyrie (le lendemain de pluie, le kyrie était lapidaire), puis une nouvelle aventure en gloria. On passait par-dessus l’offertoire et le sanctus. Une tasse de thé nous servait d’agnus dei. C’était en fait son apéro me disait-il pour le dîner, car je le quittais à midi pile, un « salut bonhomme ! » réciproque en guise d’ite missa est, pour aller rejoindre les Ouellet, lesquels dînaient bien tard aux dires des autres villageois.

Le gros nez bleu d’Yvan souriait, mais sa bouche n’était pas d’accord. Elle prétendait que l’alcool lui était inconnu. À onze heures moins dix, mon marin préféré avait son excuse habituelle : « Il faut que j’aille faire un coup de ménage dans la cave. » Il en revenait à onze heures avec les yeux mouillés et brillants de celui qu’une bonne « shotte de bagosse », l’alcool artisanal bas-laurentien, avait émoustillé. Et la messe continuait.

Je ne doutais pas que le « coup de ménage » était aussi nécessaire l’après-midi, et je savais que c’était également le cas le soir puisqu’Alain et moi le voyions quand nous allions une ou deux fois par semaine siroter la bière que nous apportions et qu’il ne touchait pas en regardant la télé avec lui. Neuf heures moins dix était le moment inébranlable. Le retour à neuf heures avec un regain d’œil pétillant. J’avais calculé que quatre heures moins dix devaient être le signal pour l’après-midi, mais je n’ai jamais osé m’imposer sur les lieux pour vérifier.

Un jour, pendant mes dix minutes d’examen de conscience statutaires, je remarquai qu’Yvan n’avait pas mis assez d’eau dans sa casserole et que ses patates brûleraient si on les laissait ainsi. C’était inhabituel. J’ajoutai donc ce qu’il fallait pour qu’elles soient comme il faut.

Le jour suivant, puis tous les autres, le même défaut de liquide se perpétua. Il devint alors compris dans mon rituel de bénir les tubercules pendant qu’Yvan devançait sa communion sous une espèce.

Puis vint la deuxième partie du mois d’août. Alain et moi regagnerions la grande ville et nos colocs respectifs. Mon herbier engrossa démesurément mon bagage. Je dis adieu aux Ouellet, que j’embrassai avec tendresse tant le père que la mère, ce qui choqua Adèle, la grande sœur d’Alain. J’allai aussi embrasser Yvan, qui ne se déroba pas à mon affection. Ses yeux étaient mouillés avant même qu’il ait pu faire son coup de ménage matinal dans la cave.

À l’Action de Grâces, Alain insista pour que je passe le week-end dans sa famille. Je crois que ma grande affection fraternelle pour lui s’était parée d’atours plus romantiques dans son cœur. J’avais appris à donner des bises amicales, ce n’était pas le cas dans sa famille. Je l’avais induit en erreur malgré moi. Une nouvelle différente aurait pu s’étendre sur ce sujet.

Nous nous fîmes un devoir d’aller discuter avec Yvan le dimanche pendant que le reste de la famille était à l’église. Je jetai un œil à la casserole, et le manque d’eau se répétait. J’en ajoutai en expliquant à Alain mon manège de l’été. Yvan avait du lièvre au four et voulut absolument nous garder à dîner alors que jamais, de toute la saison estivale, il ne m’avait invité.

— Tiens, mes patates ont pas brûlé aujourd’hui. Vous me portez bonheur, les garçons !

— J’avais oublié de te dire, Yvan. Je rajoutais un peu d’eau chaque fois que tu descendais faire ton « coup de ménage » dans la cave.

— Ben, non, voyons donc. J’ai toujours mis la même quantité d’eau. Ça s’est mis à brûler un moment donné, puis aujourd’hui le mauvais sort est passé.

La superstition des patates a été la seule qu’on lui ait connue. Yvan est mort en descendant faire son « dernier coup de ménage » dans la cave après avoir continué à manger des patates brûlées pendant des années malgré les remontrances d’Alain, qui vit aujourd’hui avec un beau et charmant Sébastien alors que, moi, je suis solitaire depuis qu’Annie s’est éloignée, rendue jalouse par mon herbier.

NDLA : Cette nouvelle fait partie du recueil N’allez jamais à Montréal paru en décembre 2021.

