vendredi 11 avril 2025

Écrire, c’est cracher ce poison

 

Mon plus récent poème

Écrire, c’est cracher ce poison


Par Sergio de Rosemont

Écrire, c’est cracher ce poison qui nous intoxique de l’intérieur.

Souvent quand j’écris, ma plume crache, vomit une encre rouge de colère.

Et parfois, cette plume crache de l’acide sulfurique.

Fréquemment, c’est mon âme qui prend en main cette plume et alors son encre sur le papier est comme de la larve.

Oui, ma plume hurle ces douleurs qui parfois se font sentir dans l’âme et dans le cœur.

Parfois, des douleurs comme une sphère de titane en fusion tournoyant à vive allure dans le fond de mes entrailles.

Et parfois, quand les larmes me coulent, ce n’est pas à l’extérieur sur mon visage.

Ce sont des larmes d’acide nitrique qui me coulent par l’intérieur, brûlant tout sur leur passage.

Oui, écrire, c’est cracher ce venin !

mardi 8 avril 2025

Souvenirs en bouteille

 

Mon plus récent œuvre artistique

Souvenirs en bouteille


Par Sergio de Rosemont

Photos du 02 avril 2025

lundi 7 avril 2025

Un vide, ça fait mal parfois

 

Mon plus récent poème

Un vide, ça fait mal parfois


Par Sergio de Rosemont

Un vide, ça fait mal parfois.

Un vide, un creux dans l’âme, ça fait mal.

C’est l’une des blessures morales des plus douloureuses.

Vous perdez un être cher après plusieurs années de vie commune, oui, c’est douloureux.

Ça vous créer un vide, un trou dans votre âme, dans votre cœur.

Oui, le deuil, c’est aussi un vide, un trou dans l’âme, dans le cœur.

Un vide qui a un goût et une odeur de néant.

Et quand vous avez le temps, colmater de votre mieux ce vide, ce trou et qu’à nouveau, une personne avec qui vous avez recommencé votre vie.

Et qu’alors là, bingo, vous avez de nouveau la sensation de vivre.

Vivre et non pas survivre.

Et quand par après, quelques années plus tard, alors que cette relation allait à merveille…. BANG !

Tout s’écroule comme un château de cartes.

Ce vide viendrait se coller au 1er et l’agrandirait.

Et ce deuxième vide fut beaucoup plus révoltant que le premier, car dans le premier cas, la séparation est due à un décès. Dont l’être aimé ne désirait pas vous quitter, c’est le « Roi de la Mort » qui vous l'a volé.

Alors que dans le second cas, l’être aimé avait été manipulé par un ou des membres de sa famille qui ont simplement utilisé ses points faibles pour en venir à leur fin.

Et quand vous prenez conscience que la dague qui vous a été enfoncée dans le dos était dirigée par un/une membre de la famille de l’être chéri.

Une personne que vous aviez pourtant aidée !

C’est le problème avec ce que j’appelle des « Vipères Mielleuses et sociales ».

Et quand un deuxième trou, vide, vous est imposé, la douceur morale est plus intense, car c’est comme si ce second trou, vide, réanimait et agrandissait le premier et dans nos entrailles.

Combattre et vivre avec un tel vide dans l’âme, ça devient douloureux moralement.

À l’avenir, quand certains individus auront le goût, le désir de se mêler de la vie d’un couple heureux, qu’ils s’abstiennent, question d’éviter de créer un vide, un creux dans l’âme et le cœur d’autrui, juste par, ce que ce couple ne répond pas à leurs petites normes personnelles.

Oui qu’ils s’abstiennent même s’il s’agit de quelqu’un de leur famille.


Ce que tu cherches te cherche

 

Mon plus récent tableau

Ce que tu cherches te cherche


Par Sergio de Rosemont

Ce que tu cherches te cherche.
Jalaluddin Rumi

Photo du 04 avril 2025

mardi 1 avril 2025

Gentrification Définition

 

Mon plus récent tableau

Gentrification Définition


Par Sergio de Rosemont

Gentrification
Définition :

"Construire son confort sur l’inconfort des autres.
Créer son bonheur sur le malheur d’autrui."

Tableau en 3D

Photo du 30 mars 2025

samedi 29 mars 2025

Même si vous niez la vérité

 

Mon plus récent tableau

Même si vous niez la vérité


Par Sergio de Rosemont

"Même si vous niez la vérité.
La vérité continue d'exister."

de George Orwell

Tableau en 3D

Photo du 26 mars 2025

mardi 25 mars 2025

Le centre : fascinant ou fascisant ?

 

Laissons Francis nous parler du centrisme

Le centre : fascinant ou fascisant ?


22 mars 2025

Il y a deux choses qui m’énervent prodigieusement en ces temps de nouvelle hégémonie fascistoïde (et carrément fasciste en de nombreux endroits, dont les USA).

