lundi 2 août 2010


Le Principe du Phoenix

Comme cet oiseau mythologique, qui renaît de ses cendres ; il arrive que certain doivent passer à plusieurs reprises par ce que j'appele le principe du Phoenix.

Il m'arrives que j'en vienne à croire que je fais partie de ceux qui utilisent le principe Phoenix.

Combien de fois depuis mon enfance à t'on tenté de me détruire mentalement de me brûler moralement de calciner mon âme ?

je préfères ne pas les compter.

Combien de fois a t'on tenté de me bryer de me cassé pour me forcer à m'incèrer dans un moule qui conviens plus à cette normalité.

Comme s'il aurait fallu que je sois hypocrite envers moi-même juste question de rassurrer ces petits citoyens.

Ces gens tellement apeurrés par tous éléments marginaux, petits ou pas.

Tellement effrayés par ce qu'ils ne comprennent pas, au point de vouloir briser détruire tout ce qui ne correspond pas à leurs normes banalisantes.

Depuis mon enfance j'eu souvent l'occassion de savourer contre mon gré l'âcre saveur de leur arrogance et leur mépris.

Je me souviens alors que j'étais en première année au primaire, un activité spécial était organisé où pendant un après-midi, quelqu'un devait venir faire son tour en classe avec un chien cooley.

L'institutrice décida que j'avais pas le droit, et que je ne méritais pas d'y participer.

Question de mieux me faire sentir son autorité, elle m'obliga à attendre dans le corridor.

Pendant que les autres avaient le privilège de pouvoir caressé l'animal, moi je n'avais que le droit de regarder les autres avoir du plaisir avec le chien.

Aussi loin que je me souvienne je n'ai jamais rescenti de sympathie de cette institutrice, rien que du mépris venant d'elle.

Et j'ai beau fouiller aussi profond dans ma mémoire, je n'ai jamais su ce qu'on trouvait à reprocher à cet enfant de 8 ans que

j'étais. Pourtant à cette époque je n'était pas plus turbulant qu'un autre enfant.

À part les quelques différences physiques apparente de mes jambes ou de ma démarche.

À part peut être que j'avais déja l'habitude de dire ce que je pensais , malheureusement j'ai toujours eu de la difficulté à être hypocrite.

Je me souviens de ce sentiment que je ressenti.

Qu'est-ce que j'avais fait de si terrible pour qu'on m'interdise de voir ce chien, moi qui a toujours adoré les animaux.

Cette institutrice m'ayant sermoné comme quoi je n'étais qu'une peste, une honte pour sa classe.

Et ces autres enfants je ne recevais que du mépris de leurs par, à l'éception d'une fille de mon âges, elle s'appellait Linda Pl. Linda était la seule à me porter un respect et un acceptation.

Je la perdit de vue 1 an après pendant la période où j'étais pensionnaire , j'avais le droit à la visite de mes parents les dimanches après-midi pendant 2 ou 3 heures au maximun.

Un dimanche je leurs demanda des nouvelles de Linda Pl, on me répondi qu'elle s'était noyée dans la barbotteuse du Parc St-Mathieu.

Le Parc St-Mathieu est un parc du quartier St-Jean-Baptiste dans la haute-ville de Québec.

Ce que je n'ai jamais réussi à saisir c'est comment la Linda Pl que je connaissait avait pu se noyer ?

Elle était excellente nageuse pour son âge, presqu'un poisson, et de plus la barbotteuse en question n'avait qu'un maximum de 6 pouces d'eau.

Je me doute que ce n'était qu'un mensonge de mes parents.

Présentement en écrivant ces mots je réalise qu'inconscienment en voulant trop me protéger, mes parents trouvait d'une certaine façon à comme me faire mourir côté social envers les autres enfants.

Il n'y avait pas seulement que l'histoire de Linda Pl qui fait que je le réalise.

Je me souviens que mes parents me refusaient le droit de pouvoir jouer avec les autres enfants, probablement à cause de leurs peur que je sois soumis à une discrémination de leurs part.

Réalisaient-ils que par ce comportement ils trouvaient peut-être à provoquer jusqu'à un point assez important ce phénomène de rejet de la part des autres enfants ?

Car ,cela accentuait justement l'importance des handicapes que je pouvais avoir ce qui faisait au lieu d'être perçu simplement comme un enfant parmis d'autres enfants, j'étais plutôt perçu comme un phénomère de curiosité et de rigolade.

Je crois que les adultes non pas encore compris un phénomène par rapport aux enfants : Oui les enfants sont extrêment cruels , mais la majorité du temps c'est qu'à quelque part il y avait un adulte pour lui apprendre la discrémination que se soit envers un autre qui a une différence physique même minime ( un enfant c'est une loupe ca emplifie ), soit le racisme ou la discrémination envers l'autre classe sociale.

J'ai remarqué que la période où j'étais pensionnaire, au niveau primaire , malgré le fait que je m'y sentais comme entreposé , tassé ; Quand j'étais avec les autres enfants c'était comme un effet phoenix.

C'était comme si mon esprit, ma personnalité pouvait se sentir revivre , renaître, respirer, s'ouvrir sans être obligé de se battre à tous les jours.

Il est vrai que j'étais avec d'autres exclus , alors que quand j'étais chez mes parents à cause de leurs comportements, ca devenait de la part des autres enfants un effet de rejet et de mépris de leurs parts.

C'était presqu'à chaque fin de période de classe l'obligation de me défendre contre 3 ou 4 autres élèves.

Des petits garçons à leurs papas ou leurs mamans, qui en étaient les parfaits reflets des préjugés parentaux.