Francis Lagacé

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SITE DE FRANCIS LAGACÉ

On entre bientôt dans le "Temps des Fêtes"

 


Voici ma réflexion que je partage avec vous à l’approche du "Temps des Fêtes"

On entre bientôt dans le "Temps des Fêtes"


Par Sergio de Rosemont

On entre bientôt dans le "Temps des Fêtes" mais est-ce réellement un temps de festivité pour tous ?

Je ne crois pas.

Oui pour la plupart ce sera la période des retrouvailles familiales, des gros repas, des échanges de cadeaux.

Le temps de ces décorations et surtout de cette musique assommante du "Temps des Fêtes".

Mais pour plusieurs marginalisés par notre si magnifique société, cette période est comme un enfer.

Vous êtes-vous déjà demandé comment cette musique de Noël peut-être ressentie par ces personnes marginalisées ?

Elles leur rappel qu’elles sont des mis au banc de notre si magnifique société.

D’après-vous cette mère de famille monoparentale qui s’abrite avec son enfant dans un refuge pour femmes violentées peut ressentir cette musique de Noël ?

D’après vous cette personne qui se retrouve en situation d’itinérance suite à une éviction peut ressentir cette musique de Noël ?

Et toujours d’après vous cette personne en situation d’itinérance quêtant devant un commerce question de pouvoir se payer un café afin de se réchauffer peut ressentir cette musique de Noël ?

Encore d’après vous cette personne refugiée politique vivant dans notre si magnifique société loin des siens dans un autre pays et devant ici au Québec affronter le racisme à tous les jours peut ressentir cette musique de Noël ?

Et d’après vous cette personne aînée délaissée par sa famille, vivant l’isolement et ne mangeant pas tous les jours à sa faim peut ressentir cette musique de Noël ?

Et encore d’après vous cette personne visitant un être cher sur son lit de mort aux soins palliatifs peut ressentir cette musique de Noël ?

Oui pour plusieurs personnes laissées pour compte par notre si magnifique société, cette période du "Temps des Fêtes" peut en être douloureuse moralement.

Personnellement, cette musique et ces décorations de cette période me rappellent des souvenirs désagréables de ma jeunesse, de mon passé !

dimanche 19 novembre 2023

Le cœur

 

Voici ma pensée que je partage avec vous :

Le cœur


Par Sergio de Rosemont

Parfois le cœur peut être heureux.

Parfois le cœur peut être malheureux.

Le cœur peut-être doux et gentil.

Le cœur peut-être Rebel.

Le cœur peut aimer comme il peut haïr.

Le cœur peut construire comme il peut détruire.

Un cœur peut rire comme il peut pleurer.

Il peut faire la pluie ou le beau temps, tout dépendant comment il se sent.

Le cœur est rattaché à l’âme.

Ce cœur a tendance à retourner aux autres ce qu’on lui envoi mais multiplié par 10.

Si vous lui servez la "Coupe du Respect", alors vous recevrez ce même respect mais multiplié par 10.

Par contre si vous lui servez la "Coupe du Mépris" alors là …… !

N’oubliez pas quand vous vous adressez à un individu que son cœur est rattaché à son âme et que c’est lui qui ressent la coupe que vous lui servez, donc tout dépendant si vous lui servez la "Coupe du Respect" ou la "Coupe du Mépris" alors le cœur réagira en conséquence.

mardi 14 novembre 2023

Une pensée pour toi Daniel

 

Au revoir mon ami.

Une pensée pour toi Daniel


Par Sergio de Rosemont

Je suis assis prenant un thé dans ce café au coin de la 2ème Ave et de la rue Masson là où il nous est arrivé de nous rencontrer pour discuter.

Nous parlions de musique Punk et Metal.

Mais nous parlions aussi et surtout de véganisme et de protection des animaux et de leurs droits.

Samedi soir j’ai appris la nouvelle de ton décès en navigant sur Facebook.

La nouvelle a été pour moi comme un coup de masse reçu en peine face.

Oui la nouvelle m’est encore lourde sur le cœur, toi que je croisais souvent sur cette rue Masson où nous prenions le temps de discuter.

Dorénavant lorsque je croiserais un animal, je ne pourrais pas faire autrement que d’Avoir une pensée pour toi mon ami.