1. Le recentrage

D’abord, ces gentils faux-culs qui viennent me voir en me disant : « Tu sais, moi aussi je suis de gauche. Mais, ne crois-tu pas que, pour attirer davantage l’électorat, il faut faire des compromis et se rapprocher du centre afin de devenir une gauche de gouvernement. »

Je vous le dis tout de suite : Ce que j’en pense n’a ABSOLUMENT AUCUNE importance. La démonstration de l’inanité de ce procédé a été faite et est parfaitement éclatante.

Le Parti socialiste français s’est recentré. Ça a donné le hollandisme qui s’est retrouvé avec 1,7 % de l’électorat. Par la suite, on a dérivé vers le macronisme, puis le macrolepénisme et ça a enfanté le gouvernement pro-extrême droite qui sévit en France.

Le Parti démocrate a fait une campagne centriste. Des millions de votes sont complètement disparus des urnes et le trumpisme a triomphé.

Le NPD a délaissé son option socialiste. Il ne cesse de perdre des plumes.

Québec Solidaire a fait un «virage pragmatique». Ses appuis électoraux fondent comme neige au printemps.

Si les faits ne vous convainquent pas, je ne vois pas ce que mes pauvres paroles peuvent faire pour vous aider à comprendre qu’on perd la gauche quand on se droitise (oh, pardon, se recentre) et que la droite ne fait que se renforcer.

Il faut écouter les autres

Le bothsidism est une plaie purulente qui nous fait perdre un temps précieux. On ne discute pas avec les fascistes. Un fasciste ne pense pas, il hait.

J’ai même entendu, de la bouche d’un animateur respectable à la BBC, cette phrase absurde après qu’on ait laissé la parole à un trumpiste délirant qui considérait son agent orange comme supérieur à Bouddha et à Jésus : « Il faut écouter les gens du peuple qui tiennent ce discours. Il faut les entendre plus souvent sur nos ondes. »

Non, il ne faut pas les entendre. Pas plus qu’il ne faut passer le micro aux terreplatistes. Il faut documenter le phénomène, mais certainement pas fournir un porte-voix à ces élucubrations.

Discuter avec un fasciste, vous connaissez la boutade, c’est comme jouer aux échecs avec un pigeon. Il ne connaît pas les règles, il chie sur l’échiquier et il est sûr d’avoir gagné. Et en fait, il a gagné si vous êtes assez bête pour jouer avec lui.

Ce n’est pas comme si l’extrême droite n’avait pas accès à tous les médias et à toutes les plateformes. Elle passe son temps à nous hurler ses messages de haine et de mort dans les oreilles tout en se plaignant de « ne plus pouvoir rien dire ». Et vous allez lui ajouter du temps d’antenne ?

Il est temps d’organiser la résistance. Ça ne se fait pas en diffusant la propagande fasciste, mais en créant des canaux libres, codés au besoin.

Francis Lagacé

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SITE DE FRANCIS LAGACÉ

jeudi 20 mars 2025

Merci Gabriel

 

Merci pour tout Gabriel.

Merci Gabriel


Par Sergio de Rosemont

Détail que peu de monde savent concernant Gabriel Nadeau-Dubois.

En 2017 alors c'était ma fête et que cela ne faisait à peine un peu plus d'un mois que ma conjointe était décédée, j'étais assis au Première Moisson à côté de la fenêtre et moralement je n’allais vraiment pas bien, mon deuil était très dur.

Je regarde par la fenêtre et je le vois en train de distribuer des dépliants, j'ai sortie et je suis allé le voir et il a accepté de prendre le temps de m'écouter et ça m'a aidé.

Oui merci Gabriel.

dimanche 16 mars 2025

Une pensée pour Chester

 

Un souvenir des années 70’s qui me revient.

Une pensée pour Chester


Par Sergio de Rosemont

Un souvenir des années 70’s qui me revient.

Chester !

Non, Chester n’était pas son vrai nom.

À l’époque, je demeurais dans le quartier St-Roch à Québec.

Cela fait un peu plus de 40 ans que je n’avais pas pensé à lui, que son nom n’était pas remonté dans ma mémoire.

Et soudain, voilà que son visage me revient en mémoire.

Chester était un toxicomane qui avec le temps était devenu de ceux qu’on appelait à l’époque un "sniffeux de colle".

Je me souviens en dernier, il était en situation d’itinérance et il se promenait avec son gros sac vert (sac à vidange) dans lequel, il avait vidé plusieurs tubes de colle à modèle réduit.

Un sac qu’il traînait comme son boulet.

Il y insérait sa tête afin d’en respirer les vapeurs de cette colle.

Je me souviens quand je l’avais connu, un peu avant qu’il devienne un utilisateur de colle comme drogue, alors qu’il sortait d’une thérapie de désintox.

Dans cette courte période de 2 ou 3 mois de sobriété.

Pourtant il était un homme très intelligent.

Très intelligent mais hélas aussi et surtout très émotionnel.

Intelligent mais fragile.

