vendredi 31 août 2012

Vote stratégique: Quel prétexte le PQ invoquera-t-il la prochaine fois?

Vote stratégique versus le PQ,
Paul Cliche pose une question pertinente















Vote stratégique: Quel prétexte le PQ
invoquera-t-il  la prochaine fois?

Même si elle revient à chaque élection depuis nombre d’années, la chasse aux électeurs progressistes, afin qu’ils appuient le PQ le  4 septembre, bat son plein. Mais elle  n’a probablement jamais atteint une telle intensité devant la menace appréhendée que représentent Québec solitaire et Option nationale pour les péquistes dans l’atteinte de leur objectif de former un gouvernement majoritaire.
 

Il faut compatir avec les progressistes qui, en leur âme et conscience, sont tiraillés entre leurs convictions et l’obligation morale qu’ils ressentent de repousser les libéraux dans l’opposition de même que d’éviter une invasion de la CAQ à l’Assemblée nationale.
 

Mais les objurgations lancées par certains propagandistes péquistes - comme l’illustre la dernière sortie du groupuscule SPQ libre – dépassent les bornes de la décence. Ce n’est pas en démonisant Québec solidaire, un allié dans la lutte pour la souveraineté, qu’ils vont faire avancer la cause. Pourquoi  ne s’attaquent-il pas plutôt à leurs véritables adversaires, les libéraux et la CAQ?
 

On sait que cette guerre fratricide est causée en bonne partie par le mode de scrutin majoritaire. En accordant la  victoire au  candidat qui a le plus de suffrages, ce système fait en sorte, en effet, que seuls comptent les votes des électeurs ayant appuyé ce dernier. Les autres n’ont aucune poids dans le choix d’un député. C’est comme s’ils étaient jetés à la poubelle en quelque sorte. La représentation proportionnelle, au contraire, fait en sorte que chaque votre compte permettant ainsi à tous les partis de faire le plein de leurs appuis électoraux. De plus, le scrutin majoritaire cause des distorsion importantes entre les votes et les sièges obtenus par les différents partis. Le parti vainqueur est automatiquement favorisé de façon substantielle tandis que les tiers partis sont pratiquement exclus de la représentation parlementaire
 

Pendant plus de 30 ans le Parti québécois a préconisé l’instauration d’un scrutin proportionnel à l’instigation de son fondateur, René Lévesque, qui qualifiait le scrutin majoritaire de «démocratiquement infect». Mais depuis son congrès de 2000 le PQ a reporté son engagement après l’accession du Québec à la souveraineté puis finalement l’a biffé de son programme au congrès de 2111 avec la bénédiction de Pauline Marois.
 

La raison est simple quoique cynique :  garder captive la mouvance progressiste pour conserver son hégémonie sur le mouvement souverainiste.
 

Ce serait une bonne chose que les progressistes actuellement en réflexion considèrent cet aspect de la problématique et de demander quel prétexte le PQ invoquera-t-il la prochaine fois?
 

Paul Cliche
Montréal, 28 août 2012



Consultez les engagement électoraux de Québec solidaire



LE SITE DE QUBEC SOLIDAIRE

LE PROGRAMME DE QUBEC SOLIDAIRE

SITE DE QUBEC SOLIDAIRE ROSEMONT
 
POUR UN PAYS DE PROJETS
 
VRAI OU FAUX

AMIR KHADIR SUR TWITTER

BLOGUE DE FRANOISE DAVID

FRANOISE DAVID SUR TWITTER


Le Cercle Grès de Tenebrum Draco

L'Alcôve deTenebrum-Draco

jeudi 30 août 2012

Distribution de tracs dans Rosemont

Lire mon texte suite aux 5 photos 

PHOTO EN PLEINE GRANDEUR

Pour François Saillant t le contact
avec les citoyens c'est importance
 
PHOTO EN PLEINE GRANDEUR

Oui François Saillant était sur
place pour ceux qui aurait des
questions pour lui
 
PHOTO EN PLEINE GRANDEUR

Il apprécie pouvoir parler avec les gens

PHOTO EN PLEINE GRANDEUR

Il apprécie savoir ce qui préoccupe les électeurs

PHOTO EN PLEINE GRANDEUR

L'une des grandes qualités de François Saillant
c'est cette disponibilité

Distribution de tracs dans Rosemont
Ce vendredi 24 août de 16H00 à 18h00 c'était la distribution de tracs pour l'équipe de Québec solidaire Rosemont, question de mieux faire connaître notre candidat François Saillant.

