vendredi 29 décembre 2023

Ai-je le droit d’être moi-même ?

 

Heureusement que les gens sont pas tous comme ça

Ai-je le droit d’être moi-même ? 


Par Sergio de Rosemont

Ai-je le droit d’être moi-même ?

De croire à ce que je crois ?

Comme s’il y aurait une obligation de répondre à vos normes personnelles.

Comme si j’aurais l’obligation d’entrer dans un moule juste pour votre confort moralophychologique.

Souvent dans cette société, je me dois de me battre juste pour être moi-même, juste pour le droit d’être ce que je suis.

Même dans mon enfance, mon adolescence, déjà je devais me battre pour qu’on accepte que je puisse être moi-même, ce que je suis.

Souvent certains citoyens lorsqu’ils perçoivent que je puisse penser ou être différent d’eux, vont réagir comme si je m’opposais à eux.

Comme si j’étais l’adversaire, un danger pour eux, vu que je n’entre pas dans leurs petites normes personnelles.

Pourtant je n’ai jamais obligé personne à adopter ma façon de vivre ou de penser.

Parfois souvent, j’ai la sensation que plusieurs semblent ne pas connaître l’expression :

"Vivre et laisser vivre !"

Pas de cadeau à Noël


Francis nous parle des cadeaux de Noël

Pas de cadeau à Noël


23 décembre 2023

— Est-ce que tes cadeaux de Noël sont achetés ?

C’est une question qu’on vous a sans doute maintes fois posée. Maintenant que je suis à la retraite, je ne l’entends heureusement plus. Je répondais souvent « Oui », cela réglait la question et permettait de passer à autre chose. Rares sont les personnes à qui j’expliquais en détail que j’avais pris une position assez simple sur le sujet.

Ça fera quarante ans cette année que j’ai décidé que les cadeaux entre adultes étaient un prétexte à gaspillage énorme d’énergie, de matière et de temps. À l’automne mil-neuf-cent-quatre-vingt-trois, j’ai fait savoir à mes proches que je ne voulais recevoir aucun cadeau et que je n’en ferais aucun, sauf bien sûr aux enfants.

Mon conseil aux adultes était de garder leurs sous pour se faire à eux-mêmes un cadeau qui leur plairait vraiment et qu’iels ne songeraient pas à retourner au magasin dès le lendemain de Noël.

On me regardait en souriant d’un air condescendant et on m’achetait quand même un cadeau. On était ensuite fort insulté que, fidèle à moi-même, j’avais fait ce que j’avais dit.

Certes, dans les milieux de travail, quand il y avait un tirage pour savoir qui donnerait un cadeau à qui, je m’y pliais de bonne grâce. Par ailleurs, je ne me suis jamais privé de faire des cadeaux en des moments imprévus quand le goût m’en prenait, mais voilà ça n’a jamais été systématique ni obligatoire. Toutefois, j’ai respecté l’usage de donner des cadeaux aux marié·e·s dont j’avais accepté l’invitation.

Pendant longtemps, lorsque j’étais célibataire, je me faisais mon cadeau de Noël, sans négliger les enfants naturellement. Depuis que j’ai un amoureux, nous nous faisons l’un à l’autre des cadeaux un peu n’importe quand sans raison spéciale et donc sans aucune obligation liée à des dates. Nous avons d’ailleurs une préférence pour les cadeaux qui ne peuvent pas se perdre, se briser ou être volés : un bref séjour dans une auberge, une bonne bouteille consommée le jour même, un plat spécial concocté avec des victuailles fraîches, un spectacle vu ensemble, etc.

Comme il se doit, nous prenons prétexte de toutes les fêtes du calendrier chrétien, celui dans lequel nous sommes tombés quand nous étions petits, pour faire bonne chère. La veille de Noël n’y fait pas exception, mais nous sommes libérés de l’aspect obligatoire de la chose. Et si on oublie une fête du calendrier, on ne s’en porte pas plus mal.

Les petites attentions offertes parfois entre ami·e·s quand on se rencontre sont les cadeaux les plus précieux : un linge à vaisselle avec un message sympa, un petit ustensile qui sert à égoutter les boîtes de conserve, une carte artistique, des bonbons et que dire de ces adorables amis qui nous ont fait parvenir des chips au poulet, dont nous raffolons !

J’ai l’air de vous juger comme ça, mais sachez que je respecte votre choix de faire des cadeaux à tout le monde. J’ai juste pris une décision qui me paraissait cohérente avec ma façon de vivre : la simplicité guillerette.

Passez une très belle période des Fêtes et célébrez joyeusement le Solstice !

Au dieu Soleil, trinquons gaiement !

Francis Lagacé

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jeudi 28 décembre 2023

Non, je n’ai pas de V.U.S

 

Voici un texte que j’avais écrit et que j’ai retrouvé et que je partage avec vous

Non, je n’ai pas de V.U.S


Par Sergio de Rosemont

Non, je n’ai pas de V.U.S, je me déplace avec ma canne.

Non, je n’ai pas de V.U.S, mais j’ai tout de même ma dignité.

Non, je n’ai pas de V.U.S, mais je marche tout de même la tête haute.

Non, je n’ai pas de V.U.S, mais j’en ai rien à faire de ton mépris hypocrite.

Si tu crois que d’avoir un V.U.S et d’être d’un niveau de vie un peu plus élevé que les autres t’autorise à être condescendante envers les autres.

Désolé mais par ton aptitude, si tu penses démontrer aux autres que tu te crois supérieur aux autres, désolé mais à mes yeux tu m’as démontré le contraire.

Car vois-tu si t’aurais été supérieur aux autres que ce soit côté morale ou mentale, tu ne serais pas condescendant envers les autres car tu aurais compris que les autres sont tes égaux !

lundi 18 décembre 2023

Il y a des personnes à qui je ne parle plus

 

Voici un texte que j’avais écrit et que j’ai retrouvé, que je partage avec vous

Il y a des personnes à qui je ne parle plus


Par Sergio de Rosemont

Il y a des personnes à qui je ne parle plus.

Pourquoi ?

Par ce que ces personnes m’ont servi cette "Coupe du Mépris".

Et je sais que si je leur adresse la parole, que je pourrais être très corrosif pour eux.

Dans ma colère je serais capable d’avoir une parole pouvant sévèrement les atteindre moralement.

Alors question d’éviter de les démolir moralement, je préfère les ignorer.

Les mépriseurs me donnent le dégout.

Ces "Vipères Mielleuses", je n’ai pas de temps à perdre avec !

