lundi 31 juillet 2023

Des nouvelles de moi

 

Mon plus récent texte sur moi-même.

Des nouvelles de moi


Par Sergio de Rosemont

Mon calvaire est presque terminé.

Je suis sur le bord de sortir du tunnel.

Et oui la lumière au bout du tunnel est de plus en plus proche, je suis sur le bord d’atteindre cette lumière.

Le seul problème, la seule séquelle qui me reste à résoudre est simplement un tic nerveux qui m’est apparu au visage.

Je travaille là-dessus.

Par la suite ca sera l’étape de repenser ma vie et à la refaire.

Oui effectivement il arrive encore parfois des périodes d’impatience, mais elles sont de moins en moins fréquentes.

Il faut dire qu’une blessure à l’âme ne se guérie pas en criant "Lapin".

Il faut laisser le temps à l’âme de guérir.

Oui je suis sur le bord de sortir du tunnel.

Merci à tous ceux qui m’ont accordé leur soutien moral et autre.

dimanche 30 juillet 2023

L’espoir.

 

Voici ma pensée que je partage avec vous.

L’espoir.


Par Sergio de Rosemont

L’espoir c’est tout ce qui me reste.

L’espoir c’est la chose qui pour l’instant me donne le goût de continuer d’avancer.

D’avancer malgré cette saveur amère de cette "Coupe de la Trahison" que l’on m’a fait goûter.

Oui espérer retrouver la pleine joie de vivre.

Espérer que cette blessure dans l’âme finira par s’apaiser.

Oui l’Espoir c’est tout ce qui me reste moralement pour me donner le goût de continuer dans la vie.

vendredi 28 juillet 2023

Elle m’avait demandé ce que j’aimerais pour ma fête.

 

Voici un texte que j’avais écrit à la fin du mois de juin 2023 que j’ai retrouvé et que je partage avec vous car ça me permet ce processus de guérison de ma blessure dans l’âme. Évidemment dans ce texte vous pouvez constater l’état d’esprit dans lequel je me retrouvais à ce moment-là :

Elle m’avait demandé ce que j’aimerais pour ma fête.


Par Sergio de Rosemont

Elle m’avait demandé ce que j’aimerais pour ma fête.

Je lui avais répondu que le plus beau cadeau que je pouvais avoir était de l’avoir dans ma vie, dans mon cœur et dans mon âme.

Oui au moment d’écrire ces lignes, ma mémoire est douloureuse.

Pas la mémoire dans mon cerveau mais celle dans mon cœur.

Combien de fois l’ai-je remercié d’être dans ma vie ?

Des dizaines, des centaines de fois, je n’ai pas compté les fois.

Combien de fois lui ai-je dis avec mon âme et mon cœur.

{ Tu es ce que j’ai de plus précieux, dans ma vie, dans mon existence ! }

Il fallait que cette "Vipère Mielleuse" injecte son venin dans l’esprit de ma douce moitié.

Il fallait qu’elle tue notre amour vrai juste par ce qu’il ne répondait pas à ses normes personnelles.

Ce n’était pas de ses affaires mais cette "Vipère Mielleuse" avait décidé que notre amour devait répondre à ses normes personnelles.

Elle était heureuse avec moi, nous étions heureux ensemble mais cette "Vipère Mielleuse" a décidé d’empoisonner notre amour comme si nous aurions dû avoir son autorisation pour s’aimer.

Parfois, souvent les vipères ne sont pas seulement mielleuses, elles sont aussi manipulatrices et narcissiques !

samedi 22 juillet 2023

Oui j’ai 65 ans; Non je n’attends pas la mort !

 

Mon plus récent poème, j’y parle de moi.

Oui j’ai 65 ans; Non je n’attends pas la mort !


Par Sergio de Rosemont

Oui j’ai 65 ans; Non je n’attends pas la mort !

Oui j’ai reçu peu après mes 65 ans un coup dur.

Comme un coup de dague dans l’âme et dans le cœur.

On m’a fait goûter à la saveur amère de la "Coupe de la Trahison".

Cette "Vipère Mielleuse" qui a injecté son venin dans l’âme et le cœur de "Mon Ange".

Qui sait à force de toujours chercher à empoisonner les amours qui ne répondre pas à ses petites normes personnelles, que cette "Vipère Mielleuse" finira par rencontrer un Aspic qui crachera un venin plus puissant que le sien.

Effectivement c’est pour moi comme un deuil.