Si ma mémoire est bonne, la dernière nouvelle que j’avais entendu sur lui, c’est qu’il avait été retrouvé mort, victime d’une overdose.

Pourquoi et comment l’image, le souvenir de Chester m’est revenu en mémoire, je l’ignore.

Par contre avec ce souvenir, il me vient une interrogation.

Comment un homme aussi intelligent peut–il prendre la décision d’emprunter un chemin, un choix aussi autodestructeur ?

Est-ce à cause de blessures morales que le destin, la vie lui avait infligé ?

Donc il cherchait à oublier car elles le torturaient dans son âme due à sa trop grande sensibilité.

Était-ce par ce qu’il se sentait rejeté par cette société avec ses mille et un préjugés ?

Le cas de Chester reflète une facette sombre de notre société.

Voyez-vous, quand je parle de l’histoire de Chester, je fais référence à une histoire se situant entre 1976 à 1979.

Et aujourd’hui, au moment d’écrire ce texte, je me situe au mois de Mars 2025, soit 46 ans plus tard.

Et malheureusement, au moment où j’écris ce texte, je dois avouer qu’il n’y a aucun progrès, amélioration positive concernant l’acceptation et l’aide aux personnes en situation d’itinérance par rapport à l’acceptation sociale.

Au contraire, je dois avouer que la situation a empiré, c’est dégradé.

Exemple, juste à regarder lorsqu’on désir inaugurer un centre, un service pour personne en situation d’itinérance.

Regardez, portez attention aux réactions contre le projet.

{ Non, pas dans mon quartier, pas à côté de chez-nous ! Mon CONdo va perdre de la valeur ! }

Et oui, un CONdo a plus de valeur qu’eux.

À leurs yeux, un CONdo (un paquet de briques) a plus de valeur qu’un être humain.

Et très souvent ceux qui tiennent un tel discours, ces soi-disant "Bienpensants", sont ceux qui aiment bien se gargariser la gorge avec ce discours concernant les personnes en situation d’itinérance :

{ Y ont juste à s’intégrer à la société ! }

Mais en même temps, lorsqu’un projet qui a pour but d’aider à leur réintégration à notre société, ils font tout pour empêcher la réussite de ce projet.

Désolé mais, moi, c’est ce que j’appelle de l’hypocrisie !

Comme si ces personnes ne devraient pas exister.

Mais dites-moi vous, ces "Bienpensants", ces personnes en situation d’itinérance et les centres d’aide, où devrait-on les placer ?

Sur Mars peut-être, question de s’assurer que vous puissiez conserver votre large sourire ?

Probablement devrait-on demander à Elon Musk de leur réserver un espace sur Mars dans son projet et des places dans ses SpaceX ?

vendredi 14 mars 2025

Pandémie : nous n’avons rien appris

 

                          Laissons la parole à Francis

Pandémie : nous n’avons rien appris


13 mars 2025

Cinq ans aujourd’hui que la pandémie causait le confinement. Les causes premières qu’il faut cherché dans notre obsession productiviste qui détruit l’environnement n’ont même pas été remises en question.

Je reproduis intégralement ici la dernière partie d’un billet en trois sections que j’avais publié le 6 avril 2020 et qui s’intitulait : Avant, pendant et après. Le texte n’a pas pris une ride.

Après la crise sanitaire

Il ne faut pas compter sur les grands de ce monde, les financiers, les marionnettes qu’ils ont placées à la tête des États, pour corriger les bêtises de l’économie libérale. Pour ne prendre que l’exemple de la France, vous rappelez-vous Sarkozy la main sur le cœur en 2008 qui promettait de « réformer le capitalisme » ? Il en va de même avec les déclarations de Macron qui découvre tout à coup que certains domaines de la société, comme la santé, ne doivent pas être sacrifiés sur l’autel du dieu Marché.

Ces promesses seront plus vite reniées que n’importe quelle élucubration d’ivrogne. Ces gens-là ne comprennent pas la plupart du temps ce qu’ils disent et, quand ils s’y entendent un peu, ils n’en croient pas un mot, pervers narcissiques qu’ils sont, comme le sadique qui sussure de douces paroles à l’oreille d’une personne pendant qu’il la torture.

Les capitalistes n’auront rien de plus pressé que de vouloir relancer la machine infernale : la course à la production excessive et l’encouragement à la consommation débridée. Aurons-nous le courage de dire non à la société de consommation ? Aurons-nous le courage de valoriser la production locale et conviviale ? L’achat de proximité qui nécessite le déplacement minimum ? Aurons-nous le courage de nationaliser les banques et les services ? Aurons-nous le courage de favoriser le lent, l’humain et l’inutile ? Si l’utile n’est rien d’autre qu’utile, l’inutile, lui, est nécessaire.

Le coût des assurances habitations augmentera de façon exponentielle sous toutes sortes de prétextes. Les compagnies d’assurance imposeront sans doute par défaut la clause d’activités professionnelles à domicile et il faudra se battre pour la faire retirer.