Je préfère mettre mon énergie et mon temps à progresser et à faire avancer mes projets plutôt qu’argumenter avec ces "Vipères Mielleuses".

Ces personnes qui vous servent cette "Coupe du Mépris" lorsque vous leur offrez l’amitié.

Ces vipères qui prennent plaisir à vous enfoncer la dague dans le dos, dans l’âme.

Ce n’est pas avec de telles vipères qu’on fait progresser les choses !

dimanche 17 décembre 2023

La complémentation

 

Mon plus récent tableau en 3D

La complémentation


Par Sergio de Rosemont

La complémentation c’est quand on a devant soi quelqu’un qui nous est différent.

C’est avant de considérer cette personne comme un ou une adversaire, la voir comme une personne qui pourrait être notre complémentaire.

Si cette personne est différente de nous, peut-être que ses points forts ne sont pas les mêmes que nous ?

Et si nos points forts seraient là où cette personne a ses points faibles et que ses points forts seraient là où sont nos points faibles ?

Alors nous et cette personne qui nous est différente, nous pourrions nous compléter que ce soit dans un travail, un projet pour faire progresser cette société.

Donc lorsqu’on a devant soi une personne qui nous est différente, avant de laisser libre court à notre xénophobie, islamophobie, queerphobie, misogynie ou autre, prenons donc le temps d’avoir un esprit ouvert et de prendre le temps de connaître cette personne et de chercher à reconnaître ses valeurs et ses bons côtés.

mercredi 13 décembre 2023

Le macrolepénisme à l’œuvre

 

Laissons Francis nous parler de Macron

Le macrolepénisme à l’œuvre


11 décembre 2023

Le gens qui se moquaient de nous en 2016 quand on leur disait que le macronisme n’était que l’antichambre du lepénisme devraient peut-être réviser leur position s’ils sont capables de faire face à la réalité plutôt que de se réfugier dans le déni.

À voir les politiques anti-immigration et anti-musulmanes que les ministres droitistes du gouvernement implantent, on ne peut que constater que le macronisme est devenu une succursale du lepénisme.

Et le président le plus blablateur et le plus incohérent de l’histoire française ne fait absolument rien pour arranger les choses, s’empressant de témoigner sa sympathie pour les plus vils racistes (Zemmour par exemple) tout en négligeant les élus insoumis qui subissent des menaces de mort et dont les locaux sont victimes d’attaques. Le psittaciste rêveur, enivré par les boniments que l’oligarchie lui a racontés pour qu’il serve de marionnette au turbocapitalisme, se contente maintenant de se promouvoir en dictateur à vie.

Et ça marche main dans la main avec le RN et Reconquête en s’imaginant combattre l’antisémitisme. Ils ne font pourtant que conforter l’islamophobie. Mais les nazillons que le ministre de l’Intérieur regarde complaisamment défiler dans Paris ne s’arrêteront pas après avoir liquidé les « bougnoules » comme ils se permettent sans vergogne de le dire. Ils s’en prendront ensuite aux Juifs. Comme si on ne comprenait pas que l’énumération du pasteur Niemöller pouvait aussi fonctionner dans un autre ordre ou avec d’autres sujets.

Ils peuvent commencer par venir chercher les syndicalistes, puis les vrais politiques de gauche, puis les Musulmans, puis les Juifs. Et quand ils viendront vous chercher, vous, il n’y aura plus personne pour prendre votre défense.

Personne n’est pour le Hamas, mais ce n’est pas être antisémite que de demander un peu d’humanité au gouvernement israélien qui se livre à une guerre criminelle contre la population civile de Gaza. Et ce n’est surtout pas être antisémite que de refuser de marcher avec des anciens nazis au fallacieux prétexte de combattre l’antisémitisme.

La lynchage médiatique dont est victime Jean-Luc Mélenchon avec la complicité des élus de l’arc droitiste (RN, ReNuisance, LR, autres vallsistes et hollandistes) est l’illustration flagrante de la dérive fascistoïde de l’hégémonie politico-médiatique. Rappelons que même les médias publics français (France Inter et France Info pour la radio, France TV pour le petit écran) sont devenus depuis assez longtemps des chiens de garde du pouvoir néolibéral très disposés à trouver du charme au lepénisme quand ça leur permet de cracher sur la seule gauche qui vaille, c’est-à-dire LFI. Pour ce pouvoir et ses porte-voix médiatiques, comme cette Ruth Elkrief, qui déforme les faits à son avantage dans ses réquisitoires anti-LFI, si on n’est pas islamophobe, on est antisémite.

Mélenchon est, de tous les personnages politiques français, l’un des plus cohérents et des plus rigoureux. Son engagement à la fois contre l’antisémitisme et l’islamophobie est constant. Mais, la meute hégémonique confond le gouvernement d’Israël avec Israël, confond Israël avec les Juifs, confond les sionistes avec les Juifs, confond la défense contre le terrorisme avec l’annihilation d’une population, et confond finalement la critique de l’excès avec l’excès de la critique.

Malheureusement, la population canadienne n’est pas équipée pour comprendre ce qui se passe en France. Entendre par exemple, à l’émission de notre radio publique Pénélope du 1er décembre 2023, Tristane Banon débiter des mensonges et des âneries sur LFI, sur ses représentants comme Manuel Bompard et Jean-Luc Mélenchon, sans qu’il ne se trouve personne pour la rappeler à l’ordre est horriblement frustrant.

On a longtemps eu Jean-François Kahn qui mentait impunément à l’émission de Le Bigot diffusée autrefois le samedi matin, car il ne semble y avoir personne à Radio-Canada qui connaisse suffisamment la réalité politique pour corriger les biais macronistes systématiques des infos qui nous proviennent de l’Hexagone.

Le rapport du macronisme avec le lepénisme est celui de l’unijambiste avec sa béquille. Il la maudit, il jure contre elle, mais il la cherche, ne marche que grâce à elle, et la chérit finalement.

La nouvelle hégémonie politique française est donc le macrolepénisme auquel ont malheureusement adhéré tous ces fauxsialistes néolibéraux que sont les Valls, Hollande, Cazeneuve, Delga, etc., tant il est vrai que le capitalisme trouve toujours le moyen de s’accommoder avec le fascisme en marche.

L’Histoire boîtillante trébuchera-t-elle encore ?

Francis Lagacé

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mardi 12 décembre 2023

Parfois on créé soi-même

 

Ma réflexion que je partage avec vous :

Parfois on créé soi-même


Par Sergio de Rosemont

Parfois on créé soi-même des murs.

Et parfois on créé des ponts.