Merci Daniel, je te dois beaucoup, tu aimais prendre le temps d’écouter les gens et c’est toi qui m’as aidé dans mon cheminement vers le véganisme.

Daniel t’étais un grand militant et t’as tellement fait pour les animaux.

Au revoir mon ami.

dimanche 12 novembre 2023

Une discussion avec soi-même

 

Ma réflexion que je partage avec vous.

Une discussion avec soi-même


Par Sergio de Rosemont

Une discussion avec soi-même.

Prendre le temps de se retrouver avec soi-même.

Prendre le temps de réfléchir, de discuter avec soi-même sur ce qui nous rend heureux et sur ce qui nous fait mal.

Réfléchir sur le positif, les chances et les occasions que le destin met sur notre chemin.

Oui parfois la solitude peut nous être douloureuse, par contre quand on apprend à l’apprivoiser, elle peut nous permettre de dialoguer avec soi-même et voir comment on peut améliorer des situations et faire progresser nos projets.

Et oui on peut même profiter de la solitude pour dialoguer avec soi-même afin de voir comment sortir de cette solitude.

Oui parfois la solitude peut en être paradoxale, on peut se situer dans un endroit public et le ressentir.

La solitude peut permettre la réflexion afin de trouver son âme sœur, sa véritable âme sœur.

Le problème avec la solitude c’est qu’Il faut apprendre à l’apprivoiser.

mardi 7 novembre 2023

Lennon, le grand absent de Now and Then

 

Laissons Francis nous parler de la Beatlemania

Lennon, le grand absent de Now and Then


6 novembre 2023

La dernière vaguelette de la Beatlemania a frappé la planète musique les jeudi 2 novembre et vendredi 3 novembre 2023. On a annoncé la nouvelle chanson avec tambours et trompettes et on s’est livré à un striptease commercialement efficace. Dans un premier temps, on dévoile une vidéo sur la confection de la chanson. Le jeudi on sort la chanson en audio, puis le vendredi on publie la vidéo.

On a fait grand cas de l’intervention de l’intelligence artificielle dans l’affaire. Il s’agit surtout d’une technique améliorée de séparation des sons qui a permis d’extraire la voix de Lennon du magma sonore où elle se trouvait. À quand le papier de toilette intelligent ?

Le problème, c’est qu’en dépouillant la voix de tout son environnement, on dirait qu’on a aussi complètement éviscéré l’entité qui la portait. Cette voix blanche et sans émotion donne l’impression que l’âme du poète (comme aurait dit le vieux Charles) s’est envolée avec les scories qui l’encombraient. Une voix fantomatique qui, plaquée à une musique d’une traînante mélancolie, évoque les soupirs désâmés d’un zombie.

Moi, le fan fini du Beatle à lunettes, je ne retrouve pas cette énergie que John mettait même dans ses chansons les plus mielleuses (par exemple Love [Plastic Ono Band], Oh My Love [Imagine] ou One Day at a Time [Mind Games]). Pareillement, dans ses pièces les plus démoralisées (comme My Mummy’s Dead [Plastic Ono Band], How ? [Imagine], Aisumasen [Mind Games] ou bien Forgive Me, My Little Flower Princess [Milk and Honey]), il y avait un mordant sans rapport avec la voix asthénique et dénuée de toute énergie vitale qu’on entend dans Now and Then.

À l’écoute de la pièce, on perçoit aussi une grande incomplétude dans la matière textuelle et musicale. Sir Paul n’a pas réussi à combler les vides que John avait laissés, raison évidente pour laquelle Lennon ne l’avait pas reprise sur Double Fantasy et pourquoi George s’était opposé à ce qu’on l’insère dans les fameuses Anthologies.

D’ailleurs, ici, la contribution de George est réduite à la portion congrue avec un solo joué en slide sur la guitare miaulante du bon Harrison, mais par Sir Paul.

Si l’opus se laisse fredonner et charme par sa douceur, le ton est beaucoup trop nostalgique et aurait davantage convenu au portfolio des Moody Blues.

Même l’enthousiasme de commande de Sean, le fils de John, qu’on entend dans le making of de la chanson mais qu’on ne voit pas vraiment, ne réussit pas à nous convaincre.