Oserons-nous rejeter le PIB comme mesure de la satisfaction de la population ? Le produit intérieur brut comme mesure de qualité de vie a été l’erreur de tous les pays productivistes, qu’ils soient capitalistes comme les États-Unis, sociaux-démocrates comme les pays scandinaves ou capitalistes étatiques comme l’Union soviétique. Et tous ont conduit à la catastrophe écologique. Le PIB est une mesure de richesse, mais pas une mesure de qualité de vie. On devrait peut-être s’inspirer, entre autres, de l’indice de progrès humain suggéré par l’économiste Jacques Généreux.

Accepterons-nous le retour à la normale puisque ce qui était considéré comme normal ne l’était pas, mais était plutôt excessif ?

Et le nouveau normal sera l’absence de contact entre les humains, surtout la surveillance absolue de tout rassemblement. Ce sera pour votre bien naturellement. On vous rappellera qu’éviter les mauvaises fréquentations vous permet de ne pas être contaminé·e par les méchants virus. Ces nouveaux virus auront pour noms : socialisme, anarchie, délinquance, contestation, opposition, obstruction aux infrastructures publiques, terrorisme (écologique, autochtone, végane, objecteur de conscience) et humanisme.

Et pour éviter les contacts et les virus, qu’y a-t-il de mieux que l’hybridation de l’humain à la technologie ? Les posthumanistes et les transhumanistes vous le diront : les machines n’attrapent pas de maladies. On vous promettra le bonheur éternel et minéral, ce qui est bien entendu une stupidité. Rien n’est éternel dans l’Univers. Aucune machine ne résistera à l’explosion de notre petite étoile dans cinq milliards d’années et leur pseudo-éternité leur aura paru aussi brève ou aussi désespérément longue que nos vies insignifiantes, car tout est une question de rapport. Sauf que cette éternité statique et minérale sera réservée aux riches, très riches, suprêmement riches, et que de ce bonheur-là, on n’en veut pas, parce que la vraie vie ne se limite pas, malgré les fantasmes cognitivistes et cybernétiques, à la circulation de données.

Avant, pendant et après la crise sanitaire, rappelons que l’humain doit passer avant l’argent, avant la machine, avant la circulation des marchandises et des données.

Francis Lagacé

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jeudi 13 mars 2025

Coeurs musicaux

 

Mon plus récent tableau

Cœurs musicaux


Par Sergio de Rosemont

Et oui ces cœurs peuvent jouer de la musique !

Tableau en 3D

Photo du 12 mars 2025

mercredi 5 mars 2025

S’allumer une flamme, une chandelle comme symbole de l’espoir

 

Mon plus récent poème que je partage avec vous

S’allumer une flamme, une chandelle comme symbole de l’espoir


Par Sergio de Rosemont

S’allumer une flamme, une chandelle comme symbole de l’espoir.

Après tout, l’espoir n’est-elle pas une flamme ?

Il faut dans notre for intérieur cette flamme pour avancer, atteindre ses buts.

Mais pour que notre espoir puisse nous permettre d’atteindre nos buts, il faut croire en elle.

Il faut ressentir en nous le feu, l’énergie de notre espoir, comme nous pouvons ressentir la chaleur de la flamme de cette chandelle.

Il faut sentir l’espoir respirer en nous.

Oui, j’allume cette flamme, cette chandelle afin de représenter la flamme de mon espoir que je ressens au profond de mon âme.

J’allume cette flamme !

lundi 3 mars 2025

Pertes cognitives

 

Voici ma pensée que je partage avec vous.

Pertes cognitives


Par Sergio de Rosemont

Les pertes cognitives, c’est destructeur.

Ca dévore votre mémoire, vos souvenirs comme une souris avec une tranche de pain.

Une personne qui nous était sympathique envers nous, peut nous devenir hostile.

Car ces pertes cognitives font en sorte comme si elle perdait des parties de sa personnalité.

Elle en vient parfois à oublier qui étaient ses amis, pouvant même les ressentir comme étant des adversaires.

Ces pertes cognitives attaquent aussi la mémoire, faisant en sorte que la personne en perd ses repères, ce qui peut apporter des peurs, des insécurités.

Oui ces pertes cognitives sont un cadeau du destin.

Un cadeau empoisonné !

samedi 1 mars 2025

Passeports religieux ? ! ? ! ?

 

Si je dénonce c'est que leurs cibles sont des personnes se retrouvant en situation de vulnérabilité morale ou mentale.

Passeports religieux ? ! ? ! ?


Par Sergio de Rosemont

Voilà où ils en sont rendu avec leur fanatisme religieux, n'importe quoi juste pour plugger leur "Ptit Jésus".

"Et oui adhéré à notre mouvement sectaire et oui vous n'aurez plus à vous demander à quoi penser. Nous on va vous le dire quoi penser, quoi croire,.... Et oui prenez votre passeport pour le sectarisme !"