Parfois on créé sans s’en rendre compte.

Mais on peut aussi si on le désir créer consciemment des murs, des ponts.

Parfois on créé des chemins sinueux pour soi ou pour les autres sans s’en rendre compte.

Et parfois on créé des chemins faciles d’accès pour soi et pour les autres sans s’en rendre compte.

Par contre on peut consciemment si on le désir créer des chemins sinueux ou d’excellents chemins pour soi ou pour les autres.

Parfois les gens semblent ne pas avoir conscience de ce que l’on peut construire que ce soit consciemment ou inconsciemment.

Le pouvoir de l’esprit, de notre volonté !

lundi 11 décembre 2023

Il arrive parfois

 

Mon plus récent poème.

Il arrive parfois


Par Sergio de Rosemont

Il arrive parfois que des événements de la vie fassent en sorte que "Notre Château" se fasse détruire.

La destruction de "Notre Château" dans l’âme et dans le cœur.

Ce château que nous avions construit avec des espoirs, des rêves et des projets.

Un coup de dague dans l’âme qui frappe comme un fulgurant éclair de la foudre sur "Notre Château" dans l’âme et le cœur.

Et des fois, parfois, souvent, lorsque "Notre Château" se retrouve en ruines, des souvenirs qui nous étaient agréables, nous deviennent douloureux.

Et quand notre âme a été détruite avec "Notre Château", alors la seule chose à faire tel un phénix est de renaître de nos cendres morales et de reconstruire "Notre Château" avec et sur ses ruines afin d’y accueillir une nouvelle "Elfe".

Et oui un château totalement détruit ce se reconstruit !

Une âme et un cœur morts peuvent tel un phénix renaître de leurs cendres.

Oui mon âme et mon cœur patientent car ils ressentent qu’une nouvelle "Elfe" croisera mon chemin.

Je le ressens que ce moment magique viendra.

Et oui dans mon âme et dans mon cœur, je suis aussi comme un phénix, car lorsqu’on croit m’avoir tué, détruit moralement, je renais de mes cendres morales et émotionnelles.

Et quand on renait, on renait plus fort !

dimanche 10 décembre 2023

Le Chêne la force de la nature

 

Mon plus récent tableau en 3D

Le Chêne la force de la nature


Par Sergio de Rosemont

Avec une feuille de chêne véritable intégrée au tableau.

Ce tableau est comme un hommage, un respect envers cette nature de ma part.

Cette nature que nous ne respectons pas assez !

Photo du 7 décembre 2023

jeudi 7 décembre 2023

Tête de dragon

 

Ma plus récente création en 3D

Tête de dragon


Par Sergio de Rosemont

Ma plus récente création en 3D fait à partir d'une ancienne poignée d'une canne et d'une ancienne rondelle de bois.

Donc oui c'est un oeuvre fait à partir de recyclage donc écologique.

J'y ai rajouté une pierre de quart et 2 pierres d'améthyste.

Le dragon qui représente les forces cachées de la nature.

Photos du 06 décembre 2023

lundi 4 décembre 2023

Cette neige tombe sur Montréal

 


Ma poésie politique

Cette neige tombe sur Montréal


Par Sergio de Rosemont

Voilà je suis dimanche le 3 décembre 2023 et cette neige tombe sur Montréal.

Si cette neige pouvait au moins recouvrir et geler nos douleurs.

Si cette neige pouvait au moins recouvrir et geler l’arrogance et l’indécence de plusieurs de nos politiciens.

Si cette neige pouvait au moins recouvrir et geler la servitude de plusieurs politiciens auprès de ces "Rois Bâtards de la Finance" afin qu’ils ouvrent leurs yeux et leur âme afin de commencer à comprendre que la "Priorité des Priorités" c’est le "Peuple" qui est au prise avec une "Crise du Logement" provocant des cas d’itinérance.

Ce peuple qui est aussi au prise avec une "Crise de son Système de Santé" provoquée par des partis néolibéraux préférant massacrer notre système de santé simplement pour permettre au privé de s’y infiltrer afin d’en retirer le plus de profit possible.

Si cette neige pouvait au moins recouvrir et geler l’incompétence de ce premier ministre qui préfère investir 7 Million$ afin qu’une équipe de hockey professionnelle constituée de joueurs milliardaires viennent jouer 2 parties au Centre Vidéotron afin de faire plaisir à PKP au lieu d’investir afin d’améliorer les conditions de travail des enseignant.e.s dans notre système d’éducation.

Si cette neige pouvait au moins recouvrir et geler cette illusion que plusieurs citoyen.ne.s entretiennent envers ces partis néolibéraux afin qu’ils cessent de voter pour ces partis qui ne cessent de trahir le peuple.

Si cette neige pouvait au moins recouvrir et geler ce machiste arrogant de plusieurs politiciens afin qu’ils prennent enfin conscience de cette violence infligée à des centaines de femmes de notre société, et qu’ils prennent aussi conscience de ce fléau de féminicides en hausse.

Si cette neige pouvait au moins recouvrir et geler ce racisme de ces nationaleux identitaires qui cancérise notre société.

Si cette neige pourrait faire toutes ces choses, alors là je pourrais aimer la neige et l’hiver !

samedi 2 décembre 2023

Le Coeur de Gaïa

 

Mon plus récent tableau

Le Coeur de Gaïa


Par Sergio de Rosemont

"Gaïa", notre "Mère Nature" est en très mauvaise état de ce temps-ci.

Comme "Gaïa" aimerait que l'on prenne soin d'elle.

N'oublions pas si "Gaïa", nous aussi nous trépasserons !

Photo du 1er décembre 2023.

dimanche 26 novembre 2023

Sa réalité


Mon plus récent tableau et 3 D

Sa réalité


Par Sergio de Rosemont

Iel désire se détacher de sa réalité.

Mais Iel est rattaché par cette réalité qui l'enchaîne à elle !

Cette chaîne de l'existence et des événements de la vie.

Photos du 24 novembre 2023

vendredi 24 novembre 2023

Noël ! Noël ! Joyeux Noël à tous, Vraiment ?

 

Voici l’une de mes réflexions que je partage avec vous :

Noël ! Noël ! Joyeux Noël à tous, Vraiment ?


Par Sergio de Rosemont

Je suis assis devant mon thé, dans ce café sur la rue Masson.

Et à cette approche de ce "Temps des Fêtes", je réfléchis.

Et je réfléchis !

Et je réfléchis sur 2 réalités totalement différentes.

