jeudi 4 février 2016

Un conte urbain oui mais basé sur une histoire vraie !



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C'était la demeure de Monsieur Debonnefoi édifice appartenant à Monsieur Desbeauxstores.

Un conte urbain oui mais basé sur une histoire vraie ! 

Par Sergio de Rosemont

Un conte urbain oui mais basé sur une histoire vraie !

Question de protéger l'anonymat de certaines personnes réelles m'ayant inspirer ce conte, j'ai changer leurs identités de plus même si dans le réelle parmi ces personnes qu'il y des femmes et des hommes question de rendre leurs identification réelle plus difficile je leurs ai tous donner des surnoms disons masculins.

Donc nous avons :

- Monsieur Desbeauxstores, le propriétaire.

- Monsieur Deuxparoles, le représentant du propriétaire et responsable de la location résidentielle.

- Monsieur Debonnefoi, locataire.

- Monsieur Sincère, un autre locataire.

- Messieurs Bing, Bang et Bong les employés du propriétaire.

Commençons notre conte urbain :

Il était une fois Monsieur Debonnefoi qui demeurait dans un logement insalubre où il avait des escaliers à monter.

Le logement était situé dans un édifice propriété de Monsieur Desbeauxstores.

Un édifice parmi tant d'autres Monsieur Desbeauxstores était presque le maître dans le quartier.

Monsieur Debonnefoi croyait dur comme le fer qu'il finirait ses jours dans ce logement.

Dur comme le fer ; dur comme le faire.

Mais un jour Monsieur Debonnefoi eu le bonheur d'être sélectionné pour habiter un magnifique logement social neuf.

Non seulement que ce logement serait neuf mais il serait moins cher et sécuritaire pour sa santé.

Oui un logement où il serait le premier à y demeurer et à y vivre.

Y vivre et non pas y survivre.

Alors comme le prescrit la règle, Monsieur Debonnefoi avise Monsieur Deuxparoles qu'il déménagera dans peu de temps et il en avisa aussi ses voisins avec lesquels il avait une excellente communication.

Alors Monsieur Sincère mentionna à Monsieur Debonnefoi qu'il était très intéressé à prendre son logement qui était plus grand mais à la condition que Monsieur Deuxparoles le fasse rénover avant.

Monsieur Debonnefoi lui mentionna son accord et lui conseilla d'appeler Monsieur Deuxparoles pour l'aviser de son désir et que lui-même ferait de même.

Monsieur Deuxparoles mentionna à Monsieur Sincère qu'il accepta le marché et qu'il pourrait s'y installer un coup les rénovations terminées.

Monsieur Deuxparoles promis même à Monsieur Sincère de le tenir au courant des travaux et de l'avertir lorsque le logement serait prêt.

Monsieur Deuxparoles avait ,même promit à Monsieur Debonnefoi que Monsieur Sincère serait le prochain locataire de son logement.

Après le départ de Monsieur Bonnefoi, Monsieur Deuxparoles ordonna aux Messieurs Bing, Bang et Bong de débuter les travaux de rénovation.

Lors des travaux à quelques reprises Messieurs Bing, Bang et Bong dirent à Monsieur Sincère qu'ils lui arrangeaient un beau logement juste pour lui.

1 mois, 2 mois, 3 mois, 4 mois passèrent sans que Monsieur Sincère reçoive la moindre nouvelle de son futur nouveau logement.

Alors Monsieur Sincère prit la décision de téléphoner à Monsieur Deuxparoles question de savoir se qu'il advenait de son futur nouveau logement et à quelle date il pourrait y aménager ?

Que ne fut pas sa déception, sa désillusion et son amertume ?

Monsieur Deuxparoles avait sans même lui en parler décidé de céder le logement qui avait été promi à Monsieur Sincère à l'un des employés de Monsieur Desbeauxstores et la décision avait été prise 2 mois au paravant.
 
Et oui ca faisait 2 longs interminables mois que la décision avait été prise ,.... et Monsieur Sincère n'en avait toujours pas été avisé et était toujours dans l'espérance d'habiter un meilleur logement.

Voilà Monsieur Sincère prit conscience que Monsieur Deuxparoles avait 2 paroles si e n'était pas 3 ou 4.
 
L'importance pour Monsieur Deuxparoles est question de conserver son job de tenter de satisfaire l'appétit financière boulimique de Monsieur Desbeauxstores.
 
Oui Monsieur Deuxparoles a minimum 2 paroles, Monsieur Sincère se sent trahi et en est triste.
 
Et Monsieur Debonnefoi reste avec la sensation que Monsieur Deuxparoles s'est foutu de sa gueule.
 
Morale de cette histoire il faut toujours se méfier d'un propriétaire ou de son représentant même s'il semble intègre, des fois fois les apparences peuvent être trompeuses !
 
Et moi dans cette histoire, dans ce conte urbain ?
 
En écrivant ce conte je me sens de bonne foi.
 
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P.S:
Vu que pour l'instant je met mes photos sur Facebook et vu que Facebbok aime bien à l'occcasion changer l'adresse URL des photos, en cas où que d'un tel changement à ma photo voici l'adresse de mon article en version Facebook :
www.facebook.com/sergio.derosemont/media_set?set=a.13397


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