Un second deuil dans l’âme sept ans après un premier !

Mais vous savez qu’après qu’une âme ressente la mort en soi, il ne lui reste qu’une chose qu’elle peut faire, accomplir.

RENAÎTRE !

Oui tel un phénix, mon âme renaîtra de nouveau de ses cendres morales.

Oui j’ai 65 ans et je désire la vie !

jeudi 20 juillet 2023

Fictions politiques

 

Donnons la parole à Francis

Fictions politiques


17 juillet 2023

—Francis Lagacé, vous avez écrit Rose ? Vert ? Noir ! un roman dans lequel la majorité homosexuelle est d’une cruauté impitoyable envers la minorité hétérosexuelle. Comment arrivez-vous à concevoir une société aussi insensible ?

—On n’a pas beaucoup d’effort d’imagination à fournir quand, dans l’Histoire et même dans l’actualité, les sociétés oppressives sont plutôt la norme. Quand on fait partie de la majorité bénificiaire du système, on ne se pose pas de question et l’ignorance de la réalité intimement vécue par les autres conduit à un manque total d’empathie.

—Ça peut être vrai pour des personnes, pour un groupe dominant, pas pour toute une société ?

—Toute une société peut être convaincue facilement qu’une sorte de personne mérite la sujétion. On l’a vu sous le régime nazi. À des niveaux moindres, la répression des homosexuels, dont le roman est un envers magnifié, et l’indifférence totale à propos des difficultés qu’une société droitière impose aux gauchers sont des exemples montrant que l’immense majorité ferme les yeux facilement, d’autant plus aisément qu’elle n’y comprend rien. Et c’est sans parler de toutes les sociétés esclavagistes.

—Parlons-en justement de ce renversement de la répression. Enfermer des gens dans des parcs pour servir d’instruments reproducteurs et les maltraiter alors que c’est grâce à eux que le peuple survit, c’est quand même gros.

—Ça paraît gros quand on évite les points de comparaisons. Repensons aux femmes qu’on enfermait dans la sphère domestique et dont on détruisait toute aspiration dès qu’elles étaient mariées, totalement soumises à la tutelle de leur mari. Cela vous semble-t-il tellement mieux que d’être contenu dans un parc ? Pensez aux Premières Nations enfermées dans leurs réserves. Pensez à la cruauté invraisemblable qui consistait à leur arracher leurs enfants pour les mettre dans des pensionnats. La méchanceté et l’horreur du réel n’ont rien à envier à celles de la fiction.

—Mais, cette société brutale est homosexuelle. Ne trouvez-vous pas ça inconvenant ou contradictoire, en tant qu’homosexuel, d’illustrer un monde qui ne montre pas la tolérance que vous réclamez.

—D’abord un petit correctif, je ne réclame pas la tolérance, j’exige l’acceptation. Mais, non, ce n’est ni inconvenant ni contradictoire. La majorité est homosexuelle. On a bien vu ce dont était capable une majorité hétérosexuelle ou catholique ou blanche ou européenne. Ce qui autorise les abus, c’est le pouvoir social qu’exerce le groupe. Quand on détient la vérité officielle et l’autorité, rien ne nous gêne et l’on peut inventer toutes les excuses voulues pour exercer une répression implacable.

Avez-vous lu, madame l’intervieweuse, le roman Un cœur de feu de Rosaline Dumoulin ? Ce n’est pas une fiction psychologique comme on pourrait le croire. Elle est en fait hautement politique. Dans cette œuvre tragique, une femme monstrueusement narcissique domine ses enfants et son mari. Investie de l’aura de la religion et de la séparation entre la vie publique et la vie privée, ce dont, je le dis entre parenthèses, elle a sûrement aussi été victime, elle dispose d’un pouvoir absolu qui lui permet de se tirer d’actes incendiaires dévastateurs. C’est ce pouvoir incontesté par des enfants effrayés et un mari subjugué qui fait le crime, pas le genre ni l’orientation sexuelle. Ce ne sont pas les femmes qui sont mauvaises, c’est l’étanchéité familiale. Ce ne sont pas les hétérosexuels qui sont mauvais, c’est l’hétérosexisme. Rien n’empêche d’imaginer un homosexisme, d’ailleurs pratiqué dans les communautés religieuses catholiques.

—Mais vous croyez qu’il est possible ou légitime de se révolter contre le pouvoir, non ?

—Assurément. Je suis marxien à tendance gramscienne.

—Mais, l’auteure Dumoulin n’est pas marxiste !

—Je crois qu’elle était du genre communiste libertaire, mais cela il aurait fallu le lui demander quand elle était encore en vie, moi je ne l’ai pas connue personnellement.

—Il me semble inconcevable, et nombre de lectrices et lecteurs ont dû vous le dire, qu’un tel système survive sans jamais subir d’échec.

—Comme vous le constatez dans le roman, la tentative de rébellion échoue. Il y a la force du nombre, il y a les intérêts divergents des contestataires, il y a surtout l’imperturbable habileté du pouvoir et ses tactiques de désinformation. Dans une société où le parti-pris pour le pouvoir et la religion en place s’appuient l’un sur l’autre et où les forces économiques sont au service d’une minorité, il faut du temps et un patient travail de mobilisation, d’éducation, de création de réseaux souterrains avant de pouvoir commencer à sentir bouger les plaques tectoniques. C’est ce que montrera le roman suivant Les traces de Sigma.

—Mais dans le roman, il est pourtant question de complot à l’échelle du pays.

—Le problème est justement là. Le complot n’est pas à l’échelle du pays. C’est plutôt une révolution de palais avec des partisans mercenaires et d’autres naïvement embrigadés comme idiots utiles. Le peuple n’est au courant de rien encore et craint plus que tout les Zétés sauvages, une vague nébuleuse terroriste. La majorité se tient tranquille tant qu’elle ne voit pas d’intérêt au changement. La lente progression des droits des Noirs en est un bon exemple.

—Mais pouvez-vous franchement présenter un tel roman comme réaliste ?

—Il n’y a rien de plus réaliste que l’imagination. Tout ce qu’on peut inventer peut se réaliser un jour ou l’autre. Dans l’infinité des univers successifs et parallèles, rien n’empêche que tous les univers fictionnels soient un jour réels. Mais, dans le fond, la réalité est-elle réaliste ? Le jour où l’on vous annonce que vous n’en avez plus que pour six mois, est-ce que vous trouvez ça réaliste, crédible, possible ? Il faut du temps pour y croire, même quand on sait que c’est vrai. La fiction, de son côté, n’a pas besoin qu’on y croie, elle a juste besoin de sa propre cohérence interne et elle se donne pour ce qu’elle est. On l’apprécie ou pas, on y voit des images, des idées et on peut s’en servir ou pas. Un romancier se contente d’offrir un monde à l’appréciation du public sachant que la répression de papier est un ciron à côté de l’hydre formidable de la répression réelle.

—C’est quand même un monde d’exagération que vous présentez. Et Talleyrand a dit : « Tout ce qui est exagéré est insignifiant. »

—Deuxième correctif : Talleyrand a dit : « Tout ce qui est excessif est insignifiant. » On pourrait par ailleurs démontrer la fausseté grotesque de cette formule qui, comme peuvent l’être les jugements absolus et définitifs, est complètement absurde et elle-même insignifiante, c’est pourquoi je ne l’ai jusqu’ici jamais entendue ailleurs que dans la bouche de droitistes zélés. Si vous prenez une dose excessive de Fentanyl, je puis vous garantir que ce sera tout sauf insignifiant. Mais venons-en à votre citation qui est plutôt, dit-on, de Pigault de l’Espinay. En fait, il faut la lire dans l’autre sens : « Ce qui est insignifiant peut être exagéré. » C’est l’insignifiance, quand on s’en occupe, qui devient exagérée.

Au contraire, l’exagération fictionnelle ne fait que mettre la loupe sur un phénomène de la même manière que les adeptes de sciences naturelles magnifient les objets qu’ils étudient. Observer le comportement des animalcules à la loupe, des microbes au microscope n’a rien d’insignifiant et, rassurez-vous ou inquiétez-vous-en, c’est selon, la fiction n’est même pas l’ombre de la réalité.

NDLA : Cette nouvelle fait partie du recueil N’allez jamais à Montréal paru en décembre 2021.

Francis Lagacé

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SITE DE FRANCIS LAGACÉ

dimanche 9 juillet 2023

Ce trou dans l’âme.

 

Mon plus récent poème

Ce trou dans l’âme.


Par Sergio de Rosemont

L’insupportable trou dans l’âme.

Théoriquement un trou ne devrait rien peser étant un vide.

Mais un trou dans l’âme est lourd.

Car il y a le poids des bons souvenirs qui en deviennent douloureux car ils nous rappellent celle qui est partie.

