LES 2 PHOTOS DE LA RÉUNION SONT À LA SUITE DE L'ARTICLE.
Louis Raphaël Pelletier et Sergio de Rosemont.
Le "Front citoyen pour un contrôle civique des compagnies de sondage" change de nom.
Par Louis-Raphael Pelletier et Sergio de Rosemont.
Le samedi 7 décembre 2013 à 15 Heures se tenait la réunion du "Front citoyen pour un contrôle civique des compagnies de sondage" au Première Moisson sur la rue Masson dans le Vieux-Rosemont.
Étaient présent Sébastien Rivard, Louis-Raphael Pelletier et Sergio de Rosemont.
Suite à la consultation des membres disponibles en personne ou au téléphone la décision du changement de nom fut prise. À partir du 20 janvier 2014 Le "Front citoyen pour un contrôle civique des compagnies de sondage" se nommera dorénavant le "Collectif pour une Réglementation de l'Industrie du Sondage du Québec [ Collectif RISQ ]"
Voici un texte de Louis-Raphaël Pelletier expliquant notre choix :
Nous voulions un nom et un acronyme qui se retienne mieux. Nous pensons que le nouveau nom et, surtout, l’acronyme sera plus accrocheur tout en exprimant aussi bien – espérons-le – nos idées que le nom précédent.
Le mot « Collectif » fait référence à nos valeurs démocratiques et égalitaires, pour la société en générale et dans le fonctionnement interne de notre groupe.
Le mot « réglementation » peut être lu de deux manières. D’une part, il permet de comprendre que nous ne voulons ni interdire les sondages ni abolir les compagnies qui les font. D’autre part, il fait ressortir que nous croyons que la récréation a assez duré pour ces compagnies. C’est le free for all dans ce secteur économique qui a pourtant de nombreuses et profondes répercussions sur notre vie politique et économique. Il est temps d’imposer des règles dans tout ça, au nom de la protection de la vie privée, de la vie politique et de la protection des consommateurs et des consommatrices.
Enfin, les mots « industrie du sondage » soulignent que ceux qui effectuent ces sondages sont des… industriel-le-s. Ce ne sont pas des scientifiques objectifs et désintéressés ; ce ne sont pas des observateurs / observatrices neutres des partis politiques et des dynamiques politiques ; ce ne sont pas des analystes bienveillants des tendances économiques. Les dirigeant-e-s de ces compagnies font des profits avec leurs sondages. Ils vendent leurs services (faire des sondages) et leur production (les résultats de ces sondages) à des client-e-s. Ces client-e-s veulent faire avancer leurs intérêts politiques (gagner la prochaine élection, faire passer une loi) ou économique (vendre leur produit ou service). Les sondé-e-s (vous et moi au bout du fil ou sur un questionnaire internet) leur fournissons gratuitement la matière première. Et lorsque que la compagnie de sondage annonce des résultats, c’est que le / la client-e qui a demandé ces résultats croit que cela avance ses intérêts.
Sous certaines conditions réglementaires et législatives, l’industrie du sondage peut jouer un rôle utile dans notre société. Malheureusement, ces conditions ne sont pas en place et c’est à cause de cela que le « Collectif RISQ » existe.
VOICI LES 2 PHOTOS DE CETTE RÉUNION :
Sébastien Rivard, Louis-Raphaël Pelletier et Sergio de Rosemont lors de la réunion au "Première Moisson" sur la rue Masson dans le Vieux-Rosemont.
Sébastien Rivard, Louis-Raphaël Pelletier et Sergio de Rosemont après la réunion devant le "Première Moisson" sur la rue Masson dans le Vieux-Rosemont.
Voici les liens d'articles que j'avais fait sur des manifestations ou activités aux quelles j'avais participé ou visité.
Article du 05 octobre 2013
Article du 11 octobre 2013
Article du 23 octobre 2013
Article du 24 octobre 2013
Article du 26 octobre 2013
Article du 02 novembre 2013
Article du 14 novembre 2013
Article du 15 novembre 2013
Article du 18 novembre 2013
Article du 23 novembre 2013
Article du 01 décembre 2013
Article du 08 décembre 2013
Article du 10 décembre 2013
Article du 13 décembre 2013
Article du 16 décembre 2013
Article du 17 décembre 2013
Article du 23 décembre 2013
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