J'ai participé à cette distribution avec François Saillant au Métro Joliette.

Pour François Saillant s'il y a bien une chose qui est importance, c'est le contact avec les citoyens.

Oui François apprécie pouvoir parler avec les gens .

L'une des grandes qualités de François Saillant c'est cette disponibilité, pour lui c'est essentiel de répondre aux questions des gens

Il apprécie savoir ce que les électeurs pensent et ce qui les préoccupe.

Oui François Saillant est le député qu'il faut pour Rosemont

François Milite depuis plus de 40 ans pour les moins nantis de notre société.
SITE DE QUBEC SOLIDAIRE ROSEMONT

Consultez les engagement électoraux de Québec solidaire




LE SITE DE QUBEC SOLIDAIRE
 
LE PROGRAMME DE QUBEC SOLIDAIRE

SITE DE QUBEC SOLIDAIRE ROSEMONT

POUR UN PAYS DE PROJETS

VRAI OU FAUX
 
AMIR KHADIR SUR TWITTER

BLOGUE DE FRANOISE DAVID

FRANOISE DAVID SUR TWITTER
 

Le Cercle Grès de Tenebrum Draco

L'Alcôve deTenebrum-Draco

mercredi 29 août 2012

Ces politiciens qui veulent nous asservir

Regardons ces politiciens avec

l'oeil de Francis Lagacé


27 août 2012 Ces politiciens qui veulent nous asservir Se comporter de manière politicienne, c'est préférer les intrigues et son intérêt personnel plutôt que le bien du peuple que l'on est censé représenter.

Il est remarquable que dans l'actuelle campagne électorale certains prétendants au titre de premier ministre ne se gênent même pas pour s'afficher dans la catégorie de la politique politicienne.

En effet, que dit François Legault quand il dénonce les jeunes qui aiment «la belle vie»? Il nous promet que, s'il est élu, il nous fera souffrir et nous asservira à ses fins et à celles des oligarques qui le financent.

Le rôle d'un politique n'est-il pas d'assurer le bonheur de sa population? Toute l'idée du progrès n'est-elle pas de libérer l'humanité des maux qui l'affligent? Eh bien, non, Legault et sa clique nous promettent de nous rendre le plus malheureux possible, de nous faire suer sang et eau pour enrichir les membres du 1 %. Et il y a du monde qui va voter pour ça!

Autre exemple, c'est celui de l'ignoble Jean Charest qui ne cesse de répéter: «On n'était tout de même pas pour céder à la rue!» Non, mais quand même, un gouvernement qui écoute le peuple, ça n'a pas de bon sens!

En voilà un autre qui nous promet que, si on l'élit, il ne nous écoutera jamais et n'en fera qu'à sa tête. Et il y a des gens assez peu éveillés qui voteront pour ça!

Sommes-nous rendus si bas que nous acceptions de voter pour des gens qui nous promettent ouvertement de nous bafouer?

LAGACÉ Francis


Consultez les engagement électoraux de Québec solidaire


Le Cercle Grès de Tenebrum Draco

L'Alcôve deTenebrum-Draco



LE SITE DE QUBEC SOLIDAIRE

LE PROGRAMME DE QUBEC SOLIDAIRE

SITE DE QUBEC SOLIDAIRE ROSEMONT

POUR UN PAYS DE PROJETS

VRAI OU FAUX

AMIR KHADIR SUR TWITTER

BLOGUE DE FRANOISE DAVID

FRANOISE DAVID SUR TWITTER

mardi 28 août 2012

Le PQ et QS proposent des voies de nature différente pour l’accession du Québec à la souveraineté

Regardons la différence entre le 

PQ et Qs avec Paul Cliche:


Le PQ et QS proposent des voies de
nature différente pour l’accession
du Québec à la souveraineté
Paul Cliche,
membre de Québec solidaire

Le Parti québécois et Québec solidaire proposent des voies de nature différente pour permettre l’accession du Québec à la souveraineté.