Ces passeports propagandes ont été retrouvés sur le babillard d'un café public après avoir pris les photos, je les mis dans le bac à recyclage.

Si je dénonce c'est que leurs cibles sont des personnes se retrouvant en situation de vulnérabilité morale ou mentale.

jeudi 27 février 2025

Le regard

 

Mon plus récent tableau

Le regard


Par Sergio de Rosemont

Tableau en 3D

Photo du 23 février 2025

mercredi 19 février 2025

L'Amour en bouteille 2

 

Mon plus récent œuvre artistique

L'Amour en bouteille 2


Par Sergio de Rosemont

Photos du 18 février 2025

jeudi 13 février 2025

Souvent, c'est quand c’est trop calme

 

Mon plus récent poème que je partage avec vous

Souvent, c'est quand c’est trop calme


Par Sergio de Rosemont

Souvent, c'est quand c’est trop calme que les douleurs morales passées reviennent.

Souvent dans la solitude que les cicatrices morales se font sentir.

Souvent, parfois quand c’est trop calme et qu’on est dans une période de solitude.

Notre mémoire peut en devenir notre bourreau moral.

Elle fait en sorte que des souvenirs douloureux refont spontanément surface, comme un "Uboat".

Et ces souvenirs ramènent avec eux ces cicatrices et ces blessures morales.

Qui à leur tour s’attaquent à notre âme comme des requins affamés.

Oui, notre mémoire peut être notre alliée dans la vie.

Mais elle peut aussi en devenir notre bourreau.

Un bourreau pouvant se démontrer cruel !

samedi 8 février 2025

Journalisme : vérité et rigueur

 

Laissons la parole à Francis

Journalisme : vérité et rigueur


3 février 2025

À l’émission d’affaires publiques Dans les médias diffusée par Télé-Québec, l’animatrice Marie-Louise Arsenault a dit à son invité, Serge Denoncourt, que les journalistes et les médias d’affaires publiques avaient l’obligation d’être neutres. Monsieur Denoncourt a avalé la pilule amère de cette affirmation péremptoire, prétexte à la lâcheté de beaucoup, à la paresse intellectuelle de bon nombre et à la complaisance coupable de tant d’autres, lesquelles attitudes affligent la profession.

Pourtant, cette assertion est absurde et il aurait dû la contester. Non seulement la profession n’a pas le devoir d’être neutre, mais au contraire elle n’en a pas le droit. Ce à quoi les journalistes et les médias d’affaires publiques doivent s’engager, c’est le parti-pris de déterrer la vérité quoi qu’il en coûte. Leur véritable obligation, c’est la rigueur.

Hélas, on en est loin. D’ailleurs la profession n’est jamais neutre quand il s’agit de chanter les louanges de l’hégémonie néolibérale. Les grands médias et les journalistes répètent la vulgate capitaliste sans jamais la remettre en question. On déclare des sottises du genre «la croissance est nécessaire» comme si c’était vérité révélée. On assène des croyances farfelues comme la fumeuse théorie du ruissellement ou encore le fait que le syndicalisme serait un frein à la prospérité des entreprises.

Ça voudrait dire quoi, être neutre ?

1. Il s’agirait d’asseoir un terreplatiste avec une astrophysicienne et écouter les deux faire leur discours. C’est tout le contraire du journalisme. Quand on est sérieux, on documente le nombre de terreplatistes et on fait état de leurs activités, mais on ne leur donne pas la parole. Que la terre soit sphéroïde est un fait connu et scientifiquement prouvé depuis des siècles, pas une opinion.

2. Ce serait organiser un débat entre deux personnes dont l’une dit qu’il pleut et l’autre dit qu’il ne pleut pas. Quand on est rigoureux, on ouvre la fenêtre et on constate : «Oui, il pleut. Fin de la discussion.»

Le rôle de la profession, c’est de transmettre l’information de manière rigoureuse et de ne pas accorder la parole aux ceuses qui font carrière de déformer les faits. Le journalisme s’appuie sur les faits, pas sur la croyance ni sur la diffusion égale des impressions.

Quand un personnage public ment, le rôle du ou de la journaliste est de le contrarier avec les faits. Si vous ne pouvez déterminer par vous-même la véracité des faits, faites appel aux personnes expertes, c’est à ça qu’elles servent. Mais, Raphaël Enthoven n’est expert en rien, on ne lui demande pas son avis.

Vous voulez savoir si une personne est vraiment experte ? Analysez son curriculum vitae, scrutez-le pour en détecter les failles et voyez l’opinion des pairs dans sa profession. Et n’oubliez surtout pas que l’expert n’est expert que dans son domaine pas dans le reste. Ça demande beaucoup de recherche, beaucoup d’analyse et beaucoup de confrontation entre les prétentions et les états de service.

Je sais, tout ça est très exigeant et même fatiguant, beaucoup plus que d’être neutre.