Toutefois, la vidéo de la chanson est pas mal mieux que les deux précédentes. La vidéo de Free As a Bird était franchement moche et peu imaginative. Celle de Real Love était un peu plus artistique avec ses instruments qui volaient dans les airs. Celle de Now and Then a le mérite d’être sympathique. L’insertion des comparses décédés qui font des tatas pour le public dans la prestation d’aujourd’hui à partir des images d’époque est joyeuse, contrairement à la démoralisante mélancolie de la chanson.

Bien que George ne soit là que par allusion et que John soit le pré-texte au sens propre de la pièce, c’est bien ce dernier, le regretté Lennon, le grand absent de cette œuvre, ce qui rend encore plus cruelle l’utilisation de ses propres paroles : « I want you to be there for me ». Le primesautier John a été complètement évacué par la magie de la technologie qui n’a pas encore appris à simuler l’âme. Ça viendra sûrement, et très vite sans doute, mais pas cette fois-ci.

J’achèterai la pièce pour l’inclure dans la liste Beatles de mon Ipad. Ça reste quand même la dernière offrande des Fab Four et ça n’écorche pas les oreilles, même si c’est plutôt déprimant. Mais, je me permets de souhaiter que ce soit vraiment, mais vraiment la dernière : toute bonne chose a une fin et à trop vouloir étirer la sauce, on la gâte.

Francis Lagacé

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SITE DE FRANCIS LAGACÉ

Je suis dans une pizzéria et

 


Texte écrit le 4 novembre 2023

Je suis dans une pizzéria et


Par Sergio de Rosemont

Je suis dans une pizzéria et à la TV ,… Le massacre israélien en Palestine !

Pendant qu’ici on peut se permettre de choisir dans quel restaurant nous irons prendre un repas, là-bas en Palestine, pour les palestiniens la question n’est pas de savoir dans quel restaurant ils iront manger.

La question qu’ils ont est de savoir si demain matin s’ils seront encore vivants ou s’ils seront assassinés !

Demain matin, est-ce que ma famille sera toujours là ou sera-t-elle assassinée ?

Et dire que nos gouvernements se refusent de réclamer un "Cessez le Feu".

Gaza est un "Opéra de la Barbarie" où ces militaires israéliens sont ces démons ayant remplacé leur fourche par le "Uzi Pistol Model B" (pistolet automatique israélien) assassin.

Des démons qui au lieu d’utiliser du souffre, préfère l’usage du phosphore blanc qui fait fondre votre chaire et vos os.

On vole les terres, les villes et les maisons du peuple palestinien.

On assassine les palestiniens.

Et toute cette barbarie sous l’excuse que "Dieu" leur aurait promis ces terres et que cela les autoriserait à toutes cette barbarie.

Et que cette "Nation Israélienne" construite sur les terres volées par le sang au peuple palestinien serait une nation dite sacrée, religieuse.

Premier problème technique : La décision du gouvernement d’Israël de faire d’Israël une nation dite religieuse est un blasphème envers leur religion le "Judaïsme"

ainsi qu’envers la Torah (Ancien Testament pour les chrétiens) leur livre sacré, où Jéhovah (Dieu) interdit au peuple juif (hébreu) de posséder leur propre pays.

Donc le fait de déclarer Israël comme étant le "Pays des Juifs" et que cette nation ait une valeur religieuse serait un sacrilège envers Jéhovah et leur religion le Judaïsme.

Deuxième problème technique : Les véritables descendants du peuple juif (hébreux) donc il est question dans la Torah (Ancien Testament) sont les palestiniens eux-mêmes !

Et oui lors de la destruction du temple de Jérusalem par les légionnaires romains, menés par Titus, contrairement à ce que plusieurs croient, la majorité des juifs (hébreux) de cette époque sont demeuré en Palestine.

Ce qui avait brouillé les cartes faisant croire que la majorité des juifs (hébreux) avaient quitté la Palestine c’est qu’une grande partie d’eux s’étaient convertis au Christianisme pour plus tard se convertir à l’Islam.

Oui les palestiniens sont bien les véritables descendants du peuple juif (Hébreux) donc il est question dans la Torah (Ancien Testament).

Donc la Palestine appartient aux palestiniens !

Je vous laisse et je vais tenter de finir mon repas malgré ces nouvelles venant de la Palestine, toute cette barbarie israélienne qui ne coupe l’appétit !