Le PQ a évidemment comme objectif de  réaliser la souveraineté du Québec. Mais sa stratégie référendaire et le calendrier de réalisation de ce projet restent flous. Le programme établit que ce sera «à la suite d’une consultation de la population par référendum tenu au moment jugé approprié par le gouvernement». Non seulement n’y précise-t-on pas qui déciderait de la date du référendums mais on ne sait pas non plus ce qui arriverait après une victoire du «oui ».

De plus, l’adoption par le Conseil national du parti d’une résolution permettant la convocation de référendums d’initiative populaire (RIP), suite à la signature d’un registre par au moins 15% de l’électorat, a ajouté à la confusion. À l’origine, cette requête devait être exécutoire mais la volte-face de Pauline Marois, annonçant qu’un gouvernement péquiste pourrait refuser un référendum même si 15% de la population en réclamait un par le mécanisme des RIP, a suscité tout un embrouillamini. Malgré la campagne électorale, le député sortant Bernard Drainville a contredit sa chef sur-le-champ. Cette question névralgique créerait donc des remous considérables dans un éventuel gouvernement péquiste. Voilà où  conduisent les ambiguïtés de la position de ce parti.

Un processus qui serait enclenché dès la prise du pouvoir

Quant  au programme de Québec solidaire, il vise l’objectif «de faire Québec un pays» en enclenchant, dès son arrivée au pouvoir, un processus d’accession à la souveraineté qui se traduirait par  la création d’une Assemblée constituante dont les membres seraient élus au suffrage universel. Le mode de scrutin assurerait la représentation proportionnelle des tendances et des différents milieux socio-économiques de la société québécoise. Celle-ci aurait comme mandat d’élaborer une ou des propositions sur l’avenir politique du Québec, ainsi que sur les valeurs, les droits et les principes sur lesquels devrait reposer la vie commune. De plus, cette Constituante proposerait une définition de ses institutions en précisant les pouvoirs, les responsabilités et les ressources qui leur seront délégués.

Point capital: Après son élection, la Constituante aurait d’abord la tache de mener une vaste démarche de démocratie participative pour consulter la population du Québec sur son avenir politique et constitutionnel, de même que sur les valeurs et les institutions politiques qui y seront rattachées. En fonction des résultats de la consultation, dont l’Assemblée constituante aurait l’obligation de tenir compte, cette dernière élaborerait ensuite un projet de constitution dont l’approbation serait soumise à un référendum exécutoire. En somme, il s’agit de lancer une démarche -appelée à se déployer simultanément à la grandeur du Québec du niveau national jusqu’aux régions, villes, villages et quartiers-  qui serait susceptible de faciliter la participation de tous les citoyens. Cette dernière prendrait évidemment plusieurs mois.

La souveraineté politique doit se conjuguer avec la souveraineté populaire

Il est clair que la démarche péquiste et celle des solidaires réfèrent à des paradigmes différents.

Au PQ, elle emprunte les sentiers battus du prosélytisme. Les dirigeants y semblent convaincus que le Québec pourrait accéder à la souveraineté grâce à une conjoncture politique momentanément favorable dont on profiterait astucieusement pour aller décrocher une majorité référendaire. Suite aux échecs de 1980 et 1995, les premiers ministres Bouchard et Landry ont ajouté la nécessité de «conditions gagnantes» pour le déclenchement d’un référendum et ont tenté vainement de les créer grâce au «déficit zéro». Dans le cas de Pauline Marois, c’est sa politique de «gouvernance souverainiste» qui vise à créer ces dernières.

