vendredi 7 janvier 2011

Dans un rêve aux Portes de la Fin du Monde.

Voici un poème à conotation environnementale

que j'ai écris pendant la nuit :


Dans un rêve aux Portes

de la Fin du Monde.

Je suis aux Portes de la Fin du Monde, et je suis avec les miens les humains.

Et cette Frayeur Innommable m'envahit et elle est accompagnée de sa soeur Colère !

Et oui un sentiment insupportable, un mélange de terreur et de colère fusionnées en un venin tournoyant dans mes entrailles comme cette sphère d'acier en fusion calcinant et déchirant mes chairs me fait ressentir cette anxiété remontant vers mon cerveau comme un acide sulfureux à la vue de mes semblables.

Et oui à les voir je ne peux comprendre.

Il est pourtant évident que nous sommes aux Portes de la Fin du Monde.

Nous en sommes sur le seuil à deux pas de les franchir.

Et pourtant très peu semblent prendre conscience de cette Fin Éminente, et percevant qu'il nous serait encore temps de faire demi-tour.

Ils ont beau hurler pour avertir leurs semblables, ces autres citoyens.

Mais hélas tel un stupide bétail, ils continuent d'avancer d'un pas empressé vers ces Portes de la Fin du Monde.

Pourtant Gaïa a donnée tous les avertissements qu'il lui était possible de donner.

Et oui, notre monde, notre espace de vie se fait détruire tel un temple sous une pluie d'acide.

Et oui maintenant cette eau apaisante qu'on pouvait boire au par avant, prend maintenant feu !

L'air qui nous faisait bon respirer maintenant nous empoisonne.

Ces glaciers millénaires, immortels et éternels fondent maintenant laissant les ours au désarroi !

Et il a même neigé là où régnait l'été perpétuel.

Non, ce ne sont pas des dragons hystériques crachant leur feu qui en sont responsables.

Non, ce ne sont pas des démons haineux qui détruisent notre monde.

Et non ce ne sont pas des dieux jaloux qui ont ordonnés la Fin des Temps !

Oui ce sont ces humains coupables par cupidité et par cette boulimie de l'avoir qui détruisent ce monde, cette nature petit peu par petit peu.

Cette race humaine maudite par sa propre arrogance et stupidité.

Cette race humaine péripatéticienne envers ce dieu Profit !

Dites-moi qui est celui qui avait oser dire que l'humain était l'Animal suprême, supérieur aux autre espèces à qui Dieu aurait confier cette Terre-Mère ?

J'aurais une couple de questions à lui poser juste avant de franchir ces Portes de la Fin du Monde !


J'aimerais en terminant vous inviter
à visiter mes 3 autres blogues

Le monde de Tenebrum Draco

L'Alcôve de Tenebrum-Draco

Le Cercle Grès de Tenebrum Draco

Aucun commentaire: