lundi 16 novembre 2009

L'Arbre de la Révolte.



L'Arbre de la Révolte.

La révolte est un arbre qui peut devenir solide comme le chêne.

La mémoire en est son engrais, son fertilisant. Et mon esprit son sol.

Quand je regarde dans le passé, dans mon enfance quand je devais ressentir la répugnance des autres ayant eu la chance d'être plus choyés par l'existence.

Quand certains professeurs , moniteurs ou les parents même d'autres enfants à certaines reprises m'étiquettant de moins que rien à leurs yeux.

À ce moment l'arbre devenait vénéneux.

Quand on me percevait comme un amusement sur lequel on peut se défouler en lui frappant dessus question de rire un peu entre amis.

C'est à ce moment que l'arbre commenca à ce doter d'épines aussi dures que l'acier trempé.

Quand dans l'adolescence et le début de mon âge adulte je prenais conscience de la méprise et de la traîtrise de ceux que je croyais être mes amis, ceux que je considérais comme mes frères, mes confidants.

Alors c'est à ce moment que les racines de l'arbre prenaient de l'expension et de la force pour mieux en nourrir l'arbre.

Quand avec votre arrogance, vous faites comme si vous me verriez pas, ou que vous me faites un sourire d'hypocrite alors que vous rêvez au couteau que vous aimeriez avoir le courage de me planter dans le dos.

À ce moment les épines en deviennent comme des dards de scorpions pouvant injecter du cyanure, et les feuilles deviennent aussi tranchantes que des rasoirs.

À chaque fois que je goûte aux fruits amers et répugnants de l'hypocrisie, la sève de cet arbre se transforme de plus en plus en acide sulfurique.

Quand vous me joué dans le dos, que vous me faite une traitrise, vous infligé à cet arbre des blessures.

Chaque fois que je suis la cible de votre discrémination ou de votre mépris c'est des blessures que vous m'infligé.
Donc ne vous plaigniez pas si vous êtes éclaboussé de ma sève qui vous brûle. Vous me blessez, je me dé