Il y a aussi le poids de tous ces projets qui ne se réaliseront pas car elle n’y est plus.

Ce trou dans l’âme et dans le cœur d’un total inconfort moral.

Ce trou qui nous rend la solitude intolérable où les secondes nous paraissent être des minutes, des minutes des heures, des heures des journées et les journées des éternités.

Ce trou dans l’âme qui me donne la sensation d’avoir le système nerveux sur un grinder en fonction.

Ce trou dans l’âme est la blessure que m’a laissée ce coup de dague dans l’âme.

J’ai plus que hâte que cette blessure dans mon âme et cour finisse par cicatriser.

Je ressens qu’il y a encore un rattachement entre nos 2 âmes.

Quand je lui disais "Te Amor" ou "Te Quiero" c’est avec mon âme et mon cœur que je le prononçais !

mercredi 5 juillet 2023

Vous avez vu le soleil, moi je n’ai vu que les nuages.

 

Je partage ma pensée avec vous

Vous avez vu le soleil, moi je n’ai vu que les nuages.


Par Sergio de Rosemont

J’étais à la boutique d’un de mes amis et il y a un client qui entre avec une casquette.

Mon ami qui le connait lui dit :

{ Tiens t’as une casquette ? }

Alors ce client lui répond :

{ C’est pour le soleil. }

Vue que c’était une journée avec un ciel nuageux, de ces nuages de fumée je répliqua :

{ Vous avez vus le soleil ? Moi, je n’ai vu que ces nuages ! }

J’avoue que ces nuages commencent à me stresser côté environnement.

Ca affecte la qualité de l’air avec ces particules nous provenant des feux de forêt au Nord du Québec.

De plus en voilant le soleil aussi souvent, je me demande si cela affectera la culture des fruits et légumes.

lundi 3 juillet 2023

Lorsqu’on pose une question

 

Parfois le silence peut faire mal

Lorsqu’on pose une question


Par Sergio de Rosemont

Lorsqu’on pose une question, un silence ou une non réponse de l’autre devient une réponse.

Et ça devient une réponse plus que claire.

Et quand la question est posée à un être aimé et que le silence, cette non réponse vient de cet être aimé,….

Et en ce qui me concerne, ce silence, cette non réponse déclenche en moi plusieurs autres questions que je n’ose pas poser, question de ne pas me faire servir d’autres silences, d’autres non réponses.

Et quand ces silences, ces non réponses viennent de l’être aimé, cela blesse, ouvre les cicatrices dans l’âme.

Qu’est-ce qui est le plus douloureux entre un mensonge que l’on découvre plus tard qu’il n’était pas la vérité ou ce silence, non réponse à une question ?

De plus un silence, une non réponse à une question indique que tout ce qui avait été dit, avait été dit comme pour voiler quelque chose qu’on vous refuse le droit de savoir.

Quand on s’aime on ne devrait rien se cacher !

dimanche 2 juillet 2023

Sois comme un arbre.

 

Ce n’est qu’un poème

Sois comme un arbre.


Par Sergio de Rosemont

Regarde l’arbre son histoire commence par une petite graine planté dans le sol.

Par la suite il croit, ses racines s’incrustent dans le sol de ses origines et il monte vers le ciel, l’univers.

Ses branches grandissent, s’épanouissent aux quatre vents.

Et il grandit et monte vers le ciel, vers l’infini.

Sois comme cet arbre bien ancré par ses racines sur ces origines cherchant à atteindre plus haut dans l’esprit et ouvrir sa compréhension.

Et que tes pensées soient comme tes feuilles.

Soit comme cet arbre.

samedi 1 juillet 2023

On m’a dit de tourner la page.

 

Je parle de la période que je passe présentement

On m’a dit de tourner la page.


Par Sergio de Rosemont

On m’a dit de tourner la page, de passer à un autre chapitre.

C’est sur quoi je travail.

Mais avec la douleur laissée par ce coup de dague dans l’âme cela m’est difficile.

Hélas le chapitre que j’ai à tourner est épais et lourd pour mon cœur et mon âme.

Je dois le tourner étape par étape.

Étape par étape.

Et comme thérapie pour mon âme, afin que cette blessure dans l’âme puisse finir par cicatriser, l’écriture et passer fréquemment prendre une couple de thé à mon café préféré.

Ce café ayant une ambiance chaleureuse, amicale et positive, ça me donne ma dose de vibrations positives, m’empêchant de virer fou.