vendredi 30 juin 2017

Réforme du mode de scrutin : Justin Trudeau et Robert Bourassa; mêmes arguments


Laissons Paul Cliche nous parler de Justin Trudeau



Réforme du mode de scrutin :
Justin Trudeau et Robert Bourassa; mêmes arguments



À 45 ans de distance, les premiers ministres libéraux Justin Trudeau et Robert Bourassa ont utilisé les mêmes arguments éculés pour justifier leur refus d’instaurer un mode de scrutin à finalité proportionnelle. Quel exemple éloquent de stagnation politique!

Il y a quelques jours, le premier ministre Trudeau a tenté de justifier, une nouvelle fois, le refus de son gouvernement de respecter l’engagement que son parti avait pris, lors de la campagne de 2015, en promettant que ce serait la dernières élection tenue en vertu du système actuel, le scrutin majoritaire à un tour. La représentation proportionnelle serait mauvaise pour notre pays, a t-il dit en substance, parce qu’elle conduirait à la fragmentation des grands partis politiques. (Entendons par là le libéral et le conservateur).

C’est le même argument dont s’était servi le premier ministre québécois Robert Bourassa, en 1972, alors qu’il avait opté pour une réforme de la carte électorale plutôt que pour l’instauration d’un mode de scrutin proportionne. Ayant mis sur pied un comité d’étude sur la réforme électorale, le premier ministre n’eut rien de plus pressé que de rencontrer ses membres pour leur dire qu’il ne leur servait à rien de recommander l’instauration d’un scrutin à finalité proportionnelle car il s’y objecterait. Quant à la réforme de de la carte électorale, visant à rendre égalitaires les votes des électeurs, elle a été mise en place à temps pour la tenue des élections de 1973. Mais, ô surprise, le nouveau découpage de la carte a produit les plus fortes distorsions de l’histoire du Québec. En effet, les libéraux ont obtenu 93% des députés avec 55% des votes tandis que le Parti québécois a du se contenter de 5,5% des députés avec plus de 30% des votes. Par la suite, des tentatives d’instaurer un scrutin à finalité proportionnelle ont échoué sous les gouvernements Lévesque et Charest.

Par ailleurs, M. Trudeau a indiqué clairement, lors de sa dernière déclaration, qu’il préférait, l’adoption d’un scrutin préférentiel depuis le début du débat sur la réforme électorale. Mais il n’en s’en était pas ouvert durant la campagne électorale non plus que pendant les six mois qu’a siégé, en 2016, le comité parlementaire multipartite sur la réforme électorale qui avait pour mandat d’étudier toutes les possibilités. Ce dernier a alors entendu quelque 1,300 intervenants qui se sont prononcés en forte majorité en faveur d’un scrutin proportionnel mixte avec compensation.

On se demande maintenant pourquoi le premier ministre a donné l’impression que toutes les options étaient sur la table alors que son opinion était faite depuis longtemps. Cet épisode est une énième illustration des raisons qui alimentent le cynisme des citoyens. Cette saga de la réforme du mode de scrutin, qui dure depuis un demi-siècle au Canada comme au Québec, prouve une fois de plus que notre système démocratique restera bloqué aussi longtemps que la volonté populaire ne sera pas assez forte pour mettre au pouvoir, malgré les obstacles du système électoral en place, des formations politiques qui font passer l’intérêt commun avant leur intérêt partisan. Des partis aussi qui ne changent pas d’idée de façon opportuniste lorsqu’ils prennent le pouvoir comme on l’a vu à quelques reprises ces dernières décennies.

Paul Cliche,
Auteur de livre Pour réduire le déficit démocratique : le scrutin proportionnel
Montréal, le 28 juin 2017


Projet de politique culturelle : « Le ministre doit retourner à la planche à dessin », dit Manon Massé


Je partage à titre d'information



Projet de politique culturelle : « Le ministre doit retourner à la planche à dessin », dit Manon Massé 

28 juin 2017

La députée de Sainte-Marie–Saint-Jacques et porte-parole de Québec solidaire, Manon Massé, déplore le dépôt à la va-vite du projet inachevé de politique culturelle du Québec.

«  On attendait une nouvelle politique culturelle avec impatience depuis des années et on va continuer de l’attendre, car le projet du ministre Fortin ne contient rien de concret et semble avoir été achevé sur un coin de table. La politique du ministre part certainement de bonnes intentions, mais malgré des pages et des pages, les enjeux et défis auxquels fait face l’industrie culturelle ne sont abordés qu’en surface sans mesures réelles pour y remédier. Alors que la politique finale sera déposée cet automne, le projet du ministre ressemble drôlement à une tentative de relations publiques pour calmer la grogne justifiée que le milieu culturel exprime depuis quelques semaines », a indiqué Manon Massé suite à l’analyse du projet de politique culturelle déposé mardi.

La semaine dernière, le ministre de la Culture, Luc Fortin, a octroyé un maigre 4 millions de dollars au Conseil des arts et des lettres (CALQ) qui a besoin de 40 millions de dollars pour poursuivre sa mission et faire vivre la culture québécoise adéquatement. Rien n’indique que sa politique culturelle aura les moyens de ses ambitions, déplore Manon Massé.

« Ça prend vraiment une foi solide pour croire que les fonds seront au rendez-vous cet automne ! Pour que la politique fonctionne, les fonds nécessaires devront être au rendez-vous. La culture ne vit pas grâce à la fameuse main invisible du marché, elle vit à travers ses institutions, qui doivent être bien financées. Le ministre Fortin ne pourra pas améliorer les conditions de vie socioéconomiques des artistes comme le prévoit l’actuel projet de politique avec des fonds de tiroirs. S’il ne sait pas où prendre l’argent, je l’invite à consulter son collègue du ministère des Finances, Carlos Leitão, qui annonçait la semaine dernière des surplus faramineux de 2,25 milliards de dollars ! » a indiqué Mme Massé.

La solidaire salue toute fois la tenue d’un forum national les 5 et 6 septembre prochain pour entendre les différentes associations culturelles : « L’automne dernier, les solidaires déploraient le manque de temps dont disposaient les différentes associations pour déposer un mémoire en vue de la consultation sur le renouvellement de la politique culturelle. Nous espérons que le ministre sera à l’écoute des associations lors du forum de cet automne et qu’il fera les ajustements demandés par les gens les mieux positionnés pour définir les actions à poser ».

Québec solidaire surveillera attentivement le dépôt de la politique culturelle l’automne prochain. Pour satisfaire les solidaires, la politique devra contenir de véritables mesures pour promouvoir l’affirmation du caractère francophone de notre culture et des engagements particuliers à l’égard des autochtones et des communautés LGBTQ.


mercredi 28 juin 2017

4 projets défaillants à Hydro-Québec : Manon Massé demande au ministre d’agir


Je partage à titre d'information



4 projets défaillants à Hydro-Québec : Manon Massé demande au ministre d’agir 

27 juin 2017

La députée de Sainte-Marie-Saint-Jacques et porte-parole de Québec solidaire, Manon Massé, a interpellé, mardi, le ministre responsable d’Hydro-Québec, Pierre Arcand, concernant 4 projets défaillants d’Hydro-Québec : Northern Pass, Saint-Jean, Grand-Brûlé-dérivation St-Sauveur et de la Chamouchouane-Bout-de-l’Île.

« Pendant que le PDG d’Hydro-Québec, Éric Martel, prétend que tout va bien dans le meilleur des mondes à la société d’État, 4 projets controversés de lignes aériennes à haute tension causent des problèmes majeurs dans les communautés visées. Les citoyens, les élu.es et les groupes régionaux et environnementaux s’opposent de plus en plus férocement à ces projets qui menacent les paysages, la biodiversité, de même que des aires protégées. Malheureusement, Hydro-Québec, tout comme le gouvernement, refuse toujours de les entendre. S’il est vrai que nous sommes « maître chez nous », ils doivent à tout le moins accepter la demande de rencontre des communautés concernées et trouver une solution acceptable pour tous. Les préoccupations de ces individus sont justes et loin d’être des caprices comme veut le laisser entendre Éric Martel et Pierre Arcand ! » a tonné Manon Massé en point de presse à l’Assemblée nationale.

Québec solidaire estime qu’en tant que leader mondial en hydroélectricité, le Québec devrait être l’exemple à suivre en termes de normes pour le développement du réseau hydroélectrique. Or, la pression de performance que met Québec sur la société d’État ne permet pas de mettre en place les meilleures pratiques et nous condamne à construire les lignes comme on le faisait dans les années 1960.

« Pour ajouter l’insulte à l’injure, il est de notoriété publique que Hydro-Québec, avec la complicité du gouvernement, a accepté d’enfouir les lignes aux États-Unis, où la société a des contrats d’exportation, alors qu’il refuse catégoriquement la même chose aux Québécois et aux Québécoises. C’est indécent qu’on déroule le tapis rouge pour nos voisins américains, mais refuse de rendre la pareille aux communautés québécoises. J’invite Éric Martel, du haut de sa tour d’ivoire, à se rappeler qu’il travaille pour le bénéfice de la population du Québec et non pour engranger toujours plus de profits. », estime Mme Massé.

Manon Massé rappelle que seulement cette année, le gouvernement a encaissé ,sans se gêner, 1.4 milliard de dollars en trop perçus par Hydro-Québec directement des poches des contribuables. « Cette somme pourrait être réaffectée à la mise en œuvre des solutions pour ces 4 projets. Si les bénéfices de Hydro-Québec sont pour l’ensemble de québécois, il n’est pas normal que tous les coûts environnementaux, sociaux et économiques ne soient pas aussi assumés par tous », de conclure Manon Massé.


Redéfinir la souveraineté comme projet social, la tâche de l’heure pour Québec solidaire


Encore une fois André Frappier remet les pendules à l'heure



Redéfinir la souveraineté comme projet social, la tâche de l’heure pour Québec solidaire



Mardi 27 juin 2017 / DE : André Frappier

La décision prise par les membres de Québec solidaires au congrès de mai dernier était en fait en phase avec l’échec historique du PQ comme alternative sociale autant que comme porteur de la réalisation de la souveraineté. Cette décision correspondait à une nécessité objective et non pas à une stratégie. Le PQ n’a plus depuis longtemps et particulièrement depuis 2014 de stratégie d’accès à la souveraineté. Pour une bonne partie de la population et particulièrement pour la jeune génération la souveraineté a perdu de son inspiration justement parce qu’identifiée à sa gestion néolibérale.

Quelques mois après la défaite du gouvernement péquiste en avril 2014, Mathieu Bock-Côté écrivait dans son livre Indépendance les conditions du renouveau :

« La défaite du Parti québécois n’est pas une défaite comme les autres. Elle compromet son existence. Et quoiqu’on en dise, c’est l’indépendance comme projet politique qui risque aussi de mourir. Il se peut, tout simplement, que la « marque PQ » soit définitivement brûlée, qu’elle soit si profondément marquée du sceau de la défaite que l’électorat ne parvient tout simplement plus à s’y identifier. On a ressorti au lendemain de l’élection (de 2014) la thèse du parti générationnel : le PQ connaîtrait ces années-ci le même sort que l’Union nationale au moment de la Révolution tranquille. »

Le PQ a par la suite continué à vivre sur du temps emprunté. Péladeau, vu comme défenseur de la souveraineté, a permis de faire oublier pour un temps le choix purement électoraliste de 2014 qui venait de mettre au rencart toute possibilité de gagner un référendum. Mais il a en même temps confirmé la nature de ce parti comme celui au service des entreprises et certainement pas à celui des travailleurs et travailleuses. La deuxième course à la chefferie a confirmé le choix prioritaire traditionnel, prendre le pouvoir. Lisée a ainsi gagné parce qu’il a proposé d’enlever toute politique qui pourrait faire obstacle dont évidemment la souveraineté et a joué sur la seule carte qui lui restait le nationalisme identitaire. Mais il faut bien l’avouer cela ne constitue pas une option bien inspirante.