Ces petits cons pour qui la seule valeurs que j'avais pour eux était celle d'un punching bag leur donnant espoir de s'amuser ou impressionner les autres à mes dépends.

En tant que pensionnaire là où il y avait problèmes c'était avec les gestionnaires du centre.

Le centre appartenait à une communauté de religieuses et elle en faisaient la gestion.

Et à leurs yeux la matière scolaire qui devait avoir priorité pour monter de niveau était la cathéchèse.

Et il y avait aussi à l'époque l'obligation d'avoir reçu certains sacrements religieux ( Première communion, et la confirmation ) pour certains niveaux.

Vous auriez eu beau avoir 100 % en Français et Mathématique, si vous n'aviez pas la note de passage en Cathéchèse alors vous doubliez votre année.

Et pour eux la messe du Dimanche ainsi que les Messes pour les fêtes religieuses étaient obligatoire.

Je me souviens qu'il y avait même une fois par mois inclu dans la période de cathéchèse l'activité de la confesse.

Vous avez bien lu « l'activité de la confesse. » Pendant une heure nous allions dans la chappelle du centre où à tour de rôle nous devions passer à la confesse avec le prêtre.

Quelle merveilleuse technique pour contrôler le niveau de conditionnement à la doctrine des enfants, vous trouvez pas ?

Il y avait aussi en plus le problème que certaines étaient plus fanatiques que les autres.

Pour elle tous les moyens étaient valables pour faire que l'enfant rentre à la perfection dans le moule de leurs définition du « Bon petit chrétien ».

Même à aller jusqu'a en détruire son individualité et d'en faire une coquille vide.

Je me souviens de cette fois que je voulais devenir imprimeur.

J'ai appris ce qu'était l'hypocrésie structuré en système.

J'avais été référé à une entreprise école ( une maison d'édition ) qui produisait une revue mensuelle à conotation charismatique chrétienne.

Mais malheureusement c'était sous contrôle d'un mouvement de renouveau charismatique.

Et les gestionnaires avaient même pris comme décision d'imposer à l'heure du repas du midi le bénédictin avant le repas, ainsi que l'obligation à la confesse pour tous les employés.

Et voilà vous avez devinez comme une secte camouflée à l'intérieur d'une religion reconnue officiellement comme une secte refusant de s'identifier en tant que secte, se décrivant plutôt comme une composante de cette religion.

La façon de procéder était simple.

On nous engageait pour une période d'un an au début, et s'ils voyaient en nous l'attitude à devenir un imprimeur, une prolongation d'une autre année.

Évidenment pour ces 2 années il y avait la promesse d'un montant de 25.00 $ par semaine + le repas du midi fourni gratuitement.

Et au bout d'une année on nous fournissait comme un certificat maison comme quoi que nous avions suivie la formation en imprimerie auprès d'eux et nous devions être ensuite référés à des entreprises amis où on devait avoir un emploi .

Sauf que la réalité était autre.

Dans leurs esprit pour être un bon imprimeur, il était indispensable d'être un praticant, un croyant si non même si nous aurions été le meilleur dans l'atelier, à leurs yeux nous n'avoins pas le droit de pratiquer.

En d'autre mots pour eux il était impératif de nous faire épouser le moule de leurs idéologie, même au risque d'atteinte à notre intégrité mentale.

Ce que nous étions réellement intérieurement devait mourir pour laisser place
à une coquille vide plus conforme à leurs définition de Dieu.

Dans mon cas vue qu'il n'avaient pas réussi à m'inserré dans le moule, on me servi comme raison pour intérompre cette formation que j'aurais un problème de double réflexe qui pourrait m'être dangereux pour des accidents .

C'est bizarre j'ai jamais entendu parlé de l'existance du problème de double réflexe.

À plusieurs reprises simplement dû au fait que je ne répond pas à des normes stupides, j'ai dû moralement me battre.

Mais ce que ces conventionels n'ont toujours pas saisie, c'est qu'à force d'avoir à renaître de ses cendres, de fois en fois, on devient mentalement plus fort et un jour, on les surpasse.

Et ca même s'il arrive qu'on en devienne à leurs yeux une créature énygmatique. Un solitaire, un hermite, ou un loup ou même un dragon.

On remarquera aussi que très fréquenment, les citoyens ceux qui se disent conventionnels dans une majorité des cas auront de la difficulté avec les esprits solitaires, fréquenment ca peut aller jusqu'à ressentir de la haine envers eux.

Pourquoi ?

Probablement , par ce qu'un solitaire rappel aux conventionnels une chose donc ils craingnent .... La solitude !

Il y a aussi qu'un solitaire est comme un énygme pour eux !

Pourquoi ne se mèle t-il pas aux autres ?

Il me semble bizarre d'où vient-il ? Et plein de questions de ce genre.

La majorité des dit conventionnels ne peuvent aimer la solitude pour la simple raison que lorsqu'on est seul on se retrouve avec une personne « SOI-MÊME » et vue que peu de gens son en harmonie avec eux-mêmes, alors ce solitaire trouve malgré lui à leurs remettre cette vérité en pleine face.

Donc , il arrive souvent qu'on tentera de les détruire moralement et socialement juste pour le plaisir de les voir rentrer dans le moule, le mettre à leurs images.

Et très souvent faire mentalement comme un phoenix à travers la populasse lui demandera énormément de volonté car il devra faire abstraction de tous ceux qui l'entourent.

Il arrive même des fois qu'ils en deviennent des ermites.

J'aimerais en terminant vous inviter
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