dimanche 27 décembre 2009

L'Obscurité, et la nuit mon palais



L'Obscurité, et la nuit mon palais

Plusieurs voient l'obscurité, la nuit comme une chose terrifiante, comme une parfaite représentation du négatif.

Pour certain, il s'agit du refuge de créatures comme les vampires, lougarou ou des spectres .

Ou bien on y voit dans l'obscurité le domaine des violeurs, voleurs de traficant de tous acabits, ainsi que celui de plusieurs psychopathes.

Ils n'y voient rien d'autres que des personnages ou des créatures les épeurant.

Comme s'il y en aurait uniquement que la nuit !

Et même pour plusieurs l'obscurité par elle-même est source de frayeurs, et jamais ils prendront le temps d'y regarder pour voir s'il y aurait pas au moins une chose qui pourrait leurs être agréable.

Mais pour moi l'obscurité, et la nuit sont mon palais, car dans l'obscurité la seule personne avec laquelle nous nous retrouvons est nous même.

Quand je ressent la brise froide de la nuit jouer avec mes cheveux et caresser mon visage, alors je ressent que je peux prendre un instant pour penser.

Le bruit des oiseaux nocturnes me rappellent les moments passés avec mes amis au début de la vingtaine.

Nous y prenions le temps de dialoguer, d'échanger nos idées, de fraterniser avec quelques bouteilles de vin, alors que cette société et ses petits citoyens dormaient.

Les étoiles tant qu'à elles me rappellent à quel point cette planète, avec toute sont histoire et tous les petits arrogants ayant foulés son sol en sont infiniment minuscules.

Et à quel point ces puissances politiques et financières peuvent être éphémères et leurs prétentions ridicules.

Par cette nuit où le vent entanme avec les branches des arbres son hythme au calme, cette danse des branchailleset des feuilles me fait percevoir la présence des esprits du passé.

Cette nuit où les sons deviennent plus sourdset semblent parvenir de plus lointing, c'est comme si la ville dans laquelle je circulais en plein jour aurait été suptituée par une autre.

Cette ville qui me semble habitée que par les cris d'oiseaux norturnes, les ombrages des chats errants et le bruit d'insectes.

Malheureusement je me dois de quitter ma confidante la Lune, dû à la levé du jour et de son aveuglant dictateur le Soleil.

À demain soir Cher Lune !