La stratégie d’alliances avec QS ne représentait dans cette situation qu’une image de façade qui lui permettait de garder l’initiative et d’imposer l’idée du vote stratégique pour battre les libéraux. Mais on ne peut indéfiniment jouer sur la stratégie, il faut aussi et surtout être inspirant. À ce chapitre le PQ a épuisé ses crédits depuis longtemps.

Les membres de Québec solidaire ont donc fait le seul choix sensé possible, celui de présenter QS comme l’alternative politique qui peut répondre aux enjeux économiques, environnementaux et politiques actuels. En fait Mathieu Bock-Côté avait raison sur un point, le PQ est arrivé à sa fin de vie utile. La baisse continue de son pourcentage de vote depuis de nombreuses années démontre qu’il ne s’agit pas là uniquement du phénomène Lisée mais correspond à ce qu’on peut appeler une tendance lourde. Entre l’élection de 1994 et celle de 2014 il a connu une baisse quasi continue avec une légère remontée en 2008 et son élection de justesse en 2012, passant de 44,75% des votes à 25,38%, baisse qui a continué de s’approfondir atteignant 22% selon les derniers sondages.

Même s’il ne faut pas définir sa politique en fonction des sondages, ceux-ci indiquent tout de même assez clairement qu’une nouvelle situation politique est en train de se dessiner au Québec. Québec solidaire est en croissance et peut dorénavant, compte tenu de ses décisions du dernier congrès, revendiquer sa place comme parti de l’avenir et porteur des aspirations populaires.

Parmi les défis importants qui attendent maintenant QS est celui de redéfinir la souveraineté dont l’image a été associée au PQ et à ses politiques. En effet la baisse d’appui à la souveraineté a suivi à peu près en parallèle celle accordée au PQ. De 1995 à 2015 il est passé de 49% à environ 38%. En termes générationnels durant la même période, l’appui des jeunes de 18-24 ans à la souveraineté est passé de 63% à 41% selon le sondage Léger de la même année, et est descendu à 34% en mars 2017.(1) Fait intéressant à noter l’appui à la souveraineté a enregistré des baisses dans les périodes où le PQ était au pouvoir et connu une remontée relative sous le gouvernement libéral, particulièrement dans les périodes 2003-2005 et 2008-2010.(2) Depuis 2012 ce taux d’appui ne s’est pas relevé.

La fusion possible avec ON

Les discussions menant à une possible fusion avec ON permettront aussi de remettre la question de la souveraineté en débat et d’en définir la finalité. Le dernier congrès de QS a donné un mandat clair à sa direction à cet effet. En ce moment Québec solidaire et Option Nationale sont les deux seuls partis qui dans les faits incluent la souveraineté dans leur perspective électorale. La fusion possible pourra permettre de consolider ce pôle comme étant porteur d’un projet de souveraineté, pas simplement comme finalité mais comme projet de société.

Le projet de société de Québec solidaire

La souveraineté doit être un projet inspirant et mobilisateur et pour ce faire elle doit correspondre aux aspirations de la population. Voilà pourquoi l’appui à la souveraineté a tant baissé. Elle ne peut avoir de sens que si elle nous amène vers une nouvelle société que les citoyens et citoyennes du Québec voudront définir ensemble. Une société où le peuple est souverain et non à la merci des compagnies minières et des pétrolières qui nous volent nos richesses et détruisent notre environnement. Une société où la richesse servira à donner les services de santé et d’éducation adéquats et égaux pour tout le monde. Une société où chaque personne pourra se sentir incluse. C’est ce dont il faut parler, beaucoup plus que de la mécanique que peu de personnes comprennent hors des cercles initiés.

