dimanche 15 juillet 2018

Je peinture cette feuille.


Voici un texte que j'avais écris le 19 août 2010 que je repartage avec vous


Je peinture cette feuille. 

Par Sergio de Rosemont

Je peinture cette feuille blanche de mes pensée, de mes idées.

De mes espoirs et de mes désespoirs.

De mes joies, et de mes colères.

De mes attentes et de mes désillusions.

Je peinture cette feuille des réalités que je vois et entend.

Des fois ma plume écrit de cette encre rouge sang, couleur de cette violence et de ces crimes commis sur cette planète contre ces peuples, ces Palestiniens,ces Roms et sur tous ces autres peuples infligés par l'imbécillité humaine.

Des fois ma plume écrit à l'encre verte en pensant à cette Mère Nature que nous immolons chaque jour sur l'Autel de la Cupidité du Profit.

Ma plume écrit aussi à l'encre bleue en souvenir de ces océans, origine de toutes formes de vies que empoisonnons à chaque instant.

Ma plume écrit à l'encre d'or en pensant à toute cette arrogance narcissique de ces Rois Bâtards du Capital.
Ma plume écrit à l'encre brune, brune comme le fumier lorsqu'elle pense à tous ces Politiciens Judas Vendus à ces Rois Bâtards et broutant l'herbe toxique de ces mêmes Rois Bâtards.

Et ma plume écrit d'une encre rouge feu, couleur de la rebelliance lorsqu'elle pense à tous ces rebelles ayant le courage de se tenir debout face à ces Rois Bâtards.

Mais surtout ma plume écrit en crachant l'acide lorsque je ressens cette colère, cette dans mes entrailles.

Cette révolte pulsant aux battements de cette colère hystérique de mon coeur lorsque mes yeux voient et que mes oreilles entendent toute cette réalité dirigée par l'iniquité, l'injustice, le mépris ainsi que le mensonge.

Dans ce royaume des Rois Bâtards, comment ne pas ressentir cette révolte et comment ne pas en devenir rebelle ?

Comment ne pas être dans le camps rebelle et être capable de ce regarder dans ce miroir sans honte ?

Comment ne pas brandir le pavillon de cette rebelliance et comment ne pas lever l'épée rebelle ?

Oui j'ai bu dans cette coupe amère de la révolte et j'en reboirez !

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