La réalité d’ici au Québec versus celle de la Palestine où pour les palestiniens la vie de chaque jour équivaut à "Survivre en Enfer" où les démons ont remplacé leur fourche par le "Uzi Pistol Model B" (pistolet automatique israélien) assassin et le souffre par le phosphore blanc.

Pendant qu’ici on se demande comment on décora notre maison pour Noël, en Palestine, à Gaza une famille palestinienne se demande où réussiront-ils à se trouver un toit à se mettre sur leur tête.

Pendant qu’ici on se demande qu’est-ce qu’on servira au invités pour le réveillon, à Gaza une famille palestinienne se demande s’ils pourront manger au moins un repas cette semaine ?

Pendant qu’ici on se questionne sur quoi leur acheter comme cadeaux, à Gaza plusieurs gazaouis se demande, s’interrogent si leur famille sera encore en vie demain matin ou si elle aura été assassinée.

Pendant qu’ici au Québec on se demande quels jouets acheter pour Noël pour les enfants, à Gaza des parents craignent pour la vie de leurs enfants.

Pendant qu’ici qu’on se demande avec qui nous passerons Noël, à Gaza autour de 2 Millions de palestiniens se demandent s’ils seront encore vivant à la fin de la semaine ou auront été assassinées.

Pendant qu’à Tel Aviv ce gouvernement d’extrême-droite israélien se félicite pour sa barbarie, partout sur notre planète, des millions de juifs ne reconnaissent pas l’État d’Israël comme représentant de leur peuple.

Israël, un envahisseur colonisateur, voleur de territoire, agresseur qui prétend se défendre.

Trop souvent on perçoit sur les médias la question :

{ Est-ce qu’Israël a le droit de se défendre ? }

Non, la question devrait être

{ Est-ce que le peuple palestinien a le droit de se défendre contre un envahisseur ? }

Oui hélas, il y a bien des questions à se poser sur l’honnêteté d’Israël !

mardi 21 novembre 2023

Du respect pour le vivant ! S.V.P. !

 

Mon plus récent tableau

Du respect pour le vivant ! S.V.P. !


Par Sergio de Rosemont

Sur la 2ème photos les flèches en rouge indiquent des porte-clefs contenant à l'intérieur de réels bébés animaux.

Les 2 flèches du haut indiquent des porte-clefs contenant à l'intérieur de réels bébés scorpions.

La flèche du bas indique un porte-clef contenant un bébé crabe.

Et oui pour ces modèles de porte-clefs qu'on vent aux touristes, ce sont des vrais bébés animaux qu'on tu pour ensuite les insérer dans des moules pour ensuite y couler de l'époxy.

Et la plume au bas du coeur est une plume de poule question de rappeler la cruauté imposée aux volailles dans l'industrie.

Photos du 19 novembre 2023.


lundi 20 novembre 2023

Les patates du marin

 

Laissons la parole à Francis

Les patates du marin


20 novembre 2023

C’était l’été mille-neuf-cent-soixante-dix-huit. Je venais d’acheter la nouvelle édition de la fameuse Flore laurentienne du bien-aimé frère Marie-Victorin. Alain, un copain du cégep, m’avait invité à passer l’été chez lui dans son petit village de Saint-Paul-du-Calvaire. J’étais content de renouer avec un patelin rural. C’était dans le du Bas-du-Fleuve, à la fois semblable et très différent d’où j’avais grandi dans les Laurentides. Je travaillerais à la scierie de son père selon les besoins, deux ou trois après-midis par semaine, en échange du gîte et du couvert. Lui y travaillerait tous les jours, mais on aurait les soirs pour jaser, jouer de la guitare et se balader alentour dans la volkswagen de son frère parti pour l’armée. Amplement de temps pour herboriser.

L’herbier se constituait patiemment. Les notes s’accumulaient. J’aurais de l’avance sur tout le monde dans mon cours de botanique du trimestre d’automne. Ma relation quotidienne, sauf journée pleureuse, avec les frères Marie-Victorin et Alexandre par notices et dessins interposés, me remplissait d’une sorte de joie mystique, car il y a du recueillement dans l’acte de récolter délicatement une plante. Je profitais aussi d’une visite tout aussi journalière chez Yvan, un bonhomme de cinquante ans, dont la vieille maison était située à un kilomètre du domicile des parents d’Alain. C’est lui qui me l’avait présenté.

Yvan fut marin. Sa jambe gauche était paralysée depuis un accident mille fois raconté. Pour le plus grand plaisir de nos oreilles et de mon imagination allumée, mille autres histoires peuplaient sa mémoire généreuse. Alors, je me présentais tous les matins vers dix heures, juste après qu’il mettait ses patates à chauffer, pour accomplir le rituel où trônait sa chute en introit, le récit de mon herborisation de la veille en kyrie (le lendemain de pluie, le kyrie était lapidaire), puis une nouvelle aventure en gloria. On passait par-dessus l’offertoire et le sanctus. Une tasse de thé nous servait d’agnus dei. C’était en fait son apéro me disait-il pour le dîner, car je le quittais à midi pile, un « salut bonhomme ! » réciproque en guise d’ite missa est, pour aller rejoindre les Ouellet, lesquels dînaient bien tard aux dires des autres villageois.

Le gros nez bleu d’Yvan souriait, mais sa bouche n’était pas d’accord. Elle prétendait que l’alcool lui était inconnu. À onze heures moins dix, mon marin préféré avait son excuse habituelle : « Il faut que j’aille faire un coup de ménage dans la cave. » Il en revenait à onze heures avec les yeux mouillés et brillants de celui qu’une bonne « shotte de bagosse », l’alcool artisanal bas-laurentien, avait émoustillé. Et la messe continuait.

Je ne doutais pas que le « coup de ménage » était aussi nécessaire l’après-midi, et je savais que c’était également le cas le soir puisqu’Alain et moi le voyions quand nous allions une ou deux fois par semaine siroter la bière que nous apportions et qu’il ne touchait pas en regardant la télé avec lui. Neuf heures moins dix était le moment inébranlable. Le retour à neuf heures avec un regain d’œil pétillant. J’avais calculé que quatre heures moins dix devaient être le signal pour l’après-midi, mais je n’ai jamais osé m’imposer sur les lieux pour vérifier.

Un jour, pendant mes dix minutes d’examen de conscience statutaires, je remarquai qu’Yvan n’avait pas mis assez d’eau dans sa casserole et que ses patates brûleraient si on les laissait ainsi. C’était inhabituel. J’ajoutai donc ce qu’il fallait pour qu’elles soient comme il faut.