Francis Lagacé

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lundi 3 février 2025

Parfois la vie est comme un

 

Mon plus récent tableau

Parfois la vie est comme un


Par Sergio de Rosemont

Et oui parfois la vie en devient comme un casse-tête !

Tableau en 3D
Photo du 02 février 2025

samedi 25 janvier 2025

Comme on peut détester ces 2 faces, ces hypocrites

 

L’un de mes plus récents poèmes que je partage avec vous

Comme on peut détester ces 2 faces, ces hypocrites


Par Sergio de Rosemont

Comme on peut détester ces 2 faces, ces hypocrites.

Ceux qui font semblant de vous apprécier.

Ceux qui feignent de vous aimer, d’être notre ami devant notre regard.

Mais qui, une fois qu’on a malheureusement retourné le regard, aime bien nous enfoncer leur dague vénéneuse dans le dos.

Ces blattes sociales pour qui un sourire n’en devient qu’un masque.

Ces sourires, ces faux sourires qui empuantissent l’atmosphère sociale.

Ces faux sourires qui empestent la moisissure morale qu’ils vomissent.

Ces visages masqués d’un sourire, qui n’ont même pas le courage de vous dire en pleine face ce qu’ils pensent de vous.

Que des visages masqués de ce faux sourire de lâche.

Parfois on peut avoir la sensation d’assister à un "Festival du masque et du Faux sourire" !

vendredi 24 janvier 2025

La vie n'est pas un jeu

 

Mon plus récent tableau

La vie n'est pas un jeu


Par Sergio de Rosemont

Tableau en 3D

Photo du 22 janvier 2025

jeudi 23 janvier 2025

Souvenir Dragon

 

Mon deuxième tableau pour 2025

Souvenir Dragon


Par Sergio de Rosemont

Tableau en 3D.

C'est simplement une patch souvenir d’(Alchemy Gothic), un souvenir de la défunte boutique rock "Le Labyrinthe" où j'y ai travaillé pendant 10 ans.

Photo du 21 janvier 2025.

La Porte de l'Esprit

 

Mon premier tableau pour 2025

La Porte de l'Esprit 


Par Sergio de Rosemont

### Tableau en 3D

### Photo du 21 janvier 2025

mardi 21 janvier 2025

Je travaille pour

 

Mon plus récent poème

Je travaille pour


Par Sergio de Rosemont

Lorsque les gens me demandent si ça va, je réponds toujours :

{Je travaille pour !}

Pourquoi ?

L’idée derrière ma réponse, c’est qu’à chaque jour, il y a toujours une part de négatif qui s’installe.

Et l’idée, c’est de voir comment prendre ce négatif qui se présente à moi, et voir comment je peux en faire du positif.

Oui, transmuter le négatif en positif !

Et si ce négatif est non transmutable, voir si on peut l’éloigner.

Et quand on ne peut pas transformer en positif ce négatif ou l’éloigner, alors voir comment on peut agir afin d’en diminuer l’impact.

Tout dépend dans notre esprit, si nous acceptons l’idée que nous puissions avoir la capacité d’influencer jusqu’à un certain point notre destin.

Je travaille pour !

mardi 14 janvier 2025

Quand vous êtes une âme blessée

 

L’un de mes poèmes que je partage avec vous

Quand vous êtes une âme blessée


Par Sergio de Rosemont

Quand vous êtes une âme blessée, déchirée, broyée.

Vous étiez le cerf, maintenant vous êtes le loup.

Vous étiez douceur, maintenant votre âme est devenue sulfurique.

Maintenant, si on vous agresse, vous devenez comme de la larve en fusion pouvant calciner l’adversaire.

Votre peine devient douleur qui, à son tour, devient colère.

Et cette colère devient en nous comme une sphère de titane en fusion tournoyant à haute vitesse dans nos entrailles.

Et cette sphère en fusion fait en sorte que nos paroles seront comme de la pierre en fusion.

Une pierre en fusion pouvant calciner l’adversaire, le détruire.

Oui, quand votre âme est blessée, vous pouvez devenir comme un loup avec des dents d’acier en fusion.

Comme un dragon crachant un feu de plasma de colère, de rage.

Quand un humain nous semble corrosif avec un parler sulfurique, demandons-nous s’il ne s’agirait pas d’une âme blessée, déchirée, broyée ?

vendredi 10 janvier 2025

Se sentir comme une ombre

 

Mon poème, une réflexion que je partage avec vous

Se sentir comme une ombre


Par Sergio de Rosemont

Se sentir comme une ombre circulant anonymement dans cette société semblant sans âme.

Une ombre dont le rôle ne semble que de faire partie du décor.

Une société qui semble n’être à la fois qu’un consommateur et un produit à consommer.

N’être comme une ombre dans une société où un individu a le droit à son opinion en autant que ce soit la même que celle de la majorité.

N’être qu’une ombre, où la valeur d’un individu ne se calcule pas selon ses qualités et ses valeurs sociales, mais plutôt selon les vêtements griffés qu’il porte.