Mais pour réaliser cette société, la souveraineté est essentielle. On ne peut penser prendre le contrôle de nos richesses naturelles et de nos institutions, en laissant l’État fédéral et les multinationales nous imposer leur volonté.

(1) Le Devoir 18 mars 2017, sondage Léger-Le Devoir

(2) Évolution de l’appui envers la souveraineté : 1995-2015 p.19, L’État du Québec INM et Leger 2015.

INFORMATION PRISE ICI

mardi 27 juin 2017

J'ai rendu visite à l'arbuste à Monique


Voir les photos suite à mon texte.


J'ai rendu visite à l'arbuste à Monique 

Par Sergio de Rosemont

Ce samedi 24 juin 2017 en ce jour de Fête nationale, alors que je quittais le lancement officiel de la fermette Basile-Patenaude pour me diriger au parc Molson pour la Fête nationale, en passant par la Place Basile-Patenaude je me suis rendu compte que la porte du jardin était ouverte., alors je décida d'aller rendre visite à l'arbuste de lavande planté en souvenir et en hommage à ma défunte conjointe Monique.

À mon arrivé devant l'arbuste des petites fleurs de lavande avait sorties.

Ce fut une sensation innatendue pour moi que je ressenti.

Comme si j'y ressentais l'esprit de la jardinière qu'était Monique.

Et à l'intérieur de moi-même c'était comme un mélange de larmes de tristesse et de larmes de joies.

Des larmes de joie dans mon fort intérieur déclenchées par ces petites fleurs de lavande qui étaient comme un symbole d'espoir.

Oui l'espoir a transpercé la mort !

Ces petites fleurs sont comme un appel à continuer.

OUI MONIQUE MA LAPINE À 2 PATTES JE VAIS CONTINUER LE COMBAT.

Ce combat pour une justice sociale.

Merci pour tout Monique, je t'aime encore.

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VOICI MES 2 PHOTOS :

P.S: Vu que pour l'instant je met mes photos sur Facebook et vu que Facebook aime bien à l'occasion changer l'adresse URL des photos, en cas où que d'un tel changement surviendrait à mes photos voici l'adresse de mon article en version Facebook :  
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Et à l'intérieur de moi-même c'était comme un mélange de larmes de tristesse et de larmes de joies.

Des larmes de joie dans mon fort intérieur déclenchées par ces petites fleurs de lavande qui étaient comme un symbole d'espoir.


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Ces petites fleurs sont comme un appel à continuer.

La Fermette Basille-Patenaude est lancée.


Voir mes photos suite à mon texte.


La Fermette Basille-Patenaude est lancée. 

Par Sergio de Rosemont

Ce samedi 24 juin 2017 à 13h c'était le lancement officiel de la fermette Basille-Patenaude.

Un poulailler a été construit au bout de la ruelle verte et à l'Est du jardin communautaire Basile-Patenaude et la fermette est situé à cet endroit.

Félicitations à Roland celui qui a construit ce poulailler, un magnifique travail.

Lors de ma visite il y avait déjà 5 variétés de poules ainsi que 2 moutons de Biquette.

Pour ceux qui se poseraient des question à la fermette les animaux sont bien traîtés.

Il y a une programmation d'activités familiales gratuites qui auront lieu tout au long de l'été.

Ce que j'aime dans l'idée de la fermette c'est qu'il s'agit d'activités familiales ce qui permet à des enfants et des familles n'ayant pas accès à la campagne de pouvoir avoir un contact avec des animaux qu'on ne courtois pas habituellement en ville.

En terminant je tiens à féliciter David-Alexandre Boutin et son équipe qui ont mis sur pied ce projet grâce auquel des enfants pourront enfin pouvoir avoir un contact avec ces animaux.

BRAVO !

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VOICI MES PHOTOS

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Voilà nous arrivons.


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L'information sur les espèces de poules se trouvant à la fermette.


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Collations et breuvages étaient offerts.