Le jour suivant, puis tous les autres, le même défaut de liquide se perpétua. Il devint alors compris dans mon rituel de bénir les tubercules pendant qu’Yvan devançait sa communion sous une espèce.

Puis vint la deuxième partie du mois d’août. Alain et moi regagnerions la grande ville et nos colocs respectifs. Mon herbier engrossa démesurément mon bagage. Je dis adieu aux Ouellet, que j’embrassai avec tendresse tant le père que la mère, ce qui choqua Adèle, la grande sœur d’Alain. J’allai aussi embrasser Yvan, qui ne se déroba pas à mon affection. Ses yeux étaient mouillés avant même qu’il ait pu faire son coup de ménage matinal dans la cave.

À l’Action de Grâces, Alain insista pour que je passe le week-end dans sa famille. Je crois que ma grande affection fraternelle pour lui s’était parée d’atours plus romantiques dans son cœur. J’avais appris à donner des bises amicales, ce n’était pas le cas dans sa famille. Je l’avais induit en erreur malgré moi. Une nouvelle différente aurait pu s’étendre sur ce sujet.

Nous nous fîmes un devoir d’aller discuter avec Yvan le dimanche pendant que le reste de la famille était à l’église. Je jetai un œil à la casserole, et le manque d’eau se répétait. J’en ajoutai en expliquant à Alain mon manège de l’été. Yvan avait du lièvre au four et voulut absolument nous garder à dîner alors que jamais, de toute la saison estivale, il ne m’avait invité.

— Tiens, mes patates ont pas brûlé aujourd’hui. Vous me portez bonheur, les garçons !

— J’avais oublié de te dire, Yvan. Je rajoutais un peu d’eau chaque fois que tu descendais faire ton « coup de ménage » dans la cave.

— Ben, non, voyons donc. J’ai toujours mis la même quantité d’eau. Ça s’est mis à brûler un moment donné, puis aujourd’hui le mauvais sort est passé.

La superstition des patates a été la seule qu’on lui ait connue. Yvan est mort en descendant faire son « dernier coup de ménage » dans la cave après avoir continué à manger des patates brûlées pendant des années malgré les remontrances d’Alain, qui vit aujourd’hui avec un beau et charmant Sébastien alors que, moi, je suis solitaire depuis qu’Annie s’est éloignée, rendue jalouse par mon herbier.

NDLA : Cette nouvelle fait partie du recueil N’allez jamais à Montréal paru en décembre 2021.

Francis Lagacé

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On entre bientôt dans le "Temps des Fêtes"

 


Voici ma réflexion que je partage avec vous à l’approche du "Temps des Fêtes"

On entre bientôt dans le "Temps des Fêtes"


Par Sergio de Rosemont

On entre bientôt dans le "Temps des Fêtes" mais est-ce réellement un temps de festivité pour tous ?

Je ne crois pas.

Oui pour la plupart ce sera la période des retrouvailles familiales, des gros repas, des échanges de cadeaux.

Le temps de ces décorations et surtout de cette musique assommante du "Temps des Fêtes".

Mais pour plusieurs marginalisés par notre si magnifique société, cette période est comme un enfer.

Vous êtes-vous déjà demandé comment cette musique de Noël peut-être ressentie par ces personnes marginalisées ?

Elles leur rappel qu’elles sont des mis au banc de notre si magnifique société.

D’après-vous cette mère de famille monoparentale qui s’abrite avec son enfant dans un refuge pour femmes violentées peut ressentir cette musique de Noël ?

D’après vous cette personne qui se retrouve en situation d’itinérance suite à une éviction peut ressentir cette musique de Noël ?

Et toujours d’après vous cette personne en situation d’itinérance quêtant devant un commerce question de pouvoir se payer un café afin de se réchauffer peut ressentir cette musique de Noël ?

Encore d’après vous cette personne refugiée politique vivant dans notre si magnifique société loin des siens dans un autre pays et devant ici au Québec affronter le racisme à tous les jours peut ressentir cette musique de Noël ?

Et d’après vous cette personne aînée délaissée par sa famille, vivant l’isolement et ne mangeant pas tous les jours à sa faim peut ressentir cette musique de Noël ?

Et encore d’après vous cette personne visitant un être cher sur son lit de mort aux soins palliatifs peut ressentir cette musique de Noël ?

Oui pour plusieurs personnes laissées pour compte par notre si magnifique société, cette période du "Temps des Fêtes" peut en être douloureuse moralement.

Personnellement, cette musique et ces décorations de cette période me rappellent des souvenirs désagréables de ma jeunesse, de mon passé !

dimanche 19 novembre 2023

Le cœur

 

Voici ma pensée que je partage avec vous :

Le cœur


Par Sergio de Rosemont

Parfois le cœur peut être heureux.

Parfois le cœur peut être malheureux.

Le cœur peut-être doux et gentil.

Le cœur peut-être Rebel.

Le cœur peut aimer comme il peut haïr.

Le cœur peut construire comme il peut détruire.

Un cœur peut rire comme il peut pleurer.

Il peut faire la pluie ou le beau temps, tout dépendant comment il se sent.

Le cœur est rattaché à l’âme.

Ce cœur a tendance à retourner aux autres ce qu’on lui envoi mais multiplié par 10.

Si vous lui servez la "Coupe du Respect", alors vous recevrez ce même respect mais multiplié par 10.

Par contre si vous lui servez la "Coupe du Mépris" alors là …… !

N’oubliez pas quand vous vous adressez à un individu que son cœur est rattaché à son âme et que c’est lui qui ressent la coupe que vous lui servez, donc tout dépendant si vous lui servez la "Coupe du Respect" ou la "Coupe du Mépris" alors le cœur réagira en conséquence.

mardi 14 novembre 2023

Une pensée pour toi Daniel

 

Au revoir mon ami.

Une pensée pour toi Daniel


Par Sergio de Rosemont

Je suis assis prenant un thé dans ce café au coin de la 2ème Ave et de la rue Masson là où il nous est arrivé de nous rencontrer pour discuter.

Nous parlions de musique Punk et Metal.

Mais nous parlions aussi et surtout de véganisme et de protection des animaux et de leurs droits.

Samedi soir j’ai appris la nouvelle de ton décès en navigant sur Facebook.

La nouvelle a été pour moi comme un coup de masse reçu en peine face.

Oui la nouvelle m’est encore lourde sur le cœur, toi que je croisais souvent sur cette rue Masson où nous prenions le temps de discuter.

Dorénavant lorsque je croiserais un animal, je ne pourrais pas faire autrement que d’Avoir une pensée pour toi mon ami.

Merci Daniel, je te dois beaucoup, tu aimais prendre le temps d’écouter les gens et c’est toi qui m’as aidé dans mon cheminement vers le véganisme.

Daniel t’étais un grand militant et t’as tellement fait pour les animaux.

Au revoir mon ami.

dimanche 12 novembre 2023

Une discussion avec soi-même

 

Ma réflexion que je partage avec vous.

Une discussion avec soi-même


Par Sergio de Rosemont

Une discussion avec soi-même.

Prendre le temps de se retrouver avec soi-même.

Prendre le temps de réfléchir, de discuter avec soi-même sur ce qui nous rend heureux et sur ce qui nous fait mal.

Réfléchir sur le positif, les chances et les occasions que le destin met sur notre chemin.

Oui parfois la solitude peut nous être douloureuse, par contre quand on apprend à l’apprivoiser, elle peut nous permettre de dialoguer avec soi-même et voir comment on peut améliorer des situations et faire progresser nos projets.

Et oui on peut même profiter de la solitude pour dialoguer avec soi-même afin de voir comment sortir de cette solitude.

Oui parfois la solitude peut en être paradoxale, on peut se situer dans un endroit public et le ressentir.

La solitude peut permettre la réflexion afin de trouver son âme sœur, sa véritable âme sœur.

Le problème avec la solitude c’est qu’Il faut apprendre à l’apprivoiser.

mardi 7 novembre 2023

Lennon, le grand absent de Now and Then

 

Laissons Francis nous parler de la Beatlemania

Lennon, le grand absent de Now and Then


6 novembre 2023

La dernière vaguelette de la Beatlemania a frappé la planète musique les jeudi 2 novembre et vendredi 3 novembre 2023. On a annoncé la nouvelle chanson avec tambours et trompettes et on s’est livré à un striptease commercialement efficace. Dans un premier temps, on dévoile une vidéo sur la confection de la chanson. Le jeudi on sort la chanson en audio, puis le vendredi on publie la vidéo.

On a fait grand cas de l’intervention de l’intelligence artificielle dans l’affaire. Il s’agit surtout d’une technique améliorée de séparation des sons qui a permis d’extraire la voix de Lennon du magma sonore où elle se trouvait. À quand le papier de toilette intelligent ?

Le problème, c’est qu’en dépouillant la voix de tout son environnement, on dirait qu’on a aussi complètement éviscéré l’entité qui la portait. Cette voix blanche et sans émotion donne l’impression que l’âme du poète (comme aurait dit le vieux Charles) s’est envolée avec les scories qui l’encombraient. Une voix fantomatique qui, plaquée à une musique d’une traînante mélancolie, évoque les soupirs désâmés d’un zombie.

Moi, le fan fini du Beatle à lunettes, je ne retrouve pas cette énergie que John mettait même dans ses chansons les plus mielleuses (par exemple Love [Plastic Ono Band], Oh My Love [Imagine] ou One Day at a Time [Mind Games]). Pareillement, dans ses pièces les plus démoralisées (comme My Mummy’s Dead [Plastic Ono Band], How ? [Imagine], Aisumasen [Mind Games] ou bien Forgive Me, My Little Flower Princess [Milk and Honey]), il y avait un mordant sans rapport avec la voix asthénique et dénuée de toute énergie vitale qu’on entend dans Now and Then.

À l’écoute de la pièce, on perçoit aussi une grande incomplétude dans la matière textuelle et musicale. Sir Paul n’a pas réussi à combler les vides que John avait laissés, raison évidente pour laquelle Lennon ne l’avait pas reprise sur Double Fantasy et pourquoi George s’était opposé à ce qu’on l’insère dans les fameuses Anthologies.

D’ailleurs, ici, la contribution de George est réduite à la portion congrue avec un solo joué en slide sur la guitare miaulante du bon Harrison, mais par Sir Paul.

Si l’opus se laisse fredonner et charme par sa douceur, le ton est beaucoup trop nostalgique et aurait davantage convenu au portfolio des Moody Blues.

Même l’enthousiasme de commande de Sean, le fils de John, qu’on entend dans le making of de la chanson mais qu’on ne voit pas vraiment, ne réussit pas à nous convaincre.

Toutefois, la vidéo de la chanson est pas mal mieux que les deux précédentes. La vidéo de Free As a Bird était franchement moche et peu imaginative. Celle de Real Love était un peu plus artistique avec ses instruments qui volaient dans les airs. Celle de Now and Then a le mérite d’être sympathique. L’insertion des comparses décédés qui font des tatas pour le public dans la prestation d’aujourd’hui à partir des images d’époque est joyeuse, contrairement à la démoralisante mélancolie de la chanson.

Bien que George ne soit là que par allusion et que John soit le pré-texte au sens propre de la pièce, c’est bien ce dernier, le regretté Lennon, le grand absent de cette œuvre, ce qui rend encore plus cruelle l’utilisation de ses propres paroles : « I want you to be there for me ». Le primesautier John a été complètement évacué par la magie de la technologie qui n’a pas encore appris à simuler l’âme. Ça viendra sûrement, et très vite sans doute, mais pas cette fois-ci.

J’achèterai la pièce pour l’inclure dans la liste Beatles de mon Ipad. Ça reste quand même la dernière offrande des Fab Four et ça n’écorche pas les oreilles, même si c’est plutôt déprimant. Mais, je me permets de souhaiter que ce soit vraiment, mais vraiment la dernière : toute bonne chose a une fin et à trop vouloir étirer la sauce, on la gâte.

Francis Lagacé

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SITE DE FRANCIS LAGACÉ

Je suis dans une pizzéria et

 


Texte écrit le 4 novembre 2023

Je suis dans une pizzéria et


Par Sergio de Rosemont

Je suis dans une pizzéria et à la TV ,… Le massacre israélien en Palestine !

Pendant qu’ici on peut se permettre de choisir dans quel restaurant nous irons prendre un repas, là-bas en Palestine, pour les palestiniens la question n’est pas de savoir dans quel restaurant ils iront manger.

La question qu’ils ont est de savoir si demain matin s’ils seront encore vivants ou s’ils seront assassinés !

Demain matin, est-ce que ma famille sera toujours là ou sera-t-elle assassinée ?

Et dire que nos gouvernements se refusent de réclamer un "Cessez le Feu".

Gaza est un "Opéra de la Barbarie" où ces militaires israéliens sont ces démons ayant remplacé leur fourche par le "Uzi Pistol Model B" (pistolet automatique israélien) assassin.

Des démons qui au lieu d’utiliser du souffre, préfère l’usage du phosphore blanc qui fait fondre votre chaire et vos os.

On vole les terres, les villes et les maisons du peuple palestinien.

On assassine les palestiniens.

Et toute cette barbarie sous l’excuse que "Dieu" leur aurait promis ces terres et que cela les autoriserait à toutes cette barbarie.

Et que cette "Nation Israélienne" construite sur les terres volées par le sang au peuple palestinien serait une nation dite sacrée, religieuse.

Premier problème technique : La décision du gouvernement d’Israël de faire d’Israël une nation dite religieuse est un blasphème envers leur religion le "Judaïsme"

ainsi qu’envers la Torah (Ancien Testament pour les chrétiens) leur livre sacré, où Jéhovah (Dieu) interdit au peuple juif (hébreu) de posséder leur propre pays.

Donc le fait de déclarer Israël comme étant le "Pays des Juifs" et que cette nation ait une valeur religieuse serait un sacrilège envers Jéhovah et leur religion le Judaïsme.

Deuxième problème technique : Les véritables descendants du peuple juif (hébreux) donc il est question dans la Torah (Ancien Testament) sont les palestiniens eux-mêmes !

Et oui lors de la destruction du temple de Jérusalem par les légionnaires romains, menés par Titus, contrairement à ce que plusieurs croient, la majorité des juifs (hébreux) de cette époque sont demeuré en Palestine.

Ce qui avait brouillé les cartes faisant croire que la majorité des juifs (hébreux) avaient quitté la Palestine c’est qu’une grande partie d’eux s’étaient convertis au Christianisme pour plus tard se convertir à l’Islam.

Oui les palestiniens sont bien les véritables descendants du peuple juif (Hébreux) donc il est question dans la Torah (Ancien Testament).

Donc la Palestine appartient aux palestiniens !

Je vous laisse et je vais tenter de finir mon repas malgré ces nouvelles venant de la Palestine, toute cette barbarie israélienne qui ne coupe l’appétit !

vendredi 27 octobre 2023

Parlons de la circonscription de Rosemont

 

Saviez-vous que la circonscription de Rosemont est menacée ?

Parlons de la circonscription de Rosemont


Par Sergio de Rosemont

Saviez-vous que la circonscription de Rosemont risque d’être défigurer d’une façon majeure ?

Et la menace vient du Directeur général des élections du Québec.

Imaginez que d’après la proposition du bureau du Directeur général des élections du Québec que la circonscription de Rosemont commencerait à Pie IX pour s’étendre plus à l’Est et se nommerait Rosemont-Louis-Riel.

Imaginez le Vieux-Rosemont qui est le lieu de naissance du quartier Rosemont qui ne serait plus dans la circonscription de Rosemont.

Le Vieux-Rosemont qui est l’âme et le cœur de Rosemont ne serait plus dans la circonscription de Rosemont.

Les centres Gabrielle et Marcel Lapalme et Petite-Côte qui sont les poumons du communautaire de Rosemont qui ne seraient plus dans la circonscription de Rosemont.

Et n’oublions pas le secteur des shop Angus qui sont le berceau de Rosemont, car les travailleurs de ces shops se sont installés autour de la rue Masson pour créer le Vieux-Rosemont.

Imaginez ces shop Angus qui sont le berceau de Rosemont, ne seraient plus dans la circonscription de Rosemont.

La rue Masson qui est la "Main" de Rosemont ne serait plus elle non plus dans la circonscription de Rosemont.

Et moi-même Sergio de Rosemont je ne serais plus dans la circonscription de Rosemont !

Franchement où se situe la logique dans cette décision supposément représentative ?

De plus si des modifications devraient obligatoirement se faite, il faut ajouter des votants à la circonscription de Viau, une partie du Nord Est de Rosemont pourrait y être ajouté où les gens se sentent plus proche côté communautaire de Viau.

Il y a un autre détail dans cette proposition du bureau du Directeur général des élections du Québec que je ne comprends pas, vue que les 2/3 de la circonscription actuelle de Rosemont se retrouverait dans la circonscription de Gouin, pourquoi ne pas avoir renommé la nouvelle circonscription de Gouin sous l’appellation de Rosemont ?

P.S : Pour plus d’information

jeudi 26 octobre 2023

Apprendre à "Prendre le temps"

 

Ma réflexion que je partage avec vous :

Apprendre à "Prendre le temps"


Par Sergio de Rosemont

Depuis septembre 2023 j’éprouve des difficultés avec le bas de mon dos, faisant en sorte qu’au début, que pendant la moitié de la journée j’éprouvais de la difficulté à faire 5 pas sans ressentir des douleurs intenses.

Question de régler le problème, j’ai commencé à prendre de la glucosamine et des capsules de fer.

Disons que ça pas mal aidé à améliorer ma situation.

Mais ce n’était pas suffisant.

C’est en me réveillant un matin que j’ai compris un détail très important dans mon problème.

Le problème c’est que le matin lorsque je sortais de mon logement, j’avais tendance à y aller d’un pas rapide, ce qui causait fort probablement un stress à des muscles qui étaient disons relaxes en leur demandant un effort spontané.

Maintenant lorsque je sors, je commence ma sortie d’un pas lent et j’augmente graduellement et lentement ma vitesse de marche ce qui permet à mes muscles de se réchauffer.

Et oui il me faut apprendre à "Prendre le temps", même quand je sors !

La paix et non la guerre !

 

Un autre de mes tableaux

La paix et non la guerre !


Par Sergio de Rosemont

Mon plus récent tableau en 3D

{ La paix et non la guerre ! }

Photo du 24 octobre 2023

lundi 23 octobre 2023

Le mépris

 

Mon plus récent texte où je partage avec vous une parcelle de ma personnalité.

Le mépris


Par Sergio de Rosemont

S’il y a bien une sensation qui me répugne, c’est bien celle que l’on ressent suite à un mépris.

Le mépris est l’une des choses qui me met le plus hors de moi.

Qu’il s’agisse d’un mépris au niveau sentimental, d’amitié ou de la militance cela déclenche dans mon âme et dans mon cœur un sentiment de révolte.

Oui car ce mépris je le ressens comme étant envers la confiance que j’avais accordé.

Et ce sentiment de ce mépris a sur moi la sensation comme d’un coup de dague reçu dans le cœur et dans l’âme par un coup dans le dos.

Et cette douleur morale est l’une des plus intenses que je puisse ressentir car elle ne s’imprime pas dans la mémoire de mon cerveau mais dans celle de mon cœur et de mon âme.

Et c’est l’une des blessures morales les plus lentes à guérir et la cicatrice qui en reste sur le cœur est très sensible.