Se sentir comme une ombre, l’ombre de cette société.

Au Nom de la Consommation, de la Rentabilité et du Profit, amen !

jeudi 9 janvier 2025

Bienvenu dans cette civilisation du Masque

 

Mon poème à réflexion que je partage avec vous

Bienvenu dans cette civilisation du Masque


Par Sergio de Rosemont

Bienvenu dans cette civilisation du Masque.

Dans cette civilisation, où sous ce masque avec sourire du "Bien Pensant", du "Civilisé", on y distribue son mépris envers ceux qui nous semblent différent de nous.

Sous son masque du "Gentil", on aime bien se gargariser avec ce discours du "Nous et Eux".

Cette civilisation où on aime bien reconnaître et accepter l’opinion de l’autre en autant que ce soit la même que la nôtre.

Cette civilisation où, sous son masque du "Large Sourire" on aime bien vomir sur ceux qui nous sont différents et qui ne répondent pas à nos petites normes.

Mais cette civilisation du masque n’en est-elle pas une de la lâcheté ?

Lorsqu’on ressent le besoin de mettre son masque social du "Large Sourire" pour distribuer son mépris et ses préjudices comme un Père Noël.

Et cette civilisation du masque au "Large Sourire" se prétend être la civilisation suprême, décrivant les autres de barbares et de sauvages.

Mais, dans le fond, qui sont les vrais barbares ?

Ne serait-ce pas en fait ceux de cette civilisation du masque et de ce large sourire qui seraient les barbares et les sauvages ?

Cette civilisation, comme un "Festival du Masque", ne vous aime que le temps où vous leur êtes utile, où vous les divertissez ; puis elle vous jette dans la poubelle, même pas dans le bac à recyclage !

Une civilisation, une société où on a compris que parfois, souvent, le sourire est le meilleur des masques.

mercredi 8 janvier 2025

Avez-vous remarqué

 

Voici l’un de mes poèmes que je partage avec vous

Avez-vous remarqué


Par Sergio de Rosemont

Avez-vous remarqué que lorsqu’il y a de la poussière dans les airs et qu’elle passe devant un rayon de soleil, ces grains de poussière flottant dans les airs semblent briller comme de minuscules diamants, comme des micros étoiles.

Parfois, dans la vie, des choses superficielles semblent briller à notre œil, comme si elles étaient précieuses.

Et une fois qu’on en a pris possession, on prend conscience que tout d’un coup, elles ne brillent plus.

Et en fin de compte, on constate qu’en réalité qu’elles ne brillaient pas mais que c’était la lumière du soleil et des étoiles qui se reflétait sur elles.

Lorsqu’on perçoit un objet au sol, vitreux et vert, ça ne signifie pas qu’il s’agit d’une émeraude.

Ça peut tout bêtement n’être qu’un éclat de bouteille.

Une des choses qui pourrait s’avérer utile dans la vie, ce serait d’apprendre à se méfier des (premières) apparences.

Pour quelqu’un qui ne s’y connait pas, s’il y a bien une chose qui au premier abord, ressemble à l’or, c’est bien la pyrite.

Ce n’est pas pour rien qu’à la Renaissance qu’on l’appelait "L’Or des fous".

Parfois, ce qui peut nous paraître essentiel, ne l’est pas.

Parfois, ce qui peut nous sembler nécessaire ne l’est pas.

Parfois, ce qui nous paraît utile peut en fin de compte, être inutile et même parfois nuisible.

Apprenons à avoir le réflexe de ne pas se fier aux premières apparences.

Apprenons à regarder ce qui se cache derrière les apparences !

mardi 7 janvier 2025

Le chandail rose

 

Laissons la parole à Francis

Le chandail rose


7 janvier 2025

Il y a bien des années, je me suis acheté un pull rose. Malgré l’usure et les années, je le porte encore, comme le complet bleu du chanteur qui rêvait d’avoir son nom en haut de l’affiche dans la chanson d’Aznavour.

Pendant toute ma cinquantaine, je n’ai vu personne réagir au fait que je porte ce chandail couleur de bonbon à sucer. Mais depuis que je suis dans la soixantaine avancée, je perçois comportements et commentaires qui me laissent songeur.

Il y a d’abord eu cette employée d’une clinique de physiothérapie où j’accompagnais mon amoureux. Elle se répandait en éloges sur mon audace et sur le courage de m’affirmer : j’étais un exemple de bravoure, un modèle de détermination pour les jeunes. À part un sourire confus et des remerciements embarrassés, je ne savais trop comment répondre à ces effusions qui me paraissaient imméritées.

Puis, il y a eu cette fois dans un pub anglais, où nous dégustions nos fish & chips avec une pinte. Un groupe de trois jeunes dans la vingtaine est entré. Iels se sont dirigés vers le comptoir pour passer leur commande. Il y avait d’abord un couple homme et femme, puis le troisième larron : jeune homme à la belle barbe rousse fort bien taillée. Il portait de longues tresses blondes.