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Les poules de la fermette Basile-Patenaude.


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Je tiens à féliciter David-Alexandre Boutin et son équipe qui ont mis sur pied ce projet grâce auquel des enfants pourront enfin pouvoir avoir un contact avec ces animaux.

BRAVO !


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David-Alexandre Boutin tenant l'un des oeufs produit par l'une des poules de la fermette avec François Croteau le maire de l'arrondissement qui était sur place pour parler avec les citoyenNes.


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L'équipe de ceux que la fermette Basile-Patenaude intéresse.


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Les poules de la fermette Basile-Patenaude.


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Les moutons de Biquette vous attendent.

lundi 26 juin 2017

C'était la Fête nationale au parc Molson


Voir les photos suite à mon article.


C'était la fête nationale au parc Molson 

Par Sergio de Rosemont

Oui ce 24 juin 2017 au parc Molson la tradition fut respectée.

Je parle bien sûr de la tradition de la fête nationale en format familial pour les citoyenNes de Rosemont.

La fête fut une réussite avec la collaboration de Diamboola Fitness et de la Chasse-balcon .

Comme discours patriotique nous avons eu droit à un texte de David Goudreault lu par une jeune que j'ai trouvé excellente.

Par la suite ce fut les discours des élus locaux.

Le seul point négatif, très négatif fut que Denis Coderre est apparut dans le décors avec son équipe et ont forcé les organisateurs de l'événement à permettre à Monsieur Denis Coderre à participer aux discours des élus locaux, lui qui n'était pas au menu.

Donner la parole à Denis Coderre lors de notre fête nationale, lui qui était dans le camp du non lors du dernier référendum.

Donc oui Monsieur Coderre à pu nous servir, nous imposer son petit discours populiste.

Par contre pour L'Équipe Coderre dans Rosemont, ca ne semble pas du tout gagné.

Lorsqu'on a nommé les noms des éluEs de l'Équipe Coderre dans Rosemont il / elle se sont fait huer.

Non, en novembre ce n'est pas gagné pour pour Équipe Coderre !

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VOICI LES PHOTOS DE LA FÊTE :

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C'était la fête nationale au parc Molson.


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C'était la fête nationale au parc Molson.


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C'était la fête nationale au parc Molson.


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Il y avait des tableaux où les rosemontoisEs pouvaient répondre à des questions.


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Le kiosque de la Société d'histoire de Rosemont-La Petite-Patrie.


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Le kiosque de la SODER.


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Diamboola Fitness faisant danser les rosemontoisEs.


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Et oui le député solidaire de Gouin Gabriel Nadeau-Dubois était de la fête avec les rosemontoisEs.

Une photo souvenir avec mon ami Gabriel en cette fête nationale.


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Le groupe Chasse-Balcon avec la musique trad.


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Alexandre Boulerice député NPD de Rosemont-La Petite-Patrie était de la fête avec les rosemontoisEs.


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Notre maire d'arrondissement François Croteau était des nôtres.


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À la fête nationale il y a toujours de la danse.


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Lorsque je vois quelqu'un se promener avec un drapeau des patriotes sur les épaules lors de la fête nationale j'ai tendance à me poser l'interrogation suivante :

À quel type de nationaliste ai-je affaire ?

Au nationaliste identitaire, celui du repli identitaire et de la xénophobie ou au nationaliste inclusif d'ouverture ?


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François Croteau au micro.


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Gabriel Nadeau-Dubois au micro.


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Alexandre Boulerice au micro.


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Le seul point négatif, très négatif fut que Denis Coderre est apparut dans le décors avec son équipe et ont forcé les organisateurs de l'événement à permettre à Monsieur Denis Coderre à participer aux discours des élus locaux, lui qui n'était pas au menu.

Donner la parole à Denis Coderre lors de notre fête nationale, lui qui était dans le camp du non lors du dernier référendum.

Donc oui Monsieur Coderre à pu nous servir, nous imposer son petit discours populiste.