Et la Coupe du Mépris est l’une des coupes à laquelle on m’a fait boire plus souvent qu’à mon tour.

Le mépris l’arme des Faux Amis ces Vipères Mielleuses.

Dans toutes les sensations négatives que je puisse ressentir, je crois que le mépris est celui qui me met le plus hors de moi.

Aussi surprenant que cela puisse vous paraître tout juste avant d’écrire ce texte j’étais de bonne humeur dans le positif.

Mais hélas une amertume qui m’a remonté dans la gorge à la suite qu’une personne que je ne nommerais pas et qui m’a dans le passé servi un mépris à l’amitié que je lui accordais se soit installée dans le fond du café où je suis assis.

Et la vue de cette personne m’a donné l’inspiration pour ce texte.

Et oui la mémoire du cœur et de l’âme se rappel longtemps, très longtemps des faits, qu’ils soient positifs ou négatifs.

Je ne fais que partager avec vous une parcelle de ma personne.

Je vous laisse en vous souhaitant une bonne semaine.

dimanche 22 octobre 2023

Traîner les douleurs de sa jeunesse

 

Voici un texte que j’avais écrit cet été que je viens de retrouver et que je partage avec vous :

Traîner les douleurs de sa jeunesse


Par Sergio de Rosemont

Traîner les douleurs de sa jeunesse, c’est lourd sur l’âme.

On aura beau vous dire que vous n’avez qu’à tourner la page.

Facile à dire et souvent difficile à faire car souvent ces douleurs sont tatouées sur votre cœur et gravées sur votre âme.

Et fréquemment, souvent les cicatrices dues aux douleurs de notre jeunesse peuvent se rouvrir suite à certains événements des fois imprévus.

Parfois il arrive que certains événements négatifs de notre jeunesse puissent resurgir de notre mémoire spontanément.

Je me rappel parfois, trop souvent des fois dans ma jeunesse à la sortie de l’école sur cette rue d’Aiguillon dans le Faubourg St-Jean Baptiste lorsqu’il me fallait que je me défende contre 4 ou 5 autres élèves.

Pour eux ce n’était qu’un jeu.

Pour eux je n’étais qu’un jeu.

Pour moi c’était l’enfer.

Et parfois d’autres souvenirs du même acabit me reviennent.

Il en est de même pour mon adolescence avec de semblables épisodes où certains espéraient pouvoir m’utiliser comme défouloir.

Je vais vous faire une confidence, j’ai haïs au plus profond de mon cœur et de mon âme mon enfance, mon adolescence ainsi que le début de ma vingtaine.

Le début de ma vingtaine, de ma vie adulte fut empoisonnée par des "Faux Amis" qui m’ont fait boire à cette "Coupe de Mépris et de la Traîtrise".

J’ai commencé à vivre lorsque je me suis installé à Montréal.

Commencé à vivre et non pas à survivre.

Oui hélas malheureusement tourner la page ou le chapitre de notre jeunesse n’est pas toujours facile lorsque les cicatrices de notre jeunesse sur notre cœur et notre âme !

samedi 21 octobre 2023

Comme un oiseau

 

Mon plus récent poème que je partage avec vous

Comme un oiseau


Par Sergio de Rosemont

Comme un oiseau ayant le vertige des hauteurs, il peut voler très haut vers le Soleil mais il s’y empêche par peur de son vertige des hauteurs.

Comme un poisson ayant peur de l’eau, il peut nager vers les profondeurs, vers les perles mais il s’en empêche à cause de sa peur de l’eau.

Comme un mulot souffrant de claustrophobie, il est capable de creuser très profonds dans la terre jusqu’aux émeraudes mais il s’en empêche à cause de sa claustrophobie.

Comme un dragon ayant peur du feu, il est capable de plonger au plus profonds des volcans pour atteindre les pierres précieuses, mais il s’en empêche à cause de sa peur du feu.

Souvent, certains ont la capacité d’atteindre leur but mais s’en empêche par peur.

Faudrait-il vaincre certaines de nos peurs ?

mercredi 18 octobre 2023

Je suis comme ce loup

 

Mon plus récent poème, je me raconte

Je suis comme ce loup


Par Sergio de Rosemont

Je suis comme ce loup qui a été blessé d’un coup de dague dans le cœur et dans l’âme.

Les blessures ont cicatrisé et le loup que je suis recommence à aimer la vie et à apprécier les moments agréables.

Oui j’ai tourné la page, j’ai même changé de chapitre mais je n’oublie rien.

Tourner la page ne veut pas dire qu’on oubli ce qui s’est passé !

Car très souvent les blessures même si elles sont cicatrisées, elles ne sont pas enregistrées dans la mémoire du cerveau mais plutôt dans celle du cœur et de l’âme.

Et les mémoires du cœur et de l’âme font en sorte de me rendre plus sensible.

Oui ma guérison est terminée, du moins je pense, sauf qu’il y restera toujours une certaine sensibilité dû aux cicatrices morales.

Parfois certains détails peuvent faire rouvrir ces cicatrices et alors parfois la douleur peut devenir aussi sensible qu’au moment de l’événement.

Oui il est possible que dans la douleur des blessures dans mon âme que j’ai fait mal à certaines personnes dans mon verbal.

Si ça en est le cas alors je m’en excuse au plus profond de mon âme et de mon cœur.

mardi 17 octobre 2023

C’est ça progresser

 

Voici ma réflexion que je partage avec vous :


C’est ça progresser


Par Sergio de Rosemont

Accepter une chose qu’on refusait auparavant car on a compris que cette chose est bonne, positive, c’est ça progresser.

Rejeter une chose qu’on acceptait auparavant car on a compris que cette chose était mal, c’est ça progresser.

Évidemment lorsque nous progressons, il arrive que nous perdions des amis qui eux ne progressaient pas, ne voulaient pas changer, voulant probablement demeurer dans leur petit confort.

Ayant coupé les ponts avec vous par désaccord avec vos valeurs.

Peut-on dire que c’était vraiment des amis ?

Je crois que je dois répondre "NON".

Par contre de nouveaux amis peuvent entrer dans votre cercle d’amis.

Ceux qui comme vous suite à des réflexions personnelles progressent.

Progresser c’est aussi jeter à la poubelle des préjugés stupides.

Parfois, souvent lorsqu’on progresse il peut arriver que nous en venions à détester certains de nos choix du passé.

Dans la vie, dans l’existence soit que nous progressions ou soit que nous régressions.

Ne rien vouloir changer c’est déjà le début d’une régression !