Ce dernier me dévisageait avec une expression de stupéfaction mêlée de crainte en écarquillant les yeux. Sa bouche s’arrondissait démesurément au point de susciter en moi l’image d’un tunnel ferroviaire. Je l’ai regardé en souriant, mais il semblait paralysé. Pourtant, je ne me croyais pas le moins du monde en mesure de faire ombrage, ni même compétition, à ses jolies nattes. Au bout d’un moment, ses deux acolytes l’ont pris par le bras pour le ramener en aval dans la file qu’il retardait.

Récemment, lors d’une fête de Noël dans l’un des commerces du quartier, une dame que je voyais parfois au restaurant est venue me parler. Elle tenait absolument à me féliciter pour mon beau chandail rose qui me va si bien au teint et que j’ai la hardiesse de porter sans me soucier des qu’en-dira-t-on. Elle donnait l’impression d’avoir bu un peu pour trouver le cran de m’aborder. Elle a affirmé : « Ça fait longtemps que je voulais vous le dire. »

Comment vous dire ma perplexité ? Montrer mon étonnement aurait été discourtois. J’avais également le souci de ne pas lui faire perdre cette impression justifiée qu’elle avait bien agi et que sa démarche était positive. J’ai souri. J’ai dit en montrant mon conjoint : Lui aussi trouve que ça me va bien au teint. Il s’est empressé d’opiner au ravissement de la dame.

Depuis, je ressasse ces scènes et me perds en conjectures. Peut-être mes lectrices et lecteurs, tous gens fort perspicaces, auront d’autres interprétations à me suggérer, mais pour le moment j’avance ceci :

— qu’un homme porte du rose semble encore considéré comme une affirmation d’homosexualité (ce que je croyais dépassé depuis longtemps) ;

— et, en conséquence, rendre son homosexualité publique peut être vu comme un défi à la société si on est un petit vieux.

Francis Lagacé

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SITE DE FRANCIS LAGACÉ

Toi qui se disais être mon ami

 

Voici l’un de mes poèmes que j'avais écrit en pensant à une personne qui se présentait comme étant mon ami.

Toi qui se disait être mon ami


Par Sergio de Rosemont

Toi qui se disais être mon ami

Toi, le pianiste, je me rappelle de ton regard teinté de mépris que tu me portais quand j’étais avec celle qui, à l’époque, était ma compagne, ma douce moitié.

Ce regard de mépris que tu nous portais juste parce qu’elle n’était pas une "Québécoise Pure Laine" comme aiment bien dire les Nationaleux identitaires.

Ce regard méprisant juste parce que j’osais avoir une relation avec une Latina.

Comme si le choix de ma partenaire de vie devait être fait en fonction de ta xénophobie, de ton racisme.

C’est ça, continue de fabuler avec ton parti xénophobe !

Je n’aime pas et je n’apprécie absolument pas les xénophobes et les racistes.

Alors maintenant, dis-moi, comment pourrais-je encore te considérer comme un ami ?

lundi 6 janvier 2025

Quand la mémoire en devient douloureuse

 

L’un de mes poèmes que je partage avec vous

Quand la mémoire en devient douloureuse


Par Sergio de Rosemont

Quand la mémoire en devient douloureuse.

Effectivement, les blessures morales dans l’âme ou dans l’esprit, c’est par les souvenirs qu’elles se font sentir.

Quand des événements blessants survenus il y a plusieurs années, vous sont ramenées par la mémoire.

Ramenés comme s’ils s’étaient déroulés la veille.

Parfois, souvent, ce que vous ressentez, c’est comme une sphère d’acier en fusion qui tourne à vive allure dans le creux de vos entrailles.

Parfois, souvent, il y a des larmes qui coulent.

Mais elles ne coulent pas à l’extérieur, mais à l’intérieur de vos entrailles.

Comme des larmes d’acide qui coulent dans votre for intérieur, brûlant tout sur leur chemin.

Effectivement, souvent les blessures morales sont beaucoup plus douloureuses que les blessures physiques.

Mais ce qui est traître, c’est que trop souvent, contrairement aux blessures physiques, elles sont invisibles pour la majorité des regards !

dimanche 5 janvier 2025

Cette neige de début d’année

Voici mon poème écrit en ce début de 2025 que je partage avec vous

Cette neige de début d’année


Par Sergio de Rosemont

Je suis assis à une table, à côté de la vitrine dans ce café.

Et cette neige de début d’année commence à tomber lentement, timidement.

Comme pour ensevelir tout ce négatif restant de l’an passé.

Comme pour geler les blessures morales de cette dernière année.

Comme pour engourdir, anesthésier les désillusions de cette dernière année qui nous brûle l’âme comme un fer rouge.

Si cette tempête peut lever et amener avec elle tous ces restants de négatif qui irritent l’âme comme des aiguilles plantées profondément.

Ainsi, un nouveau départ positif et gagnant pourra démarrer.