À Québec solidaire, au contraire, on est convaincu qu’un règlement durable de la question nationale doit se conjuguer avec la souveraineté populaire; non seulement dans l’urne référendaire mais tout au cours du processus qui y mènera. Cette position  repose sur le postulat que nos compatriotes n’ont pas besoin d’être endoctrinés par des porteurs de la bonne nouvelle. Ils ont plutôt besoin d’être informés de la manière la plus objective possible, de comprendre les enjeux, de comparer les différents points de vue, d’en discuter entre eux, de se faire leur propre opinion et d’exprimer ce qu’ils désirent au plus profond d’eux-mêmes. Il signifie aussi que la question référendaire ne proviendrait pas des officines péquistes. mais serait rédigée suite à la participation de l’ensemble des citoyens.

Cette voie innovatrice découle du principe selon lequel le seul pouvoir légitime vient du peuple. Elle repose sur la diversité des expressions de la souveraineté populaire et s'inspire de la démocratie participative. Cela implique que les citoyens puissent exercer avec les élus, issus de la démocratie représentative, une véritable cogestion des affaires publiques et décider des changements à apporter aux institutions démocratiques.

Certains péquistes estiment qu'une telle démarche serait risquée et qu'elle prendrait trop de temps. Nous répondons que le contenu de l'éventuelle constitution - a fortiori si elle prévoit la création d'une république québécoise - nécessiterait l'appui indéfectible d'une large partie de la population. Ce genre d'appui ne pourrait provenir que de convictions forgées à partir de réflexions personnelles, d'échanges entre pairs et d'actions communes. Il faudrait certes du temps pour permettre le déploiement adéquat de ce vaste exercice de démocratie participative, mais quand il s'agit de l'avenir d'une nation l'impatience n'est jamais bonne conseillère.

Au secrétaire du SPQ libre, Pierre Dubuc, qui joue à la réalpolitique en qualifiant de  «fleur bleue » la démarche de Québec solidaire et en se moquant de sa «conception idyllique de la société», nous posons la question suivante. Qu'adviendrait-il à la cause souverainiste après un troisième référendum perdu ou même après une victoire fragile où  une partie significative des tenants du «oui» se dégonfleraient devant les obstacles que ne manqueront pas de dresser les adversaires ?

Québec solidaire fera vigoureusement campagne en faveur de la souveraineté durant toute la démarche de la Constituante, mais il est conscient que cette dernière pourrait aboutir à un résultat autre. Cette admission démocratique ne fait pas de ses partisans de «mauvais» souverainistes pour autant. Nous sommes persuadés, au contraire, que le processus conférerait à l'aspiration à la souveraineté du Québec un caractère universel grâce à la confiance renouvelée qu’elle susciterait dans le pouvoir citoyen. Nous sommes convaincus que cette démarche d'émancipation collective donnerait lieu à la plus grande mobilisation de l'histoire du Québec. Cette dernière permettrait de surmonter à coup sûr les tactiques déloyales et les machinations fédéralistes.

Montréal, 27 août 2012

-Nous n ‘allons pas rentrer la souveraineté dans la gorge des Québécois. Notre démarche d’assemblée constituante est ouverte et démocratique. Certains péquistes font la chasse aux «mauvais souverainistes».

-Amir : QS a de la place pour ceux qui ne sont pas encore convaincus. Il ne parle pas seulement aux convaincus. Je suis persuadé qu’on va faire la démonstration à tout le monde, en temps opportun, que l’indépendance est nécessaire. Mais je ne demande pas aux gens de le croire au départ. Il faut qu’on fasse cette démarche-là avec eux.


Consultez les engagement électoraux de Québec solidaire




LE SITE DE QUBEC SOLIDAIRE

LE PROGRAMME DE QUBEC SOLIDAIRE

SITE DE QUBEC SOLIDAIRE ROSEMONT

POUR UN PAYS DE PROJETS

VRAI OU FAUX

AMIR KHADIR SUR TWITTER
BLOGUE DE FRANOISE DAVID

FRANOISE DAVID SUR TWITTER


Le Cercle Grès de Tenebrum Draco

L'Alcôve deTenebrum-Draco